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I LOVE HARVARD
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    (kamalia) - always remember that you got a home for now and forever
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    Lien du postJeu 07 Mai 2020, 03:05
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    des jours, des mois que t'as pas vu sa tête en vrai. senti son parfum. la tempête était de retour sur harvard et y a que toi qui aime tant le mauvais temps. qui y trouve du réconfort dans la noirceur des nuages. qui trouve de la passion dans les vents forts. tu te doutes qu'elle a des choses à te dire, que ta vipère a du poison à cracher. que vous allez en avoir à cracher. tu quittes ton dernier cours de la journée pour te rendre à cet endroit où vous vous retrouvez toujours. bien éloigné des lieux que vous pouvez fréquenter avec d'autres personnes de votre milieu, vous êtes simples ensemble. pas besoin de se prouver quelque chose, vous savez déjà tout l'une de l'autre. tu traverses le campus bien plus vite qu'à ton habitude. l'impatience qui se fait ressentir dans chaque partie de ton coeur. t'avais été la plus présente possible au décès de sa mère et t'allais continuer. elle savait qu'elle était chez elle avec toi. qu'elle trouverait toujours un foyer à tes côtés n'importe où. poussant la porte du starbucks tu jettes un regard sur les tables à la recherche de son visage mais elle n'est pas encore là. bien la peine de te presser pour rien. décidant de profiter de la chaleur du mois de mai, tu t'adosses à la façade et décide de t'allumer une cigarette. c'est mauvais kam', tes parents seraient déçus et ton ancienne directrice d'école...elle serait folle. mais t'es bien loin d'eux. de devoir des choses à des gens qui n'ont pas réussi à t'accompagner quand t'en avais besoin. pour eux le temps répare tout. tu trouves le temps long. mais enfin tu aperçois sa silhouette qui s'avance. elle risque certainement de faire une remarque sur ce que tu tiens dans les doigts alors tu décides de l'écraser avant qu'elle ne le fasse pour toi. "ça fait du bien de voir ton visage." pas derrière un écran de téléphone, pas depuis l'ordinateur. en vrai. tu saurais peut-être pas montrer ton enthousiasme, t'allais pas sauter dans ses bras mais elle sait que t'es heureuse qu'elle soit rentrée. vous n'avez fait qu'en parler et le moment de la réunification était enfin arrivée.

    @Rosalia C. Borgia
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    Lien du postJeu 07 Mai 2020, 10:12
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    Ayant à peine atteri à au Logan Boston Airport que désactivant le mode avion mes doigts pianotaient déjà que mon Iphone pour envoyer un message à ma meilleure amie. Cela ne faisait en réalité que quatre mois que nos corps ne s'étaient pas retrouvées, que nos sourires ne s'étaient pas entremêlés. Ce retour nous en avions parlé depuis si longtemps que le temps semblait avancer à reculons, @Kamille M. Locke avait était la première à apprendre que ma candidature pour revenir à Harvard avait été accepté, le skype visio qui en avait suivi nous avais laissé pompette comme peu de fois auparavant, comme une promesse de retrouvailles dignes de notre amitié. Intense et sans limites ! C'était alors tout naturellement que ce matin, je lui envoyais de mes nouvelles alors que je montais dans le premier taxi disponible pour rejoindre l'hôtel où j'avais décidé de passer mes premières nuits. Loin de tout, loin de Harvard, loin de l'ainée des Borgia, et loin de toute cette vie que j'avais abandonné un an auparavant, ou plutôt qui m'avait glissé entre les doigts. Profitant des quelques heures qui me séparaient encore de son visage si familier, si rassurant et si chaleureux, j'en profitais pour m'assouplir et me détendre dans ma suite d'hôtel, entre yoga et bain à la rose, une dernière trêve avant de rentrer dans le monde de lion qu'était Harvard et tous les soucis qui m'y attendaient. Prête ou non, de toute évidence la réalité était toute tracée, le choix ne m'était pas accordé et tôt ou tard, le coeur allait saigner, vibrer, pleurer, se déchirer encore un peu plus et peut être même que j'en mourerais intérieurement figeant un sourire sur mon visage pour ne pas baisser les armes, oh non jamais ! La musique à tue tête, du Beethoven résonné dans la salle de bain, les yeux fermés, je