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    55 résultats trouvés pour CHEVALISSE

    Jules Weaverle Ven 6 Aoû 2021 - 3:29Rechercher dans: Archives 2019-2022
    Insane - (Charlize)
    13 Réponses500 Vues
    Insane

    Get along with the voices inside of my head. You're tryin' to save me, stop holdin' your breath. And you think I'm crazy, yeah, you think I'm crazy. Well, that's nothin'.


     

    Certains soirs, une fois le soleil endormi, la lune prend une place majeure dans la vie des passants encore éveillés et, assise sur le rebord de la fenêtre, elle réfléchit à une autre histoire. Le déroulement est beaucoup plus enthousiaste que le passé irremplaçable. Le chef de famille encore présent pour soulager les maigres épaules de sa vie. Elle n’a alors plus besoin de porter le poids du monde sur son dos. Tout à coup, le karma tourne et Charlize n’a plus l’impression de faire souffrir involontairement son entourage. Elle devient la jeune femme qu’elle n’a jamais pu être, bien trop tôt prisonnière des responsabilités laissées par maman. Dans ses souhaits, la madré est elle aussi sur les lieux. Un tablier noué autour de sa taille de guêpe, elle s’affaire en cuisine et une douce odeur de cannelle s’échappe jusque dans la rue. Constamment dans ses pensées, Isaiah est encore un enfant. Il rit aux éclairs et court dans chaque pièce en faisant voler sa petite voiture rouge vif. Parfois, en tant que grande sœur protectrice, la belle lève les yeux de son bouquin pour s’assurer qu’un orteil n’entre en collusion avec l’imposante table qui harmonise le salon en dégageant de la chaleur et une convivialité inconnue dans son cocon actuel.

    L’appartement délabré, elle n’a pas envie de le retrouver. Ni pour la nuit, ni jamais jusqu’au retour du cadet. D’ailleurs, si elle pouvait tirer définitivement un trait sur celui-ci, elle ne s’en priverait guère. Que ce soit le quartier trop animé, les disputes de ses voisins prêts à casser de la vaisselle au beau milieu de la nuit ou les kilomètres à parcourir pour se rendre à l’hôpital comme au Drink.. On ne peut pas dire que ce soit non plus le lieu idéal pour inviter du beau monde. Mais, elle s’en contente depuis son arrivée sur Boston et quand même bien, elle n’a pas franchement les moyens de déménager. Le luxe serait de refaire quelques travaux au minimum. Il faut dire que l’espacé paraît encore plus terne qu’à son habitude en cette période de l’année. L’évier a décidé de n’en faire qu’à sa tête, une fois de plus. La gosse n’a pas envie d’ennuyer Isaiah pour si peu or, malgré ses nombreuses tentatives pour résoudre le problème, il semblerait qu’elle ne soit destinée à devenir pompier la douce. Alors, elle laisse couler, et c’est le cas de le dire, jusqu’à recevoir la facture salée. Sans doute qu’elle serrera les dents. Peut-être qu’elle suppliera Liam de lui accorder de nouvelles heures supplémentaires. Mais pour le moment, elle préfère ne pas y penser.

    Dans le plus grand des dénis, elle choisit avec beaucoup de minutie, de gambader dans la ville jusqu’à ce que le soleil pointe le bout de son nez. Sans but précis ni point d’ancrage, loin de ses tracas quotidiens, elle se contente de flâner au gré du vent. Il est bien connu qu’il n’est sain de se voiler la face de cette manière. Cela reste malgré tout sa spécialité du moment à Charlize ! Les yeux tournés vers le ciel, elle rêve éveillée comme elle le faisait régulièrement lorsqu’elle était petite. Les écouteurs dans les oreilles, elle tente de faire bouger les astres au son du piano et fredonne un air de violon sur lequel maman posait ses paroles à l’époque. Quand ce ne sont pas les livres qui l’emmènent au pays des merveilles, les douces mélodies s’en chargent et toute noirceur connue ou susceptible de l’attendre disparaît. Dans son monde, la solitude règne en maître. Mais elle n’est pas aussi pédante qu’à Boston. Au contraire, elle est réconfortante et apaisante. A l’image d’un doux nuage moelleux dans lequel on viendrait se blottir et…

    Error. Faille dans le système. Mayday, mayday. Écran noir, on baisse le rideau. Klaxons en guide de clap de fin. Bourdonnements d’oreilles pour couronner le tout. Ce genre de sifflements indescriptibles qui vous arrachent les tympans et vous donne envie de vous arracher la tête. Le violon a des années lumières. Ça y est, c’est la fin. Scène à observer au ralentie pour plus de feels, comme dans les vieux télé crochets des années 80-90. Un quart de tour à peine avant la collision. Une épaule projetée à quarante cinq degrés. Des sourcils qui se froncent et une mâchoire qui se crispe. Pause avant la tachycardie. Fibrillation atriale, qu’on amène un défibrillateur au plus vite. Choc émotionnel qui redescend finalement en flèche. Toujours dans le dramatique. Si elle n’avait pas choisi la médecine, sans doute se serait-elle diriger vers un avenir incertain en optant pour la réalisation voire le jeu d’acteur.

    Pauvre victime percutée car elle a tendance à s’imaginer seule la majeure partie du temps. Voilà qu’elle bafouille des excuses à n’en plus finir avant de détailler ses traits. L’espace d’une minute, elle se retrouve à la place des clients pervers, accoudés au bar. Des mollets bien dessinés. Des jambes sous tension. Des abdos en béton cachés derrière un t-shirt qu’elle aurait préféré qu’il porte à la taille. Des veines apparentes qui raviraient tes collègues infirmières. Une mâchoire marquée sur laquelle a été implantée une barbe maltraitée par la course. Des lèvres charnues que tu devines salées. Un regard de braise. Des yeux sombres mais sûrement un grand cœur. Parce que tout le monde est bon sur cette terre Cha, pas vrai ?! Et un teint hâlé qui prédit une histoire d’ailleurs voire des vacances récentes. Mais son accent prouve bel et bien qu’il n’est pas du coin. Alors, elle se surprend à l’imaginer une vie et des origines.

