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I LOVE HARVARD
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    I want you to know. Feat Neal
    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    Lukas O. Spritz-HoodLove Shot
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Lukas O. Spritz-Hood
    Love Shot
    Informations
    Âge : 29
    Lieu de naissance : St Pettersbourg
    Quartier.s d'habitation & Colocation : dans une maison en à Winthrop en compagnie de Neal
    Situation sentimentale : Marié à Neal
    Études & Métiers : Gérant et propriétaire du SunRock
    Date d'inscription : 13/11/2019
    Pseudo & pronom IRL : Babs
    Icon : Piou
    Avatar utilisé : Finn Cole
    Crédits : Bab: iconn, giff, Joemaw: ava
    Multicomptes : /.
    Description un :

    I want you to know. Feat Neal - Page 2 210307011101321484 I want you to know. Feat Neal - Page 2 210307011100239403 I want you to know. Feat Neal - Page 2 210307011132892730
    LUKAS OWEN SPRITZ
    ✧ ✦ ✧
    ” who is he "
    Loyal ✦ Unique✦ Kafkaïen ✦ Altruiste ✦ Saltimbanque ✦ Optimiste ✦ Waouh ✦ Enthousiaste ✦ Nuancé ✦ Spontané ✦ Passionné ✦ Résilient ✦ Inspiré ✦ Tendre ✦ Zen

    ✧ ✦ ✧

    I want you to know. Feat Neal - Page 2 210307010918770936 I want you to know. Feat Neal - Page 2 210307011001575388 I want you to know. Feat Neal - Page 2 210307011002251164
    ” if you need more "

    ✦ Né à Saint Petersbourg le 6 Mars 1995 ✦ Fils de Léna Ballerine Russe et d’Alessio Architecte Italien ✦ A suivis sa mère lors de toutes ses représentations autour du monde ✦ S'inspire depuis toujours de ses voyages pour composer de nouvelles chansons, de nouveaux écrits ✦ Reçoit son premier instrument à 5 ans un accordéon, qu'il maîtrise parfaitement ✦ Joue de la guitare depuis ses 15 ans, sa première guitare s'appelle Nadia, du nom de sa meilleure amie à l'époque ✦ A une grande collection d'instrument de musique rare exposé dans l'appartement de ses parent à NYC ✦ A vingt ans il fait le pari de vivre une année sans carte bleu et sans aide de personne, il vivra à la rue sept mois avant de terminer son expérience à l'hôpital pour une pneumopathie ✦ Devient accro à la clope ✦ A découvert un relation extra conjugal de son père avec la mère de son meilleur ami ✦ Sa première fois fus en 2011 avec Nadia sa meilleure amie à l'époque ça a tout brisé en eux ✦ A étudié trois ans à l'Institut de littérature Maxime Gorki à Moscou ✦ Tous les 24 Décembre au soir il assiste à un concert d'orchestre symphonique ✦ Est devenu claustrophobe après avoir été enfermé par d'autres enfants dans un placard ✦ Pratique le langage des signes, son préféré: Histoire ✦ Son chat est un Main Coon Meeko ✦ A une démarche personnel pour le zéro déchet ✦ Se pose la question de rejoindre Youth for Climate ✦ Boycott les grandes enseignes et essaye le vrac autant que possible ✦ Est un homme de valeur, sa vie est régie par des règles d'ors ✦ Prend son temps pour TOUT, il veut connaître, savoir pour comprendre ✦ Ne couche pas le premier soir, et ne couche pas tant qu'il ne connaît pas ✦ Ne sais pas se battre mais s'interpose toujours lors d'une agression, même au risque de sa vie ✦ Exprime ses émotions et pour lui ce n'est pas une faiblesse que de pleurer ✦ L'écriture est un exutoire, il y dépose tout ✦ Un homme entier et prêt à tout pour ceux qu'il aime ✦ Après chaque voyage il ramène une bouteille d'alcool typique de la région visitée, elle sera consommé avec Naëlle exclusivement ✦ Ouvre un Meetssenger professionnel en juin pour partager ses enregistrements ✦ A la rentrée 2020 il arrête ses études de littérature pour prendre la musique en majeur ✦ Se met en couple avec Neal à la rentrée de manière exclusive ✦ Subit une agression lors du saccage de son studio d'enregistrement, il ressort avec des côtés cassé, un plâtre, des ecchymoses ✦ S'inscrit au concours de talent auquel il est sélectionné ✦ Accepte les clés que l'appartement de son père qu'il lui à acheté ✦ A été le premier enlevé par Keith en octobre, retrouvé en fin de mois il souffre de cauchemars, et d'angoisse. A des difficultés à se remettre à la musique et à l'écriture. ✦ Le retour à la réalité est difficile passe plusieurs à l'hôpital, avant d'emménager chez Neal ✦ N'obtiendra pas son semestre ✦ Ouvre le SunRock avec Lana le 29 janvier 2021 ✦ Offre à Neal la bague de sa mère lors de la saint valentin en signe d’être toujours là pour lui qu’importe la direction que prendra la relation ✦ Naissance d’Aurore le 20 février 2021✦ ✦ Reçoit une lettre des organisateurs de Coachella le jour de son anniversaire: le SunRock y est invité ✦ Remonte sur scéne pour la première vrai fois et pleinement au Spring Break ✦ Montra sur scéne à Coachella ✦ Futur parrain de bébé de Gemma ✦ Accepte le demande en "mariage" de Neal ✦ ✦ Se renseigne pour l'adoption d'Aurore ✦ Vis mal la perte de mémoire de Neal ✦ Demande à sa cousine Kira de venir en renfort fin mai pour m'aider à gérer le SunRock ✦ Part en Road trip avec Katalia courant juin ✦ Décide de changer d'appartement avec Neal et de lancer le mariage quand celui ci retrouve ses souvenirs ✦ Monte sur Scéne à Lollapalooza en Juillet à Chicago ✦ Part au Summer Camp en Aout ✦ Se foule la cheville à la fin du Summer Camp ✦ Mariage le 7 Novembre ✦ Achat d'une maison à Winthrop ✦ Invité par Aaron et Eros pour Thanksgiving ✦ S'occupe d'Aurore en compagnie de Neal parce que Summer est à l'hôpital ✦ Organise avec Lana un week end à la montagne pour les un ans du SunRock en compagnie de tout les employés ✦ Frappe un homme qui viens l'embrasser sans autorisation lors du Kiss Killer à Coachella ✦ Est Co président au Summer Camp 2022 ✦ Se fait agresser et crois
    avoir perdu sa chaine qui comprend sa bague de fiançailles ✦ Sort de la bagarre avec de nombreux bleu aux visage et au corps, le poignet droit affaibli il porte donc une atèle pendant une dizaine de jours ✦ Anton disparait le lendemain, ce qui le fait totalement vriller, avec de véritable envie de meurtre ✦


    your life isn’t your if you
    always care what others think.

