Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySamessio || J'ai crié ton prénom dans les tourbillons de la vie.
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    Samessio || J'ai crié ton prénom dans les tourbillons de la vie.
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    Lien du postSam 27 Juil - 22:47
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    → ft. @Alessio T. Armani

    Il aura suffit d'un cahier pour que tous parte en fumée. T'étais entrain de ranger les affaires de ta soeur, il le faut maintenant. Ta curiosité mal placée t'a menée a ce cahier. T'aurais sans doute jamais dû l'ouvrir, ça t'aurais évité des souffrances. Tu ne l'avais jamais vu avant et tu te demandes ce que c'est avant de voir un tableau avec des noms de mecs, des croix et une sorte de note. T'hallucines pas mal et tu mets du temps a comprendre ce que c'est réellement jusqu'à voir le nom de plusieurs de ses exs. Ta soeur était comme ces salops qui font des listes de leurs conquêtes tu y retrouves de tous, des pseudos, des prénoms. Tu ne connaissais pas cette facette de ta soeur et tu continues a parcourir la liste. Enfaite je crois que tu apprends a la connaitre vraiment depuis qu'elle est morte. C'est triste quand même, elle avait tellement de secret. T'as ton verre de blanc que tu sirottes en attendant alors que tu descends avec le cahier dans la cuisine pour continuer a regarder tous ça. T'es choquée par certains noms parce que certains étaient franchement des loosers finis. Tu tournes les pages jusqu'à tomber sur son prénom. Ton coeur s'arrête. Ils t'ont quand même pas fait ça ? T'en lâche ton verre par terre alors que la gouvernante arrive en vitesse dans la pièce Tous va bien mademoiselle ? ton regard se lève vers elle. Elle sait tous non ? Vous travaillez ici depuis longtemps Anita non ? un hochement de tête tu poursuis Quand est-ce qu'ils ont couché ensemble ? elle te demande qui et tu lui tend le cahier. Elle bafouille et tu la regardes pour reprendre Gabriel n'avait aucun secret pour vous. elle ne dit rien, elle se terre dans le silence et veut absolument ramasser le verre en morceau par terre quand tu paniques. Est-ce que c'était quand vous étiez ensemble ? T'es encore habillée, un body noir un peu décolleté sans trop forcer non plus et un short en jean avec tes baskets. T'as les cheveux relacher et tu reprends Si vous ne voulez rien me dire très bien. La colère te monte alors que tu prends les clefs de ta jaguar sur le tableau et tu t'en vas avec. T'as ton sac à main et son foutu cahier par lequel tu as appris qu'ils avaient coucher ensemble et plusieurs fois. La jalousie prend le dessus a ce moment là. T'arrives chez lui et tu laisses la voiture mal garée mais tu t'en fiches. Tu montes jusqu'à son penthouse où tu frappes plusieurs fois jusqu'à ce que Chiara vienne ouvrir. Il est ou ce connard ? tu entres, impossible de te barrer la route. Tu lui balances juste tes clefs pour reprendre Allez garer ma voiture je suis en double file merci. Il va m'entendre. là tu te contiens encore. Tu traverses tous le penthouse pour en ouvrir chaque porte jusqu'à la chambre que tu ouvres en trombe pour tomber sur lui. Le pire c'est qu'il est pas seule. Tu ramasses la veste de la fille, l'autre blonde hyper vulgaire qui avait commenter son instagram t'en es sure et ça ne fait que sortir davantage le lionne en toi. Toi tu t'en vas pour ne pas dire casse toi. que tu reprends le regard noir avant de lancer sa chemise à Alessio pour reprendre Et toi. Crois moi que tu vas passer un sale quart d'heure. Fais la dégager maintenant. t'as jamais été du genre a faire des crises. T'as toujours été celle qui ne voulait pas de disputes, celle qui n'était pas jalouse, il était avec toi t'avais pas a t'en faire auprès de lui t'étais en sécurité. Combien de fois tu m'as menti ? et tu fais les cents pas tu peux pas t'empêcher de bouger sinon tu vas lui sauter à la gorge. Tu détestes faire des scènes mais là c'est plus fort que toi, tu peux plus prendre sur toi.


