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Lien du postSam 7 Mar 2020 - 20:59
Nice to meet youJe soufflais, fatiguée. Le voyage avait été quelque peu pénible. C'est sur que voyageais avec un groupe d'étudiants d'une telle ampleur c'était bruyant. C'est avec émerveillement que nous avions tous découvert l’hôtel dans lequel nous crécherons le temps du voyage. C'était absolument magnifique, habitué au luxe pourtant, c'était clairement loin de mon quotidien quand même. Je découvrais avec grand plaisir ma chambre dans laquelle j'allais vivre seule. Elle était tout aussi magnifique que le reste de l'hôtel. Je posais mes affaires sans vraiment plus d'exploration et me préparais à tester la douche pour la première fois. J'attrapais de quoi et filait rapidement. Je jetais un regard à ma montre et me dépêchais. Ce soir une soirée à thème avait été organisée pour notre arrivée. Et je comptais bien y participé, et même je comptais boire, boire beaucoup et danser jusqu'au petit matin. J'adore faire la fête. J'enfilais une légère robe, blanc cassé, une petite touche de maquillage et je laissais mes cheveux retomber sur sur mes épaules. Dehors il faisait une chaleur étouffante, et il prévoyait presque la même température pour cette nuit.
Quand j'arrivais, la fête débutais doucement. Tout le monde portait de petite tenue voir même, certain, seulement des maillot de bain. Il était vrai que c'était plus judicieux, la fête se déroulant sur la plage. Je souriais à quelques personnes que je connaissais et me dirigeais vers le bar afin de prendre un verre. Mojito s'il te plait ! Je fit un petit sourire en coin au serveur prenais mon verre, me mélangeant au reste du peuple au centre de ce qui servait de piste.
@Alejandro Ortega
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Lien du postSam 7 Mar 2020 - 23:00
Nice to Meet You (Again)
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Alejandro avait déjà été quelques fois au Mexique. Comme Harvard y passait le Spring Break, quelques amis l'avaient invité à faire de même. Pour cet amoureux de la chaleur et de la mer, c'était difficile de refuser. Pour être sincère par contre, ce n'était pas seulement pour la mer, la chaleur ou même ses amis qu'il avait accepté de venir au Mexique. Quand il sut qu'Amélia allait en être, Alejandro comprit qu'il devait y aller aussi. S'il avait pu se contenter de quelques conversations, cafés pris au détour d'un temps libre, douce soirée dans un bar le temps de papoter sur la vie et les projets, il y avait un moment que le beau brun espérait passer plus de temps de... comment dire... qualité avec Amélia. Ce voyage au Mexique était certainement une occasion à saisir.
Oh il sait ce que vous vous dites. C'est encore une de ses flammes, une fille fiancée cette fois et comme bien des fois, il va se brûler ou pire, éteindre la flamme aussitôt consumée. Peut-être, mais d'un autre côté, il n'y a qu'une façon de le savoir, n'est-ce pas.
Suite à l'arrivée au Mexique, il y avait bien sûr une soirée sur la plage, sombrero compris, histoire de bien commencer. Alejandro, loin d'être parmi les premiers arrivés, avait eu droit au fameux chapeau Mexicain et l'avait enfilé avec fierté, renforçant le lien d'attache avec ses cousins. Après tout, fut un temps où le Mexique n'était qu'une colonie du grand empire espagnol. Alejandro finit par se laisser convaincre d'aller danser avec des amis. Tandis qu'il se faisait aller les hanches et chantait, à peu près, quelques bribes du refrain en espagnol, il aperçoit celle qu'il attendait, qu'il avait texté un peu plus tôt. Elle en avait mis du temps. On dit que les belles femmes aiment se faire désirer...
Il abandonne ses partenaires de danse et gagne le bar. Amélia venait à peine de prendre une gorgée à son mojito, qu'Alejandro lui tapote gentiment l'épaule pour qu'elle se retourne. Aussitôt, le bel Espagnol arbore un sourire éclatant et la prend dans ses bras, le temps de la bise au moins. Son corps était déjà chaud, merci température ambiante et alcool combiné, la danse y ajoute sans doute. Heureusement, il a mis un peu de parfum pour homme. Ouais, il est un brin coquet, mais en ce moment, comme il est torse nu, en shorts de bain, sombrero sur la tête, on dirait pas.
-Amélia! Buenas tardes. Comment ça va?
Le hasard ou la providence voulut que son fiancé n'est pas pu venir en voyage. Bien dommage... pour lui.
