Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility─ New city, new evening. Another conclusion ?│w/ Iris De Danemark
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    ─ New city, new evening. Another conclusion ?│w/ Iris De Danemark
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    Lien du postLun 13 Avr - 2:31
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    ─ New city, new evening.
    Another conclusion ?
    w/ @Iris De Danemark

    Un long soupir s'extirpe d'entre mes lèvres charnues avant que je n'ose regarder l'heure. « Ciel ! » Je m'exclame, déchaussant mes lunettes Prada de mon nez afin de passer mes mains sur mon visage, des traits de fatigue étant sans nul doute perceptibles sur celui-ci. M'emparant de mon Smartphone pour appeler un ami : le propriétaire du Mamma Maria, j'attends avec une certaine impatience qu'il daigne décrocher. « Bonsoir. Pardonne-moi pour le dérangement. » Je souffle, mon épuisement se percevant dans l'intonation de ma voix. « Je désirais savoir si ma table était libre. Il est plus tard que prévu, je n'ai vu le temps défilé. » Je continue, faisant un geste las de ma main libre, pour lever les yeux au ciel et attendre la réponse de mon vieil ami, les lèvres pincées. À sa réponse, je me détends, mes épaules s'affaissent et un mince sourire s'inscrit sur mon visage qui se trouve la plupart du temps sans la moindre expression, à l'exception de mon regard qui s'anime en permanence. « Je te remercie. Je m'extirpe de mon bureau universitaire et je rejoins le restaurant. » Sur mes mots, je raccroche pour m'emparer de mes lunettes ainsi que de ma sacoche faite uniquement de cuir, afin d'y engouffrer mon MacBook Air et mes notes. Ayant rechaussé mes lunettes sur mon nez, afin de pouvoir conduire alors que la nuit vient de tomber, je me saisis de mon Trench-coats Burberry bleu marine pour le passer, avant de m'emparer de ladite sacoche et de verrouiller mon bureau derrière moi. Poussant un soupir de satisfaction, je cherche dans l'une de mes poches les clefs de ma Jaguar pour me rendre d'un pas pressé jusqu'au parking. Un « enfin » s'échappe d'entre mes lèvres une fois que je goûte à l'air frais de l'extérieur et durant une fraction de seconde, je ferme même les yeux, comme pour en profiter davantage. « Merveilleux. » Je murmure, mon sourire prenant de l'ampleur sur mon visage, lorsque j'arrive à hauteur de mon bolide pour m'y engouffrer. Son cuir est confortable, réconfortant d'une certaine façon et attachant ma ceinture de sécurité, je décide de mettre un morceau de Chopin afin de trouver une certaine quiétude grâce à la mélodie. Lorsque j'émerge sur le parking du restaurant Mamma Maria, mon sourire a fleuri et orne à présent ma figure, tandis que je tends mes clefs à l'un des membres du personnel qui se charge toujours de garer mes véhicules. « Bonsoir. » Je souffle, avant de pénétrer le dit restaurant. Un sentiment de nostalgie me gagne dès que je passe la porte et pour cause : l'Italie a une connotation bien particulière à mes yeux. « Bonsoir. » Je prononce à nouveau, dans le vestibule, tandis que je m'évertue à défaire ma cravate, tout en tenant dans l'une de mes mains ma sacoche en cuir noir Prada. « Remerciez le propriétaire des lieux pour moi, je vous prie. » Je souffle, suivant la jeune serveuse qui s'occupe de m'accompagner à ma table, celle qui m'est en quelque sorte attitrée et pour cause : je suis un client fidèle et extrêmement généreux. « Parfait. » Je prononce avant même qu'elle n'entrouvre ses lèvres, pour m'installer et me mettre à mon aise : comme si je me trouvais chez moi, d'une certaine façon. Ôtant mon Trench, le postant sur le dos de mon assise, je pose ma serviette en cuir sur la chaise se trouvant à mes côtés, pour prendre place et m'asseoir en affichant un sourire de satisfaction. « Merci. » Je murmure une fois que l'on me tend la carte, pour demander, sans accorder le moindre regard à la jeune femme se tenant à mes côtés : « Votre meilleure bouteille de vin, je vous prie. Vous pouvez disposer. » La laissant s'en aller sans plus de mots, je lève mon nez du menu lorsque je sens une présence non loin de l'endroit où je me trouve assis. Étrangement – je n'en connais la raison – j'ai la nette sensation de connaître ladite personne que je n'ai pas encore vue lorsque mon regard se pose sur la silhouette de celle-ci, que je reluque sans vergogne, lorsque je croise son regard. Jurant intérieurement pour l'avoir détaillé sans scrupule aucun, je me racle la gorge pour lire à nouveau la carte, préférant éviter son regard noisette. « Cela m'apprendra à reluquer de superbes courbes féminines. » Je bougonne à ma propre intention, m'essayant à me concentrer afin de choisir entrée, plat et dessert dans le but de me sustenter.