    −·−− −−− ··− ·− ·−· · ··· − ·−· −−− −· −−·
    My distinctive signs

    ✦ Sa première guitare étant détruite en janvier 2020, il en a acheté une nouvelle, elle porte le nom de [i]Neal, gravé au dos de la caisse de résonance ✦ Porte un bracelet un bracelet au poignet gauche avec les initiales L & N offert par Neal pour ses 25 ans ✦ Porte les cicatrices de l’accident du métro dans les paumes de ses mains ✦ A fait mettre sous résine le trèfle à quatre feuille offert par Hugo lors de l'épreuve du labyrinthe et le garde en porte clé ✦ A force d'avoir écris « L&T » entouré d'un Neakas infini dans la paume de sa main l'ancre à laissé une marque ✦ Porte un second bracelet au poignet offert par Neal, un souvenir de Cape Code ✦ Porte clé agrémenté d'une pièce de puzzle en bois offert par Neal à Noël ✦ A un tatouage à l'annulaire gauche un "N" sur le dessus du doigt et un "T" à l'intérieur depuis février 2021 ✦ Pour ses 26 ans il recevra des objets qui ne le quitteront plus : une médaille et une plaque rejoigne son porte clé, une pochette contenant une pièce qui se trouve dans la poche intérieur de sa veste, un médiator qui s’il n’est pas utilisé est dans son portefeuille, un carnet en cuir et un stylo constamment dans mon sac à dos ✦ Porte une chaine au cou avec une bague de femme offert par Neal lors de la demande en "mariage"✦ ✦ Se fait tatouer le logo du SunRock à l'intérieur de l'avant bras droit et "Prosto" sous le "T" en Mai 2021 ✦ Porte une alliance gravée ✦ tatouage sur l'omoplatte gauche d'une Colombe aux ailes de fée en décembre 2021 ✦ Tatouage "you can go the distance, you can run the mile, you can walk straight through hell with a smile, you can be a hero, you can get the gold, breakin' all the records they thought never could be broke, do it for your people, do it for your pride" sur les côtés en mai 2022 ✦ [/i]

    I want you to know. Feat Neal - Page 2 210307010926939059
    ” A BIT OF ME A PIECE OF YOU "
    ” love makes a family "

    Horaire des cours
    Du lundi, Mercredi, Jeudi Vendredi: 7h45 - 11h45
    Mardi: 12h - 16h
    Horaire du SunRock
    Mardi - Mercredi - Jeudi : 17h - 22h30
    Vendredi - Samedi : 18h - 23h30.

    Description deux : • Meeko en Kat Sitting (emo)
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 Tumblr_oyldxcjyMy1ug9tt2o1_1280
    • Demoiselles en détresses en court de sauvetage (emo)
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 Tumblr_o17ow1XtXM1r2xr06o7_500
    • Melu' et Meeko Perfect date :heaart:
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 7PQ1Eq38_o
    • Cadeau de Neal pour les 25 ans I want you to know. Feat Neal - Page 2 2511619667
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 Cadeau11
    • Têtes de Mules
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 200327113946269016I want you to know. Feat Neal - Page 2 200328021133309071
    • #KLM
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 FzbcgUN
    • NeaKas nique le temps
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 200616094954436404
    • Porte Clé Souvenir du labyrinthe
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 Pendentif-trefle-a-4-feuilles-01
    • KaNeakas <3
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 2oor
    • Souvenir de Cap Code
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 CapeCod_Silver_Navy_1024x1024
    • New Familly
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 210418091627249975
    • Tentation
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 Neakas-4
    •Nous Sommes Uns
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 Oi6g
    Description trois : I want you to know. Feat Neal - Page 2 20021608055864050


    I want you to know. Feat Neal - Page 2 1116103942 Qui chaque jour sauvera le rêve de la Chatbox ?
    Qui chaque jour brandira le drapeau de la Chatbox ?
    C’est notre héros Lukaman.
    Qui portera l’espoir de la Chatbox ?
    Qui prouvera que l’on peut gagner ?
    C’est notre héros, Lukaman.
    Qui fera peur à ces sirènes qui nous noient ?
    Qui vaincra l’ennemi juré de la Chatbox ?
    C’est le porteur du drapeau de nos valeurs.
    Qui parrainera nos fidèles petits nouveaux ?
    Qui par son amour et sa mignonnerie saura nous montre le chemin du rp ?
    C’est notre cher Lukaman.
    Notre grand héros de la Chatbox,
    Entendra nos souhaits de liens.
    Qui est le petit cul, héros de notre Chatbox ?
    Qui tombe sous le charme de Neal adoré ?
    Notre héros qui porte les couleurs d’Harvard,
    Le porte bannière de nos étudiants
    C’est notre héros Lukaman,
    Notre meilleur ami, celui qui fais peur aux sirènes du fond de la Chatbox,
    Notre héros fidèle,
    Notre Lukaman adoré.
    Même lorsqu’il n’est pas là,
    Il hante les couloirs de notre grande maison,
    Il veille sur nous, même endormi,
    Notre héros, Lukaman.
    Comment oublier l’amour de ce héros ?
    Je t’aime, je t’aime, Lukaman,
    Il nous aime à chaque venue à la maison,
    Notre grand héros,
    Lukaman, le seul et l’unique pêcheur,
    De nos corps attirés par Timmy,
    Timeout cruel de notre Chatbox.
    Notre Héros,
    Lukaamaaan. I want you to know. Feat Neal - Page 2 1116103942

    I want you to know. Feat Neal - Page 2 NpszQwXL_o
    RPS en cours :
    Meetsacgussets
    The SunRock
    oWen
    Warning : Sexe (termes érotiques) Tabac, Alcool, Kidnapping, Incendie, Violence subit, Signe de dépression.