-Je t'aurais bien payé un verre, mais je vois que tu n'as pas attendu. Comment a été le voyage? Tu es bien installée, jolie chambre?
Habituellement, Alejandro est le genre de mec posé, avec une réserve classe et distingué, le fils de bonne famille quoi. Avec l'alcool, particulièrement la tequila, les barrières tombent vites. De toute façon, Amélia et lui se connaissent. Elle en sait plus sur lui, ses aspirations, sa vision de la vie, que bien de ses ex'.
Oh il sait ce que vous vous dites. C'est encore une de ses flammes, une fille fiancée cette fois et comme bien des fois, il va se brûler ou pire, éteindre la flamme aussitôt consumée. Peut-être, mais d'un autre côté, il n'y a qu'une façon de le savoir, n'est-ce pas.
Suite à l'arrivée au Mexique, il y avait bien sûr une soirée sur la plage, sombrero compris, histoire de bien commencer. Alejandro, loin d'être parmi les premiers arrivés, avait eu droit au fameux chapeau Mexicain et l'avait enfilé avec fierté, renforçant le lien d'attache avec ses cousins. Après tout, fut un temps où le Mexique n'était qu'une colonie du grand empire espagnol. Alejandro finit par se laisser convaincre d'aller danser avec des amis. Tandis qu'il se faisait aller les hanches et chantait, à peu près, quelques bribes du refrain en espagnol, il aperçoit celle qu'il attendait, qu'il avait texté un peu plus tôt. Elle en avait mis du temps. On dit que les belles femmes aiment se faire désirer...
Il abandonne ses partenaires de danse et gagne le bar. Amélia venait à peine de prendre une gorgée à son mojito, qu'Alejandro lui tapote gentiment l'épaule pour qu'elle se retourne. Aussitôt, le bel Espagnol arbore un sourire éclatant et la prend dans ses bras, le temps de la bise au moins. Son corps était déjà chaud, merci température ambiante et alcool combiné, la danse y ajoute sans doute. Heureusement, il a mis un peu de parfum pour homme. Ouais, il est un brin coquet, mais en ce moment, comme il est torse nu, en shorts de bain, sombrero sur la tête, on dirait pas.
-Amélia! Buenas tardes. Comment ça va?
Le hasard ou la providence voulut que son fiancé n'est pas pu venir en voyage. Bien dommage... pour lui.
-Je t'aurais bien payé un verre, mais je vois que tu n'as pas attendu. Comment a été le voyage? Tu es bien installée, jolie chambre?
Habituellement, Alejandro est le genre de mec posé, avec une réserve classe et distingué, le fils de bonne famille quoi. Avec l'alcool, particulièrement la tequila, les barrières tombent vites. De toute façon, Amélia et lui se connaissent. Elle en sait plus sur lui, ses aspirations, sa vision de la vie, que bien de ses ex'.
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Lien du postSam 7 Mar 2020 - 23:42
Nice to meet youAlors qu'Amélia s'apprêtait à rejoindre la piste pour danser au milieu de tous ces faux mexicains, elle fut hélé entre deux personnes. Elle ne reconnut pas tout de suite son interlocuteur, trop peu attentif. Cependant elle le reconnut rapidement et même si elle n'afficha qu'un sourire courtois, au fond d'elle c'est de toute ses dents qu'elle souriait. Elle avait secrètement espéré le croiser depuis leur départ de Boston, en vain. Elle avait l'impression que ça faisait une éternité qu'elle ne l'avais pas vue. Elle était réellement heureuse de le voir et quand elle le vit torse nue avec le fameux sombrero sur la tête, elle se dit au fond d'elle que c'était bien rare de le voir habillé de cette façons, dans ses souvenirs c'était loin d'être dans ses habitudes. Elle l’étreigna rapidement à son tour avant de se reculer. Bonsoir Alejandro. Je vais bien merci et toi? C'est un plaisir de te revoir. C'était complètement vrai, depuis qu'elle avait sut qu'il se rendait également au Mexique pour profité du Spring Break avec ses amis encore étudiants, elle n'avait cessé de penser à lui et surtout à tout les bons moments qu'ils avaient eu lors de son séjour à New York. Elle en était nostalgique. Et tellement impatiente qu'elle n'avait quasiment pas pensé à son fiancé resté à Boston, qui n'avait malheureusement pas put venir. Bien qu'elle en avait été quelque peu déçu au départ, maintenant elle l'était beaucoup moins, heureuse de pouvoir revoir Alejandro sans susciter de jalousie et de questionnement plus embêtant qu'autre choses. Elle rit et leva son verre comme pour appuyer ses dires. Et non Al, tu devrais te rappeler que je n'attends jamais personne pour boire un coup ! Le voyage était trop long à mon goût mais ça en vaux carrément la peine d'après moi, l'hôtel et tout ce qui s'y trouve est absolument magnifique. Et toi alors, comme était le voyage et comment trouves tu le paysage? Elle lui fit un clin d'oeil et avala une gorgée de sa boisson. Elle grimaça en constatant que la musique était trop forte pour que la conversation sois agréable. Elle lui fit un signe de tête et l'entraina quelques mètres plus loin. Là c'est mieux on s'entendait pas la bas !