    Quoique en soit, si cette scène paraît interminable dans la tête de miss Seaton, seulement quelques secondes se sont écoulées avant qu’elle ne s’inquiète de son état. Rien de cassé, plus de peur que de mal. Enfin, c’est un diagnostic qui s’accorde pour vous mais, c’est une autre fin beaucoup plus tragique qui attend l’objet connecté, tout juste repêché sur le bitume. Elle pince sa lèvre inférieure en positionnant l’oreillette derrière le tragus. Machinalement, ses doigts actionnent le volume avec lequel elle joue. Inutile d’insister, le fil quitte de conduit auditif pour rejoindre directement son sac à main et bientôt, le cimetière des catastrophes de Charlize. Ils étaient déjà en piteux état. Tente-t-elle de rassurer le jeune homme a mi-mots.

    Or, s’il parlait de sa carcasse, elle peut paraître petite et fragile mais, elle est beaucoup plus costaud qu’elle n’y parait. Résultat de plusieurs heures passer à frapper des sacs, éviter des ballons ou courir pour se vider l’esprit. D’ailleurs, c’est sûrement ce qu’il était en train de faire avant qu’elle ne l’interrompt.  

    CODAGE PAR AMATIS
    AVATARS PAR aeroplane & #chevalisse


    @Darko Behrami en tout cas, j’écris sur le portable donc j’espère que ce n’est pas trop pourri et qu’il n’y a pas plein de fautes Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 1881463262
    Invitéle Jeu 5 Aoû 2021 - 21:58Rechercher dans: Archives 2019-2022
    Insane - (Charlize)
    13 Réponses500 Vues
    Insane

    Get along with the voices inside of my head. You're tryin' to save me, stop holdin' your breath. And you think I'm crazy, yeah, you think I'm crazy. Well, that's nothin'.



    Courir, courir et encore courir. Qu’importe où ses enjambées le portent. Ecouteurs Bluetooth nichés au seuil des conduits auditifs. Portable arrimé à un brassard ceignant son biceps râblé. Les heures s’égrènent. Sans que l’enfant du Caucase daigne mettre un frein à sa folle cavalcade. Les sourcils froncés et la mâchoire serrée, afin de faire fi des montées d’acide lactique étrillant les membres inférieurs, vastement sollicités et mis à contribution. Le débardeur, transformé en serpillière gorgée de transpiration, épouse et met en exergue les timides reliefs d’un buste qu’il aimerait en acier trempé, mais qui relève – selon lui et à son grand désarroi – davantage du carton pâte. L’épiderme doré ruisselant, brunissant, et même rougeoyant, à mesure que l’astre solaire approche de son zénith. Ne pas faillir. Ni défaillir. Et plus que tout : poursuivre. Afin de ne pas donner raison à celles et ceux prétendant, pétris de certitudes, qu’il est en dessous de la suffisance.

    Ces âmes renchéries, qui se targuent de savoir bien mieux que lui ce qu’il vaut. Ce qu’il est. Et ce qu’il représente. Une procession d’engeances qui l’invitent instamment à faire ce qu’elles lui intiment. Implicitement, tacitement, et parfois même en usant de manœuvres aussi fourbes que fallacieuses. "Obéi, fais et tais-toi.". Sans broncher, ni rechigner. Et surtout sans réfléchir, se forger une opinion et la partager. Papa s’élevant en tête de gondole et figure de proue, de cette poignée de quidams le toisant et s’escrimant à le modeler selon leur fantaisie, tel une statuette en glaise. D’effrontés marionnettistes qui ne puisent satisfaction, qu’en voyant "le petit d’homme à sa maman" s’agiter à la manière d’un fantoche désarticulé, sous leur commandement. Eux, qui se gardent bien d’ensevelir la chrysalide, goûtant le sel de l’amertume, sous un torrent de blâmes ; mais dont les regards réprobateurs et lourds de sens, valent bien mille sermons pontifiants.

    Alors, Darko continue. Passant outre les térébrants heurts de ses pieds, martelant l’asphalte délabré ici et là. Clouant la fourchue au pilori de ses canines, pour endurer sans ciller les brûlures immolant ses mollets modestement galbés. Ainsi que les morsures ravageant les ischios, en proie à la tétanie. Le souffle lourd, bruyant, appuyé. Et la paume compressant le flanc, dans l’espoir de dissiper les points de côté épars bourgeonnant épisodiquement. Guère enclines à l’honorer de leurs exquises vertus, les endorphines – censées irriguer son cerveau encore passablement embrumé – se font désirer et prennent un malin plaisir à faire mariner l’orthorexique emmuré dans sa citadelle de déni. Nul autre choix donc, que de tenir en haleine l’esprit soucieux, afin de détourer son attention focalisé et cristallisé sur les peines d’une carcasse tournant en sur-régime au plus fort de l’effort. L’enfant de la guerre ayant embrasé cette poudrière répondant au nom de Balkans, offre à ses pensées erratiques le loisir et le luxe de naviguer à leur guise, sur les eaux troubles de son subconscient.

    Retorses, elles se démènent pour exhumer et ramener à la surface, tout ce qu’il s’emploie à refouler sans relâche depuis maintenant trois longues années. Tout ce qu’il est trop effrayé pour admettre. Tout ce qu’il ne saurait dire, sans cuire sous les feux de la honte. Tout ce qu’il est fatigué de taire et enfouir. Tout ce qu’il envoie rageusement au loin. Mais qui finit inéluctablement par revenir à lui, tel un boomerang des antipodes. Ils dansent devant ses opales boueuses. Ces corps virils et vaillants entremêlés, et reluqués en loucedé sur des sites qu’il est incontestablement trop vieux pour consulter de la sorte. Ou au détour des pages de magazines ne se lisant que d’une seule main, et que l’on planque sous le matelas de son lit. Comme un adolescent aux hormones en furie, et hésitant quant au bord vers lequel il devrait pencher. D’impures – et pourtant si délicieuses – rêveries éveillées, qui attisent tel un soufflet les braises d’un désir défendu.