    RPS : 225
    Messages : 43539
    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110139-lukas-owen-spritz-finn-cole
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t132573-i-hate-three-words-merit-normality-destiny-lukas
    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t161746-meetsachussets-owen?highlight=owen
    Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t138919-lukas-o-spritz-les-dramas-de-lukas
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postVen 21 Fév - 2:12
    taggercitereditionsupprimeradresse
    J'avais beau avoir eu peur de toi, je croyais en tes mots Neal, je croyais en ton 'jamais' qui me promettais de ne jamais être violent avec moi, de ne jamais lever la main sur moi. Parce que j'arrivais pas à te voir de cette façon, oui je t'avais entendu et ça m'avais fait tellement de mal, t'avais eu ces yeux noirs et ces actions mauvaises, qui avaient été douloureuses seulement je ne te voyais pas, je ne te concevais pas lever la main sur moi. Jamais, est ce que j'étais vraiment trop obnubilé par par les sentiments que j'avais pour toi, qui occultait tout? Est ce que c'était la fatigue de ces derniers jours ajouté au Jet lag? J'en sais rien mais ce soir, avec toi et malgré l'aveu de cette peur je n'avais pas envie de m'encombrer de pensée négative. J'aurai peu être dus, être plus prudent. J'en sais rien. Alors oui je te parlais des ta violence, et tu semblais avoir du mal à en parler, alors je te laisser te dépatouiller avec ta conscience, prenant mon mal en patience? Neal, est ce que ce que j'étais entrain de te demander était aussi grave que ça? Est ce que c'était vraiment plus que des coups de sang? Mon corps battait tellement fort à force de devoir attendre de tes nouvelles. Alors tu me demandais une promesses, j'aurai pus faire n'importe quoi pour toi alors oui j'hochais la tête pour te promettre que rien ne sortirai de ces murs. Mais c'était quoi au juste tout ça? Qu'est ce qu'il fallait que je taise de si important, qu'est ce que je devais garder pour moi ? Ta maladie et tout ce mettais en place dans mon cerveau, je comprenais mieux pourquoi tout ça, tout ces coups de sang et toutes ces impulsions, toutes cette violence avait cette origine. Tout ceci était le pourquoi du comment, et je te voyais bien commencer à paniquer à toute cette idée. A cette idée de tout me livrer, mais je voulais que tu aie confiance en moi, que tu saches que tu pouvais compter sur moi, que malgré l'anxiété que l'annonce faisait monter en moi, je voulais que tu saches que j'étais la Neal, que j'avais pas peur de ça maintenant que je le comprenais, que je savais.
    Alors oui, je prenais ton visage du bout des doigts parce que je voulais pas que le contact désagréable de la colle vienne se déposer contre tes jolies joues. Neal je te promettais de pas fuir, les yeux dans les yeux, mon front contre le tien, parce que je tenais beaucoup trop à toi pour te laisser tomber. Et toute ces confessions, sur ta personne, et toute la confiance que tu portais en moi, me faisais tellement croire en quelques choses de fort. Parce que c'est que c'était ce que c'était entrain de devenir nan? quelques chose de vraiment réel, enfin un fois que je t'avais dis je t'aime dans un souffle, qui n'attendais aucun retour. Un simple je t'aime, qui faisait état de la situation dans mon cœur, un état des lieux, qui faisait que mon cœur battait pour toi.
    Je t'aime Neal et c'était un soulagement de te le confier, de te donner cette annonce. Alors j'avais un espèce de petit sourire en coin sur les lèvres, un p'tit sourire en coin de fièreté. Surtout quand je te voyais tout surpris par cette annonce, est ce que ça te dérangeait? Pourquoi, tu avais bien lâcher les trois quart de l’expression hier au téléphone, il n'y avait pas de raison d'être surpris. A moins que tu ne penses pas que je puisses avoir ce genre de sentiment pour toi, Neal? Parce que putain Neal je t'aime tellement, que je voulais pouvoir le dire encore et encore. Mais ta surprise, était suffisante pour me raviser de tout ça. Tu le savais j'était soulagé, et surtout je ne voulais pas te faire subir une quelconques pression sur l'aveux de tes sentiments, Neal je voulais simplement que tu saches où j'en été et puis toi de ton côté, j'avais déjà ma petite idée, je le savais et tu n'avais pas à t'en inquiéter. La tout de suite, j'aurai aimé que tu ne fuis pas mon regard parce qu'il n'y avait pas besoin, parce que tu sais Neal à mes yeux un "Je tiens tellement à toi" à autant de valeur qu'un je t'aime. Et sortant de ta bouche ça me suffisait amplement, oui perdre ton regard me décevait, me peinais, parce que je ne voulais pas te mettre la pression sur tout ça. Neal, je t'aime c'est tout. Et une de mes mains quittais ton visage pour venir se glisser dans ma poche, je sais pas vraiment si c'est le bon moment pour te le donner te rendre. Neal je sais... Murmurais en essayant de re-capter tes yeux ...pas de pression... Alors je serrai encore plus fort ta chaîne avec cet bague et ce N que j'avais rajouté, et j’espérais que tu ne m'en voudrais pas de l'avoir ajouté. Et tu babillais des mots, qui me décrochais un sourire, je t'en voulais pas de rien dire. Alors au moment au j'allais prendre ta main pour y faire glisser la chaîne et te rendre tout ce qu'elle comportait, je retrouvais tes yeux, pour perdre et un contact et en retrouver un encore plus doux. Oh mon dieu, j'en tremblais parce qu'il était tellement unique, insolite, Neal t'avais pas besoin de me dire que tu m'aimais je le savais et là tu faisais que me le confirmer. Un tourbillon de chaleur agréable m'envahissais, du soulagement, et un peu d'oublie aussi, parce que la dernière fois que j'avais goutté tes lèvres elles avaient eu le gout de sang. Ma main ne lâchait pas la tienne laissant glisser la chaîne entre tes doigts. Je fermais les yeux pour profiter de cette instant magique, bien trop intense, bien plus sincère, emplis d'une vérité immuable, je l’espérais. Neal je t'aime et ça changera pas.
    Et petit à petit tout nous sortait de ce doux rêves, j'entendais parfaitement l'effort que tu faisais pour te séparer de les lèvres, je te laisserai, faire ce que tu voulais de cette chaîne me questionner au ou pas. Peu m'importait, je savais que nous devions re-quitter cette petite bulle, qui me tenais tant à cœur. Et quand tu ouvrais de nouveau la bouche, je me sentais pas prés à tout ce que tu attendais de moi, que voulais que je te poses toutes les questions que j'avais. Mais Neal tu te rends pas compte que je suis pas comme ça moi, je sais pas faire ces choses là, parce moi les questions je les poses sur le tât, je ne les vomis par toutes d'un seul coup pour, le seul plaisir que tu y réponde. Tu pouvais pas me demander ça parce que c'était même pas clair dans ma tête. J'avais trop de truc en tête, a savoir ton pote avec qui tu couchais pour qui tu m'avais laissé tombé alors que ça allait pas, ce Téo, et puis d'autre truc aussi mais je savais plus moi Neal, parce que s'était déloyale de faire ce genre de demande... Et ton baisé sur mon front n'arrangeait pas les choses... Seulement j'essayé déjà d'ordonner mes pensées au mieux, tout venais en décousus et ça n'avait rien de très logique en soit. J'avais des millions de question à te poser maintenant et la seule qui passait c'était: Ça fait longtemps que vous vous voyez? N'y voit aucun reproche, mais j'avais besoin de savoir où je mettais les pieds et je sentais bien que si de toute façon je le faisais pas maintenant je loupais ma chance pour plus tard. C'est certainement la seule question que je poserai a son sujet, alors libre à toi de m'en dire plus. Même si je savais que je n'allais pas aimer la réponse. De tout façon je savais déjà que tu couchais avec...
    Et d'une voix plus douce après ta réponse j'avais besoin de te demander Amore tu as ... Dans le métro je grimaçais, a cette image, je repris son visage pour mettre ses yeux dans les miens, parce que je ne voulais pas revivre cette scène seul. Amore... dan le métro, on est venu nous aider tu sais... j'avais dus mal à me souvenir de tout ce que je voulais dire, où est ce que je voulais en venir. Téo. Amore... L'infirmier t'as posé une question ... Elle t'as demandé comment tu t'appelles... Tu lui as répondu Teo... Pourquoi? Ca me regardais pas putain, je me sentais tellement pas légitime de lui poser la question, mais ça me brûlais les lèvres. Et je voulais pas que tu te fâches. M'en veux pas Neal mais j'avais beau essayer les plans comme ça de dernière minutes ne sont pas mon fort j'essaie de faire ce que je peux avec ce que j'ai.




