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Lien du postMer 24 Juin 2020 - 14:58
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Un coup d'œil rapide à ma montre : un quart d'heure à patienter. Sentiment du temps qui ralentit malicieusement. Accélération du cœur. Observation de mon reflet dans le miroir du salon. J'avance vers la cheminée ou mon majordome à fait dresser une table pour deux. Fauteuils confortable de chaque coté, bougies et pétales de fleurs sur le sol ainsi que sur la nappe. Tu tiens à ton ambiance romantique? Tu vas être servi. "Tony, ajoute une petit composition florale sur le centre de la table." que j'ordonne à mon domestique qui obéit immédiatement. Encore dix minutes. L'excitation qui s'amplifie. Je ne tiens plus en place. Je réajuste mon costume bleu nuit. Ma cravate et la petit broche de rose blanche. Je suis habillé comme un homme qui va se marier. Je te vois déjà te marrer de tout ce cirque que j'orchestre uniquement pour toi. Et pour remplir notre tableau à conneries. Cinq minutes ! Quelle torture ! Supplice interminable… Heureusement que tu n'es pas du genre à arriver en retard. Carrément pas, vu que l'on vient me prévenir que tu fais ton entrée dans le domaine. Je souris d'avance de voir ta tronche. "Escorté le jusqu'à la table quand il entrera dans le manoir." Comme dans le plus classe des restaurants. J'ai laissé tomber mon écharpe au bras, car ça ne s'accorde tellement pas avec ma tenue. Et, parce que j'ai envie d'être libre de tout mouvement. Déjà que je n'ai pas le droit de boire de l'alcool. Je marche, et je vais m'installer sur mon fauteuil. Dans l'attente de te voir débarquer. Parce que je veux voir l'expression de ton visage dès que tu vas découvrir ce coin, cette lumière de feu qui tamise le tout, et moi, habillé avec le plus de classe possible.
HJ ; c'est petit, mais je rallongerais au fur et a mesure des réponses
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Lien du postJeu 25 Juin 2020 - 0:51
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Un coup d'oeil à sa montre et le blond grince légèrement. La circulation n'est pourtant pas si dense, mais le chauffeur ne semble pas vouloir se presser, préférant laisser à Thaddeus le temps d'admirer le paysage. Il aurait mieux fallu qu'il loue une voiture directement plutôt que de faire appel au système de chauffeurs toujours un peu plus aléatoires. Il n'avait cependant pas envie de se casser la tête ce soir et le modèle de voiture qu'il aurait apprécié tester n'étant pas disponible, il s'était donc retranché sur un chauffeur attitré. Grossière erreur.
- Je ne crois pas être une bourgeoise ayant le mal des transports et les pistes de courses ne m'ont jamais fait peur. Le retard n'est pas une option, ce soir, alors j'apprécierais ne pas manquer une seule seconde à mon horaire, indique-t-il sur un ton relativement froid au chauffeur qui d'un regard dans le rétroviseur vers son client comprend qu'il est mieux de se transformer en pilote.
L'employé ayant finalement trouvé l'accélérateur, c'est au bon temps que le blond pénètre le domaine de Patterson, puis traverse le hall du manoir, se faisant escorter jusqu'au salon. Ce n'est que lorsqu'il passe le cadre qu'il remarque les détails : l'ambiance tamisé, les chandelles, les fleurs, les pétales… se raidissant imperceptiblement à chaque nouvelle découverte. Jusqu'à ce que ses yeux ne se pose sur la silhouette de Wesley, dans un costume bleu nuit. Est-ce une rose blanche à sa boutonnière?
- Il faut vraiment que tu arrêtes de prendre tout ce que je dis au pied de la lettre, pose-t-il comme remarque à son ami, un sourire en coin finissant tout de même par trouver une place sur son visage. Il s'agit de Wes après tout, il ne lui ferait pas ça. N'est-ce pas? Non, son ami avait décidément un appétit trop grand pour les femmes pour le trahir de la sorte. Si tu mets un genoux en terre, je t'assomme, prévint-il tout de même avec un léger rire, arrivant à se détendre en s'approchant de son ami pour le saluer. Un nouveau regard sur la pièce, puis il repose ses iris bleus sur Wesley. J'admets que si c'est ainsi que tu reçois les femmes que tu convoites à chaque fois, nous ne jouons pas au même niveau, souffle-t-il, amusé. Il a fait fort!