connaissais les notes à la perfection. Ce compositeur maitre incontestable du piano était depuis mon enfance mon inspiration et depuis le décès de ma mère, s'en était même devenue une adoration. Me perdant dans mes pensées, j'ouvrais de nouveau les yeux en sursaut, sortant de mon bain, détendue et apaisée par la volupté de l'instant que je venais de vivre, mais en retard pour mes retrouvailles avec ma queen. Enfilant une robe d'été légère avec des imprimés de fleurs, une paire de baskets Zadig & Voltaire blanches et dorées aux pieds, oui aujourd'hui je n'avais besoin de me mettre sur mon 31, préférant la simplicité et le chic. Kam' me connaissait plus que moi même quelques fois, aucunement besoin de l'impressionner ou de me montrer supérieure, elle connaissait bien trop mes failles et craintes pour savoir que beaucoup de ma vie était une apparence, une duperie pour essayer de cacher mes plus grandes détresses. Pressant légèrement le pas pour ne pas être totalement en retard, lunettes de soleil Dior sur le nez, je regardais un peu partout autour de la porte du Starbucks, notre lieu de retrouvailles si souvent fréquentés. La voyant un peu plus loin, un sourire aux lèvres se dessina. Qu'elle était belle ! Que sa présence remplissait mon coeur de bonheur, de sagesse et pansait un peu mes plaies. " Kam' ! Je lui prenais les poignées pour les secouer un peu montrant mon excitation de la retrouver. Les acolades, les effusions de sentiments en public très peu pour nous et pourtant notre coeur n'en pensais pas moins. " On rentre ... Une double macchiato caramel avec chantilly à gogo, j'en rêve !  "   Je lui prenais le poignée, pour l'emmener avec moi à l'intérieur, remarquant qu'elle sentait un peu la cigarette, je n'en faisais pas de cas pour aujourd'hui après tout je n'allais pas tout gâcher.
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    Lien du postDim 10 Mai 2020, 11:48
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    ton cours d'anatomie t'avais épuisé. non pas qu'il était inintéressant mais quatre heures du même cours pourrait rendre l'homme le plus sain en homme fou. forcément parfois tu regardais ton téléphone, comptais les minutes comme l'impatiente que tu es. tu voulais que le temps passe plus vite, que les minutes soient des secondes pour la retrouver. t'as quelques mètres à marcher. tu fais pas attention aux gens qui t'entourent. tu ne salues pas ceux que tu connais. personne n'est aussi importante qu'elle. sortant une cigarette de ton paquet. délivrance que tu consumes, poison qui ne fait qu'une traite jusqu'à tes poumons. la sportive bat ses atouts dans le secret. très peu sont ceux qui savent que tu fumes, et pas que de la cigarette. très peu sont ceux qui savent que tu bois parfois jusqu'à l'excès. pour te sentir vivante, présente. car aujourd'hui morte de l'intérieur. le coeur a pourri avec le temps, avec la sécheresse des larmes qui n'ont cessé de couler et cette indéniable envie de quitter ce monde. pour un meilleur, pour un nouveau. sans douleur et sans peur. c'est utopique kam'. tout le monde irait si ça existait. voila pourquoi t'as les pieds sur terre aujourd'hui, pourquoi tu viens écraser ta cigarette au sol rapidement quand tu la vois s'approcher. tu sais bien trop ce qu'elle pourrait te dire pour prendre n'importe quel risque. "rosie !" tu suis son couvent de bras plutôt amusée. vous avez cinq ans à cet instant. le coeur rempli d'enthousiasme, d'excitation. et vous vous en moquez. y a pas de gêne dans votre bulle, y a pas de jugement. "ça te ressemble bien." l'aspect sucré du caramel et la douceur de la chantilly venant surplombé le goût amer du macchiato. s'il existait une boisson pour la décrire se serait bien elle. sa main toujours autour de ton poignet, tu lanças un "un café court avec une part de cheesecake s'il vous plaît." toujours fidèle à toi même. à la tradition. "bon." tu lui refaisais face. "ton voyage s'est bien passé ? t'es où actuellement ?" t'aurais voulu l'aider avec toutes ses valises mais ton emploi du temps ne te l'avait pas permis. sauf que tu te promettais de faire le maximum pendant ton temps libre pour être là pour elle, pour l'aider. t'avais bien compris que sa cousine, elle, ne s'en donnerait pas la peine. putain de famille qu'on ne choisit pas. mais par chance elle avait tiré le gros lot en t'ayant, comme toi t'étais l'heureuse gagnante du jackpot à ses côtés.
