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Lien du postMer 8 Avr - 23:22
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Enième réunion au taff. Réunion qui s'est rapidement transformée en échanges d'anecdotes gênantes. Genre, celles du Spring Break. Andrew qui a raconté à Lauren tes péripéties durant ta première journée au Spring Break. Alice qui t'as fusillé du regard, puis ton altercation avec Nienke. Ça le fait rire lui maintenant, tout comme toi. Du moins, rire est un bien grand mot. Disons que ça te passes un peu par dessus la tête. T'as pas revu Alice depuis. Tu comptes pas le revoir, t'as rien programmé dans tous les cas. En ce qui concerne la deuxième... c'est autre chose. Il s'est passé tellement de choses depuis le Spring Break entre Nienke et toi. Vous êtes passés par pas mal d'émotions. Des bonnes durant le Spring Break, puis des moins bonnes en rentrant à Boston. Trop de choses qui se bousculent dans ta tête en ce moment. T'y a pensé toute la journée, ça t'as pris la tête. Tu as beau avoir le smile aujourd'hui, sachant que ce soir, t'auras Nienke avec toi... t'es un peu déboussolé depuis ta dispute avec Arwen. Vous deux, vous aviez pas l'habitude de ça. Les embrouilles, t'en a avec beaucoup de monde Mikke, mais pas elle. En général, entre vous, ça coule de source. Mais là... il a fallu que tu lui parles de Nienke pour que tout s'écroule. Encore une fois, tu gâches tout. Mais d'un côté, tu te voyais pas jouer avec elle plus longtemps. Même si, avec Nienke il n'y a rien de plus que la dernière fois, tu te devais de la mentionner à Arwen. Que ce soit par respect pour l'une ou pour l'autre. Donc oui, ce soir t'es un peu entre deux. T'as quitté le cabinet à l'arrache, sans dire aurevoir à personne parce que tu les voyais venir leurs questions à Lauren et Andrew. Sauf que tu comptais pas faire patienter plus longtemps Nienke et ses makis qui n'attendaient que toi, eux aussi. Un dernier message pour lui dire que tu passais à la supérette et quelques minutes plus tard, te voilà devant sa porte. Tu frappes quelques coups et attends, les mains remplies de poches... alcool pour toi, sans alcool pour elle évidemment. Tellement évident que tu lui a proposé de lui prendre des bières tout à l'heure. T'as le traque ? Pas tant que ça... Un peu ? Disons que t'as juste pas envie de te prendre la tête. Tu veux laisser faire les choses. Pas la brusquer, pas la forcer, laisser faire. Là, t'y vas surtout pour partager un bon repas et surtout voir comment elle se sent depuis la veille.
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Lien du postVen 10 Avr - 15:34
Si peu de temps après nos retrouvailles mouvementées, nous allons nous revoir dans quelques minutes. L'impatience au creux du ventre, l'angoisse que cela ne se passe pas bien. La gifle que je lui ai mise me brûle encore la paume de la main. Les mots dures sortant de sa bouche, et ce réconfort dans ses bras aux urgences. Ma crise d'épilepsie. Tout est un peu bouleversé dans mon esprit mais... nous sommes au moins d'accord sur quelque chose. Vivre au jour le jour. Ne pas se prendre la tête. Je crois qu'en réalité, je me questionne suffisamment sur nous Mikke. Je suis incapable de dire ce que je ressens pour toi. J'ai besoin de ta présence, le plus souvent possible. Et j'ai cette sensation de manque lorsque je pense à toi. C'est embêtant et agréable. Je relis tes mots, assise sur le canapé. J'ai déjà mangé quelques makis, sans t'attendre. « J'ai envie de toi » Le ventre se tord d'une douleur étrange, d'un plaisir certain. C'est ce soir, je crois. Comme si c'était prédit, comme si nous pouvions faire une croix sur le calendrier pour nous y faire penser. Et si tu ne veux rien prévoir, moi, je veux que tout soit parfait. J'ai envie de me laisser aller dans tes bras, te laisser me guider, au fil de nos envies respectives. Les idées se forment, les images flottent dans ma tête. Comment seras tu Mikke ? Doux ? Un peu sauvage ? Plutôt au commande ou te laisseras tu guider par ma voix et mes doigts ?w/ @Mikke Fitzgerald
