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Lien du postMar 31 Mar - 14:17
Harvard, t'y avais atterri en catastrophe. Dossier envoyé en dernière minute après ce drame familiale qui ronge encore ton coeur. Harvard ou l'opportunité de se reconstruire, de se trouver un but dans ce monde où il est si difficile de se faire une place. cursus de mathématiques et économie choisis un peu au hasard, mais c'est toujours utile. une corde en plus à ton arc. parce que ouais t'es un peu passé partout. le monde du divertissement t'a fermé ses portes tandis que celui du mannequinat t'en avais ouvert certaines. carrière vite oubliée durant ce service militaire dont tu as voulu te débarrasser au plus vite. malgré la fierté du service rendu à la nation, les cicatrices sont profondes. âme torturée par les épreuves de la vie, qui se révèle dès lors que tu es contrarié. ton impulsivité a toujours été un frein et surtout une honte que tu prends bien soin de cacher derrière cette façade de clown. clown devenu morose depuis que ton coeur te joue de vilains tours. alors l'envie de chasser tous tes soucis était cruellement présente. seul c'était compliqué, d'où le fait que tu avais embêté ahreum par message. suppliant cette dernière de te rejoindre sur sa pause de midi à l'entrée de Tercentenary Theatre. parc, source de ressources pour beaucoup d'étudiants. pas sûr que la nature est un quelconque effet bénéfique sur toi, mais la présence de poupée sûrement. tu t'étais affolé pour faire quelques courses, de quoi vous confectionner un pique nique express à déguster sous les faibles rayons de soleil. en pensant à cette scène très cliché, tu secoue la tête. c'était sans doute too much mais trop tard pour faire machine arrière car tu apercevais déjà sa silhouette timide attendant sagement à l'endroit indiqué. sac de courses en main, tu t'approches d'un pas athlétique et confiant. ahreum, toujours tirée à quatre épingles, une beauté tout droit sorti d'un roman à l'eau de rose." t'as pas encore déjeuner j'espère. parce que je nous ai concocté un pique nique de rois. il en faut de l'énergie pour se préparer aux examens. " épreuve stressante pour tout étudiant de ce monde. pour toi c'est le dernier cadet de tes soucis. toujours prêt à te relever mais elle aurait peut être besoin de réconfort. attrapant sa main, pour partit à la recherche d'un endroit plaisant où s'installer." t'as passé une bonne matinée ? " et au pire si c'est pas le cas, t'es à peu près certain d'égayer sa journée avec cet instant ensemble.
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Lien du postMar 31 Mar - 17:22
★ ─ as long as we're breathing, it's not too late to change your story (ahsung) w/ @ji-sung lee credits img/gif: pinterest (ahsung moodboard) code by lumos s. |
le coeur chante l’hymne à la vie ;
à se demander si les beaux jours sont arrivés - et à l’horizon, les jours gris sont loin derrière elle. gamine qui sort à peine la tête de l’eau, à s’être délesté des doutes qui l’ont emprisonnés pendant quelques jours. et s’être débarrassé de ce plâtre en est un aussi. au fond, ahreum, elle se dit qu’elle était chanceuse que ce ne soit qu’un bras et non une jambe. elle ne se voyait pas dire adieu à la danse aussi brutalement et surtout comme ça.
princesse qui se veut reine de son chemin ;
tiens entre ses mains, le crayon pour tracer son destin.
sourire solaire sur le bout de ses lèvres carmin, elle s’émerveille d’un rien ahreum. demoiselle, passionnée par un tout, elle admire les alentours. rendez-vous de dernière minute et pourtant, la silhouette est drapée si joliment qu’on penserait à un rendez-vous organisé depuis longtemps. index délicat qui s’amuse d’une mèche de cheveux, elle s’amuse à faire gonfler ses joues tandis qu’elle pose toute son attention sur le panneau de publicité.