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- Je ne crois pas être une bourgeoise ayant le mal des transports et les pistes de courses ne m'ont jamais fait peur. Le retard n'est pas une option, ce soir, alors j'apprécierais ne pas manquer une seule seconde à mon horaire, indique-t-il sur un ton relativement froid au chauffeur qui d'un regard dans le rétroviseur vers son client comprend qu'il est mieux de se transformer en pilote.
L'employé ayant finalement trouvé l'accélérateur, c'est au bon temps que le blond pénètre le domaine de Patterson, puis traverse le hall du manoir, se faisant escorter jusqu'au salon. Ce n'est que lorsqu'il passe le cadre qu'il remarque les détails : l'ambiance tamisé, les chandelles, les fleurs, les pétales… se raidissant imperceptiblement à chaque nouvelle découverte. Jusqu'à ce que ses yeux ne se pose sur la silhouette de Wesley, dans un costume bleu nuit. Est-ce une rose blanche à sa boutonnière?
- Il faut vraiment que tu arrêtes de prendre tout ce que je dis au pied de la lettre, pose-t-il comme remarque à son ami, un sourire en coin finissant tout de même par trouver une place sur son visage. Il s'agit de Wes après tout, il ne lui ferait pas ça. N'est-ce pas? Non, son ami avait décidément un appétit trop grand pour les femmes pour le trahir de la sorte. Si tu mets un genoux en terre, je t'assomme, prévint-il tout de même avec un léger rire, arrivant à se détendre en s'approchant de son ami pour le saluer. Un nouveau regard sur la pièce, puis il repose ses iris bleus sur Wesley. J'admets que si c'est ainsi que tu reçois les femmes que tu convoites à chaque fois, nous ne jouons pas au même niveau, souffle-t-il, amusé. Il a fait fort!
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- HJ:
- Sans problème, tu peux jouer la longueur que tu veux, c'est sans pression. (je ne commence à paniquer qu'à 1700+ mots réguliers )
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Lien du postLun 29 Juin 2020 - 19:17
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Franchement je ne sais de quelle robustesse je suis doté pour ne pas éclaté de rire quand ton visage pâli sous tes regards qui découvrent l'ensemble de mon illustre scène romantique. Sous ta première réflexion, je ne t'offre qu'un haussement d'épaule et de bras, ce sourire malicieux sur les lèvres. Quant à la deuxième, elle pourrait me faire éclater de rire mais j'ai subitement l'envie de t'embêter un peu. Alors, j'entre ouvre ma bouche, ne laissant qu'un souffle sortir. Mimant l'action d'être en pleine élucubration. Puis, je tourne le visage vers la pièce où se trouve mon majordome avant d'hausser la voix pour m'exprimer "Tony! Annule l'idée de la bague dans le verre apéritif!" Et je reviens poser les yeux dans les tiens. Cette fois, pour m'esclaffer. Te laissant approcher pour te saluer, d'une poignée de main, et accolade rapide d'épaule à épaule. De toute ma grâce, je t'invite d'un geste de la main à prendre place, et j'en fais de même, en face à face. Je perçois tes paroles, et je prends un air mystérieux toujours en gardant la malice "Et encore, tu ne m'as pas encore vu nu mon Lapin. Là, c'est toi qui poserais genoux à terre." Franchement, vous êtes sur que mon deuxième prénom n'est pas Narcisse? Parce que franchement, j'aurais adoré. Le coude droit sur la table, comme pour maintenant le bras blessé ; je viens jouer de mes phalanges sur la barbe de mon menton "Que désires-tu boire?" Sous ma question, Tony s'approche de notre table pour entendre nos besoins et aller rapidement nous servir. Après que tu fasses part de ta boisson, je me tourne vers mon domestique et demande "Je vais prendre un mojito.. Mais sans le rhum." Parce que je suis médicamenté et que je n'ai pas l'assentiment pour consommer de l'alcool. Dans l'attente de pouvoir nous abreuver, je reviens fixer ton visage d'un air doux. Pas pour te charmer bien sur. "Alors dis moi, quel est le livre que tu dévores en ce moment?" Parce qu'avec tout ce qui m'est arrivé, je n'ai pas encore eu le temps d'ouvrir un bouquin. Alors, je vais lire par procuration.
