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I LOVE HARVARD
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    Lien du postSam 2 Mai 2020 - 19:52
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    w/ @Troy N. Darkhölme


    C’est donc cela, la laideur ? Cette tristesse qui me pèse sur le cœur ? Cette incapacité à reprendre mon souffle à cause de ce nœud qui se forme au fond de ma gorge ? Maman, voilà que je reconnais la laideur de mélancolie dans un moment que j’essaie de faire heureux. Voilà dix ans que tu es partie dormir, paisiblement, mon ange. Une petite-fille n’est-elle pas capable d’étouffer cette terrible sensation d’abandon lorsqu’elle grandit ? Maman, voilà que cette soirée m’est insupportable. Comment puis-je faire taire mes maux lorsque je ne peux pas me recueillir sur ta tombe, posant une bouteille de lait à la fraise en ton honneur, à te raconter ce que ma vie m’a offert ces dernières années.

    Cet appartement sans vie ne me laisse guère le choix d’être enthousiaste. Faire un bon repas ne me change pas les idées, j’ai l’impression de rien pouvoir avaler. L’odeur de la nourriture me rappelle ces repas que tu préparais lorsque nous revenions de l’école, moi et mon ami d’enfance. Cet échange entre Séoul et Daegu m’avait tant apporté.
    Aujourd’hui, je suis une jeune femme dont les études lui sourient, dont l’amour fleuri dans son cœur. Mais il me manque la présence d’une mère, d’une confidente, d’une amie qui chanterait cette comptine coréenne pour m’endormir lorsque je n’arrive pas à chasser les mauvais rêves.
    Je suis une adulte qui a besoin de la présence de sa mère. Une jeune femme qui a besoin des conseils de sa mère lors des moments difficiles de sa vie. Une larme roule le long de ma joue. Je ne peux pas rester seule ce soir.

    Alors c’est lui que j’appelle. Je n’hésite pas, cet homme saura réchauffer mon cœur et apaiser mes peines. Juste quelques secondes dans ses bras savent me dire que tout ira pour le mieux, le son de sa voix saura me dire que mon cœur saura guérir de ton absence. Troy est ce garçon à qui je donnerai mon cœur, je suis certaine qu’il te plairait. Nous ne sommes pas amoureux, peut-être deux âmes-sœurs s’étant trouvées dans une amitié fusionnelle.
    Sa présence me fera sans doute extrêmement de bien, j’en suis certaine.

    Je sais que je deviens une Wonder Woman lorsque je viens lui rendre visite aussi tard dans la soirée. Dans mon sac se trouve le repas que j’ai préparé, et je file entre les mailles du filet pour rejoindre la Currier House. Avec mes lunettes, et ma haute queue de cheval brune, on dirait une étudiante de première année, sauf que ce n’est pas le cas. Mais c’est toujours mieux pour lui rendre visite.
    Lorsque je frappe à sa porte et que celle-ci s’ouvre, je me laisse immédiatement tomber dans ses bras en l’y serrant comme-ci nous avions été séparés bien trop longtemps. Je laisse un long soupire s’échapper de mes lèvres, et les yeux fermés, je prends la parole :