tercentenary theatre ; et elle ne sait pas ahreum, si c’est l’idée de se perdre dans un parc qui l’enchante ou la personne avec qui elle passera les prochaines heures. sourire mutin peint sur sa bouche, elle hume quelques notes inventées avant de se retourner, détacher son attention du panneau pour le concentrer sur la place. peu de monde en ce jour et elle préfère ça ahreum ; à fuir les foules et les projecteurs depuis quelques temps. à ne pas savoir si il est question d’un traumatisme dû aux récents événements ou à celle de sa rupture avec la scène.
la demoiselle fourre ses mains dans les poches de sa veste. et elle attend.
pas longtemps, juste ce qu’il faut pour faire gronder l’envie d’être à ses côtés. et lorsque sa silhouette se distingue parmi les autres, ahreum fait un signe de main, joyeuse. douce enfant qui inspire l’air frais alors qu’il parle. « tu as de la chance, cet estomac est vide. un certain jeune homme s’est empressé de me sortir de mes révisions pour qu’on se voit » qu’elle laisse entendre, les mains levées vers ce ciel bleu. avant de rire à l’allusion. le regard qui se pose alors sur le sac. « j’ai hâte de découvrir ce repas de roi alors » à se racler discrètement la gorge ; freiner les premiers instincts. ne rien laisser paraître. les joues se colorent d’une joli couleur rose, aussi pale que celles des bourgeons de cerisier lorsqu’il lui prend la main pour la guider. sourire discret sur les lèvres, elle fait comme si de rien était alors qu’elle profite du contact. « on peut dire ça comme ça. » dit-elle. faisant en sorte que son bras enfin libéré soit bien visible. « je me suis débarrassée du plâtre tôt ce matin. quand tu m’as envoyé le message, j’étais en train de me motiver pour réviser, mais j’avoue que cette sortie est bien meilleure. » le regard droit devant elle, elle observe le monde ; la vie qui continue malgré tout. « et toi ? » qu’elle demande en tournant sa tête vers lui.
à se demander si les beaux jours sont arrivés - et à l’horizon, les jours gris sont loin derrière elle. gamine qui sort à peine la tête de l’eau, à s’être délesté des doutes qui l’ont emprisonnés pendant quelques jours. et s’être débarrassé de ce plâtre en est un aussi. au fond, ahreum, elle se dit qu’elle était chanceuse que ce ne soit qu’un bras et non une jambe. elle ne se voyait pas dire adieu à la danse aussi brutalement et surtout comme ça.
princesse qui se veut reine de son chemin ;
tiens entre ses mains, le crayon pour tracer son destin.
sourire solaire sur le bout de ses lèvres carmin, elle s’émerveille d’un rien ahreum. demoiselle, passionnée par un tout, elle admire les alentours. rendez-vous de dernière minute et pourtant, la silhouette est drapée si joliment qu’on penserait à un rendez-vous organisé depuis longtemps. index délicat qui s’amuse d’une mèche de cheveux, elle s’amuse à faire gonfler ses joues tandis qu’elle pose toute son attention sur le panneau de publicité.
tercentenary theatre ; et elle ne sait pas ahreum, si c’est l’idée de se perdre dans un parc qui l’enchante ou la personne avec qui elle passera les prochaines heures. sourire mutin peint sur sa bouche, elle hume quelques notes inventées avant de se retourner, détacher son attention du panneau pour le concentrer sur la place. peu de monde en ce jour et elle préfère ça ahreum ; à fuir les foules et les projecteurs depuis quelques temps. à ne pas savoir si il est question d’un traumatisme dû aux récents événements ou à celle de sa rupture avec la scène.
la demoiselle fourre ses mains dans les poches de sa veste. et elle attend.
