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I LOVE HARVARD
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    Lien du postSam 27 Juin 2020 - 15:36
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    w/ @Edgar Windsor

    t’es pas fière de toi. t’as jamais été fière de détruire tout ce que tu avais de bien. tu pensais pouvoir faire différemment ce coup-ci, tu pensais que tu pourrais devenir une meilleure personne. mais edgar il te fait peur, il te terrifie. tu lui as dit, il a su te rassurer et t’étais prête à t’abandonner avec lui. mais il est parti en angleterre. et toi tu pensais continuer ta vie tranquillement. faux. tellement faux. tu as senti le poids de son absence, le manque de sa présence si légère et particulière. t’as flippé encore plus fort. tu t’es enfoncée alors dans ce que tu connaissais le mieux. l’autodestruction. reprenant ta plus belle habitude de te rendre dans des bars pour chercher misère et finir par te battre avec un inconnu. ça aurait pu mal tourner si arizona n’avait pas été là pour sauver tes fesses. tu t’en fous. t’es partie avec un sourire pour reprendre ta descente aux enfers. putain pourquoi est-ce si difficile de se détacher de lui ? qu’il reprenne sa place de fantôme. il t’énerve. enfin tu te forces à ressentir de la colère contre lui. mais quand ton portable vibre avec son nom sur ton écran, c’est comme s’il comprimait ton palpitant. douloureux, délicieux à la fois. mais toi tu vois la vie en noir ou en blanc, reyna. et edgar était exactement en plein milieu. t’as donné tous tes sentiments à chanel pour son mariage avec orion, transformant pour une fois tes émotions en bataille en joie. et le mariage fut terminé. alors t’as pris un vol pour le japon. nouveau décor, ça se passait bien. et tu l’as vu dans les couloirs de l’hôtel. à l’accueil récupérant sa carte de chambre. tu t’es barrée avant qu’il ne te voit mais ça t’a retourné. un fantôme bordel, reste un fantôme. mais c’est trop tard, il te hante maintenant. la violence n’est pas assez, ni la colère. t’as besoin de lui. en nuisette, fin peignoir tu quittes ta chambre. t’as pas besoin d’effort pour trouver sa chambre. un fil bien ficelé de mensonges, petite amie, dispute et un coup d’intimidation en rappelant ton nom mais surtout le sien. parce que t’es juste mauvaise. le numéro en tête, traversant les couloirs en simple tenue, tu finis par arriver devant sa porte que tu frappes de ton poing. la porte ne tarde pas à s’ouvrir pour laisser apparaître sa silhouette. ton coeur il bat plus vite. c’est comme si tu venais de retrouver ta dose d’héroïne. “j’ai pris peur…” il te terrifie même. t’as pas envie que ça se termine même si pour toi tu as déjà tout gâché. tu forces le passage pour pénétrer dans sa chambre. “dis moi que tu me détestes pour t’avoir lâché. dis le moi.” une supplique n’ayant rien de sincère. tu penses avoir besoin qu’il te piétine pour avancer. mais c’est probablement pas la vérité.


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    Lien du postLun 29 Juin 2020 - 21:42
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    w/ @Reyna Weiss