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Lien du postJeu 2 Juil 2020 - 2:54
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Une mise en garde plus qu'une réelle menace glisse sur les lèvres du blond ayant fini par trouver la logique de rire de la chose plutôt que de prendre les nerfs contre son meilleur ami. Après tout, il ne ferait pas ce genre de mise en scène pour une autre raison que leurs nombreuses déconnes, n'est-ce pas? Du moins, une telle mise en scène pour lui. Il n'a pas une idée sans faille de comment peut se comporter Wesley avec les femmes qu'il charme, pas plus qu'il n'a réellement besoin de le savoir. Certains champs de connaissance peuvent rester un mystère.
Le brun s'amusant bien apparement, il hausse la voix pour s'adresser à son majordome, lui signifiant de changer les plans. Thaddeus en ferme les yeux quelques secondes à peine, secouant la tête. Il en paraîtrait découragé si le sourire amusé au coin de ses lèvres ne venait pas démentir le tout. Un faible "C'est pas vrai…" s'expulse des poumons comme un soupir. Il est cinglé. Complètement fou. Mais c'est probablement l'une des raisons qui fait qu'ils sont si bons amis depuis des années : venant du même genre d'environnement, ayant pourtant deux caractères bien différents et parfois peut-être salvateur l'un pour l'autre.
- Comptes pas là-dessus, mon poussin, assure-t-il alors que Wesley lui assure ne pas avoir tout déballer encore, ne s'est pas lui-même déballer en fait, promettant que ce sera bien lui qui finira par mettre un genoux en terre si c'était le cas. Et puis quoi encore! Cependant, il n'a pas particulièrement envie de mettre l'héritier au défi, se doutant qu'il ne serait jamais le gagnant de ce genre d'échange, les esprits risquant, au final, de s'échauffer, mais d'une manière bien loin du romantisme.
S'installant à la table, il ne peut que mieux constater l'attention que son ami a su poser pour ce souper aux chandelles promis. Il est dingue. ...et probablement le seul à se tirer d'un tel scénario avec pour résultat la bonne humeur du fils d'ambassadeur.
- Old Fashioned whiskey, je te pris, laissais-je savoir plus pour son major que réellement pour lui, lui jetant un coup d'oeil avec la demande. Toujours fidèle au poste. Mais ce qu'il est sage et docile, ne peut-il s'empêcher de narguer Wesley lorsque celui-ci précise une boisson sans alcool, résultante probable de l'état de son épaule.
Un peu surpris par la question de son hôte, un sourire amusé étire ses lèvres à nouveau avant qu'il ne révèle sa nouvelle lecture du moment :
- Wuthering Heights (Les Hauts de Hurlevent) par Emily Brontë. Un petit retour des souvenirs d'adolescence, gracieuseté d'une demoiselle du club de lecture, le renseigne-t-il, le dos confortablement calé contre le dossier de la chaise.
445 mots * (c) princessecapricieuse
Le brun s'amusant bien apparement, il hausse la voix pour s'adresser à son majordome, lui signifiant de changer les plans. Thaddeus en ferme les yeux quelques secondes à peine, secouant la tête. Il en paraîtrait découragé si le sourire amusé au coin de ses lèvres ne venait pas démentir le tout. Un faible "C'est pas vrai…" s'expulse des poumons comme un soupir. Il est cinglé. Complètement fou. Mais c'est probablement l'une des raisons qui fait qu'ils sont si bons amis depuis des années : venant du même genre d'environnement, ayant pourtant deux caractères bien différents et parfois peut-être salvateur l'un pour l'autre.
- Comptes pas là-dessus, mon poussin, assure-t-il alors que Wesley lui assure ne pas avoir tout déballer encore, ne s'est pas lui-même déballer en fait, promettant que ce sera bien lui qui finira par mettre un genoux en terre si c'était le cas. Et puis quoi encore! Cependant, il n'a pas particulièrement envie de mettre l'héritier au défi, se doutant qu'il ne serait jamais le gagnant de ce genre d'échange, les esprits risquant, au final, de s'échauffer, mais d'une manière bien loin du romantisme.
S'installant à la table, il ne peut que mieux constater l'attention que son ami a su poser pour ce souper aux chandelles promis. Il est dingue. ...et probablement le seul à se tirer d'un tel scénario avec pour résultat la bonne humeur du fils d'ambassadeur.