pas longtemps, juste ce qu’il faut pour faire gronder l’envie d’être à ses côtés. et lorsque sa silhouette se distingue parmi les autres, ahreum fait un signe de main, joyeuse. douce enfant qui inspire l’air frais alors qu’il parle. « tu as de la chance, cet estomac est vide. un certain jeune homme s’est empressé de me sortir de mes révisions pour qu’on se voit » qu’elle laisse entendre, les mains levées vers ce ciel bleu. avant de rire à l’allusion. le regard qui se pose alors sur le sac. « j’ai hâte de découvrir ce repas de roi alors » à se racler discrètement la gorge ; freiner les premiers instincts. ne rien laisser paraître. les joues se colorent d’une joli couleur rose, aussi pale que celles des bourgeons de cerisier lorsqu’il lui prend la main pour la guider. sourire discret sur les lèvres, elle fait comme si de rien était alors qu’elle profite du contact. « on peut dire ça comme ça. » dit-elle. faisant en sorte que son bras enfin libéré soit bien visible. « je me suis débarrassée du plâtre tôt ce matin. quand tu m’as envoyé le message, j’étais en train de me motiver pour réviser, mais j’avoue que cette sortie est bien meilleure. » le regard droit devant elle, elle observe le monde ; la vie qui continue malgré tout. « et toi ? » qu’elle demande en tournant sa tête vers lui.
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Lien du postLun 6 Avr - 14:18
suivre le cours de ton destin sans vraiment savoir où ce dernier va te mener, ça a toujours été ta philosophie de vie. hélas cette dernière avait été mise à mal ces derniers temps. coeur qui voulait prendre le dessus sur l'instinct, dilemme interne qui tourmente ton âme. ton attitude désinvolte cache bien la guerre qui fait rage en toi. t'es doué pour ça. enfouir au plus profond de toi, la négativité qui te ronge trop souvent, quand ce n'est pas les pulsions violentes. sung dans son entièreté n'est clairement pas beau à voir et tu le détestes. alors oui si tu veux ne pas devenir fou, t'as pas le choix que de t'occuper l'esprit. les jeux vidéos ça va bien deux minutes. les révisions, ça devient vite éreintant. et surtout la solitude se fait ressentir. alors ahreum, le rayon de soleil est la meilleure et la plus rationnelle des solutions qui s'offre à toi. rien que de voir sa silhouette se découpait dans l'horizon te rend euphorique. d'ici tu perçois son essence candide si caractéristique. naïveté d'une enfant dans le corps d'une femme. et quand tu penses que t'es en partie responsable de sa transformation, il y a ce sentiment de fierté qui se mélange aux quelques remords. geste enfantin pour clamer sa présence comme si t'étais incapable de la trouver alors que l'énergie qui émane d'elle est assez puissante pour éclairer à des kilomètres à la ronde." pauvre jeune homme, j'espère qu'il ne va pas se faire réprimander pour être un élément perturbateur dans ta vie alors que ses intentions se veulent généreuses. " jamais ô grand jamais, tu oserais être une mauvaise influence sur ce diamant. doigts qui s'enlacent fermement aux siens pour la mener vers une place confortable. regard surpris à la découverte de son plâtre disparu. t'étais beaucoup trop focalisé sur son doux visage, pour relever ce détail." j'espère que tu l'as gardé. c'est un trophée de survivante. " toujours le mot pour dédramatiser cet accident qui aurait pu mener au pire. haussement d'épaules à la question qu'elle te retourne." rien de fou. juste l'ennui qui se profilait à l'horizon. " trouvant un banc libre, tu y emmènes la demoiselle, dépose ta veste pour lui éviter l'humidité des planches en bois." je savais pas ce que tu aimais, alors j'ai pris un peu de tout. sandwich au jambon, au fromage, aux crudités... " que tu annonces en vidant le sac rempli de snacks et sodas en tout genre." de toute façon, faut redonner du muscle à ton bras, donc je fais bien de te gaver. "
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Lien du postMer 8 Avr - 13:37
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demoiselle au coeur mou, à s’attendrir d’un rien, se laisser submerger d’un tout. ahreum sans limites, sans protections. sourire éternel sur la bouche en coeur, les étoiles dans les yeux tandis que ses pensées sont comètes ; elle est poème. brin de femme aux rêves colorés, ambulants, sans forcément les protéger. ((naïve, sûrement un peu cruche))
le coeur vibre à la simple vu de ce garçon ; mis sur son chemin, un peu par hasard. possédant entre ses mains, une partie d’elle. et elle ne semble pas capable de se défaire, impossible pour elle de se dire qu’il ne sera pas là demain, après tout, il lui a fait la promesse. sourire candide, elle rit ahreum. « cela reste à voir, me connaissant, je risque de lui pardonner, il est charmant vois-tu » regard en biais, sourire en coin, elle hausse les épaules ahreum. (si faible) « puis, il a de bons arguments aussi » impossible de lui en vouloir.