    Un désir en passe de s’embraser. Tanguant sur le filin du point de rupture, le mécréant ressent soudain l’urgente nécessité d’endiguer des fureurs, s’apparentant à ce que ses aïeux lui ont de tout temps présenté comme étant l’un des pêchés les plus inexpiables qui soit. L’éventail des possibilités s’avère en l’espèce relativement restreint. Serrer les poings à s’en écorcher les lignes de la main. Hocher négativement du bonnet. Se répéter comme un mantra les préceptes coraniques inculqués par "Maman", ainsi que les prêches – un rien hostiles et va-t-en-guerre – de l’Imam, pour revenir dans le droit chemin. Et se convaincre d’être "normal". Atteindre les abords de Charles River. Longer la baie et la marina bercées par les flots scintillants. Presser les boutons sur la tranche du téléphone pour accroître le volume. Disséminer les idées égrillardes à l’aide de la voix de Kim Petras vrillant ses tympans. Courir, courir, courir. Toujours plus vite. Toujours plus loin. A l’instar d’un dératé souhaitant échapper au danger, et se ruant vers un précipice les yeux bandés.

    Se calfeutrer dans une bulle, qu’une inopinée collision ne tarde pas à faire voler en éclats. Abrupt retour à la réalité. A la faveur d’un corps frêle venu se fracasser contre le buste – aux reliefs somme toute modiques – de l’aficionado des diamants stellaires. Quelque peu déboussolé, Darko dodeline du chef pour se reconnecter à l’instant présent et ôte les écouteurs de ses ouïes. Ces derniers renvoyés dans la poche de son short, l’ouvreur du D-Light frictionne promptement son muscle pectoral, pour anesthésier l’infime élancement résultant du choc. Grognement atrabilaire ravalé, le joggeur porte alors son attention sur la fille de Vénus se confondant penaude en excuses. Une sylphide à l’angélique frimousse. Avoisinant son âge. Des traits poupins, tout en rondeurs, réguliers et très harmonieux. Un brin tirés et creusés par la fatigue, ainsi qu’un certain déficit de sommeil. Le teint subtilement halé. Rendu blême et cireux par l’harassement. Tirant ainsi légèrement sur l’olivâtre. Des lippes glossées, charnues et gourmandes, aux airs de bonbon en guimauve. Un petit nez frippon et effronté. Des pommettes saillantes, rehaussées de quelques notes de blush – à moins qu’il ne s’agisse d’un rougissement d’embarras. Un portrait sublimé et magnifié, par deux oblongues noisettes. Cernés noir et empreints d’une indicible tristesse.

    "Non t’excuse pas, c’est aussi en partie d’ma faute. J’aurais dû faire plus attention ou j’allais. Ouais, t’en fais pas : tout va bien.", rétorque-t-il posément, d’une voix onctueuse et à la prononciation des "r" bien singulière. La dextre s’emparant de l’ourlet du tank top, pour éponger à la hussarde la pellicule de sueur tapissant sa trogne et faisant luire la pilosité de sa barbe de sept jours – à la taille laissant quelque peu à désirer. Octroyant par la même occasion une brève respiration d’air frais à sa ceinture abdominale fluette. Le formel vouvoiement renvoyé sur le banc de touche et délaissé au profit du convivial tutoiement, du fait de l’apparente proximité générationnelle les unissant.

    Faute avouée est à moitié pardonnée, dit-on. Et compte tenu qu’il faut nécessairement être deux dans ce genre d’aléa ; autant partager la responsabilité des torts. Tandis que le digne représentant de la plèbe s’affaire à éradiquer les plis gondolant l’étoffe humide de son débardeur, l’infortunée s’empresse de récupérer ses écouteurs, échoués sur le bitume accablé par le soleil. L’inavoué inverti accuse une sommaire reculade pour permettre à la malheureuse accidentée, de ramasser une moitié de l’accessoire audio taquinant la pointe de sa basket. Buste redressé et verticalité recouvrée, l’hoir d’Eve cale prestement les petits condensés de technologie dans ses oreilles, pour s’assurer de leur bonne fonctionnement.

    "Ca va, y a pas de casse ?", s’enquit-il confus et le verbe mal-assuré. Le bandana noué autour du front hâtivement retiré, pour mieux laisser aux phalanges la possibilité de gambader dans l’opaque tignasse trempée, et y remettre une illusion d’ordre. Gênée, la paume glisse jusqu’aux alentours de sa nuque calcinée par l’astre du jour, et y applique de petites frictions circulaires empruntées. Les pulpeuses pincées et se résumant en un fin filet, sous le poids du tracas.

    Alors que le soleil à son apogée vient trôner tel une auréole derrière sa tête. Faisant ainsi briller les boucles brunes de sa longue et soyeuse chevelure. En plus de lui accorder des airs de madone descendue des cieux. Un charme qui désarme et coûte des larmes. Mais face auquel le rejeton d’immigrés demeure, à son grand dam, de marbre.