- Old Fashioned whiskey, je te pris, laissais-je savoir plus pour son major que réellement pour lui, lui jetant un coup d'oeil avec la demande. Toujours fidèle au poste. Mais ce qu'il est sage et docile, ne peut-il s'empêcher de narguer Wesley lorsque celui-ci précise une boisson sans alcool, résultante probable de l'état de son épaule.
Un peu surpris par la question de son hôte, un sourire amusé étire ses lèvres à nouveau avant qu'il ne révèle sa nouvelle lecture du moment :
- Wuthering Heights (Les Hauts de Hurlevent) par Emily Brontë. Un petit retour des souvenirs d'adolescence, gracieuseté d'une demoiselle du club de lecture, le renseigne-t-il, le dos confortablement calé contre le dossier de la chaise.
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Lien du postDim 19 Juil 2020 - 17:40
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J'en fais des choses stupides, surtout quand il s'agit d'être ingénieux pour mettre en scène une simple rigolade tapée en message. Bon comédien, je ne manque pas de faire entrer mon majordome dans la danse. Il ne répond pas, parce qu'il me connait bien trop pour se douter du degrés à prendre. Tout comme toi et ton sourire en coin, soupirant l'air déconcerté par tant d'idiotie heureuse. Oh si c'est bien réel, après tant d'années tu le sais. Nous nous sommes connus à l'université, et il paraitrait que je n'ai pas prit en sagesse avec l'âge. "Tu ne me veux pas comme trophée? Ou comme invité d'honneur dans ton harem?" Si il semble que mon sens de l'humour est démesuré, nous pouvons en dire autant de mon égo. Narcisse avez vous dit? Enchanté. Prenons place à cette table soigneusement préparée. Franchement, je n'ai pas le souvenir de m'être donné autant de mal pour une femme. Il y aurait beaucoup de questions à se poser si nous n'avions pas la certitude que j'aimais trop les courbes féminines. Les boissons sont demandées, et Tony s'empresse de nous quitter pour la préparation. Tu me taquines, mais c'est le prix à payer quand il est impossible de consommer de l'alcool pour raison de santé. Ma première question semble t'étonner. Tu n'as peut-être pas conscience de ton talent pour intéresser les autres quand tu parles de lecture, ou même de photographie. Ma main joue avec la fourchette en écoutant tes paroles. Mes yeux ne quittent pas tes pupilles, mais je me comporte comme un capricieux non satisfait de cette courte réponse. "Donne moi l'envie de le lire, sans trop en dire." Car si j'en connais le contenu total, il sera inutile de prendre la peine d'en ouvrir la première page. Ou de me procurer cet ouvrage que je ne pense pas avoir dans ma bibliothèque personnelle. Mon domestique revient, pose nos verres et repart. Il sait que je le sonnerais quand il sera venu le moment de passer à l'entrée. Je lève le récipient en ta direction pour trinquer. "A quoi trinquons nous?" si tu me laisses l'honneur de décider, tu vas encore rouler des yeux sous une nouvelle absurdité. Je te souris, dans l'attente de savoir. Pas tellement pressé de gouter ce mojito sans rhum. Je compte sur mon imagination pour faire le travail, et me laisser penser que l'ivresse coulera dans mes veines. A contrario, j'ai hâte de savoir comment se déroule ton quotidien.
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Lien du postMer 22 Juil 2020 - 4:40
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Haussant un sourcil, Thaddeus fixe son ami un instant alors que celui-ci lui propose de faire parti de son harem. Quel harem, c'est à se le demander? Le blond ne compte pas des masses de maîtresses. Encore faudrait-il qu'il commence par une copine pour que le terme "maîtresses" puisse s'appliquer. Terme qu'il a d'ailleurs toujours plus ou moins détesté, ayant l'impression d'appartenir comme un objet.
- Je crois que je n'ai pas besoin de t'expliquer mes déconfitures pour tenir une relation à longue échelle avec une seule demoiselle, alors imagines seulement si j'essaie de tenir la barre avec plus, fait-il remarquer, se moquant aisément de lui-même sur ce point puisqu'il est ici en compagnie de quelqu'un qui, non seulement connaît l'histoire, mais en partage une semblable. Mais tu m'étonnes… ne peut-il s'empêcher de laisser entendre, mettant une pause pour s'assurer d'avoir l'attention de son ami avant de continuer : Le grand Wesley Patterson qui accepterait de n'être qu'un vulgaire trophée? Tu es certain que tu ne t'es pas cogné la tête, ce matin? Questionne-t-il, l'inquiétude peinte dans sa voix étant trahie par le regard joueur et le sourire un peu trop moqueur.