    You can go the distance, you can run the mile, You can walk straight through hell with a smile, You can be a hero, you can get the gold, Breakin' all the records they thought never could be broke, Do it for your people, do it for your pride

    Titre de propriété :


    Neal T. Hood-SpritzFire Starter
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Neal T. Hood-Spritz
    Fire Starter
    Informations
    Âge : 31
    Lieu de naissance : Naples en Italie
    Quartier.s d'habitation & Colocation : Winthrop au 10 Cottage Ave avec mon mari
    Situation sentimentale : marié avec Lukas
    Études & Métiers : barman au Lord Hobo, mécanicien au Holy Motors & bosse pour la Mafia Italienne
    Date d'inscription : 23/11/2019
    Pseudo & pronom IRL : Nagini
    Icon : I am an angel with a shootgun
    Avatar utilisé : Thomas Brodie-Sangster.
    Crédits : Nagini
    Multicomptes : Ange K. Murray
    Description un : I want you to know. Feat Neal - Page 2 59ed1abd857d9b0dd6ba8b2451b6d156

    Fils d'un commissaire Irlandais et d'une mannequin Italienne ● Harcelé à l'école primaire et au collège ● Témoin du meurtre de sa mère le 25 Avril 2005 ● Battu par son père qui a disparu à ses dix-huit ans après l'avoir laissé pour mort ● A rejoint la mafia Italienne et a été utilisé en tant que prostitué pendant plusieurs années ● A tué un homme de sang froid avant de se tirer dessus pour faire passer cette histoire pour un accident et quitter la Mafia ● A voyagé un moment trop incapable de se poser dans un endroit ● A fini par s'installer à Boston en Novembre 2018 ● Est retourné en Italie en Janvier 2021 pour mettre fin à son deal et travaillait comme indic pour la Mafia Italienne ● Victime d'une blessure par balle à la tête le Vendredi 23 Avril 2021 lors d'une attaque au Lord Hobo ● A perdu une partie de sa mémoire tous les événements après 2014 avant de les retrouver ● A été kidnappé du 18 Juin 2021 au 23 Juin 2021 à Naples par le père de Côme • A été opéré le 4 Octobre 2021 pour extraire le morceau de balle restant dans sa tête avec succès • S’est marié à Lukas le 7 Novembre 2021 • A acheté une maison avec Lukas fin 2021 • Travaille de nouveau pour la Mafia depuis mi-juin 2022 • A des pertes de mémoires récurrentes • A perdu connaissance et frôlé l'arrêt cardiaque le 8 avril 2023 lors du TD Garden
    Description deux : I want you to know. Feat Neal - Page 2 MOkWYp

    LOVE
    ◆ Lukas : my husband
    ◆ Côme : mafia boy
    ◆ Rob : ex and boss in the Mafia (PNJ)

    FAMILY
    ◆ Aurore : daughter (PNJ)

    SEX
    ◆ Griffith : ex sexfriend
    ◆ Salvatore : Mafia curiosity and more

    FRIENDS
    ◆ Enzio : illegal fighter
    ◆ Khol : Italian friend
    ◆ Milo : ex boxing partner
    ◆ Oliver : boxing partner

    HATE
    Description trois : I want you to know. Feat Neal - Page 2 8DCqo3D

    Accro au sexe ■ Fait des cauchemars violents ■ Fume et boit ■ Suit un traitement pour son trouble Borderline ■ Boite de la jambe droite (blessure au genou infligée par son père en 2011 + blessure au mollet lors de l'accident du métro en Janvier 2020) ■ A de nombreuses cicatrices sur le corps ■ Porte un collier en argent offert par Lukas en Février 2020 avec une bague de femme dessus depuis Février 2021 ■ Porte un bracelet offert par Lukas depuis Août 2021 ■ A un piercing à l'oreille gauche ■ Possède un tatouage sur le bas-ventre gauche fait en 2016 en commun avec Nathaniel ■ Possède un tatouage au poignet en commun avec Côme fait en Avril 2020 ■ Porte une bague de fiançailles à la main gauche offerte par Côme en Janvier 2021 ■ A un tatouage derrière l'oreille droite représentant une bombe de peinture soufflant de la peinture noire qui se transforme en peinture colorée jusqu'à un N bleu fait en Février 2021 ■ A un tatouage à l'annulaire gauche avec un 'L' fait en Février 2021 ■ A demandé Lukas en mariage le Lundi 12 Avril 2021 ■ A un tatouage à la cheville droite représentant un code barre depuis le 8 Juin 2021 pour recouvrir le tatouage ‘Dans cette vie et les suivantes’ fait en commun avec Nate le 3 Juin 2021 ■ A un tatouage sur l’omoplate représentant un tournesol depuis Novembre 2021 ■ Pratiquait la boxe pendant dix ans avant d’arrêter à cause de sa jambe et de reprendre dans des combats illégaux depuis Novembre 2021 ■ A déjà tué quatre hommes (Antonio de la Mafia, un homme sur ordre de la Mafia, le violeur de Tova et son père)