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Lien du postSam 7 Mar 2020 - 23:58
Nice to Meet You (Again)
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Alejandro est chaleureux. Oh, pas avec n'importe qui, mais ouais, il fait un peu stéréotype espagnol. En même temps, on affirme sa culture ou pas han! Reste qu'avec des amis, des proches, oui, il est à l'aise et puis, c'est les vacances quoi, il ne faut pas être si sérieux. Le beau brun avait donc pris la belle blonde dans ses bras et ils se font la bise et après, il ne pouvait que plonger son regard dans celui bleuté d'Amélia et trouver son accent britannique trop craquant tandis qu'elle lui disait quelques politesses. Ah les Anglaises...
-Plaisir partagé senorita. Comme tu peux le voir, je suis... en forme!
Et un peu pompette. Quand elle le surnomme Al', il sourit en coin. Habituellement, il n'aime pas trop qu'on le surnomme, il a un prénom après tout, baptisé vis à vis Dieu, mais avec Amélia, cela passe. Réflexe saxon: un mot n'est jamais trop court. Bien en verbe, il allait répondre un truc, mais la belle blonde l'attire un brin plus à l'écart de la musique et des danseurs. Ici, la brise du large les atteignait un peu plus. Alejandro enlève son sombrero, juste le temps de se passer une main dans les cheveux, avant de le remettre.
-Vrai qu'ici, c'est plus adéquat pour discuter.
Comment dire à Amélia qu'il a envie de boire, danser avec elle, pas forcément de discuter, comme ils ont déjà tant fait? En même temps, il y avait à répliquer dans ce qu'elle a demandé un peu plus tôt et Alejandro, tout juriste qu'il est, se fait un devoir de répliquer, argumenter.
-Tu parlais de ce qui est magnifique. Est-ce que moi, arborant un sombrero, soy magnifico?
Faut voir le beau brun se redresser, le dos bien droit, le menton levé un brin, l'air fier, les abdos en valeur, sur lesquels glissent justement sa main. Et ce petit regard, étincelant, qui guette la réaction d'Amélia... Bien sûr, il rigolait, pas si imbu de lui-même.
-C'est vrai que c'est un peu long, moins quand même qu'un vol Boston-Londres je crois? Avoir eu des folies de grandeur, je serais descendu ici en voilier, mais... j'ai opté pour l'avion aussi, au risque d'attraper le corona-virus. Pour ce qui est du paysage, première chose j'ai fait en débarquant de l'avion: surfer! J'ai emmené ma planche toute neuve. Je t'en ai parlé je pense? Une amie à moi l'a peinte.
Il en était bien fier bien sûr.
-Plaisir partagé senorita. Comme tu peux le voir, je suis... en forme!
Et un peu pompette. Quand elle le surnomme Al', il sourit en coin. Habituellement, il n'aime pas trop qu'on le surnomme, il a un prénom après tout, baptisé vis à vis Dieu, mais avec Amélia, cela passe. Réflexe saxon: un mot n'est jamais trop court. Bien en verbe, il allait répondre un truc, mais la belle blonde l'attire un brin plus à l'écart de la musique et des danseurs. Ici, la brise du large les atteignait un peu plus. Alejandro enlève son sombrero, juste le temps de se passer une main dans les cheveux, avant de le remettre.
-Vrai qu'ici, c'est plus adéquat pour discuter.
Comment dire à Amélia qu'il a envie de boire, danser avec elle, pas forcément de discuter, comme ils ont déjà tant fait? En même temps, il y avait à répliquer dans ce qu'elle a demandé un peu plus tôt et Alejandro, tout juriste qu'il est, se fait un devoir de répliquer, argumenter.