    - Ma maison, j’ai besoin de ta présence ce soir…



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    Lien du postDim 3 Mai 2020 - 4:33
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    w/ @Jo Hee Seo
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    « Va à gauche, il y a un ennemi » tes doigts agiles bougeaient de gauche à droit, de haut en bas, appuyant sur diverses touches. Tes yeux marron étaient posés sur l'écran sur lequel tu étais concentré. Tu essayais de survivre dans ce foutu jeu de guerre qui était bien trop connu, sortant une fois par an. Tu jouais en ligne avec ton petit groupe d'amis dont certains, tu avais connu sur le net en faisant régulièrement des parties avec eux. Lorsque la partie était terminée – où tu avais encore perdu, décidément ce n'était pas fait pour toi ce genre de jeux-vidéos – tu entends ton co-équipier piquait une crise de colère à cause de ton niveau, mais aussi à cause de la mauvaise connexion, tu te mets à rire. Tu ne préférais pas rentrer dans leu jeu. Gueuler pour rien n'était pas ton genre, ce n'est qu'un jeu. Tu préférais te prendre la tête pour raisons qui en valaient vraiment la peine. Pendant que la console recherchait une nouvelle partie, tu te lèves pour aller chercher un verre de jus de fruits.
    Lorsque tu entends frapper à la porte de la chambre d'université. « Je reviens les gars. » dis-tu en posant la manette sans fil et les écouteurs inclus dans le pack lorsque tu achetais la console sur la chaise. Si tes souvenirs étaient bons, c'était le deuxième craquage sur lequel tu avais fait, après avoir reçu ta paie d'étudiant. La première folie, était une guitare toute neuve. Ouvrant la porte, Jo Hee tombe dans tes bras. Tu pouvais sentir ses petits-bras autour de toi. Elle n'était vraiment pas bien. Mettant un bras autour de ses épaules, tu la fais rentrer dans ta pièce à vivre sans te décoller de la jeune femme de vingt-trois ans. Attrapant rapidement l'écouteur « Je vous laisse. A plus. » Sans laisser le temps de répondre, tu appuies sur le bouton marche / arrêt le bouton devient alors orange au bout d'un laps de temps. « Voilà, je suis tout à toi maintenant. » La faisant asseoir sur le lit, tu prends doucement sa boite à repas de ses doigts, que tu poses sur le bureau qui se trouver non-loin du lit. Te mettant à ses côtés en posant tes fesses là où tu dormais, tu passes un bras - musclé ou pas - autour de ses épaules, lui frottant doucement le bras. « Qu-est qu'il se passe Jee Ho ? » Tes mots pouvaient être maladroits, mais cela faisait partie de ton caractère. Tu entretenais une relation assez spéciale avec cette femme que peuvent de gens ne pourraient comprendre. A la base, tout cela était parti de Tinder, où un petit flirt avec eu lieu, avant de vous voir en chair et en os. Dès la première rencontre, il y a eu cette alchimie et puis un coup de foudre …. amicale. Sentant la tête de la Miss sur ton épaule, tu viens t'amuser avec sa queue-de-cheval en touchant sa crinière raide et noire. « Je crois que tes tentatives pour devenir une élève de première année sont foutues. » Tu penches la tête vers la coréenne en lui adressant un léger sourire, en espérant la voir sourire ou même rigoler. ça serait une petite victoire pour toi.


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    Lien du postDim 3 Mai 2020 - 7:36
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    w/ @Troy N. Darkhölme


    Mon phare dans la nuit, cette étoile qui me ramène vers la raison lorsque la nuit tombe sur mon esprit, lorsque ce voile sombre s’abat sur mes sentiments. Ses bras sont cette maison dans laquelle je me sens en sécurité, dans laquelle je me sens chez-moi, là où je ne me sens pas coupable de me sentir vivante. Il est celui pour lequel j’ai cherché toute ma vie à trouver, ce coup de foudre, cet alchimie toute particulière. Je suis pourtant désolée de le déranger quand il joue, ça doit le reposer avec toute cette pression. Harvard est le berceau de la réussite, de la fidélité de nos rêves accomplie, cependant, plus les années passent, plus nous devons mettre les bouchées doubles pour arriver à nos fins.

    Ma joue contre l’épaule du jeune étudiant, j’autorise mon cœur à supporter cette tristesse qui le meurtri depuis mon réveil, ce matin. C’est une pause qui allégera, ne serait-ce qu’un peu, cette douleur qui m’oppresse. Cette douleur qui parfois m’empêche d’avancer vers quelque chose de meilleur, ce depuis plus d’une dizaine d’années. Ma main s’accroche légèrement au bras de cet ami qui est la lumière, ma personne.
    Comme il est dur de dire que tu es la cause de mon malheur, maman. Mais comme je sais qu’il est bon d’avoir ce garçon à mes côtés, comme c’est apaisant de me sentir en sécurité auprès de moi, que mes sentiments peuvent se dévoiler sans aucune crainte.

