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I LOVE HARVARD
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    ((flashback)) the goddess and the innocent ; heester
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    Lien du postJeu 16 Juil - 18:01
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    TW : SEXE

    the goddess and the innocent

    Luxure et délicieux péché sur les lippes. Ardent, c'est électrique. Courbes tentatrices qui attirent le regard, que les anges rougissent, que les diables viennent titiller l'innocence. Courbes divines, que les esprits soient accaparés par les corps qui se mouvent, formes délicieuses qui charment. Nectar des dieux au coin des lèvres, imbibées du liquide prometteur. Lorsque l'on promet les rêves interdits, lorsque l'on promet les vives les plus sombres, n'est-il pas juste d'attirer l'ivresse à ces hommes avides de l'œuvre féminine ? Sensuelle musique, femmes aux sourires féroces, aux corps fabuleux, funambules sur le fil du désir, que l'on vienne arracher le secret aux hommes. Danseuses et sirènes, que l'on arrache la pureté. Soir d'hiver, que la neige ne cesse donc tomber lorsque les feux ardents des enfers brûlent en cet endroit. On réchauffe le cœur, pauvres gamins en quête d'autre chose, en quête de leurs plaisirs les plus inavouables. Les pêcheurs qui font mourir les anges. Déesses du sensuel, dernière chance de se repentir de leurs innocences trop pures. Et pendant ce temps, les doigts agiles effleurent les verres, que le nectar leur fasse perdre pieds, pour une nuit, que les souvenirs sombres, que les lippes les marquent, que l’on oublie les enfants sages. Jolie tentatrice derrière le comptoir, jolie chevelure blonde, lèvres teintées du naturel, bouteilles en main. Mon regard balaie la salle, la musique s’imprègne contre ma peau, attire ce corps à se mouvoir. Jolie tentatrice, maîtresse des alcools après minuit. Joli démon, Cendrillon différente. Iris profondes, lèvre inférieure emprisonnée par mes dents, voilà que mon filet se resserre sur un seul garçon. Visage trop innocent, accoudé au comptoir. Que les masques tombent, joli minois, la lumière n’a guère sa place là où demeurent les péchés les plus sombres des enfers. Plus aucune chance, mon joli, rien de plus que les démons qui viendront croquer ta peau dans un supplice électrifiant. Trop bon désir pour en vouloir la fin. Mes doigts qui effleurent la ligne de ta mâchoire, offre-moi donc ton regard, objet de mon attention. Captiver ton attention, regard trop intense, lèvres qui se mouvent pour t’attirer plus à moi. “ Si mignon, un peu trop pur pour être ici, voilà que je suis curieuse de savoir ce qu’un garçon trop innocent viens faire ici. ” Qu’un léger sourire coupe son souffle, que mon regard l’envoûte plus que ces sirènes.Iris intenses qui le capture, je désire l’avoir dans mes filets, crever cette curiosité.  
    @made by ice and fire.
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    Lien du postLun 27 Juil - 21:49
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    » ((neon demon))

    the godess and the innocent



    Le froid mordant d'une soirée de janvier, joues rougies, mains dans les poches d'une veste trop grande. Moue figée - un rictus mal maîtrisé en réalité - sur les lèvres, la tête relevée. L'égo mal placé pour faire oublier une carte falsifiée, relativement correcte. Travail d'artiste, à 200$ il a intérêt à passer. La buée fait des cercles concentriques qui vient butter dans le dos d'un type dans la queue. Interminable, le genre à s'allonger pour le plaisir sadique des râlements agacés de types déjà éméchés. Il soupire, frissonne.

    Antre infernale, le rouge des stroboscopes agresse ses pupilles, les iris vibrent. Cage thoracique bloquée, souffle court, le geste victorieux - rage de jeune premier auréolé d'une gloire méprisable - poing fermé sur sa carte, qu'il range vite. ((pour peu qu'ils aient envie de vérifier, encore)) Aster, l'âge brouillé, gamin abandonné grandit trop vite. Ce soir, il en a rien à foutre il est majeur. Vingt et un ans de vices.

    Une goutte de sueur contre la tempe, c'est l'enfer dans une ancienne église, putain de paradoxe. Les ombres dansent devant lui, la chaleur lui colle à la peau par vagues - pour oublier l'hiver vulgaire de l'extérieur - il est perdu. Seul, le gars de la fausse id a pas pu venir. Hardin ou un truc du genre - c'est pas vraiment important - rencontré sur un serveur discord un peu glauque. Un type de Boston, il passe souvent. Le genre assez méprisable, à fantasmer sur les serveuses tout en étant probablement puceau ((mais au moins, il fait les cartes)). Grimace fade, les yeux sombres, il évite les corps qui dégagent des effluves d'alcools et de désirs mal contenus, marionnettes désarticulées sur de la musique de rave au rythme indéfini. Infame mais ça l'éclate. Il se sent roi du monde, comme après un vol ou une connerie du genre. Viens s'accouder au comptoir, tête dans la paume, presque blasé.   