-Tu parlais de ce qui est magnifique. Est-ce que moi, arborant un sombrero, soy magnifico?
Faut voir le beau brun se redresser, le dos bien droit, le menton levé un brin, l'air fier, les abdos en valeur, sur lesquels glissent justement sa main. Et ce petit regard, étincelant, qui guette la réaction d'Amélia... Bien sûr, il rigolait, pas si imbu de lui-même.
-C'est vrai que c'est un peu long, moins quand même qu'un vol Boston-Londres je crois? Avoir eu des folies de grandeur, je serais descendu ici en voilier, mais... j'ai opté pour l'avion aussi, au risque d'attraper le corona-virus. Pour ce qui est du paysage, première chose j'ai fait en débarquant de l'avion: surfer! J'ai emmené ma planche toute neuve. Je t'en ai parlé je pense? Une amie à moi l'a peinte.
Il en était bien fier bien sûr.
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Lien du postDim 8 Mar 2020 - 0:32
Nice to meet youElle avait sourit quand il lui avait annoncé être en forme. Vrai, elle n'avait jamais connu Alejandro autrement que en forme. Il était toujours aussi beau et encore plus torse-nu. Et même ses cheveux tout en bataille qu'elle aperçu que quelques secondes lui donnaient ce petit côté latino qui n'appartenant qu'à lui et qui lui plaisait tant. Au fond d'elle, elle rit et se réprimanda, elle était engagé. Mais elle ne pouvait s'en empêcher, ça faisait partit de son côté espiègle bien que finalement c'était toujours son côté rangé qui dominait toute les situations. Et en parlant de ça il avait plutôt l'air d'accord avec elle, comme si il avait lu dans ses pensées. Mais bien sûr Al que c'est toi le plus beau, elle rit prenant un air moqueur. Elle savait très bien que ce n'était pas le genre de mec à se prendre au sérieux. Elle acquiesa quand il mentionna le vol Boston-Londres, elle l'avait que trop bien fait pour savoir que ça n'avait absolument rien à voir, elle ne supportait pas réellement les longs trajets d'avions, elle s'en accommodait seulement lorsqu'elle n'avait pas le choix. Oh la ne m'en parle pas, ce vol me sors par les troues de nez si tu veux savoir ! Elle fit mine de se secouer, comme horrifié avant de rire. Elle aimait bien faire le clown. C'est comme des petites étoiles dans les yeux qui se mirent à briller lorsqu'il mentionna le bateau. Bateau se résumait par voyage pour elle, elle l'enviait tellement pour ça. C'est aussi ce qui les avaient rapproché, leur passion commune pour de nouveaux horizons. Amélia aurait adoré faire ce trajet en bateau. Avec lui de surcroit. Il avait des tas de choses en communs qu'elle était persuadé que la cohabitation serait forcément extraordinaire. Elle roula des yeux lorsqu'il mentionna le coronavirus. Ce n'était pas eux qui craignait avec ce virus. Oh et alors comment était les vagues? Elle ne se rappelait que vaguement de cette histoire de peinture, de planche et d'amie. Bien qu'elle avait hâte de voir ce chef d’œuvre qu'il avait l'air d'adorer c'était sûrement pas cette partit de l'histoire qui l'intéressait le plus. Elle ce qui intéressait le plus c'était de savoir si il avait une femme dans sa vie. Après tout ils ne parlaient que rarement de ça. Lui savait qu'elle était fiancé, elle ne posais pas de questions. Elle préféra garder sous silence cette partie de l'histoire. Je crois que tu m'en as vaguement parlé, faudra que tu me montre à l'occasion ! En tout cas ça lui faisait plaisir de le voir comme ça toujours aussi gentil, agréable et chaleureux
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Lien du postDim 8 Mar 2020 - 6:13
Nice to Meet You (Again)
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Alejandro est certes plutôt habitué aux compliments, après tout, il sait de quoi il a l'air et il n'est pas l'intelligence d'une roche non plus, mais venant d'Amélia, c'était encore un peu plus apprécié. Même si c'était dit sur un ton léger. Le beau brun joua le jeu.
-Arrêtes, tu vas me faire rougir. Une demoiselle aussi jolie que toi, dire que je suis le plus beau des hommes... c'est trop!