Suivant Wes jusqu'à s'installer à la table dressée pour la soirée, il ne peut s'empêcher de remarquer l'amoncellement d'efforts et d'attention développer pour ce qui n'est au départ qu'une série de textos qui a dérapé à la blague. Il est cinglé, pour sûr! Le majordome s'empressant de s'enquérir de se qu'ils comptaient boire, Thaddeus ne peut s'empêcher d'embêter un peu plus son ami lors de la mention "sans alcool". Sage décision selon les médecins, vu son état. Au goût, peut-être pas la plus agréable par contre.
- Je ne sais pas cette lecture t'inspirera ou si elle te rappellera - à échelle plus épique et romanesque - les déboires de nos propres familles, informe-t-il, un léger pli se formant sur ses lèvres. Allez savoir si ça ne lui ferait pas plutôt refermer le bouquin, refroidi par ce phénomène. Mais c'est une vaste histoire d'amour, de vengeance et d'abus. Être recueilli dans une famille et essayer de s'élever de la masse alors qu'on ne lui en laisse pas véritablement la chance, puis s'y tailler une place en écrasant ou manipulant pour se rendre à ses fins, voyant pourtant certains aspects lui filer entre les doigts. C'est loin du conte pour enfants, en somme, mais adolescent, j'avais trouvé un certain ridicule dans les ressemblances qui m'avait apporté un autre niveau, me le faisant apprécier probablement autrement que la masse. L'un des plaisirs de la lecture individuelle, fait-il remarquer. Aujourd'hui, par contre, je le découvre avec les yeux de la jeune fille puisqu'elle y a posé des annotations et ça me rends curieux de reprendre le roman de la sorte, je l'avoue, explique-t-il à son ami. Le tout lui faisait un peu l'effet de voir l'envers du décor, sans pour autant que ce soit l'exacte explication. Plutôt, la même histoire, mais une nouvelle distribution, orchestrée par les mots laissés en marges par une jeune femme qui avait bercé ce livre très longtemps.
Lorsque les verres se déposent à portée avec la discrétion habituel, Teddy imite rapidement Wes en levant le sien.
- Normalement, c'est "à ta folie, à tes amours, à ta santé" non? Questionne-t-il, citant une phrase dans un parfait français, avec un demi sourire en ajoutant : Pour les amours, on peut passer. Des plans pour que tu n'y vois une proposition à continuer tes efforts de drague envers ma personne. Tout magnifique puis-je être, c'est une cause perdue d'avance, même pour toi, mon ami, conseille-t-il, retrouvant l'habituelle humeur qui règne souvent entre les deux de s'envoyer vacheries et compliments en moins de deux sur le ton de la balade. À ta santé? Rappelle-t-il ensuite. Vu ton bras, ce pourrait être une option. ...mais j'en penche tout de même pour ta folie. Indique-t-il avec un certain sourire en coin, faisant un vague signe de main pour englober la pièce transformée par les efforts déployés pour cette soirée. Après si ce n'était pas de cette folie qui se fait parfois sentir dans les actes et paroles du brun, le fils d'ambassadeur n'en serait probablement pas là où il est aujourd'hui, s'étant forgé un peu plus d'affront à son contact et ayant aussi appris à desserrer la cravate qui l'étranglait peut-être un peu trop. Et toi, vers quoi ou qui vogues-tu ce derniers temps, avec l'épaule bloquée de la sorte? Le questionne-t-il.
734 mots * (c) princessecapricieuse
- Je crois que je n'ai pas besoin de t'expliquer mes déconfitures pour tenir une relation à longue échelle avec une seule demoiselle, alors imagines seulement si j'essaie de tenir la barre avec plus, fait-il remarquer, se moquant aisément de lui-même sur ce point puisqu'il est ici en compagnie de quelqu'un qui, non seulement connaît l'histoire, mais en partage une semblable. Mais tu m'étonnes… ne peut-il s'empêcher de laisser entendre, mettant une pause pour s'assurer d'avoir l'attention de son ami avant de continuer : Le grand Wesley Patterson qui accepterait de n'être qu'un vulgaire trophée? Tu es certain que tu ne t'es pas cogné la tête, ce matin? Questionne-t-il, l'inquiétude peinte dans sa voix étant trahie par le regard joueur et le sourire un peu trop moqueur.