    CODAGE PAR AMATIS
    AVATARS PAR aeroplane & {#}chevalisse{/#}


    {@=10961}Charlize Seaton{/@} : Haaaan, chaton mais tu as très bien fait. Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 2096834786 Mooh, merci t'es un amour.  Ohlalalala, mais il ne faut surtout pas voyons. D'autant plus qu'avec ce que j'ai lu ; tu n'as absolument pas lieu de rougir, crois-moi. Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 699381251 Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 208576344 Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 2659158125
    Invitéle Lun 4 Jan 2021 - 13:06Rechercher dans: Archives 2019-2022

    JEANIE RITCHIE

    date de naissance
    née le 5 juillet 1992.
    lieu de naissance
    à l'hôpital de Edimbourg.
    nom
    Tu possèdes le nom de ton père Ritchie. Famille riche d'Edimbourg.
    prénom(s)
    Jeanie, prénom de ta défunte grand mère maternelle. Tu ne possèdes pas d'autres prénom.
    nationalité(s)
    tu es de nationalité anglaise. Domicilier à Boston depuis trois ans maintenant. D'ici quelques années, il est possible que tu demandes la nationalité Américaine.
    origine(s)
    tu as pas mal d'origine. Origines irlandaises, anglaises, allemandes, écossaises et galloises.
    orientation sexuelle
    attirée par les hommes, tu as tendance à être attirée par ceux que tu ne devrais pas. Homme de caractère, homme de sang froid, homme viril. Ces qualités t'attirent.
    statut amoureux
    célibataire et destinée à un avenir qui ne te plait pas. Tu es promise à un homme, fiancé sur les papiers. Tu nies tout lien avec cette homme. Tu ne l'aimes pas.
    statut social
    riche, très riche. Seulement en venant vivre à Boston, tu as décidé de mettre derrière toi cette vie qui ne te plait pas. Tes parents ne savent pas ou tu es, et pour te retrouver. Ils t'ont coupé les vives. Aujourd'hui, tu te débrouilles seule.
    travail
    tu es biologiste à l'aquarium de boston et intervenante à Harvard. C'est un travail qui te passionne. Pleine de curiosité, c'est le métier tout à fait convenable pour une personne comme toi.


    — amatrice de simplicité, tu n'es pas du genre à te prendre la tête. Tu fuies tes responsabilités pour vivre librement. Cela fait plus de 3 ans que tu as quitté Edimbourg sans donner d'explication à ta famille. Fuyant l'idée de te voir enchainer à un homme que tu n'aimes pas. Tes décisions, tes choix. Tu as décidé de partir pour une vie pleine d'insouciance à Boston. Personne n'est vraiment au courant de ton histoire, tu te caches bien de le dire. Tu préfères ne rien dire pour ne pas attirer l'attention. Après tout, tu n'aimerais pas un jour voir débarquer tes parents pour te rappeler à tes responsabilités.


    ENTETER ** tes décisions, tes choix. Tu n'accordes aucune importance aux conseils qu'ont te donne. Tu aimes faire des erreurs. Imparfaite, tu fais partie de celle qui pense que la liberté ne peut pas être parfaite. DECALEE ** tu attires le regard et les esprits. Tu n'es pas comme tout le monde. Tu possèdes une vieille coccinelle que tu as retapé depuis ton arrivée à Boston. Certain admire ce choix, d'autres le critiques. Tu aimes les vieilles choses. DROLE ** tu aimes rire, tu aimes plaisanter et tu adores les personnes qui partagent cette envie. MINUTIEUSE ** tu en as constamment besoin dans ton boulot. Minutieuse, tu ne te laisses pas facilement déranger. Tu es souvent très concentrer lorsqu'il s'agit de ton travail. IMPRUDENTE ** tu manques de prudence, tu joues parfois avec tes limites. Tu attires le danger. C'est comme sa. MENTEUSE ** tu ne te considères pas comme telle mais tu ignores la vérité. Une vérité qui pour toi n'est pas toujours bonne à savoir. Tu préfères ne rien dire plutôt que d'avouer des parties de ta vie que tu souhaites oublier.

    née à Edimbourg. Tu es la fille de Enora Ritchie et Gauthier Ritchie. Homme de renommé, ton père a fait fortune dans l'armement nucléaire. Tu as un grand frère et une petite soeur. * tu n'as jamais été très adepte de l'histoire familiale. En décalage avec le reste de la famille, tu t'es toujours débrouillée pour mener la vie dur à tes parents. * passionnée d'art et d'histoire, tu as toujours eu une grande passion pour les vieux objets. Il t'arrive assez souvent de chiner pour trouver la perle rare. * tu n'as jamais supporté le travail de ton père. * destinée à épouser à homme que tu n'aimes pas. Tu as fuie ton pays et ta famille, pour ne pas avoir à faire quelques choses que tu ne souhaitais pas faire. * Sur les papiers, tu n'es pas célibataire. Tu es fiancée. * Tu te fais discrètes à Boston, tu sais que ta famille a engagé plusieurs personnes pour te retrouver. Tu vies ta vie mais tu fais attention * Tu te déplaces en vieille coccinelle. Une voiture que tu as chiné pour un prix dérisoire et que tu as retaper. * Tes parents ont clôturer tout tes comptes bancaires. Ton boulot te suffit pour couvrir toute tes dépenses. * Il t'arrive d'intervenir à Harvard, c'est un boulot qui te plait et qui te permet de gagner un peu plus ta vie * tu aimes mangé, tu as toujours aimé mangé par contre, tu détestes vraiment le sport...


    pseudo Aurélie alis {#}CHEVALISSE{/#}
    âge vingt sept ans
    nationalité Française
    forum connu par... bazzart à l'époque
    ILH, j'en pense quoi ? que c'est la maison
    autres comptes ? {@=10520}Morgan Langford{/@}
    avatar utilisé emma robert
    crédits images ANGEL OF SMALL DEATH pour les icons et BALACLAVA pour l'avatar
    nombre de mots par rp 200 lignes
    type personnage inventé ou scénario

    code métier
    new england aquarium + biologiste :  explicatif pour remplir correctement dans ce sujet
    Code:
    @"Jeanie Ritchie" » <i>biologiste</i>

    code bottin

    Code:
    » <span class="pris">EMMA ROBERTS</span> » @"Jeanie Ritchie"

    Invitéle Sam 31 Oct 2020 - 23:03Rechercher dans: Présentations archivées
    MARNIE MILLS • Lorena Rae
    22 Réponses900 Vues
    MARNIE MILLS

    naissance
    née le 5 avril 1996 à Phoenix.
    nom et prénom (s)
    Marnie, tu possèdes le prénom de ta grand mère maternelle décédé quelques jours avant ta naissance. Tes parents ont voulu lui rendre hommage. Ton nom est Mills.
    nationalité(s)
    de nationalité américaine, tu arbores fièrement les couleurs de ton pays.
    origine(s)
    allemande de part tes parents et américaine de part tes grand parents.
    orientation sexuelle
    hétérosexuelle, les zizi c'est ta came.
    statut amoureux
    célibataire, l'amour ne te convient pas ou disons plutôt que tu n'es jamais tombé sur la bonne personne non plus.
    études
    tu étudies la musique et le théâtre.
    bourse
    Tu aurais pu obtenir une bourse. Tu es douée mais ta famille d'accueil s'est occupé de tout.
    statut social
    moyen voir pauvre.
    job étudiant
    fille au père, tu t'occupes de deux enfants. Un de 10 ans et l'autre de 8 ans.