Habitué lui aussi des vols transatlantiques, après tout, il doit se rendre en Espagne assez souvent dans une année, il sait ce que c'est et en comparaison, ce vol États-Unis - Mexique était plutôt court. Ceci dit, il a beau faire, Alejandro n'est pas un grand fan de l'avion. Il rigole donc quand la jeune femme lui dit que son vol lui sort par... les trous de nez?
-Mais qu'est-ce que tu viens de dire là? C'est une expression anglaise? Je ne l'avais jamais entendu!
Il avait quand même saisi le sens. Et oui, Alejandro possède un voilier, un Cal 39 nommé Nadina. Le genre de petit voilier dans lequel on peut faire le tour du monde et mine de rien, l'Espagnol a bien des milles nautiques à son compte. Faudra d'ailleurs qu'il emmène Amélia faire de la voile, à Cape Cod ou à Martha's Vineyard, quand le temps sera plus clément, si elle veut bien.
-Pas mal, ce ne sont pas les vagues d'Hawaï, mais elles sont quand même bien. Je vais t'avouer que j'étais un peu rouillé. Je n'avais pas surfé depuis... oh... les fêtes je pense.
Les réflexes sont toujours là, mais moins vifs. C'est vrai qu'Alejandro est discret sur sa vie personnelle, intime. Ceci dit, il ne cachait pas que ces temps-ci, il était le célibataire typique: une ou deux partenaires d'un soir ici et là, une "amie" et puis... voilà.
-Elle est dans ma chambre, j'ose pas la laisser en bas. Bref, je te montre quand tu veux.
Son regard posé sur elle, une petite gorgée d'alcool et le beau brun se souvient ainsi, comme d'une évidence qu'on ne peut oublier, qu'Amélia lui plait. Physiquement, bien sûr, mais pas que. Il n'y a rien à faire, c'est pratiquement chimique.
-Ce serait bien de faire un truc tous les deux durant le voyage en tout cas. Je veux dire... pas nécessairement juste tous les deux, ça peut, mais genre, une activité, un truc.
Pourquoi il hésite comme cela? Ce n'est pas lui, d'habitude, il est tout serein.
-Arrêtes, tu vas me faire rougir. Une demoiselle aussi jolie que toi, dire que je suis le plus beau des hommes... c'est trop!
Habitué lui aussi des vols transatlantiques, après tout, il doit se rendre en Espagne assez souvent dans une année, il sait ce que c'est et en comparaison, ce vol États-Unis - Mexique était plutôt court. Ceci dit, il a beau faire, Alejandro n'est pas un grand fan de l'avion. Il rigole donc quand la jeune femme lui dit que son vol lui sort par... les trous de nez?
-Mais qu'est-ce que tu viens de dire là? C'est une expression anglaise? Je ne l'avais jamais entendu!
Il avait quand même saisi le sens. Et oui, Alejandro possède un voilier, un Cal 39 nommé Nadina. Le genre de petit voilier dans lequel on peut faire le tour du monde et mine de rien, l'Espagnol a bien des milles nautiques à son compte. Faudra d'ailleurs qu'il emmène Amélia faire de la voile, à Cape Cod ou à Martha's Vineyard, quand le temps sera plus clément, si elle veut bien.
-Pas mal, ce ne sont pas les vagues d'Hawaï, mais elles sont quand même bien. Je vais t'avouer que j'étais un peu rouillé. Je n'avais pas surfé depuis... oh... les fêtes je pense.
Les réflexes sont toujours là, mais moins vifs. C'est vrai qu'Alejandro est discret sur sa vie personnelle, intime. Ceci dit, il ne cachait pas que ces temps-ci, il était le célibataire typique: une ou deux partenaires d'un soir ici et là, une "amie" et puis... voilà.
-Elle est dans ma chambre, j'ose pas la laisser en bas. Bref, je te montre quand tu veux.
Son regard posé sur elle, une petite gorgée d'alcool et le beau brun se souvient ainsi, comme d'une évidence qu'on ne peut oublier, qu'Amélia lui plait. Physiquement, bien sûr, mais pas que. Il n'y a rien à faire, c'est pratiquement chimique.
-Ce serait bien de faire un truc tous les deux durant le voyage en tout cas. Je veux dire... pas nécessairement juste tous les deux, ça peut, mais genre, une activité, un truc.
Pourquoi il hésite comme cela? Ce n'est pas lui, d'habitude, il est tout serein.