Suivant Wes jusqu'à s'installer à la table dressée pour la soirée, il ne peut s'empêcher de remarquer l'amoncellement d'efforts et d'attention développer pour ce qui n'est au départ qu'une série de textos qui a dérapé à la blague. Il est cinglé, pour sûr! Le majordome s'empressant de s'enquérir de se qu'ils comptaient boire, Thaddeus ne peut s'empêcher d'embêter un peu plus son ami lors de la mention "sans alcool". Sage décision selon les médecins, vu son état. Au goût, peut-être pas la plus agréable par contre.
- Je ne sais pas cette lecture t'inspirera ou si elle te rappellera - à échelle plus épique et romanesque - les déboires de nos propres familles, informe-t-il, un léger pli se formant sur ses lèvres. Allez savoir si ça ne lui ferait pas plutôt refermer le bouquin, refroidi par ce phénomène. Mais c'est une vaste histoire d'amour, de vengeance et d'abus. Être recueilli dans une famille et essayer de s'élever de la masse alors qu'on ne lui en laisse pas véritablement la chance, puis s'y tailler une place en écrasant ou manipulant pour se rendre à ses fins, voyant pourtant certains aspects lui filer entre les doigts. C'est loin du conte pour enfants, en somme, mais adolescent, j'avais trouvé un certain ridicule dans les ressemblances qui m'avait apporté un autre niveau, me le faisant apprécier probablement autrement que la masse. L'un des plaisirs de la lecture individuelle, fait-il remarquer. Aujourd'hui, par contre, je le découvre avec les yeux de la jeune fille puisqu'elle y a posé des annotations et ça me rends curieux de reprendre le roman de la sorte, je l'avoue, explique-t-il à son ami. Le tout lui faisait un peu l'effet de voir l'envers du décor, sans pour autant que ce soit l'exacte explication. Plutôt, la même histoire, mais une nouvelle distribution, orchestrée par les mots laissés en marges par une jeune femme qui avait bercé ce livre très longtemps.
Lorsque les verres se déposent à portée avec la discrétion habituel, Teddy imite rapidement Wes en levant le sien.
- Normalement, c'est "à ta folie, à tes amours, à ta santé" non? Questionne-t-il, citant une phrase dans un parfait français, avec un demi sourire en ajoutant : Pour les amours, on peut passer. Des plans pour que tu n'y vois une proposition à continuer tes efforts de drague envers ma personne. Tout magnifique puis-je être, c'est une cause perdue d'avance, même pour toi, mon ami, conseille-t-il, retrouvant l'habituelle humeur qui règne souvent entre les deux de s'envoyer vacheries et compliments en moins de deux sur le ton de la balade. À ta santé? Rappelle-t-il ensuite. Vu ton bras, ce pourrait être une option. ...mais j'en penche tout de même pour ta folie. Indique-t-il avec un certain sourire en coin, faisant un vague signe de main pour englober la pièce transformée par les efforts déployés pour cette soirée. Après si ce n'était pas de cette folie qui se fait parfois sentir dans les actes et paroles du brun, le fils d'ambassadeur n'en serait probablement pas là où il est aujourd'hui, s'étant forgé un peu plus d'affront à son contact et ayant aussi appris à desserrer la cravate qui l'étranglait peut-être un peu trop. Et toi, vers quoi ou qui vogues-tu ce derniers temps, avec l'épaule bloquée de la sorte? Le questionne-t-il.