main dans la sienne, les doigts liés aux siens et l’enfant prie pour qu’il ne remarque pas les joues colorée ; geste anodin, pourtant, il se laisse embellir par quelques pensées qu’elle tente de réprimer. mais, elle n’y arrive pas. elle n’arrive pas à freiner, cette sensation. de bien être, de vouloir être. à ses côtés, le regarder, l’entendre parler. elle se sent sur la voix de la perdition et la voix de sang la ramène à la réalité. bras libéré, montré comme un trophée. « j’hésite encore j’avoue, il n’a pas que des bons souvenirs » moment encore gravé dans sa mémoire, le sentiment horrible de penser qu’elle aurait pu perdre tellement dans cette tragédie. retournant la question, elle hausse un sourcil. « et quoi de mieux qu’ahreum min pour combler l’ennuie hein » laisse-t-elle entendre, sur le ton de la plaisanterie, tandis qu’elle regarde devant elle, à admirer le décor, les détails. vouloir les graver à jamais dans sa mémoire.
elle se laisse guidée, petite poupée. se mord les lèvres pour éviter de sourire trop fort alors qu’il installe sa veste sur le banc. « sung, t’es pas obligé, tu vas la salir ! » mais il est parti dans la présentation de ce buffet de roi et elle sourit ahreum, il a pensé à tout. « tu sais que chez nous, les filles, la première chose qui grossit c’est les seins et les cuisses ? » à pouffer de rire alors que discrètement, son regard se baisse vers son corps — il lui faudrait quelques formes en plus, sûrement qu’elle ne serait pas assez planche à pain. hélas, elle se refusait de grossir ((idées nocives trop ancrées)) « merci sung » d’être là, d’être avec elle, et de faire ça.
le coeur vibre à la simple vu de ce garçon ; mis sur son chemin, un peu par hasard. possédant entre ses mains, une partie d’elle. et elle ne semble pas capable de se défaire, impossible pour elle de se dire qu’il ne sera pas là demain, après tout, il lui a fait la promesse. sourire candide, elle rit ahreum. « cela reste à voir, me connaissant, je risque de lui pardonner, il est charmant vois-tu » regard en biais, sourire en coin, elle hausse les épaules ahreum. (si faible) « puis, il a de bons arguments aussi » impossible de lui en vouloir.
main dans la sienne, les doigts liés aux siens et l’enfant prie pour qu’il ne remarque pas les joues colorée ; geste anodin, pourtant, il se laisse embellir par quelques pensées qu’elle tente de réprimer. mais, elle n’y arrive pas. elle n’arrive pas à freiner, cette sensation. de bien être, de vouloir être. à ses côtés, le regarder, l’entendre parler. elle se sent sur la voix de la perdition et la voix de sang la ramène à la réalité. bras libéré, montré comme un trophée. « j’hésite encore j’avoue, il n’a pas que des bons souvenirs » moment encore gravé dans sa mémoire, le sentiment horrible de penser qu’elle aurait pu perdre tellement dans cette tragédie. retournant la question, elle hausse un sourcil. « et quoi de mieux qu’ahreum min pour combler l’ennuie hein » laisse-t-elle entendre, sur le ton de la plaisanterie, tandis qu’elle regarde devant elle, à admirer le décor, les détails. vouloir les graver à jamais dans sa mémoire.