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Lien du postDim 8 Mar 2020 - 13:11
Nice to meet youElle avait souri et roulé des yeux quand il lui avait retourné le compliment de la même façon qu'elle l'avait fait plus tôt. Ce petit compliment bien que voilé derrière de la rigolade lui fit largement plaisir, surtout venant de lui. Alors qu'elle lui parlait de son point de vue sur le vol Londres-Boston elle explosa de dire, se rendant compte qu'elle avait encore sortit une de ces expressions farfelues qu'elle aimait tant utiliser. Pour une fois ce n'était pas une expression anglaise mais bien une expression française qu'elle avait un jour entendu lors d'un séjour en France. Elle l'avait trouvé tellement original qu'elle l'avait gardé. C'est une expression française l'ami, ce signifie que je ne peux plus le supporter ! Elle lui expliqua rapidement le sens de sa phrase bien qu'il avait certainement compris le sens. Au début elle avait trouvé cette expression étrange, un peu dégoutante même mais finalement son originalité lui avait plu et elle l'avait traduit à sa manière. Elle acquiesça, elle avait très envie de la voir. Amélia savait surfer mais elle restait débutante loin du niveau du jeune homme. Surtout elle n'en avait pas et ne surfait que rarement, une ou deux fois par an lors des congés. Elle se dit que peut-être il lui donnerait un petit coup de main, il y a largement de quoi surfer ici. Avec grand plaisir, si j'arrives à m'en dégoter une on se retrouvera sur les vagues ! Elle lui fit un clin d'oeil. Elle savait que tout ça c'était lui, comme une définition. Elle se mordit les lèvres quand elle entendit sa proposition et l'hésitation qu'il avait mis dans la création de sa phrase. Elle sentit une chaleur s'insinuait dans son bas-ventre, peut-être ne serait-ce que dû à l'alcool mais elle espérait que c'était autre chose qu'une simple activité entre ami. Même après les heures de complicité qu'ils avaient eu que ce soit seulement par téléphone ou en face à New York elle arrivait tout de même à douter. Au fond d'elle elle savait que si elle n'était pas déjà fiancée à quelqu'un d'autre, ça serait déjà plié et elle l'aurait mis dans son lit depuis longtemps. Il lui plaisait clairement, pas que physiquement mais lui tout entier. Elle ne montra pas un centimètre de ce qui se tramait au fond d'elle. Bien sûr avec plaisir Al ! On devrait bien trouver un catamaran à louer dans le coin. Qu'est-ce que tu en dis ? Je pense qu'il doit y avoir quelques îles dans le coin. Elle sourit, quelques peu gêné.
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Lien du postDim 8 Mar 2020 - 16:37
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Alejandro a été plusieurs fois en France, il en maîtrise même la langue, qu'il n'a pas eu la chance de pratiquer depuis un moment ceci dit, mais qu'importe. Pour autant, il ne connaissait pas l'expression qu'Amélia venait de littéralement... sortir. L'Espagnol prit un air:
-Oh, d'accord, on sort des expressions françaises raffinés. J'en ai le cœur qui bat la chamade.
Dit-il en français, lui aussi capable d'aligner des expressions de France. S'il faut qu'Amélia se mette à lui parler en français, avec son joli accent anglais et tout, danger quoi. Un homme a ses limites.
Parti à l'écart pour poursuivre leurs discussions, ils échangeaient sur leur arrivée, le premier jour. Alejandro et la mer, c'est une grande histoire d'amour. Comme en amour, il n'a pas toujours été raisonnable, ni très prudent, mais il y retourne toujours, à la mer. Il ne se verrait pas vivre ailleurs qu'au bord de l'eau.
-Ce serait super. J'ai vu un kiosque où ils en louent.
Clairement, ils devront se réserver une journée. Mine de rien, petit à petit, les vacances prenaient forme ou en tout cas, leur plan de match. Amélia, lui, à voguer sur un catamaran et se trouver une petite île. Cela lui rappeler d'autres belles aventures passées, avec Orlane ou encore Harper.
-Je pense que c'est une bonne idée. On pourrait se rendre à Acumal, l'île aux tortues. Par contre, faudra que tu sois prête à te casser un ongle, je ne vais pas piloter le catamaran tout seul.
Dit-il pour la taquiner. Alejandro avait hâte de voir quand même comment elle se débrouille. Ils ont beaucoup parler de voyage, d'aventure tous les deux, mais ils n'en ont jamais vécu une ensemble. Semblerait que c'est bien ce qui va se produire. Pour une raison ou une autre, Alejandro était pris d'excitation, mais un brin de crainte aussi.