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    Lien du postDim 17 Mai 2020, 20:34
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    La famille. Les liens du sang qu'on ne choisiti pas. Ceux qui te collent à la peau alors que comme une brindille d'herbe tu voudrais pouvoir faire s'envoler avec un simple souffle. Non la famille c'était la base, le socle, ceux qui faisaient qui tu es, qui te forges, te soutiens, t'encourage, te donne la force de tout affronter. Ma famille à moi ? Un socle bancal, un jour encourageant, un autre presque inexistant. Les Borgia étaient des êtres pour qui je pourrais donner ma vie entière, m'oublier, me rendre faible, presque inhumaine, presque un objet à leur merci. Les liens du sang étaient sacrés, férocement ancré à vie dans ma vie, malgré le manque de considération, de soutien que j'avais pu vivre par le passé par mon grand père, mon père. Seule ! Seule ma mère semblait vouloir me rendre digne d'être une Borgia, une femme forte, déterminée, enragée même. Suite au décès de cette dernière, ma vie était devenue pénible à Milan, lourde même, les faux semblants, les sourires en coin, l'envie de chacun de me redonner un sourire qui avait disparu en quelques minutes quand son souffle s'en était allée. Ces sourires, ces forces tout autour de moi, comme des bougies qui pouvaient s'étendre d'une seconde à l'autre, d'un clignement d'oeil et la flamme s'éteignait tout comme le soutien de ma famille, qui devait retourner à Harvard pour Katalia, au travail pour les autres ... me laissant : seule ! Les mois suivant avaient été long, mais aujourd'hui mes pieds étaient de nouveau à claquer d'un pas assuré sur les dalles de Boston. @Kamille M. Locke quelques mètres devant moi, excitée, la tête haute comme on pouvait me connaître ici, rien ne pouvait m'atteindre en apparences, et les rôles étaient de nouveau lancé. Mini Borgia acting ON. " Entre douceur, gourmandise et amertume : cette boisson est clairement faite pour moi ! " La jeune femme qui se trouvait devant moi était avec le temps devenue la femme de ma vie, celle qui connaissait mes plus grandes failles, celles qui savait au mieux les combler et les surmonter. Kamille connaissait mini Borgia mieux que je ne pouvais moi même la connaître. La laissant commander, je la regardais, ravissante, un modèle à elle seule, une idole presque. La grâce et le naturel, c'était notre leitmotiv.  " J'étais heureuse d'arriver et surtout de quitter Milan, ça devenait beaucoup trop insupportable l'ambiance ... Tu sais les larmes doivent couler deux secondes, mais la vie reprend vite son cours ... Trop vite !  "   Oui beaucoup trop vite, le deuil éclar vous connaissez, eux l'avaient vécu lorsque moi j'écoutais du Beethoven tous les soirs laissant perler quelques larmes sur mes joues, regardais mes photos d'enfance avec ma mère et Katalia, comme une envie de revenir en arrière, de retrouver un semblant de famille, un semblant d'équilibre. " On se pose en terrasse, ça te tente ? Et toi ma p'tite Kam' tu racontes quoi de beau ?  "    dis je alors que nous récupérions l'une comme l'autre notre commande, un besoin de soleil pour embellir cette peau pâli par l'hiver.
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    Lien du postJeu 28 Mai 2020, 20:25
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    t'avais trouvé en rosie la famille que tu n'avais pas à harvard. ne considérant même pas ton cousin comme quelqu'un en faisant parti vu le peu de considération que vous vous portiez mutuellement. pourtant enfant tu l'aimas bien Ilhan, t'aimais trainer avec lui malgré qu'il te repoussait sans cesse. puis t'étais devenue pareil. ne supportant plus ses non, ses mains te repoussant comme si tu ne valais rien. tu valais mieux que lui et sa mère le savait. tu savais que c'était ça le problème entre vous, ta tante t'ayant confié qu'il était très jaloux et aimait être le centre de l'attention. malheureusement tu avais eu les titres, le deuil et un vagin ce qui faisait de toi le centre du monde de sa mère pendant une période. et t'en avais profité, non pas d'elle mais seulement pour lui faire comprendre que t'avais une place, si ce n'est plus importante dans votre famille que la sienne. rosie elle te rappelait les épines des roses de tes proches et cette senteur si douce dans laquelle on voudrait se réfugier quand ça ne va pas. bientôt t'auras à te livrer à elle, à lui livrer tes craintes sauf que pour l'instant y avait jamais eu de bon moment. jamais une priorité à tes yeux. tu préférais te pourrir de l'intérieur encore un peu plus avant de te sauver. "j'aurai pas pu dire mieux." que tu déclaras en levant les yeux au ciel en rigolant. tu connaissais cette douceur et t'étais une de ces rares personnes à en avoir le droit. tu le sais bien mais t'aimes bien trop la taquiner sur son caractère. lançant ta commande, tu te concentras de nouveau sur elle. lui souriant tendrement en l'attendant. c'était dur un deuil, t'étais la première à le savoir ne sachant si t'avais réussi à passer le tien. pourtant tu te devais d'être l'hôpital qui se fout de la charité. "elle veillera toujours sur toi mais t'as tellement de choses à accomplir, de choses qui la rendront fière que comme tu dis, tu dois reprendre ta vie." ta main venant caresser doucement son épaule en signe de soutien suite à tes paroles de réconfort. "ça ne me dit toujours pas où tu loges néanmoins mais j'ai toujours une place chez moi pour toi tu sais." car elle le savait chez toi, c'était chez elle. tu lui donnerais tout ce que t'avais si tu le devais. t'as une confiance aveugle en elle et un profond respect. attrapant ta commande, tu hochas la tête de manière positive laissant rosie t'ouvrir la porte puisque tes mains étaient déjà prises. "que dire." tu laisses du suspens comme si ta vie était palpitante. "j'ai flirté avec un prince imbus de lui même et je flirte toujours avec une fille même si la personne que je dois tenter de récupérer c'est Elias." elle était peut-être une des seules qui savaient pour ta bisexualité et pour ton crush toujours existant sur ton ami d'enfance/ex pour qui tu n'avais pas réussi à t'ouvrir suffisamment.