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    Lien du postDim 28 Juil - 10:15
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    Les soirées se poursuivent, anonymes entre mes draps, je n'ai pas de raison de changer mon crédo, je suis libre encore une fois. Alors j'endors ma conscience dans des visages successifs. Je tais les émotions dans les peaux nouvelles que je caresse. Ma fidélité s'amarre à ma musique et rien d'autre. Je ne peux pas me laisser déstabiliser. Par son retour. Ou même par cette gamine qui tisse avec effronterie sa place. Encore moins par ma meilleure amie qui baptise à nouveau nos juvéniles débuts. Je suis perdu au milieu de tout ça. Faut l'avouer. Alors je me noie un peu plus. Chiara ne voit pas forcément ça d'un bon œil mais elle reste professionnelle et a appris à ne pas divulguer ses états d'âme. Je perçois tout de même son regard lorsque je ramène cette Blonde qui rit un peu trop fort. Pas du tout mon style et encore moins le sien, si bien que la confusion n'est pas prête d'arriver. Je l'embrasse sans grande conviction, applique les caresses telle une machine, seulement hanté par cette pulsion sourde que je libère, ne faisant en aucun cas attention à son plaisir à elle. Mais ça c'est avant que ma porte s'ouvre sur une furie. Incandescente, minuscule mais gesticulante et je te jure que ma tête doit être payable tellement mes yeux sont exorbités. Le bleu laisse toute la place aux iris hallucinés. « Sam ! » Je comprends pas. On a décidé que cela voulait rien dire et je m'applique à continuer mon chemin malgré tout. Je raccompagne la Blonde jusqu'à la porte, sans même lui expliquer, sans même lui dire un merci. Toujours en sous-vêtement, je suis torse nu et ne prend pas même la peine de m'habiller. J'ai mieux à penser. « De quoi parles-tu ? » Le mensonge c'est une seconde nature me concernant, une arme même. Je t'ai sans doute menti plusieurs fois que je ne l'aurais voulu si j'avais eu cette désir, cette franchise de vouloir être honnête. Je tiens ma chemise entre mes mains, te regardant faire les cent pas, gesticulant plus que de raison et je dois l'avouer, je suis agacé par tout ça. « Tu n'as aucun droit de débarquer comme ça. » Pas après être parti de ma vie, sans même un mot, sans explication. Tu ne peux pas débarquer dans mon intimité et tout veni bouleverser. Remuer ce passé que tu as décidé d'oublier. « Tu ferais bien de parler vite. » dis-je en prenant place sur un des fauteuils, laissant ma chemise sur le lit. Je suis encore chez moi. J'ai tous les droits.