-Oh, d'accord, on sort des expressions françaises raffinés. J'en ai le cœur qui bat la chamade.
Dit-il en français, lui aussi capable d'aligner des expressions de France. S'il faut qu'Amélia se mette à lui parler en français, avec son joli accent anglais et tout, danger quoi. Un homme a ses limites.
Parti à l'écart pour poursuivre leurs discussions, ils échangeaient sur leur arrivée, le premier jour. Alejandro et la mer, c'est une grande histoire d'amour. Comme en amour, il n'a pas toujours été raisonnable, ni très prudent, mais il y retourne toujours, à la mer. Il ne se verrait pas vivre ailleurs qu'au bord de l'eau.
-Ce serait super. J'ai vu un kiosque où ils en louent.
Clairement, ils devront se réserver une journée. Mine de rien, petit à petit, les vacances prenaient forme ou en tout cas, leur plan de match. Amélia, lui, à voguer sur un catamaran et se trouver une petite île. Cela lui rappeler d'autres belles aventures passées, avec Orlane ou encore Harper.
-Je pense que c'est une bonne idée. On pourrait se rendre à Acumal, l'île aux tortues. Par contre, faudra que tu sois prête à te casser un ongle, je ne vais pas piloter le catamaran tout seul.
Dit-il pour la taquiner. Alejandro avait hâte de voir quand même comment elle se débrouille. Ils ont beaucoup parler de voyage, d'aventure tous les deux, mais ils n'en ont jamais vécu une ensemble. Semblerait que c'est bien ce qui va se produire. Pour une raison ou une autre, Alejandro était pris d'excitation, mais un brin de crainte aussi.
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Lien du postDim 8 Mar 2020 - 22:21
Nice to meet youElle rit quand il parla français et ne put s'empêcher de trouver ça carrément sexy avec son accent espagnol sur le bout de la langue. Si ça n'avait pas été bizarre elle lui aurait demandé de recommencer. Mais qu'est-ce que tu parles bien mon cher Alejandro ! Mais ce qu'elle adorait le plus c'était clairement lorsqu'il parlait espagnol. C'était tellement...solaire. Oui le mot c’est solaire. Ça respire la chaleur et l'été l'espagnol.
Elle aimait bien le surf et ça lui faisait plaisir d'en faire. Ce qu'elle aimait le plus là-dedans en réalité c'est le chef d’œuvre que devenait une planche une fois peinte. Elle trouvait ça tellement fascinant et même si ça paraissait bizarre elle aimait 100 fois mieux surfer avec une belle blanche qu'une planche toute banale. Comme le ski, comme le snowboard. L'esthétique avant tout. Super, j'ai déjà hâte alors. Elle avait hâte d'aller choisir sa planche mais aussi hâte de passer un peu de temps avec Alejandro ailleurs que sur une plage bondé de monde et de la musique un peu trop forte.
Des petites étoiles dans les yeux fit leurs petits chemins lorsqu'il lui parla de l'île aux tortues. C'était une excellente idée et elle en était ravie. Elle avait déjà entendu parler de la Baie d'Akumal, il paraît que c'est un super coin pour faire du snorkeling avec les tortues. Elle avait carrément hâte d'y être. Tu parles c'est moi qui vais te conduire oui ! Ça c'est un super plan j'ai vraiment hâte ! S’il fait beau ça te dit qu'on y aille demain ? Elle était carrément impatiente d'y aller. Si elle avait pu elle y serait aller sur le champ. Lui qui n'avait cessé de la faire rêver avec ses voyages voilà que maintenant c'était leur moment à tous les deux.
Elle prit une gorgé de son verre mais elle se sentit bien bête quand elle se rendit compte qu'il était complètement vide. Il lui en fallait un autre. Elle jeta un coup d’œil au bar mais c'était remplis de gens déjà à moitié bourré qui s’agglutinaient. Elle n'avait pas vraiment envie d'y retourner. Elle regarda autour d'elle mais ne trouvais pas vraiment de solution et elle était bien déterminé à reboire un coup. Est-ce que ça te dit qu'on aille à l'hôtel? Pour boire un coup. Elle s'était sentie obligé de rajouter ce dernier mot, tout en se triturant la bague sur son annulaire gauche. Elle s'en voulait un peu par rapport à son fiancé mais elle se rendait compte qu'elle était plus excitée de passer un moment en mer avec Alejandro plutôt que de passer un moment avec le soi-disant homme de sa vie...