    A strong past for a relationship that is a little too unique
    I want you to know. Feat Neal - Page 2 Jnijkv10

    Travail au Lord Hobo
    Lundi : 11:00 pm – 02:00 am
    Mardi : 09:00 pm – 12:00 am
    Mercredi : soirée off
    Jeudi :  07:00 pm – 10:30 pm
    Vendredi : 10:00 pm – 03:00 am
    Samedi :  12:00 am – 03:00 am
    Dimanche : soirée off ou 06:00 pm – 08:30 pm

    Travail au Holy Motors
    Lundi : 08:00 am – 12:00 pm
    Mardi : 09:00 am – 12:00 pm
    Mercredi : off
    Jeudi :  08:30 am – 04:30 pm
    Vendredi : 12:00 pm – 05:00 pm
    Samedi :  off
    Dimanche : off
    RPS en cours : RPs - 8
    Salvatore
    Griffith
    Oliver
    Lukas
    Khol
    Lukas
    TG Public : Sun Rock
    Salvatore

    QnT - 0
    Warning : violence physiques et psychologiques, meurtre, trouble borderline, prostitution, sexe, addictions à l'alcool et au sexe, Mafia, autodestruction, blessure par balle, traumatisme, perte de mémoire, kidnapping
    RPS : 140
    Messages : 45709
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    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postDim 1 Mar - 0:28
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    J’étais prêt… Ouais, aussi étrange que cela puisse paraître, j’étais prêt aujourd’hui. À cet instant précis, j’étais totalement prêt à confier à mon sexy musicien absolument tout ce qu’il avait besoin ou envie d’entendre tandis que nous nous retrouvions coincés dans cette chambre d’hôpital. Cette chambre si blanche qui serait sans doute bientôt emplie de mes sombres secrets et peut-être même de mes pires démons si certaines interrogations venaient à tomber. Mais, zut, j’étais totalement prêt à abaisser ces putains de boucliers si longtemps maintenus levés dans l’optique de me protéger, dans l’optique de protéger les autres de moi aussi… Et, aujourd’hui, j’étais prêt à les laisser tomber afin d’offrir à Lukas les vérités qu’il recherchait depuis peut-être bien trop longtemps. J’étais enfin prêt à laisser les secrets quitter mes lèvres face à ce garçon que j’aimais tellement parce que, merde, nous étions passés si proche de la mort… Il aurait pu mourir dans ce wagon… J’aurais pu mourir dans ce wagon… Le destin aurait pu choisir de se jouer de nous au point de nous faire subir cette épreuve aussi désastreuse que destructrice qui aurait su foutre la vie du survivant en l’air. Aurais-je su me relever si j’avais perdu Lukas au sein de cet accident ? Aurais-je su continuer à vivre si mon sexy musicien avait laissé la vie dans ce métro de l’enfer ? PUTAIN NON ! Je ne voulais guère laisser ces terribles images prendre encore plus de place à l’intérieur de mon esprit. Je ne voulais plus laisser ces horribles pensées s’inviter à l’intérieur de ma tête. J’en faisais déjà assez de cauchemars et ça faisait tellement mal. Cela me heurtait si profondément. Ça m’angoissait si réellement. Parce que ouais, à l’intérieur de tête, la réalité se plaisait à se déformer m’entraînant si souvent dans des scénarios tellement plus douloureux que celui qui avait eu lieu… Dans des scénarios où Lukas n’existait plus et où je finissais par mettre fin à mes jours ne pouvant pas supporter la vie sans lui… Dans des scénarios où je n’existais plus plongeant Lukas dans une dépression folle… Je me réveillais en pleurs après chacune de ces attaques de mon cerveau. Je me retrouvais toujours victime d’une violente crise de panique après ces cauchemars si terribles. Et… Attendez… Est-ce que j’étais déjà en train de suffoquer rien qu’en pensant à ça ? Puis, zut, pourquoi m’étais-je remis à penser au métro déjà ? Oh… Oui… Je me souvenais de ma réflexion. Je m’étais dis que si j’étais mort dans ce métro, Lukas n’aurait alors jamais réellement su quoi que ce soit de moi. Il n’avait que des images de mon existence actuelle. Il n’avait que quelques portraits qui se détachaient trop vivement les uns des autres. Il connaissait le barman si joyeux qui retenait les commandes, qui adorait rire et qui se plaisait à écouter les autres babiller au comptoir. Il connaissait le gamin un peu trop violent qui prenait du Risperdal et qui ne semblait pas savoir tout contrôler. Il connaissait même l’homme tellement trop accro à sa présence et à son corps. Mais, merde, dans le fond, Lukas ne connaissait pas réellement Neal Teodoro Hood. Et, si j’étais mort dans ce métro, il ne l’aurait jamais connu. Enfin… De toute manière, qui m’avait véritablement connu totalement ? Qui savait absolument tout de mon être ? J’aurais aimé pouvoir vous siffler un prénom, mais il n’y en avait pas un seul en vérité. Même Milo et Katalia ne savaient pas tout sur moi. Alors qui ? Les membres de la mafia ? Non… Même eux ne connaissaient pas tout de mon existence. Ils ne savaient pas que j’avais en fait tué Antonio de sang froid me plaisant réellement à donner ces innombrables coups de couteau. Ils ne savaient pas que la balle plantée dans ma poitrine provenait d’une arme que j’avais moi-même utilisé contre moi pour leur faire gober cette histoire d’attaque. Et, putain, les membres de la mafia ne savaient rien de ma vie après l’Italie. De cet enfer qui me pourchassait encore et toujours. Il n’y avait donc personne qui connaissait absolument tout. Il n’y aurait sans doute jamais personne… Ou peut-être que si… Peut-être qu’un jour, je livrerais tous ces secrets à Katalia… Parce que ouais, là j’étais prêt à offrir de nombreux secrets à mon sexy musicien. Cependant, toute l’histoire de la mafia risquait de demeurer un secret bien enfoui entre lui et moi. Il était hors de question que je lui parle de mon rôle de prostitué pendant des années là-bas. Il était hors de question que je lui avoue que j’avais tué un homme de sang froid et que j’avais aimé ça… Encore moins alors que le jeune homme m’avait avoué avoir eu peur de moi derrière un téléphone, à plusieurs putains de kilomètres. Mettant de côté mon envie de l’embrasser et de le toucher, j’acceptais tout de même de ralentir notre voiture pour lui laisser l’occasion de me questionner. Je ralentissais le moment de folie de notre relation pour nous poser un peu et ainsi donner le temps à Lukas de découvrir une partie de mon enfer. Cette partie que j’étais prêt à lui livrer sans la moindre hésitation. Et, bien évidemment, la première question portait sur mon agressivité. J’aurais dû la prévoir putain. Elle était visible à des kilomètres celle-là. J’hésitais quelques secondes, quelques minutes comme si j’avais peur de l’après révélation. Cette putain de révélation qui lèverait le voile sur mon comportement et sur ma nature profonde. Finalement, je demandais une promesse à mon sexy musicien : que rien ne sorte de cette chambre. J’étais prêt à lui parler, mais il devait faire quelques concessions. Il devait accepter d’ouvrir ce coffre fort avec moi et de ne jamais l’ouvrir sans ma présence. Il acceptait ma condition. Je cédais totalement prêt à lui offrir toute ma confiance. Alors, rapportant mes mains vers moi, je livrais la vérité. Je levais le voile sur cette agressivité, sur ma personnalité. Je lui permettais sans doute de mieux me comprendre le pourquoi de certaines de mes réactions. Je balançais les initiales puis la dénominations de mon trouble avant d’offrir une explication un peu trop bancale. Juste le plus gros. Simplement le plus clair. Parce que, merde, ce n’était pas tous les jours que je parlais de ça. Et, de toute façon, internet regorgeait d’informations sur ce sujet. J’étais même persuadé que la bibliothèque de l’université offrait des ouvrages sur le sujet. Et si… Si Lukas voulait réellement s’investir à l’intérieur de ma vie et tenter de gérer toute cette partie si compliquée de mon être, peut-être qu’il irait se renseigner de lui-même. Peut-être qu’il tenterait de mieux comprendre tout ce que cela signifiait. Enfin… En tout cas, il ne fuyait pas. Non. Il restait là face à moi caressant mon visage, captant mon regard et calmant mon cœur si affolé après cette vérité glissée. Il restait là me soufflant soudainement qu’il m’aimait et il souriait face à ces putains de mots comme s’il était si fier de les avoir enfin prononcé. Comme s’il était heureux de m’avoir confié ces sentiments qui pulsaient en lui… Qui pulsaient même en moi. Les trois petits mots de Lukas accéléraient mon cœur si délicieusement. Et, putain, pour une fois, ce n’était pas de l’angoisse qui tordait mon ventre dans cet hôpital. Merde, ça faisait du bien de les entendre. Ça faisait tellement de bien.