    — Tu n'as pas le temps à consacrer aux confréries. Non pas que tu ne t'y intéresses pas, disons juste que tu préfères occuper ton temps libre d'une autre manière. De plus, tu n'es pas résignée à appartenir à une classe ou un seul groupe. Il t'arrive néanmoins de participer aux fêtes seulement, tu préfères rester loin de tout sa.  
    pleine de rêve et d'espoir, tu as su faire preuve de ruse pour obtenir ce que tu souhaitais. Tu es arrivée en décembre 2018 à boston. Fille au père dans une riche famille au héritage douteux, tu as su négocier tes conditions. Tu souhaitais intégrer harvard depuis déjà plusieurs années seulement l'argent te manquait. Ils t'ont donc payer les frais d'inscription. Tu as envoyé ton dossier d'admission, expliquant explicitement pourquoi tu souhaitais intégrer cette faculté. Par la suite, tu as obtenu tes résultats au SATS ou tu as obtenu une très bonne note. Tu as ensuite passé une épreuve écrite puis tu as été convoquer à un oral. Les choses se sont plutôt bien passé puisque tu entames ta deuxième année à harvard.


    artiste • tu défends ton art et tes idées à travers des dessins, de la musique ou bien des pièces de théâtre. Tu n'as pas ta langue dans ta poche. Tu aimes dire les choses même si elles peuvent blessés. Les seules personnes avec qui tu te montres discrète son ta patronne et ton patron. Studieuse • étudier ne te dérange pas. C'est une manière pour toi d'échapper au terrible tache ménagère. Elles te permettent d'avoir un peu de tranquillité. Drôle • tu aimes rire, plaisanter, profiter. Tes temps libres sont limités mais tu te fais plaisir. Fidèle • tu apportes une grande importance à l'amitié, existentiel pour toi. Tu te rattaches à sa, à défaut d'avoir ta famille prêt de toi. Tu te rattaches sur ces personnes qui t'accompagnent jour et nuit. Complexée • tu ne le montres pas mais ta petite taille est un véritable complexe pour toi. Un poids qui te semble parfois difficile à surmonter surtout quand tu te retrouves face à plusieurs personnes. Rancunière • tu n'arrives pas à passer outre, tu as ce sentiment de vengeance en toi. Tu aimes rendre l'appareil. Tu sais que ce n'est pas une manière mais il fait partie de toi. C'est ton plus gros défaut. Non fumeuse • Tes poumons sont aussi clair que l'eau de roche. Tu n'as jamais fumée, tu ne t'y es pas intéressée. Pour être honnête, tu tiens bien trop à des deux poumons pour les enfumés. Expansif • tu as toujours aimé défendre ce que tu juges être une inégalité. Féministe, tu soutiens de nombreux projet.  

    née à Phoenix en Arizona. Marnie Mills. Tu portes le prénom de ta défunte grande mère maternelle décédé quelques jours avant que tu naisses. C'est un hommage que tes parents ont voulu rendre • famille aimante, tes parents ont toujours su faire passer le bonheur de leur enfant avant tout le reste. Famille modeste, l'argent n'a jamais été une question. • enfant vivante et turbulant, tu as toujours été très franche avec le monde qui t'entoure. Tellement franche que tu t'es très souvent retrouver dans des situations délicates • complexe par ta petite taille, c'est un complexe ancré en toi et qui parfois te déstabilise encore aujourd'hui. • coureuse, tu as toujours aimé l'aventure. Tu es partie pendant deux mois en voyage humanitaire. Tu es revenue pour finalement repartir pour Boston. • Débrouillarde, tu n'as besoin de personne à part d'argent pour obtenir ce que tu souhaites • Tu aimes la musique autant que ton père. Musicien, tu as sans doute prit le chemin de l'artiste. • tu possèdes une chaine youtube ou tu exposes ton humeur, tes idées mais aussi tes coups de coeur. Amatrice de musique, tu aimes repérer les nouveaux talents. T'apportes un peu de lumière à ton échelle. • Tu as une petite soeur avec qui tu t'entends très bien. Souvent en contact l'une avec l'autre, vous vous parlez fréquemment. • Tu es allergique au poil de chien, ce qui s'avère être compliquer quand on vit avec un chien. • Tu n'es pas une très bonne conductrice, tu préfères de loin prendre les transports en commun plutôt que la voiture. Tu le sais alors tu t'adaptes. • féministe, tu aimes défendre les femmes et leur droit. • Plutôt ange ou démon ? démon sans aucun doute. Les anges se taisent et acquiescent. •  


    pseudo {#}chevalisse{/#}
    âge vingt sept ans
    nationalité française
    forum connu par... bazzart il me semble. Je m'en souviens plus trop.
    ILH, j'en pense quoi ? c'est la maison.
    autres comptes ? {@=10520}Morgan Langford{/@}
    avatar utilisé la sublime Lorena Rae
    crédits imagespinkresources /icon en haut/ screensland icon sur le côté WILD HEART. /avatar
    nombre de mots par rp 200 mots en général
    type personnage inventé

    code études
    musique et théâtre ;; DEPARTMENT OF ART, LITTERATURE AND HISTORY ;; sixième année - explicatif pour remplir correctement dans ce sujet : réponse ici
    Code:
    @"Marnie Mills" » <i>(musique et théâtre)</i>


    code bottin
    Code:
    » <span class="pris">LORENA RAE</span> » @"Marnie Mills"