    - Ma mère me manque, je me suis levée ce matin avec l’envie de la voir, qu’elle me sourit en préparant le petit déjeuner avec mon père auprès d’elle, qui essaie de faire cuire correctement du riz, dis-je, mélancolique.

    Je pose mon menton sur l’épaule de mon tendre, en l’observant avec ce regard empli d’une tristesse que j’avais pensé enterrer en moi, plus profondément chaque année. Voilà bien un temps que je ne souhaite plus l’anniversaire de la mort de cette femme forte et humaine qu’était ma mère. Je hausse les épaules avec un petit sourire : ma mère n’est plus parmi nous, comment la douleur peut-elle persister en se plaisant à faire pleurer mon cœur ?

    Je hausse les sourcils quant à sa réflexion : je ne ressemble donc pas à une première année ? Certes, je suis en cinquième année, mais j’ai tant fiat d’effort pour paraître un peu plus jeune. Je retire donc mes lunettes, les posant sur le bureau non loin de moi, puis gonfle légèrement mes joues pour dessiner une moue boudeuse sur mes lèvres.

    - Tu ne me dis tout de même pas que je parais vieille ? N’ai-je pas une bouille de bébé ?

    J’appuie légèrement sur mes joues rebondies, faisant une petite grimace. Mon grain de folie n’est gâché en rien par cette tristesse. Là où le mal se loge, une petite étincelle de joie se cache dans les bras celui-ci. J’entends bien mon cœur se noyer dans cette obscurité, crier au secours, et mon phare, là au loin, je l’observe. Celui qui saura dire à mon cœur que tout ira bien, qu’il guérira, il me le promets, et je sais au fond de moi que cette promesse sera tenue.
    Lui adressant un léger sourire, je pose ma main dans la sienne. Son toucher est la seule chose dont j’ai besoin en cet instant. Ce besoin de sentir qu’il est avec moi, c’est ce dont j’ai le plus besoin.



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    Lien du postVen 8 Mai 2020 - 4:29
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    w/ @Jo Hee Seo
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    Tu penses savoir pourquoi ta personne était dans cet état. Sa maman. Cela fait dix ans qu'elle l'a perdue. Tu ne pouvais pas comprendre ce que ça faisait de perdre une personne très importante dans la vie. En revanche, tu savais ce que ça fait n'avoir jamais connu ton géniteur, ne pas avoir de père ni de présence masculine si ce n'est que pendant deux années consécutives. Mais bon, tu en avais l'habitude. C'est vrai qu'Harvard était une école prestigieuse, qui demande un niveau d'exigence assez élevée. Tu avais assez trimé et galéré pour rentrer après deux échecs. Revenons au moment présent. Tu avais Jo Hee dans tes bras. Tu pouvais sentir sa joue contre ton épaule musclé, tandis que ses phalanges se serrent un peu plus autour de tes bras. Avec toi, elle pouvait se laisser aller en pleurant, rire, crier, se lâcher sans avoir peur d'être jugé. Après tout, tu es qui pour faire ce genre de choses ? Te mordillant les lèvres, tu essaies de trouver les mots juste pour l’apaiser. Te connaissant, tu savais que tu allais être maladroit. « ça ne doit pas être facile, je le reconnais, mais ça va aller. Tu es une femme forte. Je suis sûr de là où elle est, elle doit veiller sur toi. Je veux te voir un jour faire cuir du riz façon coréenne. Puis je suis là si ça ne va... »
    Après la main sur ton bras, c'est son menton que tu sens sur ton épaule. Jouant toujours avec les mèches de cheveux à l'aide de tes doigts, tu essaies bien tant que mal de lui remonter le moral. Et apparemment, cela marche plutôt lorsque tu tentes la carte de l'âge. Jo Hee ne semblait pas être vexée, juste amusée. Laissant la brunette retirer et poser ses lunettes sur ton bureau, un léger sourire était affiché sur ton minois « Je n'ai pas dit que tu faisais vielle, mais je dois admettre que les coréennes, vous ne faites pas votre âge. Là, oui, tu as une bouille de bébé, surtout que tu as les cheveux lâchés. » Sans arrière-pensée et sans lui faire de mal, tu viens attraper l'élastique qui était attaché à sa longue crinière de ta moitié amicale dans le seul but de tirer dessus vers le bas afin de le faire glisser le long de la longueur de ses cheveux. Ces derniers se détachent presque aussitôt. posant ta main sur le haut de son crâne, tu viens le cuir chevelure dans tous les sens et rapidement afin de les mettre dans un charmant désordre. « Voilà qui est beaucoup mieux. » Un petit rire sort de ta bouche, tandis qu'elle attrape dans ta main. La laissant faire, tu lui caresses le creux qui était entre le pouce et l'index à l'aide de ton pouce. Pendant qu'elle était trop occupée à jouer avec ta main, tu attrapes discrètement l'oreiller qui se trouver non loin de toi et frappe doucement la femme de vingt-trois ans avec celui à l'aide de ta main libre. « Attaque d’oreillers » Tu rigolais, voulant entendre aussi celui de la coréenne.