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    Lien du postVen 29 Mai 2020, 09:18
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    @Kamille M. Locke ou plutôt Kam' c'était comme ma soeur. Cette soeur que je n'avais eu lorsque mon père toujours à se contenter du minimum avait décidé que dans notre lignée Borgia il n'y aurait qu'un enfant, et qu'une fille, qu'elle idée stupide, qu'elle manque de courage. Seule, fille unique pour seule alliée et copine de jeu ma cousine. La jeunesse avait été longue, longue à jouer seule au milieu du jardin, tentant en vain d'attirer un peu l'attention sur moi, avant que divinement ma mère ne vienne me rejoindre pour que nos rires et nos cris de joie résonnent dans toute la villa. Je ne saurais pas dire si ma mère avait été heureuse de n'avoir qu'un enfant, elle aurait tellement mérité d'en avoir plusieurs, d'en chérir plusieurs, et ses enfants auraient été les plus heureux du monde, comme j'avais pu l'être lorsque je me retrouvais en sa présence, seule à seule, coupée du monde, juste bien, juste à ma place. Alors bien sûr lorsque mon arrivée à Harvard avait eu lieu, c'était tout naturellement que j'avais eu vent de trouver une autre famille, une soeur d'un sang différent mais qui serait me comprendre, me cerner, me connaître à la perfection, et cette femme, ce petit bout de femme avait été Kamille, était toujours Kam', serait toujours cette brunette magnifique qui se trouvait devant moi. Ma jumelle ! Celle qui pouvait faire taire mon égoïsme, mon côté auto centrée et mon envie d'écraser toujours les autres, elle j'avais envie de la porter en triomphe, de l'élever, de la chérir, mais tout ceci était tut, non les gestes trahissaient mes sentiments envers elle mais mon égo ne saurait que trop réfréner mes élans de déclarations. Sa voix réconfortant m'hypnotisa quelques instants avant de sentir ses doigts sur ma main, esquissant un sourire, je capturais sa main quelques instants d'une prise qui aurait pu vouloir dire "à l'aide, toi ne me quitte pas". " J'ai tant à parcourir encore que je ne saurais même pas par quoi commencer ... Buvons ce p'tit café déjà ça va nous redonner le moral ! " Je marquais une pause avant de reprendre. " J'suis tellement contente de te retrouver ma belle, ailleurs qu'en Italie ! "   Poussant la porte pour que nous sortions nous installer sur la terrasse, le solei lsaisissant rapidement mon corps et mon visage, agréable ! " Je vis au Marriott ! J'ai pris une suite là bas pour l'instant avant de je l'espère rejoindre la PFOR ... Mais je ne manquerai pas de venir chez toi de temps à autre pour qu'on se fasse nos petites soirées.  "    Une fois dehors, mon corps s'nstallait confortablement sur l'une des chaises, alors que mon audition se braquait sur les mots de Kamille. Trop de prénom à la suite, prénom connu, mais un tourbllon de nouvelles à intégrer. " Un prince ? Tu veux jouer dans la cours des grands toi aussi maintenant ?! "   Oui les princes déjà fait, bref mais intense, d'ailleurs c'était grâce à Kamille que l'année passée mon histoire s'était liée quelques mois à celui d'un Windsor, pour le mal de ma vie, le péril de mon mariage et le gouffre de mon coeur. " Ah oui Elias ! Tu en es où avec lui, tu as réussi à lui faire une déclaration enflammée ou Mlle Kamille Locke met un peu sa fierté de côté ? "   dis je avec un regard interrogateur un peu douteux sur le fait qu'elle en était capable.
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