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Lien du postDim 8 Mar 2020 - 22:37
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— with AMELIA
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Alejandro a tout pour lui. On lui a si souvent dit que cela a fini un peu par lui monter à la tête, pendant un temps. Son temps à Harvard l'a rendu plus modeste, plus capable de laisser-aller et de moins s'acharner à atteindre cet idéal de perfection qu'il s'était mis comme standard. Comme si le fait d'être beau, riche et intelligent lui interdisait la moindre hésitation, le moindre échec. C'est dans cette quête qu'il s'était donné la peine d'apprendre, en plus de l'anglais, le portugais, surtout grâce à une copine portugaise connue à Barcelone, l'italien et aussi le français. Pour lui, dans le monde moderne, simplement parler anglais est insuffisant. Ceci dit, il aurait mieux fait d'apprendre le mandarin peut-être bien.
En tout cas, Amélia aime la petite démonstration, il le sent tout de suite à son regard, très capable de le détecter. Elle ne serait pas la première qui aime bien l'entendre parler une langue ou une autre. Cette fois, le beau brun se la joua modeste.
-Merci, c'est gentil.
Avec un petit air timide en bonus. Puisqu'ils sont tranquilles, ils font un peu le planning de leur séjour au Yucatan. Après tout, il faut s'occuper. Le surf sera au programme, mais il est bientôt question aussi d'aller à Akumal. Naturellement, elle rebondit sur sa taquinerie.
-Dès demain? Si, si, pourquoi pas. Hâte de voir comment tu vas... comment tu as dit? Me conduire?
Il ne peut s'empêcher de rigoler, mais quelque chose lui dit qu'Amélia a quelques talents cachés et qu'il ferait mieux de ne pas la sous-estimer. Ils verront cela demain. Mine de rien, il y avait un moment qu'ils discutaient et la fête non loin battait son plein et leurs verres étaient vides. Grace suggère qu'ils rentrent et c'est une idée intéressante. Il remarque qu'elle joue avec sa bague et fait un doux sourire. Il pouvait comprendre que tout cela la rende un peu, enfin... voilà. Lui aussi a quelques sentiments mitigés, mais son instinct d'Ortega reprend vite le dessus.
On ne va pas danser avant? Aller, une danse et après, si, je te raccompagne à l'hôtel. J'ai un minibar à ma chambre, on pourra se faire des petits drinks.
À moins qu'elle ne préfère le lobby de l'hôtel, mais avant toute chose et confiant qu'elle accepterait, il prend la main de la belle blonde après avoir abandonné son verre et l'entraînait pour danser. Juste le temps d'une danse, d'une chanson, promis, juré, craché.
En tout cas, Amélia aime la petite démonstration, il le sent tout de suite à son regard, très capable de le détecter. Elle ne serait pas la première qui aime bien l'entendre parler une langue ou une autre. Cette fois, le beau brun se la joua modeste.
-Merci, c'est gentil.
Avec un petit air timide en bonus. Puisqu'ils sont tranquilles, ils font un peu le planning de leur séjour au Yucatan. Après tout, il faut s'occuper. Le surf sera au programme, mais il est bientôt question aussi d'aller à Akumal. Naturellement, elle rebondit sur sa taquinerie.
-Dès demain? Si, si, pourquoi pas. Hâte de voir comment tu vas... comment tu as dit? Me conduire?
Il ne peut s'empêcher de rigoler, mais quelque chose lui dit qu'Amélia a quelques talents cachés et qu'il ferait mieux de ne pas la sous-estimer. Ils verront cela demain. Mine de rien, il y avait un moment qu'ils discutaient et la fête non loin battait son plein et leurs verres étaient vides. Grace suggère qu'ils rentrent et c'est une idée intéressante. Il remarque qu'elle joue avec sa bague et fait un doux sourire. Il pouvait comprendre que tout cela la rende un peu, enfin... voilà. Lui aussi a quelques sentiments mitigés, mais son instinct d'Ortega reprend vite le dessus.
On ne va pas danser avant? Aller, une danse et après, si, je te raccompagne à l'hôtel. J'ai un minibar à ma chambre, on pourra se faire des petits drinks.
À moins qu'elle ne préfère le lobby de l'hôtel, mais avant toute chose et confiant qu'elle accepterait, il prend la main de la belle blonde après avoir abandonné son verre et l'entraînait pour danser. Juste le temps d'une danse, d'une chanson, promis, juré, craché.
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