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Quelqu'un frappe à la porte, me tirant de mes pensées perverses de nos corps qui s’enlacent. J'ai chaud déjà. Je quitte ma veste légère, reste en t shirt et jean. Pas de chaussures, comme d'habitude. Encore plus lorsque je suis chez moi. Un maki encore dans la bouche, j'ouvre la porte pour laisser entrer Mikke. Le sourire s'étire en le voyant avec sa tenue de travail... la chemise lui va à ravir. Et j'ai hâte de tirer sur sa cravate pour le faire se rapprocher de moi et coller nos lèvres ensemble. J'avais imaginé plusieurs scénarios pour son entrée, dont celle de lui sauter directement dessus mais... je suis comme paralysée. Il est beau. Trop beau oui. Encore et toujours les mêmes pensées mélancoliques qui reprennent le dessus. Pourquoi moi Mikke ? Un jour, il faudra que tu répondes à cette question. Pour le moment, je termine d'avaler le maki pour te dire bonjour. Un peu maladroitement, j'embrasse le coin de tes lèvres, sans trop savoir ce que je dois faire. Mes plans tombent à l'eau, ma confiance en moi avec. J'attrape la poche, remarque la limonade. Pouce en l'air, avec le geste qui suit. Parfait ! Tu en as trouvé. D'un geste un peu hésitant, je prends ta main libre et t’entraîne dans le salon. Tu remarqueras le plat déjà entamé sur la table basse. « J'avais faim. Sorry. » En haussant les épaules. Il t'en reste beaucoup encore, vu que tu avais l'air d'avoir très faim. Et tant que j'y pense, je me mets à quatre pattes sur le rebords du canapé pour attraper à bout de bras la plaquette de médicaments. Lui mettre devant les yeux, sûrement trop proche pour qu'il ne puisse lire, en sors un, et l'avale rapidement avec ma salive. Ça... c'est fait.
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Lien du postMer 15 Avr - 4:15
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Tu passes tes doigts sur le tissu de ta cravate, léger sourire aux lèvres. Sourire, limite pervers en pensant à ce qu'elle pourrait faire avec.. Un de ses fantasmes te concernant. Alors évidemment, si tu peux lui faire plaisir, c'est avec joie que tu le fais. Et inutile de dire que toi aussi ça te fais kiffer... Et le temps d'arriver chez elle, devant sa porte, t'as sans aucun doute envie de terminer cette soirée dans ses draps. Vos deux corps ne faisant plus qu'un. Le bruit de ses gémissements qui résonnent dans sa chambre, votre sueur qui humidifie ses draps, ses ongles marquant ta peau et tes mains caressant doucement ses courbes, tes lèvres parsemant des baisers un peu partout sur sa peau. T'as chaud Mikke et rien que pour lui faire plaisir t'as gardé ta tenue de travail qui te donnes encore plus chaud. Elle ouvre enfin... Sourire instantané quand elle apparaît entièrement devant toi. Et tu la vois regarder ta chemise, ta cravate et tu sais que dans sa tête, elle pense déjà à ce qui va se passer quand elle tirera dessus... ta chemise, ta cravate, tout ça, ça la rend presque folle, tu le sais. Et t'en jouerais presque... Mais, ok, ok, chaque chose en son temps. Elle t'embrasse au coin des lèvres, t'hausse les sourcils, puis cligne des yeux, surpris, léger sourire aux lèvres; Un brin gêné. C'est... inhabituel ? C'est qu'un baiser au coin des lèvres, mais... c'est quand même pas habituel qu'on t'accueilles comme ça. Et c'est pas désagréable non plus. Elle te prend les poches des mains et tu souris fièrement en