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    Lien du postVen 8 Mai 2020 - 10:29
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    Comme des enfants, on se prend la main, le bonheur aux lèvres. Comme des enfants, nous nous aimons un peu plus fort. Comme des enfants, nous oublions, un peu naïvement, le chagrin pour lequel les bras, de l’un comme de l’autre, deviennent notre source de sécurité. J’oublie, naïve, que ma mère nargue ce bonheur de son souvenir mélancolique, mais l’enfant qui se souvient d’elle me murmure qu’en ce moment, elle sourit. Si elle veille sur moi, je suis certaine qu’elle sourit en rencontrant ce garçon, ma moitié. Ma personne. J’observe la manière dont il se mord les lèvres, j’écoute le ton de sa voix légèrement maladroit, et le menton sur son épaule, mon sourire se dessine un peu plus. Inutile d’avoir de grandes paroles, sa présence me suffit. Sa manière d’être si craquant quand il est maladroit me suffit. Voilà donc pourquoi mon cœur à chavirer dans cette relation qui comble ma vie d’un feu d’artifice qui n’a jamais de cesse d’exploser.
    Nul doute qu’un jour il goûtera à ma formidable cuisine : si mon père et mon ami d’enfance ne s’en étaient jamais plains, j’ignore si mon talent de cuisinière coréenne soit toujours au goût du jour. Mon regard lui exprime mon affection, il lui crie à quel point il est important pour moi.

    - Tu réchauffes mon cœur, chaton… Et je te ferais un repas coréen, rien que pour toi.

    Quelle surprise d’entendre de nouveau que mon visage ne convient pas à une jeune femme de vingt-trois-ans, que mon origines m’offre l’avantage de ne pas faire cet âge. Est-ce réellement un avantage ? Je l’ignore, mais me voilà pensive. Ma chevelure brune tombe en cascade sur mes épaules, je ressens ce poids d’une épaisse tignasse brune qui est ébouriffée, malmenée par le côté enfantin d’un garçon qui me fait un peu plus sourire. Même dans mes pensées, voilà la lumière du phare qui me ramène vers mon marin favori.
    Les cheveux en bataille, je lâche quelques secondes la main de mon ami, et appuie sur mes joues, un regard de chaton l’observe, le fixe.

    - Suis-je toujours un bébé ? Dis-je avec la voix déformée par ma grimace enfantine.