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    Lien du postDim 28 Juil - 11:38
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    → ft. @Alessio T. Armani

    Je crois qu'à ce moment là t'oublie tous. T'oublie presque que vous n'êtes plus ensemble parce que lui qui était si parfait se transforme en monstre avec ça. Tu remets tout en question. Autant sa sincérité que ce qu'il éprouvait pour toi parce que … comment on peut faire quelque chose de pareil ? T'es complètement perdue et tu t'énerves, tu t'énerves sur Nora pendant le trajet parce qu'elle est bourrée et qu'elle te cherche tout en sachant pertinemment que ce n'était pas sa faute à elle. Et t'arrives chez lui. Chiara peut pas faire grand chose ou peut être qu'elle t'aimait bien et qu'elle t'a laissé passer exprès qui sait ? Quand t'arrives dans la chambre tu ne portes aucune attention a ce qu'il se passe, tu lui dis de la dégager et quand elle passe devant toi tu lui lances simplement un regard noir. Elle est absolument horrible cette fille mais tu sais, tu sais que t'as plus rien à dire et pourtant dieu sait que ça t'écorches dans ta fierté de voir sous tes yeux qu'il en a vraiment d'autres. Il est vraiment passé à autre chose même si tu pensais que c'était pas le cas. Il semble étonné mais au moins il coopère un peu en la faisant partir quand toi tu fais les cents pas prête à bondir telle une lionne en cage. C'est ça la haine et si Gabriel était encore en vie je pense que ça aurait été pire, elle t'aurait épargner aucun détails de cette histoire t'imagine déjà ce qu'elle aurait dit. Il ose te demander de quoi tu parles et tu t'arrêtes pour lui faire face De quoi je parle ? Je te demande à quel point tu t'es fichu de moi. il est là dans son fauteuil il se rhabille même pas il n'a même pas la correction de le faire. Il te sort que t'as aucun droits de débarquer comme ça et tu recommences a marcher parce que tu vas vraiment le tuer. Il te somme de parler mais il a cru que quoi ? Une part de toi te dis de partir maintenant mais l'autre te dis d'aller au bout parce que peut être que si tu souffres assez tu l'oublieras comme lui le fait. J'ai pas le droit ? Et bien je suis là quand même tu la rappelleras demain. et ça t'écorche de dire ça parce que bien sure que non tu ne veux pas qu'il la rappelle. Il y a quelques jours il était entrain de t'embrasser sur le mur de l'église et là il se prend une pouf qui poste des photos vulgaires sur insta ? Alors c'est ça son truc maintenant ? Tu attrapes sa chemise sur le lit que tu lui envoies dessus Et rhabille toi ça me dégoute. oui, comment il peut jouer a ce point là ? C'était quoi votre plan ? C'était un pari ? Se taper la petite soeur pour lui montrer à quel point elle est minable ? tu finis par lui envoyer le cahier pour reprendre Tous les mecs avec qui ma soeur a coucher, t'es en page 3 elle t'a même mit une note tu vas être content. avec un air dégoutée, parce que ça te dégoute ça te mets le démon et tu plonges dans les méandres de ton toi intérieur. T'as toujours eu cette croyance qu'il fallait faire le bien, que les gens autour de toi feraient pareil mais c'est plus le cas. Tu sais que l'homme est capable du meilleur mais qu'il excelle dans le pire. Tu sais très bien qui était Gabriel mais tu pensais pas que c'était son cas à lui. Tu te sens trahie, sali, tous mais pas ça enfaite. Toute votre histoire ne peut pas être un mensonge ? Pas a ce point. Donc je te répète ma question à quel point tu m'as menti dis moi ? à quels méandres t'es tu plongés avec elle ? T'as jamais été jalouse, t'as toujours eu confiance mais pas avec elle. Tu sais très bien qu'elle aimait jouer a toutes sortes de choses et qu'elle n'avait aucune limite. Tu confonds un peu tous, tu sais plus assembler le puzzle correctement il te manque des pièces il te manque tous court. T'es toujours aussi énervée a faire les cents pas et a eviter son regard ou même a ne pas le regarder parce que ça te dégoute là maintenant. Tu t'effondreras plus tard.