haussant les sourcils quand elle remarque la limonade et te remercies pour ça. Tu pénètres chez elle, puis te rends dans le salon. Wow, la vue sur les makis, sushis te donnent tellement envie de manger... bien que c'est elle que tu préférais manger là. Tu retires ta veste, hausse les épaules quand elle s'excuse d'avoir commencé le plat - tqt, le reste sera pour moi du coup... tu t'es punies toute seule avec ce manque de politesse. - c'est plus pour la taquiner qu'autre chose, mais tu prends un air on ne peut plus sérieux en la regardant. Elle semble pas vraiment impressionnée, puis qu'elle se concentre plus sur son cachet qu'elle te montre avec insistance, puis qu'elle avale d'une traite - parfait, j'suis fier de toi... - que tu dis, sourire au coin des lèvres tout en attrapant son menton entre tes doigts pour maintenir son visage vers le tien, en te rapprochant un peu.. au plus près de ses lèvres, pour finalement venir déposer un baiser sur sa joue. puis tu la lâches, pouffe de rire et te laisses tomber sur son canapé, en t'étirant de tout ton long - raaah, putain, je suis claqué... et tendu... - puis tu relâches et viens tripoter ta cravate, l'air de rien en la regardant.
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Lien du postLun 20 Avr - 18:33
Une adolescente. J'ai quinze ans avec lui, je redécouvre mes envies de jeune femme, les papillons dans le ventre et toutes ces choses idiotes. Parce que d'un côté, je ne veux pas le décevoir, parce que je ne veux pas que ce que l'on vit se termine par le résumé d'une coucherie pas assez magique pour s'en rappeler. Je ne serais peut-être qu'un trait d'union dans ta vie Mikke, mais j'espère au moins que tu t'en souviendras comme quelque chose de beau et doux, un peu magique, un peu excentrique et farfelu aussi. Je me mords la lèvre, écoute à peine sa remarque sur le fait qu'il mange le reste du plat, et avale mon traitement. Tous les jours, sans oublier, sans faire de zèle, sans boire et prendre le risque de le vomir ou de refaire une crise. L'éclair passe devant mes yeux lorsqu'il attrape mon menton entre ses doigts. Oula. Le cœur montre sa présence, pulse le sang plus rapidement dans mon organisme. Pétrifiée. La gorgone personnifiée. Ses yeux rieurs et si sérieux se plantent dans les miens alors que je cligne plusieurs fois des paupières, comme pour me débarrasser de mon embarras. Les souffles se percutent. J'ai même du ouvrir la bouche bêtement avant de fermer les yeux par reflex. Son odeur... C'est idiot comme idée mais, je crois que je pourrais mourir maintenant. Après des secondes qui me parurent une éternité, ses lèvres viennent frapper ma joue. La détonation et l'impact me fait reprendre mes esprits. Le cœur contre les tempes. J'ouvre les yeux et fais la moue en entendant son rire. Touchée Mikke. Tu m'as eu. Mais entendre ton rire est encore plus surprenant que ce petit jeu que tu as avec moi. Si tu savais ce que ça me fait, je ne suis même pas capable de le décrire. Il tombe sur le canapé, s'installe pendant que je glisse du perchoir qu'était l'accoudoir. Dubitative, je sens que tu prends un malin plaisir à jouer avec moi. S’enhardir, juste quelques secondes avant de voir qu'il touche sa cravate et me regarde avec insistance... Tu le sais Mikke, que ça me plaît de te voir dans cette tenue. Si tu pouvais lire dans mes pensées à ce moment précis... La gêne se dissipe doucement, laisse place à ce désir qui grimpe de façon exponentielle. Sans quitter tes yeux des miens, je m'enfonce dans le canapé. Me contenir. De t'arracher ta chemise en une fraction de seconde. Arrête. « Elle m'irait mieux. » Je me colle à lui, puis l'enjambe pour m'asseoir sur ses genoux, face à lui. Les doigts fins descendent l'arrête de