    Les yeux happés, ses iris voguent de la perruque blonde à la bouche sanguine. Ange ou démon, il s'en fout. La lumière dépeint ses traits dans un clair obscur à la Da Vinci. Elle est belle à en oublier c'qui se passe. ((probablement)). Il doit avoir l'air con, lèvres légèrement entrouvertes, à frissonner au contact de leurs deux peaux. Il la veut - comme un gamin voudrait un nouveau caprice.

    « J'suis pas innocent. J'suis pas pur. » Un peu obnubilé par ses yeux en amandes, c'est tout. Ils ont les mêmes - cette fichue forme qu'il déteste, héritage dénigré - mais elle, elle hypnotiserait n'importe qui. Sa voix part dans les aigus, le trahit peut être. Il s'en fout presque. « j'vais prendre un wiskhy. » Pas les thunes, c'est juste pour le genre.
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    Lien du postLun 27 Juil - 23:44
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    the goddess and the innocent

    Paradoxe. Vice qui se délecte de la pureté évanouie. Exquise tentation. Épidermes ardents, opales glissant sur les courbes attirantes. Piégés dans l’art, quand elles dansent, quand elles envoûtent, effluve du plaisir qui se dégage. Chatouille les plus innocents, fait rougir les anges. Lippes qui possèdent, baiser envolé contre la clavicule, corps qui happe. Le paradis est outré, les enfers brûlent ici. Poitrine qui se soulève ardemment, gorge qui suffoque sous cette chaleur pesante. Goutte de sueur qui roule contre la gorge, donne envie à ces messieurs qui dégagent cette infecte odeur. Serveuse qui emmène vers le nirvana, jeune fille derrière le bar qui offre l’accès au septième ciel. Doigts qui effleure l’épiderme, buste qui en veut plus, que l’on sente nos souffles s’emmêler, inoubliable songe qui bouffe. Joli minois, pureté marquée sur un visage innocent, opales assassines, sombre personnage. Mystère. Opales qui ne me quittent guère, dents qui emprisonnent ma lèvre inférieure, que désires-tu mon joli ? Opales sombres, perçantes, montre-moi ce que tu désires, gamin à l’air pur. Possession du temps d’une seconde, doigts qui attrape son menton, que l’on s’attire, brûle-toi chéri. “ Quel mystère tu es, tu me donnes envie de découvrir chaque petite parcelle de toi. ” opales qui glissent sur ses lèvres, visage qui se rapproche dangereusement. Léger soupire qui s’écrase contre son épiderme, lippes étirées en un sourire charmant. Que la tentation le possède, ce soir. Insomnie auprès de moi. Voix qui m’interpelle, sourcil haussé. Est-ce donc là l’effet produit par la délicieuse fille derrière le comptoir ? Gamin qui découvre une part sombre de lui-même. Désire-moi, c’est bien comme ça. “ T’es tellement mignon, tu auras peut-être le droit à plus qu’un whisky chéri. ” promesse qui s’échappe dans l’ambiance pesante. Électricité entre nous. Clin d’œil, rictus sur les lèvres. Corps qui se meuve sur la musique entraînante, celle qui n’a guère que le rythme de la femme, de l’oeuvre d’un corps qui se libère. Doigts habiles qui glissent le verre vers lui, bruit exotique. Que nous ne nous quittons guère, chéri, cette nuit, tu m’appartiens. Opales qui le happent. Opales qui n’offrent guère d’attention à un autre, pourtant le désir que j’observe ailleurs, pourtant le désir que j’appartienne au monde cette nuit. “ Quel est le nom du mystère qui me plaît ce soir ? ” curiosité envolée, buste qui se rapproche lui, opales attirantes. Chaleur qui se dégage, besoin d’être le centre de son monde ce soir. Gamine envieuse des autres. Sirène d’un seul homme, l’été parmi l’hiver qui s’abat, là-dehors.   
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    Lien du postMer 12 Aoû - 23:11
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    » ((neon demon))

    the godess and the innocent



    Trans psychédélique, il a l'impression d'être dans un gameplay post appocalyptique à la the last of us ou l'humanité entière - relativement diminuée - se retrouve coincée dans un ultime besoin de se coller les uns aux autres ((qui n'en rêverait pas)) avant de mourir, déchiquetés par les zombies damn, that's escalated quickly. Les lumières changent au rythme relatif des basses accélérées, passent du noir au rouge, au bleu. Au vert. Il plisse les yeux aveuglé - par ça ou la serveuse, c'est un peu flou, littéralement - la bouche sèche. Immobile sans réellement sans rendre compte, il divague de ses ongles à ses lèvres, la respiration sifflante.

    Il l'écoute parler sans vraiment tenter de lui répondre - pour éviter une balbutiement, ça ferait mauvais genre - la regarde sans vraiment l'entendre. Elle a une voix couleur velours liquide ((si ça fait sens)) décalquée dans l'ambiance du lieu. Son visage à quelques centimètres du sien, à peine. Il pourrait l'embrasser. pas maintenant.