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    Lien du postDim 28 Juil - 22:49
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    En fait, je ne t'ai jamais vu autant en colère. De mémoire pourtant, nous avons eu quelques disputes mais tu ne t'es jamais mis dans un état pareil. Je t'observe hurler, gesticuler dans tous les sens. Loin de comprendre. Parce que je suis à des années lumières de tout ça. Pour moi, mon histoire avec Gab c'est du passé mais surtout sans importance. « De quoi ? » dis-je en fronçant les sourcils. C'est pas possible, c'est toi qui doit te foutre de moi, pas l'inverse. Tu attrapes ma chemise et tu me l'envoies alors que mon regard se durcit. «Arrête ça où je me fous à poil, ça te dégoûtait pas derrière l'église. » Je me relève, énervé cette fois,que tu me rejettes de cette manière, que tu emploies ces mots là. Je marche ainsi jusqu'à ma fenêtre, qui donne sur toute la ville de Boston. Me réfugiant dans ce spectacle pour ne plus avoir à affronter ta colère. Je reçois le cahier sans comprendre mais tu expliques aussitôt. Et alors je comprends. « Mais n'importe quoi. » Je m'adosse à la vitre, te regardant toujours furax. « J'ai couché avec Gab oui quelques fois, mais c'était avant que je sorte avec toi et elle était juste un plan cul, rien de marquant ou d'intéressant pour ma part. » Elle était trop vulgaire et crue, trop folle pour mon acier. Je dois avouer qu'elle a bien essayé quelques fois de remettre le couvert mais je n'ai jamais cédé lorsque j'ai connu Sam. Je t'observe en silence avant d'ajouter. « Je ne te l'ai pas dit, mais tu crois franchement que tu m'aurais laissé une chance si je t'avais avoué m'être tapé ta sœur ? » Tu le sais pertinemment que tu m'aurais relégué sur le côté et qu'on aurait jamais vécu ce qu'on avait à vivre. Parfois il faut savoir mentir dans l'intérêt de tous. « Je ne t'ai pas menti autrement. » Et je vois pas ça comme un mensonge d'ailleurs, juste une précision que je ne t'ai pas donné. Car si je devais énumérer mes conquêtes, un cahier ne suffirait sans doute pas.
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    Lien du postDim 28 Juil - 23:31
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    → ft. @Alessio T. Armani

    Si il voulait avoir une arme contre toi un jour il l'a choisit avec précision. Tu apprends alors que ton ex a eu une histoire avec ta soeur et ton sang ne fait qu'un tour alors que tu débarques chez lui telle une furie. Tu dégages sa pute du soir parce que tu n'as pas plus d'opinions sur celles là. T'as l'impression qu'on vient de te dégommer encore plus le palpitant. Pourquoi ? C'est la question qui te hante là maintenant. Il ne semble pas comprendre alors que tu t'énerves encore plus. T'as jamais fais de crises, quelques unes mais jamais a ce point. T'as toujours été compréhensive sur tous et en réalité t'as jamais eu besoin de faire des crises parce qu'il a toujours été parfait selon toi. Avec ses qualités et ses défauts. Mais là tu te demandes si c'était réel tous ça. Si vraiment il t'a aimé ou si c'était pas un jeu de ta soeur. Je vais pas non plus me répéter quarante fois. que tu reprends après sa question alors que tu lui balances sa chemise dessus en lui disant de se rhabiller, qu'il te dégoute alors qu'il te parle de vos retrouvailles. T'es tellement loin que tu fais tous pour pas te rappeler ce jour là, t'aurais crever même pour toucher son torse que t'as là devant toi. Mais vas y fou toi à poil t'avais l'aire tellement bien parti avec l'autre. là maintenant ça te répugne plus qu'autre chose faut le dire. Tu perds tous, ta confiance en toi, ta confiance en lui en votre histoire à cause des questions sans réponses. Pourquoi il fait ça ? Tu lui lances le cahier avant de lui dire qu'il est à la page 3 qu'il a même une note et qu'il a pleins de bâton. Il te dit que c'est n'importe quoi et tu t'arrêtes pour le fixer. Il te regardes même pas, il est de l'autre coté de la pièce vers la fenetre et tu reprends N'importe quoi ? T'en connais beaucoup toi des Alessio Armani ? Il finit par te faire face absolument hors de lui mais tu l'es tout autant. Tu prends sur toi pour ne pas craquer là devant lui, t'es plus forte que ça. Quelques fois ? Dix-sept c'est quelques fois pour toi ? Ah oui, elle a en plus eu la générosité de mettre des bâtons. et dieu sait que tu les as compté plusieurs fois en te décomposant à chaque traits supplémentaires. Encore il a de la chance que t'aies plus le cahier tu lui aurais balancer à la tête. Il te met alors face à une réalité ... si tu l'avais su est-ce que t'aurais été avec lui dès le départ ? Il a bien trop raison pour que tu le regardes dans les yeux, tu dis rien te remettant a faire tes cents pas et a user son parquet. Et en plus d'un an tu crois que t'aurais jamais pu trouver l'occasion de me le dire ? oui tu vas pas lui donner raison en plus t'es bien trop fière pour ça donc tu réponds avec une question. Il te dit qu'il a jamais menti à part ça. Tu t'arrêtes pour le regarder avant de reprendre Réfléchis bien avant de dire ça parce que moi je t'ai jamais menti. Tu voudrais en savoir plus sur leur histoire mais tu passerais pour une tarée pathétique Est-ce qu'il y a eu quoi que ce soit avec elle quand on était ensemble ? oui parce que même si il a dit que c'était avant t'as besoin de te rassurer comme tu peux. T'es toujours à l'autre bout de la pièce, ça t'écoeur toujours autant de l'imaginer avec elle. Il était la seule chose que tu avais pour toi, il était unique, tu l'étais aussi et tu te rends compte que pas vraiment enfaite. Ca aussi il a fallut qu'elle le prenne. Tu laches un soupire repoussant tes cheveux en arrière les tenants en queue de cheval, avec l'énervement t'as chaud, t'es pas bien, t'es complètement désorientée.