elle se laisse guidée, petite poupée. se mord les lèvres pour éviter de sourire trop fort alors qu’il installe sa veste sur le banc. « sung, t’es pas obligé, tu vas la salir ! » mais il est parti dans la présentation de ce buffet de roi et elle sourit ahreum, il a pensé à tout. « tu sais que chez nous, les filles, la première chose qui grossit c’est les seins et les cuisses ? » à pouffer de rire alors que discrètement, son regard se baisse vers son corps — il lui faudrait quelques formes en plus, sûrement qu’elle ne serait pas assez planche à pain. hélas, elle se refusait de grossir ((idées nocives trop ancrées)) « merci sung » d’être là, d’être avec elle, et de faire ça.
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Lien du postSam 11 Avr - 15:40
t'avais toujours eu à coeur que de rendre autrui heureux. ça ne se voit peut être pas sous tes airs condescendants et jemenfoutiste mais le bonheur c'est une valeur importante. un idéal insaisissable mais si tu pouvais aider les autres à s'en rapprocher alors toi même tu gravirais les marches vers ce graal. hélas t'as conscience que tu ne fais pas partie de cette catégorie d'hommes assez bien pour rendre une femme véritablement heureuse. tu traines beaucoup trop de casseroles et de tragédies pour être quelqu'un sur qui on s'appuierait de nombreuses années. tu vivais bien cette idée jusqu'à aujourd'hui, jusqu'à ce que ton coeur demande plus. loin d'être aisé que de faire taire les suppliques de son palpitant mais ahreum faisait parti de ceux qui pouvait facilement panser tes plaies et donner des couleurs à la vie. poupée fragile qui doute bien trop d'elle, non consciente du pouvoir qu'elle a entre ses mains. sourire satisfait lorsqu'elle te pardonne ton péché que de faire d'elle une étudiante indiscipliné.
souvenirs douloureux qu'elle veut abandonner en jetant son plâtre. difficile de lui en vouloir quand bien même tu tentes de lui faire voir le côté positif. se relever après une épreuve comme celle-ci n'est pas donné à tout le monde et pourtant elle en a été capable." tu oserais jeter les oeuvres d'art que j'ai mis tant de temps à dessiner ? " des oeuvres que tu savais éphémères et qui avaient surtout pour but de lui remonter le moral. sauf qu'aujourd'hui, c'était toi qui te reposait sur elle." ben j'avais une longue liste de personnes avec qui passer la journée mais elles n'ont pas répondu. " mensonge à peine voilé sous ton air faussement triste." je plaisante, t'étais la première de la liste. " une évidence. éternel attitude de gentleman lorsqu'il est question de protéger le banc. et tu rejettes sa réflexion d'un signe de main, dévoilant vos victuailles." ben il n''a pas de mal à avoir un peu de gras. " et c'est sans doute une bêtise de dénigrer les filles sveltes au vu de sa condition alors tu te reprends rapidement." enfin je ne dis pas que tu n'es pas attrayante... bref tu m'as compris. " stop les bêtises et les conversations qui peuvent vite mener vers des chemins tortueux." ce n'est pas grand chose. " et déjà tu ouvres un sandwich pour le lui tendre." t'auras sans doute besoin d'énergie lorsque j'aurais fini d'abuser de ta bonté et que tu pourras réviser en paix. " parce que oui t'es parfois un boulet qu'on doit trainer." tu m'excuseras de ne pas avoir préparer ce déjeuner moi même mais je suis loin d'être un cordon bleu. "