    L'Asie, Tokyo, les vacances et le Summer Camp, t'attendais ça depuis un bout de temps. Tu avais eu un mois de juin vraiment compliqué et même si tu avais décidé de pas t'attarder sur le négatif, tu avais hâte de mettre tout ça de côté. Les vacances commençaient bien, tu croisais de nombreux amis dans l'hôtel, prévoyais milles soirées plus déjantées les unes que les autres, tu étais dans une ville effervescente et tu t’apprêtais à visiter un pays extraordinaire, bref, tout semblait être au beau fixe. Seule ombre au tableau. Reyna. Tu n'avais quasiment pas de ses nouvelles depuis le début du mois. Depuis ton séjour à Londres en fait. Depuis l'annonce du divorce de tes parents. Tu lui en avais parlé pourtant, et tu pensais qu'elle allait être un roc à tes côtés pendant cette période. Non, elle s'était faite fantôme et s'était volatilisée. Pas de messages, pas de nouvelles, un bref texto pour te prévenir qu'elle avait pris ses billets pour Tel-Aviv. Après ça, plus rien, et t'étais comme un con à te dire que tu avais rêvé tout ce qu'il s'était passé. Que tu avais déliré, vu en grand ce qui n'était pour elle qu'un petit passe temps. Ca te faisait mal au coeur quand tu y pensais, alors tu rangeais cette histoire dans un petit coin de ta tête, un coin à part, et tu le fermais à double tour pour y penser le moins possible. Mais c'était dur. Son absence était comme un cri puissant, qui voulait se faire entendre du plus loin de ton âme. Son visage apparaissait par flash, toujours aux moments inopportuns, te donnant envie de frapper quelqu'un ou de te cacher dans un trou. T'avais honte. Au début, tu avais juste pensé qu'elle était occupée, que tu étais très présent, et tu lui avais laissé l'espace nécessaire, pensant la voir revenir après avoir pris l'air de toi. Mais non. Le temps avait passé et le silence entre vous ne s'était pas brisé, et plus le temps passait plus tu avais honte. Honte d'avoir cru à quelque chose, d'avoir rêvé d'elle souvent alors que de toute évidence, il n'y avait rien. Tu pensais à ça sous la douche de ta chambre d'hôtel, rare moment où tu te retrouvais seul, après une grosse première journée à Tokyo. Tu comptais bien ressortir ce soir pour ne plus penser à tout ça, même s'il était déjà tard. Tu te forçais encore un fois à verrouiller son image dans un coin reculé de ton esprit, avant te sécher sous ta serviette, secouant tes mèches bouclées pour chasser les dernières images de Reyna sous ta caboche. Deux coups frappés à la porte. Tu penses à Alexander, qui veut surement sortir fumer une clope avec toi, ou à April qui peut débarquer à tout instant pour te proposer un plan soirée incroyable. A Iris aussi, qui veut peut être rejoindre tes draps cette nuit. Les quelques qui connaissent ton numéro de chambre. En tout cas, tu n'attends officiellement personne. Alors tu serres ta serviette autour de ta taille avant d'aller ouvrir, et tu restes bouche bée devant la silhouette sur le pas de ta porte, qui s'excuse avant de te bousculer pour entrer. Peur, c'est le mot qu'elle emploie pour justifier son absence alors que c'est justement ce que tu ressens quand tu la vois dans ta chambre ce soir, après un mois d'absence. Tu as peur parce que tu ne sais ni comment tu dois réagir, ni comment tu vas réagir. Ton poing se ferme et se met à trembler, parce que les émotions s'entremêlent et tu ne sais pas vers laquelle tu veux te diriger. Celle qui te pousse à lui faire mal pour t'avoir fait mal aussi ? Celle qui se veut presque violente, à la pousser vers la sortie en lui intimant que tu ne veux plus la voir ? Mensonge, fierté, colère. C'est ce qui semble s'emparer de toi à ce moment là, et alors que tu ouvres la bouche en prévision d'une réplique cinglante, elle se veut suppliante et son regard se verrouille au tien et tu te souviens. Tu te souviens de ces mots, la première fois que tu l'as vu. De son envie d'être meilleure, de sa conscience de ne pas être à la hauteur, de son besoin de blesser toujours. Et pourtant elle est là. Elle est revenue, et elle s'excuse presque. Elle s'en veut, tu le vois dans ces yeux. Toi tu sais. Tu sais qu'elle est meilleure que ce qu'elle veut montrer. Tu sais qu'elle peut être quelqu'un de bien. Et tout te revient en pleine face. Vos mots partagés, vos moment de silence presque magiques, vos taquineries et vos confidences. Tu n'as rien rêvé, rien inventé. C'était fort et c'est ça qui lui a fait peur.  Alors finalement, tu laisses s'en aller la colère, la rancune et la fierté. “Et quand tu as peur, tu fuis, tu me l'as déjà dit.”. C'est à ce moment que tu passes derrière elle, que tu refermes la porte et que tu l'observes, dos à toi. “Tu auras beau fuir à l'autre bout du monde Reyna. Moi je ne bougerais pas. Je serais toujours là. Non pas à t'attendre, mais prêt à t'accueillir.”. Et comme une envie irrépressible, tu passes tes bras autour de son corps, et tu la serres contre toi. Fort. Son dos collé à ton torse te donnes des frissons, et ton nez dans ses cheveux, à sentir son odeur, tout te rappelle que ta place est ici. Là où elle est.