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    Lien du postLun 29 Juil - 18:57
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    Je ne t'ai jamais vu autant en colère. Et je dois avouer que tout ceci m'étonne. Après la distance que tu as semé, les vieilles distances passées semblent bien lointaines. « C'est ridicule de te mettre dans des états pareils. » Nous sommes des adultes, plus des enfants et je ne pense pas avoir fait quelque chose qui vaille la peine de ressasser toute cette haine. Je ne relève pas ta remarque sur ma tenue, je ne bouge pas, si ce n'est pour aller à ma fenêtre. Là où tu me jettes les preuves au visage, je ne me laisse pas déstabiliser, bien au contraire, j'argumente. Lorsque nous étions ensemble, j'aurais sans doute davantage eu peur de ta réaction dans la détresse de te perdre. Mais je t'ai déjà perdu à présent alors peu importe. T'es la seule personne qui m'a rendu un peu meilleur. Une fois partie, j'ai juste repris mes vieilles habitudes et tu serais sans doute déçue de voir à quel point je peux être volage, là où autrefois j'étais doux et fidèle. A quoi bon ? « Je ne vois pas quand serait venu le bon moment. La preuve en image. » L'ironie alimente mes propos mais quand je vois ta réaction je me dis que j'ai eu bien raison de garder le silence et ne pas te faire un aveu pareil. Quand au nombre de fois où j'ai couché avec ta sœur, ma foi, cela ne me semble pas particulièrement à propos. « Tu ne m'as pas menti mais tu ne m'as rien dit, je ne sais pas si c'est vraiment mieux. » dis-je d'un ton un peu plus froid. Tu viens chez moi, tu t'invites, tu t'immisces en reprenant des droits que tu as perdu lorsque tu m'as tourné le dos. Et mon orgueil te le rappelle. Tu n'as plus aucun droit sur moi. Je reviens vers le lit pour m'y asseoir alors que mes bleutées se relèvent pour t'observer. Je ne dis rien quelques instants parce que je sais que cela pourrait faire penser que je prends le beau rôle. Mais je dois être honnête, ta sœur était loin d'être une sainte. Bien loin d'être aussi pure que tu peux l'être. Elle était aussi viciée que je le suis. « Elle a tenté plusieurs fois de remettre le couvert même lorsque nous étions ensemble, mais je n'ai jamais cédé. » Je n'avais pas d'intérêt à côtoyer une femme aussi fade et vulgaire quand je t'avais toi. Mais ça je me garde bien de le dire. Je suis de toute façon même pas certain que tu me crois.