    Et, putain, Lukas, si tu savais à quel point j’aurais aimé pouvoir te les souffler en retour. Là. Tout de suite.

    Mais je n’y parvenais pas. Non. Je n’étais pas fichu de lui confier les sentiments qui pulsaient pourtant en moi depuis de trop nombreuses semaines. Je n’étais pas foutu de lui ouvrir mon cœur à ce point tandis que je venais d’abaisser mes murailles pour lui dévoiler mon trouble. Pour lui dévoiler une partie du vrai moi qui aurait dû le faire fuir parce que, zut, c’était trop de problèmes à gérer. J’étais un problème ambulant. Mes prunelles se perdaient sur les draps comme si j’espérais ainsi échapper aux yeux du sexy musicien parce que je n’avais aucune envie de voir que j’étais sans doute en train de le blesser en n’étant pas foutu de lui répondre ces mots si doux. Je ne voulais même pas voir mon reflet dans ses prunelles et me rendre compte que je n’étais qu’un connard pas foutu de dire ce qu’il ressentait. MERDE ! Je n’avais pas hésité à dire à Katalia que je l’aimais lorsqu’elle était venue vendredi soir dans ma chambre. Ok, ce n’était guère comparable, mais les mots avaient quand même quitté mes lèvres sans la moindre hésitation, sans le moindre problème. Je les pensais. Je les ressentais. Alors, je les avais simplement soufflé. Et putain… Vous vouliez une situation comparable ? J’en avais une sous la main. Samedi, Nixon était venu me voir. Samedi, j’avais soufflé à Nixon que je l’aimais. J’avais avoué à mon sexy tatoué que je l’aimais et les mots avaient quitté mes lèvres sans la moindre difficulté. Non pas une, mais deux fois. Et, là, comme le dernier des abrutis, je n’étais pas fichu de dire ces trois petits mots magiques face à Lukas. Je n’étais pas capable de lui offrir les sentiments qu’il était en train de m’offrir. Je me contentais de babiller que je tenais à lui et je me sentais si stupide. Tellement trop idiot. Le pire mec au monde. Une des mains de Lukas se posait sur mon visage tandis qu’il prononçait mon prénom en me soufflant ce ‘pas de pression’ qui me rendait dingue comme si je n’étais qu’un incapable qui ne pouvait pas faire comme tout le monde. Je me sentais tellement dingue que j’en venais à babiller autre chose et ce n’était toujours pas ces mots qu’il attendait. Non. Je babillais des putains de remerciements si idiots qui n’avaient absolument rien à faire dans une telle situation, dans un tel échange. Non, mais bordel, pourquoi diable n’étais-je pas fichu de lui dire que je l’aimais alors que je le savais ? Je relevais lentement la tête croisant brièvement le regard de Lukas et je n’étais pas fichu de rester de marbre. Non. Je n’étais pas foutu de me tenir bien sagement tandis que je ne savais pas laisser les sentiments glisser entre mes lèvres. Alors, je me penchais pour venir capturer les lèvres si tentantes de mon sexy musicien. Cependant, ce baiser n’avait rien de nos baisers d’avant. Non. Il était plus lent. Il était empli des sentiments qui n’avaient pas glissé entre mes lèvres. Il parlait tellement plus et tellement mieux que les mots. Mes doigts glissaient dans les cheveux de Lukas tandis qu’il laissait glisser quelque chose dans mon autre main qu’il serrait. Il laissait tomber un objet au creux de ma paume qui ne m’était pas inconnu. Une chaîne. Ma chaîne foutrement rassurante. Comment est-ce que je l’avais reconnue sans même la voir ? Aisé. Cela faisait des années que la chaîne ornait mon cou. Cela faisait des années que je touchais cette bague qui y été accrochée à tel point que je connaissais sa forme par cœur. Je serrais cette chaîne entre mes doigts sentant une part de ma panique s’évaporer parce qu’au final je ne l’avais pas perdu. Je n’avais pas perdu ce bijou si important pour moi. Je finissais par me détacher lentement de Lukas. Il fallait que je reprenne le contrôle avant d’avoir envie de le déshabiller là tout de suite. Il fallait que je reprenne le contrôle avant d’avoir envie de lier mon corps au sien. Oui, il le fallait. Mais, putain, c’était tellement compliqué. Je déposais de nombreux baisers un peu trop courts sur les lèvres de mon sexy musicien parce que je n’étais jamais rassasié, je n’étais jamais complètement satisfait. Je ne voulais jamais arrêter de l’embrasser maintenant que je savais qu’il allait bien. Je ne voulais plus jamais quitter les lèvres de ce garçon qui faisait si agréablement pulser mon cœur parce que ça me poussait à me sentir tellement bien. Néanmoins, je prenais sur moi parce qu’il le fallait. Nous devions ralentir cette putain de voiture avant de nous crasher encore plus. Nous devions parler et je le rappelais à haute voix autant pour Lukas que pour moi. Il fallait que ça rentre dans ma tête et que j’arrête de faire des conneries qui repoussaient la discussion. Mes lèvres se déposaient sur le front de mon sexy musicien et j’attendais sagement qu’une nouvelle interrogation tombe. Quel serait le sujet abordé à présent ? Quelles questions Lukas avait-il en réserve ? Je mordillais ma lèvre foutrement nerveux dans cette attente qui semblait s’éterniser. Et boum. La nouvelle question tombait et je ne l’avais absolument pas prévue celle-là. Oh non, pas du tout… Ou en tout cas, pas tout de suite. J’aurais pensé que d’autres interrogations allaient venir bien avant celle-ci. Des choses plus importantes sans doute. Là, soudainement, le jeune homme me demandait si cela faisait longtemps que nous nous voyions… Je n’eus pas à réfléchir bien longuement pour savoir de qui il parlait. Il me questionnait sur Nixon. C’était le seul dont je lui avais parlé. De toute façon, c’était le seul que je voyais de façon régulière. C’était le seul à avoir une place aussi importante que Lukas à l’intérieur de ma vie. Un triste sourire passa sur mes lèvres tandis que j’hésitais pendant de longues secondes plongeant dans le silence. Il ne me demandait pas grand-chose. Juste une durée. Est-ce que je devais me contenter de ça ? Est-ce que je devais lui en dire plus ? Putain. Je n’en avais absolument aucune idée. Je ne savais aucunement comment m’en sortir face à cette question qui me paraissait soudainement plus difficile que celle sur mon trouble. Ma langue glissa sur mes lèvres et je fermais les yeux clairement pas prêt à voir la réaction de Lukas suite aux aveux qui quittaient mes lèvres.