souvenirs douloureux qu'elle veut abandonner en jetant son plâtre. difficile de lui en vouloir quand bien même tu tentes de lui faire voir le côté positif. se relever après une épreuve comme celle-ci n'est pas donné à tout le monde et pourtant elle en a été capable." tu oserais jeter les oeuvres d'art que j'ai mis tant de temps à dessiner ? " des oeuvres que tu savais éphémères et qui avaient surtout pour but de lui remonter le moral. sauf qu'aujourd'hui, c'était toi qui te reposait sur elle." ben j'avais une longue liste de personnes avec qui passer la journée mais elles n'ont pas répondu. " mensonge à peine voilé sous ton air faussement triste." je plaisante, t'étais la première de la liste. " une évidence. éternel attitude de gentleman lorsqu'il est question de protéger le banc. et tu rejettes sa réflexion d'un signe de main, dévoilant vos victuailles." ben il n''a pas de mal à avoir un peu de gras. " et c'est sans doute une bêtise de dénigrer les filles sveltes au vu de sa condition alors tu te reprends rapidement." enfin je ne dis pas que tu n'es pas attrayante... bref tu m'as compris. " stop les bêtises et les conversations qui peuvent vite mener vers des chemins tortueux." ce n'est pas grand chose. " et déjà tu ouvres un sandwich pour le lui tendre." t'auras sans doute besoin d'énergie lorsque j'aurais fini d'abuser de ta bonté et que tu pourras réviser en paix. " parce que oui t'es parfois un boulet qu'on doit trainer." tu m'excuseras de ne pas avoir préparer ce déjeuner moi même mais je suis loin d'être un cordon bleu. "
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Lien du postSam 18 Avr - 10:23
[quote="Ahreum Min"]
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elle lève les yeux l’enfant, se mord la lèvre inférieure alors qu’elle hausse les épaules — « ce n’est pas très gentil de vouloir me faire culpabiliser… » minaude-t-elle, en fronçant le bout de son nez. « puis qui ne te dis que je ne les ai pas pris en photo pour les encadrer hm ? » laisse-t-elle entendre en riant timidement. elle avait besoin de rejeter ce plâtre, d’enterrer ce souvenir, mais gamine au grand coeur, attachée aux choses avait pris soin d’immortaliser chaque mot, chaque dessin gravé sur ce plâtre en photos. regard en biais avant que la conversation ne dévie sur les raisons de cette rencontre de dernière minute. sourcil relevé, à jugé les propos dis, elle arbore une mine faussement choquée. sa main libre portée à son cœur alors qu’elle secoue la tête, désapprouvant cette histoire. « je désapprouve cette liste. » gamine capricieuse qui veut être première
((ah, si tu savais ahreum))
vouloir n’est pas avoir ; et tu le sais très bien, non ?
qu’on veut des choses impossibles ?
regard mi-attendri, mi-surpris au geste, elle refuse de s’asseoir sur sa veste. et même si dans les films, elle avait toujours trouvé ça romantique, elle refusait qu’un vêtement soit sale à cause d’elle. « sung » mais il n’écoute pas, balaye la protestation d’un signe de main et elle se mord les lèvres ahreum, pèse le pour et le contre. au pire, elle gardera secrètement la veste pour la ramener au pressing et lui redonner propre. oui, c’est bien, ça comme plan non ?