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    Lien du postLun 29 Juil - 19:25
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    → ft. @Alessio T. Armani

    Te voilà entrain de t'effondrer, de creuser un trou près de ce qu'on appel la jalousie. D'après lui tu es ridicule de te mettre dans cet état là et tu le fusilles du regard. Il veut vraiment te provoquer comme ça ? Tu serais une gamine tu retirerais ta basket pour la lui dessus mais on t'a apprit a ne pas faire de telles manières c'est tous sauf respectable alors tu te cantonnes a faire des allers retours d'un pas rapide Dis que je suis une gamine pendant que tu y es. oui ça y est c'est la fin du monde, ton monde. Tu finis par lui dire qu'il te dégoute même si c'est pas franchement vrai. Ca te dégoute de savoir qu'il a eu une histoire avec ta soeur. Et voilà le cahier que tu lui envoies. T'as cette impression de le perdre encore plus et ça te brise une part de toi. Il marque un point en parlant de toi ne lui laissant aucune chance si tu avais été au courant mais tu ne lui accordes pas ce crédit bien trop fière pour ça. Il finit par te sortir cette remarque complètement ironique si bien que tu arrête ton pas pour le regarder une nouvelle fois alors que ton sang est brûlant et ne fait qu'un tour Ne te moque pas de moi mais vas y comment t'aurais réagis toi si un jour tu découvrais que j'avais couché avec ton frère. Mais qui fais ça ? en plus Gabriel quoi ... non même il n'y aurait pas eu de moins pire. Il te reproche alors encore d'être partie sans un mot dans un silence absolument et tu te figes a cause de sa voix complètement froide, presque menaçante selon toi. Tu ne m'as rien dis pour ne pas me faire du mal. Je ne t'ai rien dis pour te protéger tu n'as aucune idée de ce qu'il s'est passé. il n'a aucune idée de la détresse dans laquelle tu étais il ne peut pas l'imaginer il pense tellement que tu es une fille bien alors que ... Il avance vers le lit quand toi tu recules dans un geste que tu n'expliquerais pas franchement, les séquelles de ta première relation qui te détruisais chaque jours. Il relève les yeux vers toi alors que tu lui demandes si il y a eu quoi que ce soit quand vous étiez ensemble, il ne répond pas et tu imagines le pire. T'arrêtes de respirer jusqu'à ce qu'il parle. T'apprends alors que ta soeur le draguait quand vous étiez ensemble et ... elle serait pas morte t'aurais des envies de meurtres. Elle pense franchement que t'aurais rien dis comme ça ? Au moins quand je suis partie elle risquait pas de revenir vers toi. que tu réponds spontanément. Tu te laisses débordée par tes émotions et tu dois te reprendre là maintenant parce que ta soeur est censé avoir disparu elle aurait très bien pu revenir le voir. te rendant compte de ton erreur tu espères que ça passera tu te déplaces pour aller jusqu'à la fenêtre récupérer le cahier par terre le fruit de la discorde là maintenant. Si Gabriel voulait tellement être avec toi qu'est-ce que tu foutais avec moi alors ? oui, parmi tous les maux qui sont ancrés en toi, il y avait celui là, celui qu'elle aurait toujours été mieux que toi. Ca te dégomme de sortir ça, c'est un coup de poignard que tu te plantes toi même mais tu le fais.