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    Lien du postMar 7 Juil 2020 - 1:44
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    w/ @Edgar Windsor

    tu le sais maintenant que tu as des sentiments pour edgar. c’est évident. ils sont nés quand vous vous êtes quittés cette première soirée, ils ont hiberné en attendant que ton regard croise le sien à nouveau. et maintenant ils t’éclatent en plein visage, ils font exploser ton coeur. il tambourine à la vue de sa silhouette quand il ouvre la porte. qu’est-ce que tu avais fait, reyna ? qu’est-ce que t’as encore fait, pourquoi tout gâcher encore une fois ? t’es désespérée et tu rentres dans sa chambre sans même qu’il ne t’invite à rentrer. sans qu’il dise quoique se soit en réalité. tu ne sais pas comment il va réagir mais tu t’attends à ce qu’il piétine ton coeur et le jette. c’est ce que tu ferais à sa place. parce que t’es intolérante, intransigeante et que tu ressens un besoin de destruction constant. chaque parcelle de haine tu la prendras. s’il veut te regarder avec cette haine, ainsi soit-il. s’il veut t’insulter, tu encaisseras. s’il veut même te frapper, tu accepteras. t’as besoin d’un tournant dans cette relation, t’as besoin qu’il te brise en mille morceaux pour l’oublier. tu n’arrives pas à le faire seule. et tu attends, encore et encore. tu le supplies de dire ce que ta tête veut entendre. qu’il te déteste, te hait si fort et qu’il ne veut plus jamais te voir. tu attends encore et encore le flot d’insultes. qui ne vient pas. tu l’as déjà dit que tu fuyais c’est vrai mais est-ce une raison ? non ça ne l’est pas, tu le sais déjà. tu savais ce que tu faisais en l’ignorant tout ce temps quand il avait besoin de toi. il ne peut pas te faire ça, il ne peut pas te pardonner. tu es venue pour qu’il te piétine pas pour qu’il te répare encore un peu plus. il passe dans ton dos et tu es complètement intimidée. edgar il est imprévisible, il te perturbe, tu ne sais pas comment agir. alors tu restes plantée là, le regard dans le vide. toujours là pour t’accueillir, toujours là pour toi même à l’autre bout du monde. ton coeur tambourine tellement fort dans ta poitrine que tu as peur de t’effondrer. tu ne sais pas s’il l’a senti mais ses bras entoure soudainement ton corps et te serrent fort contre son torse. il te retient de t'effondrer presque. complètement déstabilisée tu ne sais pas comment répondre, comment agir. même si tu connais edgar comme ton ombre, il sait te faire perdre le contrôle, tes moyens. il aborde cette relation différemment de toi. il a le contrôle sur toi. “non non c'est pas ça qu'il faut que tu dises. il faut que tu dises que tu me détestes, que tu veux plus jamais me voir de ta vie.” mais encore une fois tes gestes ne suivent pas tes paroles, parce que t'as pas envie de ça au fond même si tu sais que c'est ce qu'il faut pour votre bien. tu te laisses aller, ta main sur posant sur la peau de son bras, ta tête se reposant sur son épaule. tu sens en symbiose avec lui, en parfaite union. plusieurs secondes dans cette position, pulsion soudaine qui prend possession de toi. tu te retournes, lui faisant face. toujours contre lui, tes mains se posent sur chaque côté de son faciès, faciès qui te fait tourner la tête. “je sais que je te mérite pas mais je veux que tu me pardonnes.” tes lèvres se posant soudainement sur les siennes, l’embrassant avec passion, le plaquant contre la porte. t’es brutale, tu l’as toujours été. mais cette brutalité, elle montre à quel point t’es accrochée à lui. ta main découvrant son torse, ton baiser se prolongeant jusqu’à ce que tu n’aies plus d’air dans les poumons. “je veux plus avoir peur de faire ça…” de l’embrasser, d’avoir des sentiments pour lui.