la mâchoire, le cou, pour rejoindre le nœud de la cravate que je desserre légèrement. Je penche la tête, installe mes cheveux blonds que d'un côté de ma tête, frôlant sûrement son visage de la pointe. Se concentrer pour défaire le premier bouton de la chemise, le souffle coupé. Et je retire enfin sa cravate, avant de l'enfiler par dessus ma tête. Regarde mon œuvre. Oui. C'est mieux comme ça. Une toute petite tentation en moins. Satisfaite, je me lève de façon un peu pataude et prends un maki entre mes doigts, le trempe dans la sauce soja sucrée. Le porter à la bouche sans me tacher est une grande expérience... qui se termine mal. Je tire la langue pour éviter d'en mettre partout, mais la sauce coule un peu sur mon menton. Lever la tête, rattraper le principal du bout du doigt pour éviter de tacher sa cravate. « Mange.. » sous entendu, dépêche toi avant qu'il n'y en ait plus. De ma main propre, je caresse le tissu de la cravate, les pensées brûlantes qui ne tournent plus qu'autour de lui. Je n'ai même plus faim Mikke, enfin si.. de toi.w/ @Mikke Fitzgerald
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Lien du postLun 11 Mai - 16:10
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et tu voudrais être nul part, sauf ici ce soir. t'y a pensé toute la journée, comme en ce moment où tes pensées sont rivées quasi h24 vers elle. tu sais pas ce qui est entrain d'arriver à ton monde mikke, mais nienke elle a bouleversé ton quotidien. et ce n'est pas tout puisse que grâce à elle, tu te découvres un tout autre homme. des pensées plus positives, grâce à elle. nienke c'est ta douceur, ton point faible, celui qui fais changer ton regard envers le monde. tu te remets en question, peut-être un peu trop ces temps ci à cause - ou grâce - à elle. journée épuisante; trop penser à elle , à ce que tu pourrais lui faire, à toute la frustration que tu avais avant qu'il se soit passé quoi que ce soit de plus concret entre vous. avant que vous couchiez ensemble. et maintenant que t'avais goûté à cette déesse, impossible pour toi de t'en passer. et évidemment pour pousser le vice à fond, t'avais débarqué chez elle en tenue de taff. l'effet bien sapé des avocats, avec la cravate en prime, tu sais que ça avait le don de la faire kiffer. mission accomplie. tu tripotes sensuellement ta cravate, l'air de rien, ce petit sourire en coin. elle vient se mettre à califourchon sur toi, venant caresser ta mâchoire du bout des doigts, provocant quelques doux frissons. agréables, sans aucun doute. sourcils qui se haussent, regard qui se baisse en direction du nœud de ta cravate qu'elle vient défaire lentement. premier bouton de ta chemise ôté par les soins de la demoiselle qui te retourne déjà complètement la tête. cette envie de l'embrasser, plus fort que tout, frisson qui ne cesse de parcourir ton échine; t'as envie d'elle, tout de suite. mains qui viennent se poser fermement de part et d'autre de ses hanches. regard rivés sur elle maintenant. t'attends à ce qu'elle retire ta chemise ou un truc du genre, mais au lieu de ça, elle retire ta cravate, se l'enfile par dessus la tête, se sert un maki pour le manger d'une façon tellement sensuelle, bien que maladroite, que t'as envie de l'attraper pour la manger elle. non les makis, t'en veux pas tout compte fait. tu te relèves d'un coup, retire ta chemise à la hâte, agrippe son poignet et l'attire fermement contre toi. sourire espiègle, tu t'approches au plus près d'elle, sent son souffle contre le tien. puis vient déposé un baiser langoureux au creux de son cou, tout en tirant doucement sur la cravate pour lui retirer. disons que cet accessoire masculin pourrait très rapidement te bloquer.
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