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    Lien du postLun 29 Juil - 21:33
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    J'ai cette impression qu'il suffirait de mettre simplement quelques pièces dans le jukebox pour te faire sortir encore plus de tes gonds. C'est presque un sourire qui vient amorcer le mouvement sur mes lèvres, cette lueur un peu trop malicieuse pour la glace bleutée de mes prunelles. Mais je me reprends, c'est pas le moment de t'énerver encore davantage et mes traits regagnent en impeccable. « T'en es pas si loin. » De la gamine. Mais tu l'ignores pas toi que j'ai toujours cette affection particulière pour la candeur, pour les émotions qui s'avèrent sincères. Peut-être parce qu'au fond, je sais pertinemment que je n'en ai jamais été capable. Mes sourcils se froncent néanmoins lorsque tu inverses la situation. Je viens passer le bout de mes doigts sur le rebord de mes lèvres. « J'aurais simplement compris que tu aies pris goût à moi par la suite. » Parce que franchement entre Noah et moi, y'a pas de comparaison possible. Si ce n'est qu'on a un nombre enviable de conquêtes. Hormis ça, je sais pertinemment que je vaux bien mieux que lui et que tu aurais jamais supporté un fou pareil. « Alors parle-moi. » Quelque part, je viens te dire qu'il n'est pas trop tard. Que tu peux me confier les choses même si ce sont les pires horreurs. C'est pas le bonheur qui te mettrait dans un état pareil ni même une simple fuite. Tu as un secret et le poids t'en écrase. Je passe une main dans mes cheveux, espérant, attendant que tu te confies à moi, mais ce que tu avoues m'intrigue. « Pourquoi tu dis ça. Elle a juste disparu. » Et je me doute que tu sais autre chose, j'en suis certain à présent. Mais je te forcerai jamais à avouer quoi que ce soit. Moi non plus, je suis loin d'être un ange et j'ai aussi mes secrets. Je me lève lorsque tu viens m'interroger, décidant qu'il est temps de mettre fin à ce spectacle, à ton énervement. Mes paumes s'agrippent en douceur de la danse de mes doigts sur tes avant-bras. « Parce qu'elle vaut pas mieux qu'une autre. » Des cruches prêtes à coucher avec moi sous le seul pouvoir de mon nom ou de mon physique j'en connais des tas. Ça passe le temps mais ça ne mène jamais bien loin. « Et ce n'est pas le cas pour toi. » T'as su attirer mon attention, me retenir pour de bon. Me faire renoncer aux excès. Mais ça, c'était avant ta fuite. Avant ton abandon.
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    Lien du postLun 29 Juil - 23:09
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    → ft. @Alessio T. Armani

    Toi tu t'énerves tu ne peux pas supporter une telle trahison il faut le dire. Tu te sens mal, tu te sens trahi et tu fais les cents pas là chez lui. Dire que quelques minutes avant il était avec une pouf botoxée de je ne sais quoi. Tu restes à distance tu ne veux pas l'avoir près de toi alors qu'il te traite presque de gamine qui fait une crise pour rien. Tu t'offusques parce que c'est vraiment grave pour toi et tu vois son regard changé mais il redeviens dure un moment. Il te dit que t'en es pas loin et tu soupires d'énervement avant de reprendre toujours ta marche, c'est bien tu brûles des calories avec ces conneries Et bien je m'en fiche. oui tu fais une crise si tu veux. Tu sais très bien qu'il aimait cette part de toi alors qu'il ne vienne pas se plaindre. Tu retournes la situation si toi tu avais couché avec Noah comment aurait-il réagit lui ? Et dans toute sa connerie il te sort qu'il aurait comprit que tu te tournes vers lui. T'aurais presque envie de rire mais tu te retiens, tu croises les bras pour te tourner vers lui et reprendre C'est ridicule. avant de te remettre a marcher. J'avoue, tu t'y attendais pas a celle là parce que franchement. T'en étais presque déconcertée mais t'es pas trop insatisfaite de ta réponse et tu reprends ta marche là maintenant, ça te dépense et ça te permet de te canaliser encore. Vient alors le sujet du mensonge et du silence. Il finit par te dire que tu peux lui parler et t'en as une boule dans la gorge, t'as chaud rien qu'en y pensant avant de reprendre Je peux pas t'en parler. sèche, froide, tu sais pas faire autrement. Il saurait que tu es un monstre après ça. Tu finis par changer de place, il va sur le