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- HJ:
- Je m'excuse si j'ai massacré la description du livre, je ne l'ai jamais lu
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Lien du postMar 18 Aoû 2020 - 17:33
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"Cela n'empêche en rien ma certitude qu'il existe bon nombre de femmes qui désirent ta compagnie dans leurs vies. Ou leurs lits." Personne ne demande d'aller jusqu'au épousailles. Enfin, sincèrement, je ne te souhaite pas de te retrouver dans une situation aussi bancale que la mienne. Mon regard dans le tien, ta réflexion me fait façonne un sourire béat. Parce qu'habituellement, c'est Ella qui utiliser le fait de s'être cogné la tête comme excuse pour justifier ses dires difficile à assumer. "Oh tu sais, bien que je sois le chasseur, je comprendrais que l'on veuille se vanter d'avoir eu une aussi belle prise que moi." Autant continuer sur l'humour. Bien que mon égo ne soit pas un mirage, et que forcément, je me graisse volontiers la patte. Jamais mieux servi que par soi meme, sauf pour la lecture. Mes doigts cessent de tripoter la fourchette pour pouvoir être attentif au plus haut point. Avaler tes paroles, m'abreuver de ton récit pour remplacer le manque d'alcool. Non, c'est maladroit, parce que tu ne me saoules pas. Au contraire, tu m'emportes positivement. L'annonce du rapprochement entre l'histoire et nos familles me fait forcément lever brièvement les yeux au ciel. Qu'est ce qu'elles en font du mal, aux deux petits garçons que nous sommes. Ma main quitte l'outil de repas pour venir effleurer ma barbe. Ce n'est pas pour te lécher les bottes, mais tu me fascines réellement. Je suis sur le point d'appeler mon majordome pour lui ordonner d'aller me trouver ce bouquin maintenant. "J'ai l'impression que nous sommes les deux protagonistes de ce livre. Ou du moins, que l'histoire est inspirée de faits réels... Les nôtres." J'ai ce sourire malicieux, parce que moi, j'en ai moins souffert que toi. Je crois. "La jeune femme? Tu parles de celle qui a écrit le livre?" Que je demande rempli du désir de bien tout comprendre. "Si tu le veux bien, j'aimerais beaucoup le lire celui-ci... Tu ferais vraiment un bon libraire." Une envie de reconversion? Je peux me transformer un instant en conseiller d'orientation.
Les verres en l'air, et ton parfait français qui vient chanter à mes oreilles. Je hausse les sourcils, surpris, je l'admets. "Si tu continues de me parler en français, ne vient pas te plaindre de mon plan de conquête... Parce que là, Tu as presque réussi a amener la Tour Eiffel ici." Quel sagouin que je fais. Je pense que ton esprit comprendra ce que je veux dire par cette métaphore. Une façon de prendre de l'avance sur ta taquinerie future. Celle qui m'accuse d'être invalide temporairement. M'offrant quelques secondes pour maudire celui qui m'a gentiment logé une balle dans l'épaule. Brule en enfer Spence Davis. "Rien ne me décrit mieux que le mot 'folie'." Un autre clin d'oeil et j'amène le verre à mes lèvres pour en prendre une bonne gorgée. Putain, ça manque vraiment d'une touche alcoolisée. Ma langue vient récupérer l'humidité, et je prends un petit temps pour réfléchir à la réponse que je vais t'offrir. "Hmm.. Vers un plan de vengeance pour faire payer l'insouciant qui a provoqué ça?" Mon regard qui descend sur mon bras, afin de montrer ce que signifie 'ça'. Et je reviens sur ton visage "Mais mon esprit est bien trop occupé par le départ d'une personne importante." En France justement.
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Lien du postLun 24 Aoû 2020 - 4:11
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Un léger rire secoue les épaules du blond à la "certitude" mentionnée par son ami. Certes, sans faire la fille devant chez lui, quelques unes pouvaient peut-être l'affirmer. Pas nécessairement toujours pour les bonnes raisons, il est vrai. Certaines avaient bien quittée lorsqu'il avait été question d'apprendre la vérité. La vérité dépendait simplement de la personne en face. Cela variait entre l'idée qu'il ne soit plus en liste pour devenir ambassadeur et n'en avait pas la volonté, celle qu'il soit le fils d'un ambassadeur et qu'il aie parfois affaire aux rats de la presse people à sensation - bien que son lot était bien moins rempli que celui de son ami -, celle que ce n'est pas parce qu'il partageait son temps avec une demoiselle qu'elle avait accès à son compte en banque… bref, les raisons étaient variés.
- Bien sûr, mais je laisse ce "trophé" à la gente féminine qui saurait mieux prendre soin de toi que je ne le pourrai, acquiesce-t-il, n'aidant peut-être pas l'égo de son ami, mais c'était pour le plaisir de la conversation. Et puis, si je t'arraches aux gentes dames, je ne donne plus très cher de ma peau; elles voudront toutes me lyncher, fait-il remarquer affichant un grand sérieux, comme si la menace était bien réelle. Loin de lui l'idée de faire une telle chose, de toute façon.