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    Lien du postDim 19 Avr - 18:04
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    new city, new evening, another conclusion ?
    w/ @Gresham O. Ewart
    ~~~~
    Ça lui plait, ce stage. Personne ne l’aurait cru, mais elle s’implique la danoise. Elle aime quitter le banc de l’université pour le cabinet. Enfiler ce tailleur qui épouse parfaitement ses courbes, aller au cabinet pour de nombreuses heures, écouter les patients raconter leurs problèmes. Elle adore ça et elle est douée, Iris. Son franc parlé, cette aisance qu’elle a pour charmer chaque personne avec ces mots. Ses yeux se posent sur l’horloge au-dessus de la porte, se rendant compte du temps passé « Et merde ! » Elle attrape son téléphone, observant les nombreux messages et appels manqués. Absorbé dans un dossier important, elle en a oublié son dîner avec ses copines. Tête en l’air pour un sous, elle attrape sa veste, son sac et fonce au restaurant. Sur le chemin, dans le taxi, elle appelle le restaurant pour avoir des informations et réserver une table. Vu les messages, elle va dîner seule ce soir. Les minutes défilent quand elle arrive enfin à destination. Elle entre, donne son nom et se fait conduire jusqu’à sa table. Elle remercie la serveuse, retirant sa veste et croiser ton regard. Ce regard qui l’a détaille comme un morceau de viande, avec envie. Tes yeux évite son regard noisette et un sourire que tu ne peux décrypter se dessine sur ses lèvres. Elle prend sa veste, se dirige vers toi et s’installe à ta table sans demander ton avis. « Vos yeux ont aimé le spectacle ? » Iris, elle peut être ce rêve que tu désir plus que tout au monde. Cette lionne que tu veux apprivoiser sans y laisser ta peau. Elle peut aussi être ce cauchemar dans lequel tu ne te réveilleras probablement jamais. Elle pose ses mains sur la table. « Je m’en voudrais de vous laisser manger seul » Elle fait signe à la serveuse pour obtenir à son tour une carte. Une partie d’échec qu’elle va sûrement gagner si elle bouge intelligemment les pions. Tant pis s’il attend quelqu’un, la demoiselle vient de s’installer et elle n’est pas prête de bouger.

    credits img/gif: pinterest
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    Lien du postSam 25 Avr - 18:08
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    w/ @Iris De Danemark

    Bien que j'essaye de me faire oublier, je sais pertinemment que miss De Danemark ne va pas manquer cette occasion, celle de me mettre au pied du mur, puisque je l'ai reluqué sans gêne aucune. Pourquoi a-t-il fallu qu'il s'agisse d'elle et non d'une simple inconnue au bataillon qui se serait empourprée pour éviter de croiser mon regard durant toute la soirée ? *Seigneur, désirez-vous me punir à cause de mon vice certain concernant la luxure ?* Fermant mes prunelles en posant cette question dont je connais bien évidemment la réponse, je finis par les rouvrir, ne sachant décidément pas quoi déguster ce soir. Cette situation grotesque, dans laquelle je me suis mis, semble m'avoir coupé l'appétit. Passant une main lasse sur ma nuque, je ne suis guère surpris lorsqu'Iris De Danemark me rejoint, pour s'asseoir face à moi. Bien sûr, elle m'irrite et elle le sait. Ne pipant mot, feignant de ne l'avoir remarqué, d'être totalement indifférent quant à sa présence, je réfléchis aux termes que je dois employer avec cette jeune femme quant à sa question, puisqu'elle est extrêmement intelligente, puis, elle adore jouer avec le feu, elle raffole d'obtenir ce qu'elle désire. Levant une seconde les yeux sur mademoiselle tailleur incroyable pour finalement retrouver le menu, je réponds, sur un ton que je veux neutre : « Je ne pensais que vous vous vêtissiez ainsi. » Portant l'un de mes doigts sur les alcools, j'ajoute : « Votre tailleur est magnifique. De quelle griffe s'agit-il ? » Je ne lui jette plus aucun regard, préférant m'évertuer à trouver un vin et une entrée dignent de ce nom. À ses nouveaux mots, je ne peux m’empêcher d’être saisi d’exaspération. Je ne peux même me retenir de la fusiller du regard et entrouvrant la bouche, je me ravise sur ce que j'allais clamer, puisqu'il vaut mieux que je joue convenablement à cette partie d'échecs, miss De Danemark m'ayant obligé à y participer, bien que cela soit également de mon fait, étant donné que je l'ai regardé avec envie : mon amour pour les courbes féminines me perdra, assurément ! « Hum… Je vous remercie pour votre attention à mon égard. Bien que j'ai pour habitude de dîner seul. » Pourquoi lui dis-je cela, bien que ce soit vrai ? Elle n'a rien à savoir sur ma personne, elle en sait déjà bien trop à mon propos. Mon regard se voile à cette pensée, puisque je me rappelle de notre rencontre à Londres, bien que j'avais bu. Me ressaisissant, m'évertuant à me tenir droit, comme un « i », je finis par reprendre : « Comment s'est déroulée votre journée mademoiselle De Danemark ? » Je m'enquis, usant d'une première question des plus banales, comme pour entamer une conversation des plus basiques, espérant secrètement qu'elle ne s'aventura pas à nous remémorer ce que nous avons vécu à Londres, ni le fait que je ne peux résister à l'envie de détailler une femme, lorsque j'apprécie son physique, ce qui est le cas du sien. Miss De Danemark est une véritable beauté et elle le sait, au point d'en abuser.


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