lit, tu pars près de la fenetre et tu sors cette remarque complètement conne il faut le dire. Pourquoi t'as dis ça ? Dire que tu sais qu'au moins quand t'es partie ta trainée de soeur n'aura pas couché avec ? Tu pensais qu'il allait pas tiquer la dessus mais si. Tu ne t'en sortiras pas avec une pirouette. Fut un temps tu l'aurais chauffer ça aurait tout à fait fonctionner mais là t'es a peu près sure que non et de facon t'es bien trop écoeurée par ta découverte. Le poids est trop lourd, lui mentir par omission à lui... T'as jamais pu c'est d'ailleurs pour ça que ton père t'as envoyé loin sans téléphone, sans rien. Gabriel n'a jamais disparut. que tu sors d'une voix complètement cassée parce que c'est trop difficile t'as des flashs qui te reviennent et c'est douloureux. Et tu finis par demander pourquoi toi et pas ta soeur. Pourquoi il aurait choisit une fille comme toi si banale, fragile et gamine par dessus le marché ? Il s'approche de toi, tu peux pas reculer, il est entre toi et la porte, tu te rends vite compte que t'es piégée là. Il pose sa main sur toi et t'as un geste de recul Me touche pas. alors que t'as la voix complètement cassé. Bien sure que non c'est faux, c'est juste que tu sais très bien que t'arrêtera de lui en vouloir bien vite mais tu sais aussi que tu le repousseras pas deux fois. T'es incapable de le regarder dans les yeux et ses paroles te brise le coeur. Pas à cause de ce qu'il dit mais parce que si il savait... Si il savait il serait tellement loin. C'est vrai moi je suis un monstre. que tu sors doucement. T'essaie de rien montrer, t'as la lèvre inférieur qui tremble, tu te sens mal, t'as une boule dans la gorge en reprenant Je pourrais jamais supporter que tu me laisses parce que tu le feras quand tu sauras. oui il s'éloignera encore de toi, il pensera que tu es un monstre, que tu es la pire personne sur terre. Tu peux pas supporter ça. Tu peux pas supporter que son avis change sur toi. C'est trop difficile de parler, trop difficile de le regarder, même de respirer et pourtant tu gères pas si mal, t'as le palpitant qui s'emballe autant à cause de lui qu'à cause de ce secret.

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    Lien du postMar 30 Juil - 20:19
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    Tu es du genre effrontée comme gamine. Et ta réaction m'arracherait presque une nouvelle fois un sourire mais l'heure est trop grave et ce n'est pas vraiment mon style. Tu viens me demander comment j'aurais réagit si j'apprenais que tu avais couché avec Noah et ma réaction est parfaitement honnête même si ça ne me plairait pas. Mais ce qui me tracasse, ce n'est pas tellement ça. C'est plus ce secret que tu tentes à tout prix de protéger mais qui semble vouloir s'arracher à tes lèvres. Mon regard adopte cette teinte plus métallique comme pour essayer de comprendre ce que tu me caches. Le ton de ta voix, les mots que tu me prononces me laisse présager l'horreur que tu me caches. D'instinct, je me rapproche de toi, j'attrape tes bras entre mes mains, mais ta réaction m'irrite , alors que je comprends, que je veux pas l'avouer, que je peux pas t'imaginer savoir une chose pareille. Je ne dis rien immédiatement mais je t'observe en silence, ayant bien conscience que les mots que je vais prononcer risque de tout faire basculer. « Elle est morte c'est ça ? » Je suis statique, imperturbable, je ne vois pas quoi d'autre pourrait te mettre dans un état pareil, aurait poussé ton père à te faire fuir à l'autre bout du globe. A vouloir vous tenir de la sorte. Aurait provoqué la perte de mémoire d'Azraël. Tout me semble plus limpide même si la raison de tout ce cirque se rapporte plutôt à l'horreur. « Pourquoi tu dis ça ? » Je peux pas penser que tu sois allée jusqu'à la tuer, ça me paraît tout bonnement impossible. Ça ne peut être qu'un accident qui a mal tourné. Mes paumes s'appliquent à tes joues alors que je murmure. « Tu n'as rien à craindre de moi. » Tu le sais parfaitement, je ne suis pas cet autre, je n'ai rien à voir avec lui. « Raconte-moi. » dis-je comme pou te libérer. Tu ignores sans doute le nombre de secrets que je cache, les confidences que je dissimule, je suis maître en la matière pourtant et bien plus un monstre que tu peux l'être.
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