    Invitéle Dim 5 Juil 2020 - 22:49Rechercher dans: Présentations archivées
    LAÏS EDWARDS

    date de naissance
    née le 12 mai 1994
    lieu de naissance
    dans la magnifique ville de Rio de Janeiro
    nom
    adoptée à ton plus jeune âge, tu as hérité du nom de famille de ton père adoptif. Edwards
    prénom(s)
    Laïs, prénom d'origine brésilienne. Ce prénom est la dernière chose qu'il te reste vraiment de tes véritables parents.
    orientation sexuelle
    hétérosexuelle, tu as essayé et tu as conclue que tu préférais les hommes. C'est une certitude.
    statut amoureux
    célibataire, l'amour n'est pas un sentiment que tu affectionnes.
    études
    étudiante en médecine, tu suis tes envies. Grâce à l'argent de tes parents adoptif, tu peux aujourd'hui, prétendre à devenir ce que tu veux.
    bourse
    non aucune bourse.
    statut social
    Riche, ton père est a la tête de plusieurs garages connues. Une filiale qui se développe.
    job étudiant
    tu bosses dans l'entreprise de ton père. Mécanicienne, tu es plutôt douée en ce qui concerne les voitures. Curieuse, tu as toujours été d'une grande aide.


    — Tu éprouves le besoin d'être différente. Faire partie d'un groupe ne te ressemble pas. Electron libre, tu te laisses dominer seulement par tes envies. Tu n'appartiens à rien, ni personne. A part, on a souvent essayé de te montrer l'utilité des confréries. Seulement tu n'y vois aucun intérêt. Alors tu vagabondes de soirée en soirée sans te soucier du monde qui t'entoure. Tu aimes profiter de la vie, alors tu te refuses que très peu de chose. Voilà pourquoi tu ne t'embêtes pas avec les autres. Tu te sers, tu vas et viens.  Tu as donc décidé de ne pas t'inscrire à une confrérie comme tout les ans, personne ne verra ta candidature sur un bout de papier. Tu t'en fiches. . Pour plus d'infos sur le bizutage et son déroulement, vous trouverez toutes les informations dans ce sujet
    Code:
    <!-- Laïs Edwards --><div class="grid-item fem harv student america hetero sante"><figure><img src="https://i.imgbox.com/1wqQo5UV.png" /><img src="https://66.media.tumblr.com/f0a67e320331fba6bc9eb00ec09bfd58/tumblr_inline_p7kcs61kuf1tpox80_100.gifv" class="cover" /></figure><div class="content"><div class="name"><h2>LAÏS<br />EDWARDS</h2></div><div class="info"><div class="face">CANDICE SWANEPOEL</div> · <div class="age">26 ans</div><div class="activity">ETUDIANTE MEDECINE/MECANICIENNE</div><div class="more"><a href="https://www.i-love-harvard.com/u9919">mon profil</a></div></div></div></div>

    Invitéle Mer 12 Fév 2020 - 14:40Rechercher dans: Archives 2019-2022
    {@=9661}Sasha Farell{/@} bien sur que tu peux, mais bordel ton pseudo {#}chevalisse{/#} me dit un truc et ça m'frustre de pas savoir quoi Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 1881463262

    {@=9872}Alice Spellman{/@} ce qu'il faut pas faire pour pouvoir éviter de payer Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 1881463262 mais ouais, avec plaisir !
    j'suis du genre à adoooorer jouer réellement ce genre de lien très souvent, même par sms et tout !
    Invitéle Jeu 6 Fév 2020 - 21:18Rechercher dans: Présentations archivées
    GAUTHIER MARTINS

    date de naissance
    NE LE 16 NOVEMBRE 1991
    lieu de naissance
    A BOSTON
    nom
    MARTINS, FAMILLE DE MUSICIEN
    prénom(s)
    GAUTHIER, TON SEUL ET UNIQUE PRÉNOM.
    orientation sexuelle
    HETEROSEXUEL, LES COURBES FÉMININES SONT LES SEULS A TE FAIRE BANDER !
    statut amoureux
    CÉLIBATAIRE, JE SUIS PAS FAIT POUR LES RELATIONS A LONGUE DURER ! JE ME LASSE VITE...
    études
    ETUDE DE THÉÂTRE ET DE COMMUNICATION. TRENTE ANS ET DE RETOUR A L’UNIVERSITÉ, TES POTES ONT VOULU PARIER AVEC TOI. T'A ACCEPTE ET TE REVOILÀ A L'ECOLE
    bourse
    NON, T'ES PAS HABITUER A CE QU'ON PAYE POUR TOI
    statut social
    NOUVEAU RICHE
    job étudiant
    ON T'APPELLE UBEREAT Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 387742012