s’asseyant finalement sur la veste, elle regarde les mets ramenés par le garçon. « en théorie, en pratique, c’est moins sympathique » qu’elle marmonne — pendant longtemps, le gras, les kilos en trop, c’était interdit et malheureusement, l’idée est bien trop ancrée en elle pour qu’elle s’autorise une alimentation de folie. elle sourit, un peu gênée, un peu perdue. pas forcément un compliment à ses yeux, elle laisse son silence répondre. l’observe, l’écoute et timidement, un sourire se dessine sur ses lèvres alors qu’elle attrape le sandwich. « c’est déjà beaucoup, merci. même si ce n’est pas fait main, i mean, tu as fait tout ça pour nous, donc » elle se racle la gorge, détourne son regard avant d’inspirer doucement. les paupières qui se ferment un instant afin de profiter de cet instant présent, vouloir le figé, gravé dans sa mémoire à jamais. quand tout est simple, quand tout est bien. « on a choisi le bon jour non ? » parce qu’il fait beau, le ciel est bleu, dégagé, la brise est douce, il fait bon. « bon appétit » qu’elle dit finalement, approchant le sandwich de ses lèvres pour croquer un morceau. « c’est vraiment bon ! »
((ah, si tu savais ahreum))
vouloir n’est pas avoir ; et tu le sais très bien, non ?
qu’on veut des choses impossibles ?
regard mi-attendri, mi-surpris au geste, elle refuse de s’asseoir sur sa veste. et même si dans les films, elle avait toujours trouvé ça romantique, elle refusait qu’un vêtement soit sale à cause d’elle. « sung » mais il n’écoute pas, balaye la protestation d’un signe de main et elle se mord les lèvres ahreum, pèse le pour et le contre. au pire, elle gardera secrètement la veste pour la ramener au pressing et lui redonner propre. oui, c’est bien, ça comme plan non ?
s’asseyant finalement sur la veste, elle regarde les mets ramenés par le garçon. « en théorie, en pratique, c’est moins sympathique » qu’elle marmonne — pendant longtemps, le gras, les kilos en trop, c’était interdit et malheureusement, l’idée est bien trop ancrée en elle pour qu’elle s’autorise une alimentation de folie. elle sourit, un peu gênée, un peu perdue. pas forcément un compliment à ses yeux, elle laisse son silence répondre. l’observe, l’écoute et timidement, un sourire se dessine sur ses lèvres alors qu’elle attrape le sandwich. « c’est déjà beaucoup, merci. même si ce n’est pas fait main, i mean, tu as fait tout ça pour nous, donc » elle se racle la gorge, détourne son regard avant d’inspirer doucement. les paupières qui se ferment un instant afin de profiter de cet instant présent, vouloir le figé, gravé dans sa mémoire à jamais. quand tout est simple, quand tout est bien. « on a choisi le bon jour non ? » parce qu’il fait beau, le ciel est bleu, dégagé, la brise est douce, il fait bon. « bon appétit » qu’elle dit finalement, approchant le sandwich de ses lèvres pour croquer un morceau. « c’est vraiment bon ! »
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Lien du postDim 26 Avr - 13:56
sociable ne veut pas dire que tu es riche en amis. bien au contraire, ils se comptent sur les doigts d'une main. ce n'est donc pas un mensonge quand tu dis qu'elle est au sommet de la liste. et ce n'est pas parce que tu lui caches encore tes parties les plus sombres, que tu ne lui fais pas confiance. non t'es juste apeurée qu'elle puisse te fuit si elle connaissait tout de toi. et ahreum fait parti de ce cercle que tu veux à tout prix garder auprès de toi, quoiqu'il en coute. quand tu lui as promis de ne pas lui briser le coeur, c'était certes dangereux mais sincère. et tu avais toujours veiller à la protéger. preuve en est lorsque tu préférais salir sa veste plutôt que de lui imposer le banc humide, et ce malgré sa légère protestation. dommage pour elle, elle ne faisait pas le poids face à toi. tes mots étaient quelque peu maladroitement lorsque tu soulignais qu'elle n'avait pas à s'en faire sur quelques kilos en plus. sujet visiblement tabou pour la demoiselle alors tu n'allais pas plus loin, te contentant de t'excuser de ne pas être bon cuisinier." il parait que les étudiants zappent souvent l'étape déjeuner alors je voulais m'assurer que ce n'était pas ton cas. " un déjeuner c'est toujours une bonne excuse pour voir quelqu'un. moitié du sandwich déjà avalé, tu lèves les yeux au ciel. en effet le temps est clément." bientôt on pourra envisager un pique nique à la plage. " ça se voit pas comme ça mais tu apprécies les grands espaces, les bouffées d'oxygène. et t'es parfaitement capable de partir en échappée lorsque les beaux jours arrivent. disparaître quelques jours pour recharger les batteries et revenir comme si de rien n'était. visiblement séduite par le sandwich, tu souris." les plaisirs simples sont souvent les meilleurs. " pas besoin de restaurant 3 étoiles. beaucoup trop superflu. regard qui s'attarde sur son visage. même en picorant dans un sandwich, elle reste délicate. étrangement tu restais muet pour ne pas rompre cet instant précieux.