Décrivant sa lecture du moment, il en glisse un léger rire en un simple souffle lorsque Wesley mentionne les rapprochements se contentant d'hocher la tête pour acquiescer. Il ferait probablement plusieurs rapprochements à son tour, s'il le lisait.
- Non, le livre m'a été offert par une jeune femme du club de lecture auquel je me suis inscrit par curiosité cette session, corrige-t-il. Étant l'un de ses livres préférés, selon ses dires, elle a laissé quelques annotations ici et là. C'est divertissant, explique-t-il avant d'acquiescer à la demande du brun. Je te le laisserai à Tony avant mon départ si tu veux. Je devrais l'avoir terminé d'ici là, propose-t-il, se rappelant que son ami quitte le sol avant lui. Il devrait cependant revenir plus rapidement que lui au pays.
Wesley voulant proposer un toast, le questionnant sur ce qu'ils pourraient bien souligner, le blond rappelle ce qu'il se souvient des formulations françaises pour de telles occasions. D'abord surpris à son tour des paroles de son ami, il finit par en secouer la tête d'un air découragé lorsqu'il en comprend le second sens. Pourtant, il ne peut empêcher le coin de ses lèvres de se retrousser. Acquiesçant pour la folie passagère résultant de l'organisation de cette soirée, les verres tintent et la première gorgée est avalée.
- Et qu'as-tu en tête pour expier le coupable? Questionne à nouveau Thaddeus, haussant pourtant un sourcil à ce qui suit, échangeant ensuite son expression pour exprimer un trop plein de sentiments, allant même jusqu'à poser main sur son propre torse, comme s'il essayait de se contenir. Je savais que mon départ pour l'Asie te touchait, mais je ne pensais pas qu'il te retournait à ce point, mon poussin.
504 mots * (c) princessecapricieuse
- Bien sûr, mais je laisse ce "trophé" à la gente féminine qui saurait mieux prendre soin de toi que je ne le pourrai, acquiesce-t-il, n'aidant peut-être pas l'égo de son ami, mais c'était pour le plaisir de la conversation. Et puis, si je t'arraches aux gentes dames, je ne donne plus très cher de ma peau; elles voudront toutes me lyncher, fait-il remarquer affichant un grand sérieux, comme si la menace était bien réelle. Loin de lui l'idée de faire une telle chose, de toute façon.
Décrivant sa lecture du moment, il en glisse un léger rire en un simple souffle lorsque Wesley mentionne les rapprochements se contentant d'hocher la tête pour acquiescer. Il ferait probablement plusieurs rapprochements à son tour, s'il le lisait.
- Non, le livre m'a été offert par une jeune femme du club de lecture auquel je me suis inscrit par curiosité cette session, corrige-t-il. Étant l'un de ses livres préférés, selon ses dires, elle a laissé quelques annotations ici et là. C'est divertissant, explique-t-il avant d'acquiescer à la demande du brun. Je te le laisserai à Tony avant mon départ si tu veux. Je devrais l'avoir terminé d'ici là, propose-t-il, se rappelant que son ami quitte le sol avant lui. Il devrait cependant revenir plus rapidement que lui au pays.
Wesley voulant proposer un toast, le questionnant sur ce qu'ils pourraient bien souligner, le blond rappelle ce qu'il se souvient des formulations françaises pour de telles occasions. D'abord surpris à son tour des paroles de son ami, il finit par en secouer la tête d'un air découragé lorsqu'il en comprend le second sens. Pourtant, il ne peut empêcher le coin de ses lèvres de se retrousser. Acquiesçant pour la folie passagère résultant de l'organisation de cette soirée, les verres tintent et la première gorgée est avalée.
- Et qu'as-tu en tête pour expier le coupable? Questionne à nouveau Thaddeus, haussant pourtant un sourcil à ce qui suit, échangeant ensuite son expression pour exprimer un trop plein de sentiments, allant même jusqu'à poser main sur son propre torse, comme s'il essayait de se contenir. Je savais que mon départ pour l'Asie te touchait, mais je ne pensais pas qu'il te retournait à ce point, mon poussin.
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