    — Tu es la preuve concrète qu'il n'y a pas d'âge pour reprendre des études. Trente ans et te revoilà à arpenter les couloirs de l'université. Etudiant en Théâtre et communication. Rêveur dans l'âme, tu n'as jamais suivis le chemin logique de la vie. Tu vas la où tu veux être, sans te poser de question. Ouvert d'esprit, il est assez rare de te voir juger les autres. En vrai, tu es le genre de personnage à attirer l'attention. Drôle, charmeur, beau parleur, tu sais manier à la perfection l'art de la séduction Tu l'utiles pour obtenir ce qu'il te plait. Tu n'as jamais eu la chance de voir qu'elle était l'ambiance d'un campus. Et t'aimerait remédier à sa, en intégrant la confrérie des Adams House
    Entre trois, quatre verres de vodkas. Tu t'es laissé emporter dans cet aventure qui n'était pas la tienne. Tu as bêtement perdu à un pari et voilà que tu te retrouves le nez dans un dossier d'inscription pour reprendre tes études à Harvard. Tu n'es pas retourné à l'école depuis que tu as obtenu ton bac. Les années ont coulé sous les ponts et te voilà de retour. Tes amis t'ont aidé, ce soir là. Lettre de motivation, lettre de recommandation de tes anciens patrons. Tu as mis plus d'une semaine a réunir tout les documents. Sans pour autant croire que sa irait plus loin. Ton défis était de t'inscrire, sa s'arrêtait là. Pourtant, tu as été rappelé plusieurs semaines plus tard pour passer les test aux SATS. Tu as obtenu la note minimal : 1450. Ensuite, tu as eu un entretient avec plusieurs formateurs et responsable de l'université. Les doigts dans le nez, tu as su mettre tes qualités en avant et faire passer ce pari pour un nouvel objectif. Aujourd'hui, tu es sans doute l'étudiant le plus vieux de l'université et tu t'en bas les couilles  Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 3861440630


    "putain de bordel à cul " tu es le genre de personne a cumuler les injures. Grossier, tu aimes sa. Tu ne contrôles pas ce qu'il sort de ta bouche. Spontané, tu réagis sans doute plus vite que tu penses. Une manie masculine parait-il. Enfantin, tu n'es pas du genre à te prendre la tête. Tu détestes sa pour être plus honnête. Cela t'a permit de revenir à Harvard. Tu ne fais pas ton âge et tu comptes bien amadouer ces belles demoiselles " les étudiantes ". En vrai, tu n'as aucune limite. Beaucoup pense que tu ne sais pas y faire avec les femmes, détrompez-vous. Tu es bien plus intelligent que tu n'y parais. Tu sais ce qu'elles aiment et sa t'arrive de leur vendre du rêve. Tu mens pour mieux obtenir ce que tu souhaites. Cependant, tu t'es toujours promis de ne rien promettre. Les relations sérieuses te font pousser de l'urticaire. Infidèle,tu aimes peindre sur plusieurs tableaux. Tu ne veux pas de cette vie cassée. Tu veux vivre une vie pleine de mystère et de rebondissement. Certaines fois, tu déçois des personnes. Tu t'y fais ! Gentil la plupart du temps, c'est rare que tu ne sois pas de bonne humeur. Tu aimes avoir raison et tu détestes avoir tord. C'est le principe. Il t'arrive de faire du mal mais tu n'aimes pas que les autres en face. Étrange aussi, c'est un principe. T'es le seul à pouvoir faire du mal. Attachiant, il parrait qu'on s'attache très vite à toi. Beaucoup le regrette et tu sais pourquoi.      

    Né à Boston le 16 novembre 1991, enfant du pays, beaucoup le connaissaient pour ses travers • famille au revenu moyen, tu n'as jamais connu l’abondance d'argent. Il t'arrivait de voler dans les magasins de la ville. Cela t'a valu quelques petits soucis avec la justice, jusqu'à ce que ta famille décide d'intervenir • Ton père travaillait en tant que couvreur et ta mère était femme au foyer. • Tu possèdes une petite sœur, avec qui tu es très proche. Vous avez quatre ans de différence et elle ne sait pas que tu as repris tes études. Tu préfères ne rien lui dire pour le moment. Elle n'as pas besoin d'être au courant • Ton père a été pendant plusieurs années le maire de Boston. Cela, lui a permit d'ouvrir sa propre société de recouvrement ensuite, il s'est séparé de ta mère. • Tu n'as jamais été très studieux, tu t'es arrêté au bac. Pensant que sa suffirait. • Tes parents se sont séparé lorsque tu avais dix-sept ans, tu as toujours douté de leur amour. Aujourd'hui, tu gardes bien plus de contact avec ta mère qu'avec ton père. Vous êtes trop différent • Tu es tombé une fois amoureux, l'amour de ta vie, celle avec qui tu te voyais faire tout et n'importe quoi. Elle t'a quitté sans raison précise, laissant votre histoire en suspend. Aujourd'hui, t'es pas prêt à revivre ce truc. • Ton père s'est remarié cinq ans après son divorce. Tu ne supportes pas ta belle mère. Superficiel, elle n'a rien à voir avec ta mère. • Sa fait quatre ans que tu bosses en tant que Ubereat, tu es devenu formateur. Tu amènes les commandes et tu formes les petites nouveaux. C'est pas fameux mais t'a le mérite de pouvoir repartir parfois avec de la bouffe gratuite . • Tu conduis un petit scooteur vintage, tu l'adores et tu ne le troquerais pour rien au monde. C'est pas sexy mais tu t'en fous, t'a pas besoin de ton scooteur pour pecho • Aimable, t'es le genre de personne a aider une vieille mamie à traverser. Tu es serviable, une qualité que beaucoup admire • Adolescent, certains pensaient que tu étais gay. Aujourd'hui, t'aurait bien envie de leur dire : " d'allez se faire enculer ". Ce petit côté homo t'a permit de pécho bien plus de fille que tu le pensais • Toujours partant pour faire des conneries, tu n'es pas le genre de mec qui pense avec raison. Tu y vas sans te soucier des conséquences • Tu kiffes regarder le défilé victoria secret, parce que tu les trouves toute bandantes • Tu traînes souvent avec les même pote • Accroc au sexe, tu aimes sa. Si tu pouvais trouver une fille qui se réveillerait et se coucherait avec ta bite dans la bouche. Tu serais heureux... • Ton père essaye de reprendre contact et toi tu le fuis, t'en a pas envie • Tu aimerais avoir un raton laveur chez toi Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 166564858 et ce jour arrivera • Tu bois et tu fumes à profusion, il t'arrive même de fumer quelques pétards. Chuuuuut •      


    pseudo {#}CHEVALISSE{/#}
    âge j'ai vingt six ans
    nationalité je suis de nationalitée française
    forum connu par... je sais plus, sa fait tellement longtemps Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 1881463262
    ILH, j'en pense quoi ? que c'est une maison et on finit toujours par y revenir
    autres comptes ? {@=9661}Sasha Farell{/@} la magnifique Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 166564858
    avatar utilisé Adam Brody Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 166564858
    crédits images en attente
    nombre de mots par rp trois cent mots un peu prêt
    type personnage inventé

    parrainage aucun parrain
    code bottin
    Code:
    ☾ <span class="pris">ADAM BRODY</span> ⊹ @"Gauthier Martins"