    Je… Euh… Ce… Ça dépend c’que tu entends par longtemps… Ça doit faire quelques mois qu’on se voit… Depuis… Depuis que j’ai posé nu dans un cours de dessin qu’il suit… Depuis que je l’ai suivi jusque chez lui pour poser pour lui après ce cours… Et je… Depuis on… On s’voit toutes les semaines… Je… J’passe même beaucoup plus de temps dans son studio que chez moi… Je… Il… Il sait que j’te vois…

    Je mordillais nerveusement ma lèvre suite à ces propos qui venaient de les quitter. Qu’est-ce que je pouvais bien dire de plus ? Pas grand-chose ouais. Je n’avais absolument aucune envie de m’étaler sur cette histoire. Encore moins devant Lukas. Je ne voulais pas lui souffler que j’avais dit à Nixon que je l’aimais samedi. Je ne voulais pas lui parler de mes sentiments à l’égard de Nixon. Je ne voulais pas lui dire que je voulais me tatouer pour Nixon. Non. Puis, il n’avait posé qu’une question précise sur la durée à laquelle j’offrais une réponse tout en lui donnant un peu plus d’informations et ça suffisait amplement comme ça. J’avais répondu. Lukas allait maintenant savoir que cela faisait quelques mois que je fréquentais Nixon. Quelques mois amplement suffisants pour créer une relation très forte… Trop forte… Je lui confiais également la manière dont j’avais rencontré Nixon comme si je considérais qu’il s’agissait d’une information importante et, dans le fond, elle l’était peut-être. Je n’en savais rien. Ça avait juste glissé entre mes lèvres trop naturellement tout comme cette putain d’information concernant mon quotidien. J’avouais de but en blanc que j’étais plus souvent dans le studio de Nixon que dans mon appartement presque comme si… Comme si je vivais un peu trop avec lui. Comme si nous vivions ensemble. Et, comme pour tenter de calmer les choses et pour prouver à Lukas qu’il n’était pas inexistant, je terminais ma confession en lui avouant que Nixon savait que je le voyais. Ouais, Nixon était parfaitement au courant pour Lukas. Je ne tentais pas de jouer sur deux tableaux en cachette. Non. J’étais totalement sincère. Je rouvrais les yeux gardant tout de même la tête baissée parce que je ne voulais pas voir la réaction de Lukas face à tous ces aveux. Je ne voulais pas entendre de nouvelles questions sur Nixon parce que ce n’était pas de lui que nous devions parler là… Si ? Rho putain, je n’en avais aucune idée. Je savais simplement que le sujet me dérangeait trop. Mais, heureusement pour moi, mon sexy musicien me tirait de ce tourbillon de pensées lorsqu’il repris la parole avec une nouvelle interrogation. Il utilisait même cet ‘Amore’ qui me poussait à fermer les yeux de nouveau tandis qu’un petit sourire passait sur mon visage tant j’aimais la sonorité de ce mot entre ses lèvres. Ça ne sonnait pas de la même façon quand je le disais moi. Et, putain, l’entendre souffler ce surnom me donnait follement envie de m’approcher de lui pour l’embrasser. Ce surnom me donnait envie de lui dire que je l’aimais si fort. J’ouvrais la bouche la refermant presque aussitôt alors qu’il se mettait à parler du métro. Je frissonnais aussitôt secouant la tête parce que non, je ne voulais pas penser à ça. Je refusais de laisser les images me happer de nouveau. Je n’en étais foutrement pas capable. Je ne voulais plus faire face à ça. Pitié. Non. Les souvenirs me hantaient suffisamment lorsque je dormais et je n’avais pas besoin de les voir lorsque j’étais éveillé. Je ne voulais pas avoir à affronter cette horreur alors je finissais par rouvrir les yeux et mes prunelles se plantaient dans celles de Lukas. Oh… Lui aussi semblait vouloir échapper aux images de l’enfer. Je me concentrais sur son regard qui bouleversait la totalité de mon être. Je tentais de me concentrer sur sa voix et non plus sur tous ces putains de bruits qui me revenaient en mémoire. Je ne voulais plus de ces cris. Je ne voulais plus de ces pleurs. Non. Je ne pouvais pas. Ça faisait trop mal. Putain, pitié que Lukas parle… Et, comme si mon souhait était entendu, le jeune homme reprenait la parole me demandant si je savais qu’on était venu nous aider. Mes sourcils se fronçaient parce que tout était tellement flou à l’intérieur de mon crâne. Surtout la fin… Surtout ce moment où Lukas avait appelé à l’aide. Pourtant, j’acquiesçais doucement parce que ouais, je me souvenais parfaitement d’une voix féminine qui avait pris soin de Lukas. Je me souvenais de cette voix qui s’était adressé à moi. Tiens, d’ailleurs, c’était sur ce point que mon sexy musicien revenait en disant que l’infirmière m’avait posé une question. Elle m’avait demandé comment je m’appelais. Putain… Je ne m’en souvenais même pas. Je ne savais même plus que cette question avait cogné dans le wagon. Ça ne me disait rien. Et, pourtant, il devait y avoir quelque chose. Quelque chose que je ne tardais pas à découvrir lorsque ce garçon que j’aimais me soufflait que j’avais répondu ‘Teo’ à cette