    Reprenant sa main, je m’autorise la perte de mon sourire pour essayer de mon blottir contre celui que mon cœur réclame. Cependant, le réveil de nos âmes d’enfant n’a de cesse. C’est ainsi que je ressens un coup d’oreiller, doux, mais qui me surprend. J’entrouvre les lèvres, légèrement abasourdie. Pense-t-il donc m’avoir ainsi ? Oh c’est ainsi, dis-je dans un léger rire. La bataille est-elle engagée ? Hors de question d’être Napoléon à Waterloo, cher ami.
    Ma main lâche la sienne pour prendre un oreiller et lui asséner la même claque douce. Je pouffe de rire mais tente de reprendre un certain sérieux, faisant une légère révérence. Debout, je tends le coussin vers le jeune homme de vingt-et-un ans.

    - En garde, messire Darkhölme, la bataille est engagée.

    Sourire amusé, regard pétillant, j’ai cet écho de ma mère qui se promène dans le cœur, une mère souriante, observant sa fille vivre un moment unique avec la moitié de sa personne. Je donne un premier coup d’oreiller, mais que diable faisons-nous ?



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    Lien du postLun 18 Mai 2020 - 16:47
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    w/ @Jo Hee Seo
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    Tu n'avais jamais vu Madame Seo, si ce n'est qu'en photos. Il fallait dire que sa fille lui ressemblait beaucoup. Sa maman devait être fière de Jo Hee depuis là où est dans le ciel telle une étoile. Tu pouvais juste comprendre le vide que cela faisait puisque tu n'avais jamais connu ton père. Tu avais jusqu'à présent entouré de filles. Ta petite sœur, ta belle-mère et ta maman. Ce qui fait que parfois, tu arrivais à décoder les femmes même si parfois cela rester un message codé. Tu ne savais pas, si la maman de ton âme-soeur amicale t'aurait apprécié si elle était encore parmi vous, peut-être que oui, peut-être que non. En tout cas, tu avais hâte de goûter à la cuisine de Jo Hee. Quoi qu'elle t'avait amené un plat pour vous pussiez manger un peu non ? « J'espère bien goûter à un plat confectionné par tes talents de cuisinière un de ses quatre. » Rien que de parler de bouffe, tu avais déjà le ventre qui gargouiller. Croissant le regard de la brunette, tu vois qu'elle était un peu moins triste, ce qui te fait plaisir. Plaisir de savoir que tu pouvais lui redonner le sourire après quelques efforts déployés. « Content de te revoir sourire. » dis-tu en lui adressant un grand sourire cette fois-ci après lui avoir ébouriffé les cheveux, histoire de mettre de la bonne humeur dans cette pièce trop exiguë. Sentant qu'elle te lâchait la main afin de faire une tête de bébé à l'aide de ses phalanges, tu te mets à rire. « ah ça, c'est un secret dont je ne dirais rien. » C'est alors que tu mimes le geste comme si tu avais une clé et que tu fermais ta bouche à double-tour et faire semblant de la jeter. En plus, c'était une question piège. Doucement, tu viens lui pincer gentiment les joues. Mettant un bras autour de son épaule, tu viens la blottir encore un plus contre toi. Soudain, c'était à ton tour de recevoir un coup d’oreiller. Autant dire que tes cheveux étaient en bataille, ou plutôt tes boucles l'étaient. Prenant un air faussement choqué avant de lâcher un rire étouffé, tu étais bien décidé à ne pas te laisser faire, bien au contraire. En commençant cette guerre d'oreillers qui a semblé réveiller votre âme d'enfant aussi bien l'un que l'autre. D'ailleurs, la coréenne s'est levée en te tendant un coussin. Prenant celui-ci entre tes doigts, tu te mets en face d'elle. « la bataille risque d'être longue et sans pitié. » C'est alors que tu donnes le premier coup au niveau des jambes. C'est clair et net qu'elle n'allait pas se laisser faire. L'un comme l'autre voulait gagner la guerre. Alors que tu étais en train de te protéger à l'aide de tes bras en recevant tout de même les coups de Jo Hee, tu avais une idée derrière ta petite tête. T'approchant de la femme de vingt-trois ans, tu l'attrapes doucement par les jambes telle un sac à patates pour la mettre sur ton épaule et la transporter sur le lit où lui donner des coups d'oreiller en rigolant en faisant attention à ne pas y aller trop fort pour éviter de lui faire mal. « Je n'entends pas qui à gagner ? » tu rigolais bien trop fort cette fois-ci.