HJ: sorry c'est nul
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Lien du postMar 28 Avr - 12:59
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« je plaide coupable » qu’elle laisse entendre avec un demi-rire; ahreum, trop souvent en retard, se voyait contraindre (et pas à son plus grand malheur) de sauter le repas du petit-déjeuner. (moins de calories) les mauvaises habitudes sont tenaces — une autre illusion ajoutée à la liste dès lors qu’elle avait quitté le foyer oppressant de sa mère. l’enfant se pensant capable d’ingérer masse de quantité dès sa libération, mais hélas, trop ancrée dans cette tourmente d’être la plus fine à cause de ses années à l’opéra, ce n’était pas le cas. son corps le refusait et son esprit aussi. elle se savait malade ahreum, pourtant, elle ne faisait rien pour arranger la situation. inspirant profondément, elle relève le visage, profite de cet instant présent. « ça doit être sympa » qu’elle murmure. constamment enfermée, entre quatre mus d’une salle, elle se rend compte qu’elle n’est jamais allée à la mer. pas une seule fois dans sa vie. « tu m’y emmèneras ? » à tourner son visage vers celui du garçon, sourire sur le bout de ses lèvres. outre le fait que ce soit en sa compagnie, ahreum sentait son coeur vibrer à l’idée de pouvoir aller à la plage, admirer l’océan. à cet instant précis, c’était devenu un objectif, presque un rêve à réaliser. « c’est vrai. » simple souffle alors qu’elle inspira doucement. c’est en ces moments éphémères qu’elle se pense heureuse ahreum, des petits moments de vie qu’elle chérissait plus que des choses matérielles. elle se met à manger, lentement, le sandwich. consciente qu’elle n’était pas toute seule et qu’elle se devait de garder ce qu’elle mangeait en elle. relevant son visage, son regard s’attarde sur les silhouettes se promenant dans le parc. la tête qui se penche sur le côté, signe qu’elle est en train de réfléchir. « tu veux jouer à un jeu ? » qu’elle demande en se redressant, lui faisant face. « c’est simple et marrant, enfin pour moi, parce que j’y joue souvent toute seule quand je m’ennuie et que je me dis que ma vie est- » elle s’arrête, débit de paroles trop rapide, elle se rend compte de l’idiotie qu’elle allait dire. « enfin bref, passons, on invente des vies aux personnes qu’on voit. » les joues rosies face à la gaffe qu’elle allait faire, elle se détourne et pointe du menton la vieille dame en train de marcher avec deux autres personnes, sa fille probablement avec un enfant. « on a trois générations-là » elle sourit, jamais elle ne pourra avoir ça ahreum. elle déglutit, se racle la gorge. « la vieille dame s’appelle huguette. une grande dame si tu veux mon avis, je suis sûre qu’elle était agent secret dans un autre monde et qu’elle était en couverture ici, mais elle est tombée amoureuse, à eu sa fille, juste là et a décidé de quitter son propre monde pour son enfant. je suis sûre qu’elle était princesse. » elle divague ahreum. imagination débordante.
hj ; mais non c'est parfait chaton
par contre moi, j'suis parti en vrille sorry