question. Oh putain de merde… Mon cœur chutait dans le vide. La nausée remontait dans ma gorge. Avais-je vraiment fait ça ? Je fronçais encore plus les sourcils tentant vainement de forcer le barrage de ma tête. Je tentais de forcer ce voile si flou qui se dessinait dans mes souvenirs et qui me dérangeait. Putain… C’était foutrement possible dans le fond. De toute manière, pourquoi Lukas aurait-il invité une telle histoire ? Il me demandait pourquoi… Pourquoi avais-je soufflé ce Teo ? Je mordillais ma lèvre foutrement perdu parce que même à moi ça me semblait tellement illogique. Je n’utilisais plus ce prénom depuis des années. Depuis mes dix-huit ans. Ma respiration s’emballait trop soudainement tandis que je tentais de me remémorer le moment comme pour trouver l’élément déclencheur qui m’avait poussé à laisser tomber une telle information. Moi, le gosse si stupide. Ma main libre se portait à mon cœur qui battait beaucoup trop fort. Perdu dans ma panique soudaine, perdu dans mes pensées si troubles, je babillais «  Je… J’… J’arrivais pas à réfléchir… Je… Ma… » Bordel, ce n’était pas une explication ça. C’était un babillement sans le moindre sens sous cette putain de panique qui était en train de dévorer mon ventre. Mes doigts tremblaient si forts que ça me faisait mal. Mon cœur cognait si désagréablement que je l’entendais à l’intérieur de ma tête. Ce n’était pas l’explication que Lukas attendait qui venait de glisser entre mes lèvres. Non, je ne lui offrais pas de réponses cette fois. Pas tout de suite en tout cas. J’en étais foutrement incapable parce que, dans le fond, je ne comprenais même pas pourquoi j’avais lâché ce Teo. Je ne m’en souvenais guère. C’était comme si ce n’était pas moi qui l’avait soufflé. Je me mettais à marmonner dans ma barbe récitant le premier cours de mécanique qui m’était venu à l’esprit. Je me concentrais sur mes mots pendant quelques minutes les yeux fermés avant de finir par ouvrir les yeux lorsque je sentis mon cœur ralentir sous mes doigts. Je soufflais un coup rivant mes yeux sur mes mains tout en soufflant « Ce… Ma maman m’appelait comme ça… Teodoro… Ce… C’est… C’mon second prénom… C’était mon premier… Avant…. Et je… Maman m’appelait Teo… Et je… j’pas réfléchi… Ce… C’juste sorti…. » J’haussais les épaules tout en mordillant nerveusement ma lèvre. Ce n’était pas si terrible que ça si ? Putain, je n’en savais rien en fait. Je n’aurais jamais dû confier mon prénom. Ici, il n’y avait que Milo qui le connaissait. Ici, il n’y avait que Milo qui pouvait se permettre de m’appeler Teo sans que je ne déraille. Puis, zut, je n’aimais pas qu’on sache que je portais un second prénom. Je n’aimais pas qu’on sache qu’il y avait ce Teodoro qui faisait parti de mon identité parce qu’on pouvait trop aisément me relier à l’Italie. Parce qu’on pouvait trop facilement me relier à mon histoire. Ça ne me plaisait pas, et pourtant, je venais de l’avouer à mon sexy musicien acceptant d’abaisser tous ces boucliers dérangeants au sein de notre relation. Les yeux rivés sur mes mains, je me souvenais soudainement de cette chaîne que j’avais senti tomber dans ma main encore serrée. Je l’ouvrais lentement affichant un pur sourire de bonheur en constatant que c’était bel et bien mon collier. Mon bijou si précieux était là et je ne pouvais m’empêcher de m’exclamer soudainement « Tu… T’as retrouvé ma chaîne… J’pensais l’avoir perdu… Je… Merci… » Ouais, ‘merci’ parce que cette chaîne signifiait tellement pour moi… Enfin pas la chaîne en elle-même qui était si aisément remplaçable en cas de casse. C’était juste cette bague qui signifiait beaucoup pour moi. Cette bague qui ornait la chaîne depuis des années. Cette bague dont je ne parvenais pas à me séparer depuis des putains d’année. Cette bague qui finirait bien par quitter mon cou un jour… Mais, pour finir où ? Je l’ignorais putain. J’avais toujours pensé qu’elle finirait au doigt de Milo, mais cela n’arriverait pas. C’était terminé entre lui et moi. Alors quoi ? Qu’est-ce que je pouvais en faire ? Est-ce que je pouvais la donner à Milo quand même ? Surtout après notre rupture… Surtout après ce silence radio dont j’étais victime… Surtout après cet autre garçon avec lui à Hawaï… Peut-être que je pouvais lui envoyer par courrier avec un petit mot ? Non. Non, je ne pouvais pas faire ça. Je ne savais pas ce que j’en ferais. Mais, ce n’était pas le moment d’y réfléchir. Je caressais distraitement la bague perdu dans mes pensées pendant quelques minutes avant que mes yeux ne se posent sur cette nouveauté. Sur ce petit ‘N’ que je ne connaissais pas et qui n’était guère là avant. Mes sourcils se fronçaient tandis que je le touchais lentement avant de relever les yeux sur Lukas pour demander.

    Ce… C’toi qui a rajouté le N ? Ce… C’un cadeau ? Je… J’l’aime beaucoup... Merci...

    @Lukas O. Spritz

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