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    Lien du postLun 18 Mai 2020 - 19:50
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    Ce visage d’enfant se renferme pour laisse place à des lèvres qui se scellent en une moue boudeuse. Ne suis-je donc plus cette adorable fille au visage si doux ? Ses lèvres se scellent, quant à elle, dans une vérité bien farouche : refusant de piper mot, sa voix s’enferme à tout jamais sur ce sujet. Quel secret caches-tu, joli garçon aux cheveux bouclés ? Je penche la tête, et d’une mine bien plus affectueuse, j’espère tirer les mots de ses lèvres. Un repas confisqué serait-il assez puissant pour que ce garçon me dise si ma bouille d’enfant n’a toujours pas changé ? Mon âme-sœur, mon terrible coup de foudre amical, dis-moi donc que mon visage est toujours aussi doux qu’il y a quelques années…
    La langue tirée vers lui, je compte bien bel et bien imitée cette moue boudeuse qui n’a jamais l’air très sérieuse chez moi. Ma rancune et ma colère ont beau être bien réelles lorsque l’on cherche la bête en moi, mon caractère boudeur est une réelle comédie exagérée : je suis incapable de rester fâchée bien longtemps. Surtout face à ce joli visage de chaton qu’arbore mon ami.

    - Tu ne peux pas cacher ce secret à la femme de ton cœur, dis-je avec cette fausse moue boudeuse.

    Mes dents mordillent ma lèvre inférieure pour retenir un éclat de rire en observant la moue faussement choquée du jeune étudiant. Nos âmes d’enfant éveillées, nous entamons une bonne vieille bataille d’oreillers. J’entrouvre les lèvres lorsqu’il touche ma faiblesse : les jambes. Les jambes, cette faiblesse de chacun, en réalité. Je penche la tête sur le côté, ma langue passant sur le coin de mes lèvres, l’air compétitif et amusé. La bataille ne fait que commencer, cher ami, mais une guerre nous attend. La guerre des oreillers, la guerre de l’endroit où nos rêves se reposent.
    Nos coups fusent, ils sont doux, n’ont aucune réelle mauvaise intention. Nous sommes deux jeunes gens qui rient ensembles, qui s’amusent d’un moment agréable, qui gravera un nouveau souvenir dans nos mémoires. Maman, comme tu l’aimerais tant, ce garçon.

    Surprenant de se retrouver sur les épaules du garçon de vingt-et-un an, ce qui me fait échapper un léger cri de surprise, alors que j’écrase l’oreiller contre le bas de son dos en riant, mes cheveux touchant presque le sol. Je refuse ma défaite et me protège des coups d’oreillers, la guerre n’est pas perdue !
    Mon corps immobile, je mordille ma lèvre inférieure pour réprimer ce rire qui chatouille mes lèvres. Je pose l’oreiller sur le côté et pose mon bras sur mes yeux, ne jetant pas un seul regard à mon ami.

    - Je refuse de perdre la guerre, dis-je dans un murmure.

    Je glisse mes mains sur la taille de ce brun, et y entame une valse avec mes doigts : des chatouilles. Est-ce qu’il en raffole ? Je désire l’entendre me demander d’arrêter, je désire l’entendre éclater de rire sans retenue. Je le pousse sur le côté pour lui faire plus de chatouille, un léger sourire aux lèvres. Droite, fière, je pose mon regard sur ce petit chaton qui gigote sous ces doigts habiles et très doués en papouilles malines.

    - Je n’entends pas, qui a gagné ? Dis-je en reprenant, mot pour mot, cette réplique si fière d’un homme pensant avoir emporté ce moment enfantin.



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