    Il hoche la tête, rictus indéchiffrable fleurissant sur les lèvres. Elle a quoi ? deux ans, trois ans de plus ? Elle est majeure, c'est tout c'qu'il sait mais honnêtement il s'en fout. Ce soir, il l'est aussi. Pour toute la nuit ((Cinderella couldn't even relate)). Il observe ses courbes doucement balancer contre les notes ultra saturées d'une techno médiocre, juste bonne à combler les silences. Scandaleuse à en crever. Agrippe le verre du bout des doigts, y imprime ses empreinte - pièce à conviction, sans savoir réellement si il est victime ou criminel - observe le liquide ambré aux relents âcres.

    Nuque en arrière, il laisse la chaleur de l'alcool prendre possession de sa gorge, ferme les yeux en grimaçant légèrement lorsque le liquide vient buter contre sa cage thoracique. Il lui plait ? Oh Kang, le sourire en coin insupportable de ceux qui pensent avoir tout gagner, la victoire collée au visage, la fossettes traître au creux de la joue - là ou sont jamais si on veut y foutre une baffe ou y déposer les lippes - le point faible. « Aster. Toi ? »

    Prunelles happées par les ombres de son corps, réverbérées en grand par les jeux des flashs en accéléré, il la voit double. Elle s'avance, féline, se colle contre son torse ((si elle écoute, elle peut entendre son myocarde foutre le camp)). Plaide la légitime défense d'un coup d'œil osé lorsque sa main descend contre la hanche de la serveuse, s'incline dans le creux de ses reins. Il la surpasse, elle est pas grande. Attrape ses lèvres sur coup de tête - sans réaliser probablement, c'est l'injonction presque bestiale d'un mélange de mauvaise musique & d'alcool fort - l'embrasse sans considération aucune pour ceux qui - sans chance - auraient aimé être à sa place. Son baiser doit avoir goût de whisky.  
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    Lien du postJeu 13 Aoû - 22:28
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    L’ombre qui virevolte, tantôt l’épiderme de pourpre, tantôt d’un bleu éclatant. Ombre qui surplombe les courbes, délicieux mystère. Quand la musique bat à un rythme effréné, musique de mauvais goût, et les corps qui s’y déchaînent. Et la grimace amère des lippes qui désirent, l’appel d’une sirène au loin. Le regard qui se perd, s’égare sur le corps qui se meuve pour attirer, attise la flamme déjà trop ardente pour savoir résister. Aphrodite qui plaît, la jolie créature qui éveille l’instinct bestial. Happer le souffle, interdire l’innocence, s’en jouer, ô délices des vices. La voix rauque que le whisky rend charmante, voix d’un gamin qui découvre les interdits. S’embrasser ? Le temps est nôtre, ne gère presser les anges qui rougissent. Nous voyons rouges, les opales qui se capturent dans l'effervescence d’un désir. Alchimie évidente, les corps se désirent, on entend les cris du désespoir, qu’on se rencontre, se percute, se bouscule, tant que c’est bon. Aguicheuse à en plonger dans les mystères. Mauvais goût qui cogne contre les oreilles, et pourtant le monde qui s’oublie dans le regard. Détaille même les doigts qui agrippent le verre, glisse sur la gorge déployée. Rictus amusé, ô comme le nectar des dieux ne te sied guère. Jeune, plus jeune ? Rien à foutre, il est mien, happé dans les filets de la séductrice, le temps s’écoule, ne lui fait guère miséricorde. Le silence comblé par la musique infernale intensifie la poitrine qui gonfle lentement, le myocarde contrôle - plus pour longtemps -. Lippes qui s’y tente, dépose un baiser contre la fossette, la langue qui s’y tente, caresse l’épiderme, caresse chaude. Faiblesse opportune, attire aphrodite. Creux de l’oreille, victime des murmures, susurre le prénom interdit, s’éteint comme un secret. “ jo hee. ” sussure. Les doigts qui défilent sur l’épiderme, les ongles qui menacent, les lippes qui possèdent. Douceur sensuelle. Impulsion bestiale, l’amer goût de l’alcool dans la bouche, les dents qui agrippent la lèvre inférieure, attirent le bout de chair vers moi, rictus attirant sur les lèvres, dévoilent les dents, féline aphrodite. “ aster, t’es à moi ce soir. ” langue qui joue avec le lobe de son oreille, susurre les promesses interdites. Joueuse de l’épiderme, souffle qui s’écrase au creux de l’oreille attentive, ressent le garçon qui attise les feux ardents. Ô trésor, comme je te désire. “ fais-moi ce que tu désires, emmène-moi là où tout est interdit, là où même les enfers pourront rougir de nous. ” défier ensembles les enfers, que les dieux tremblent sous nos corps qui se charment. Croquer le fruit défendu, s’égarer dans la folie des corps qui s’embrasent. Lippes qui effleurent les siennes, toucher délicat, opales qui trahissent aphrodite, fixent le péché, corps qui demande. Ô que l’on devienne dieux de la nuit.   
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