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    Lien du postSam 11 Juil 2020 - 19:46
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    w/ @Reyna Weiss


    Reyna est là. Cette phrase tourne en boucle dans ta tête quand tu la vois, sur le pas de ta porte qu'elle dépasse rapidement, en nuisette. Sublime. Evidemment sublime. Ca te fait presque mal aux yeux de la voir si belle après des semaines sans avoir pu la regarder. Tout s'entrechoque. Ton égoïsme te hurle de la jeter dehors, de lui crier au visage toutes les insultes du monde. Mais ton cœur Edgar, ton cœur, il bat si fort que c'est facile de ne pas écouter la mauvaise langue dans ta tête. Comment pourrais tu la repousser ? Si tu le faisais, en plus de lui faire du mal à elle, tu te piétinerais au passage, pauvre idiot. Alors tu repousses la porte et tu la prends dans tes bras. Tu sens son corps tremblant lâcher prise dans ton étreinte, et tu la tiens encore plus fermement contre toi, tes lèvres embrassant ses cheveux, te délectant de son parfum. Elle te supplie encore de la laisser tomber : “J'te mentirais si je te disais ça. Et on s'est promis de pas se mentir.”. Tu te raccroches à ça, à tout ce que vous avez partagé en si peu de temps et à son corps entre tes bras. C'est bien réel et tu as la chance inouie qu'elle soit revenue. T'as plus qu'à faire en sorte qu'elle ne parte plus, qu'elle ne s'enfuit pas. Jamais plus. Vous restez serrés l'un contre l'autre un moment, avant qu'elle se tourne vers toi et encercle ton visage de ses mains. T'es plongé dans ses yeux et t'en aurais presque la tête qui tourne. Un regard ne t'a jamais fais cet effet là, tu as l'impression que tu pourrais mourir pour que ses yeux te regardent comme ils le font aujourd'hui. Comme si t'étais précieux. Sans que tu puisses répondre quoique ce soit, ses lèvres sont sur les tiennes et emprisonnent ta bouche dans le plus bel étau du monde. La porte claque dans ton dos quand elle te plaque contre, alors que tes mains fouillent ses cheveux et agrippent sa nuque. C'est tout de suite brûlant et intense. Tu attends ça depuis le premier jour, la première nuit. T'es dans une bulle suspendue, l'hôtel pourrait s'écrouler autour de toi que t'en aurais rien à faire. T'as Reyna dans tes bras et ses lèvres entre les tiennes. C'est le moment de ta vie. Elle s'écarte, et vous reprenez votre souffle à l'unisson. Tout de suite, tu attrapes sa main, et tu ne la lâche pas. Ne pas perdre le contact. T'as peur qu'elle disparaisse au moindre souffle alors tu la touches, tout le temps. Tes doigts ne doivent pas perdre une miette de ce qu'elle a à t'offrir. “La peur n'évite pas le danger. Alors laisse toi aller, par pitié...”. Bien sur que c'est dangereux. Deux êtres aussi instables que vous, la douleur est prévisible et surement inévitable. Mais tu t'en fous. Tu veux vivre Reyna. Tu veux dormir Reyna, rêver Reyna, parler Reyna. Tu veux que ton esprit soit en boucle autour de son existence. Elle t'appelle, elle t'obsède. Même si tu le voulais -et ce n'est pas le cas- tu ne pourrais même pas lui échapper. Toi, t'es prêt à t'abandonner, mais l'est elle aussi ?. Alors que tu plonges ton regard dans le sien à nouveau, c'est à ton tour de venir capturer ses lèvres. Tu l'embrasses, mais tu gardes les yeux ouverts, ne voulant pas la perdre de vue un instant. Quand tu décolles ta bouche de la sienne, alors que ton épiderme est en feu, tu glisses tes lèvres vers son oreille pour lui murmurer : “Plus que tout au monde. C'est maintenant, non ?”



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