    Invitéle Dim 20 Oct 2019 - 19:34Rechercher dans: Présentations archivées
    arrivée en masse du cast oth et j'aime ça Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 3087562708 la {#}chevalisse{/#} des avatars Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 4205929361

    (re) bienvenue parmi nous Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 3850463188 Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 152426858
    Invitéle Mer 25 Sep 2019 - 23:10Rechercher dans: Présentations archivées
    jfdishgdhgjdqnkj je t'ai reconnu toiii hanwii
    {#}chevalisse{/#} Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 166564858 ma jackie chan Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 2511619667
    rebienvenuuuue Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 1839924927 et amanda j'adore le choix d'avatar Tag chevalisse sur I LOVE HARVARD - Page 2 2096834786
    Invitéle Sam 13 Juil 2019 - 12:20Rechercher dans: Présentations archivées


    Farhan-Ul-Haq Qureshi


    FT. Karan Tacker

     
    carte d'identité

    JE SUIS NE(E) LE 17 Décembre 1987 À Amritsar, dans l'Etat du Penjab en Inde, à seulement une trentaine de kilomètres de la frontière pakistanaise. J'AI ACUTELLEMENT 31 ans. ET JE SUIS DE NATIONALITÉ Indo-Pakistanais. JE SUIS ATTIRÉ(E) PAR la majesté des Ranis et la tonique vigueur des Rajahs. En d'autres termes, je suis bisexuel et ACTUELLEMENT JE SUIS célibataire carriériste, volage et allergique à l'engagement. NIVEAU SOCIAL JE SUIS à l'échelle de l'économie indienne : riche. Aux Etats-Unis ; haut de la classe moyenne digne d'une CSP ++ MAIS TRANQUILLE JE SUIS Agent Littéraire au sein de la filiale indienne des éditions américaines HarperCollins.


    ton groupe / I want it, I got it

    Travail. Agent littéraire reconnu par l’ensemble de sa profession et estimé par ses pairs. Une véritable sommité dans ses spécialités, domaines d’expertises et compétences, que sont l’édition, la bibliothéconomie et la restauration de livres anciens. Ses travaux de recherches font aujourd’hui office de référence et sont cités en exemple aux étudiants dans les filières littéraires, artistiques et culturelles. Insuffisant pour Farhan qui n’est qu’ambition, convoitise, avidité et cupidité. Plus. Il lui en faut plus. Il en veut plus. Il exige plus. Comme briguer le poste de Directeur Artistique de la maison mère des Editions HarperCollins sur lequel il lorgne depuis des années, et qui est pour l’heure occupé à son grand désarroi par « Un trou du cul doublé d'un sombre crétin et d’un sinistre incompétent. ». Du moins pour l’instant encore … . Se voir décerner un prix d’excellence ou une haute distinction honorifique : tel est le point d’orgue qu’il vise afin de parachever l’ensemble de son œuvre.


    les anecdotes

    (Wahid) De confession musulmane, Farhan est pour son plus grand malheur né du mauvais côté de la frontière. Son père, un célèbre joueur de Cricket pakistanais, a choisi de rester en Inde suite à l'abandon de domicilie de sa femme - d'origine indienne et se prétendant être une descendante directe du dernier Maharajah du Penjab - au cas où cette dernière viendrait à réapparaître dans leur vie. (Athnan) "Maman". Qui es-tu "maman" ? Toi qui t'en es allée sans te retourner et qui a abandonné les chairs de ta chair sans l'ombre du quart du commencement d'un doute. L'aimais-tu "maman" ? T'es tu seulement donnée la peine de t'attacher à lui ? Farhan. "Celle qui a la foi". En qui ? En quoi ? As-tu pleuré au moment de le laisser aux soins de celui que tu affirmais aimer et de ta fille ? Es-tu restée de marbre ? T'es tu dit "bon débarras !" ? Croyais et espérais-tu qu'il puisse bénéficier d'une vie meilleure sans toi ? Seule toi le sais "maman". Toi et la tombe qui garde le secret de tes réponses. (Thlath) Deuxième et avant dernier enfant de la fratrie Qureshi, le "petit homme" naquit cinq ans après sa grande sœur Sidharth. Un demi-frère avec qui il ne s'est jamais montré tendre. Toute sa vie durant, Farhan n'a en effet fait que le rudoyer, le molester et lui faire payer ses frustrations. Notamment celle de ne pas être malade comme lui. (Khms) A la différence de sa sœur qui est porteuse saine du gène de la maladie, Farhan est hémophile. Les spasmes lors des crises le font rugir et feuler tel un loup blessé. Comble de malchance, il est allergique aux morphiniques et aux analgésiques. (St) Les seules substances qui parviennent un tant soit peu à apaiser son mal sont l’Opium et l’Ether. Les années passant, il a petit à petit développé une addiction à ces stupéfiants. Aujourd’hui, et à en juger par les violents symptômes de manque qui le torturent à chaque fois qu’il n’a pas sa dose, il est clairement dépendant et accro. (Sbe) Homme éclairé et érudit, il parle pas moins de sept autres langues en dehors de l'Arabe, sa langue natale. L’anglais, bien évidemment. Mais aussi le Mandarin, le Persan, l'Hindi, le Français et le Sanskrit. Ses connaissances en Physique, Astronomie, Littérature, Philosophie et Musique n’ont rien à envier à celles d’universitaires et maîtres de conférence. (Thmany) Partisan de l’esprit sain dans un corps sain et extrêmement soucieux de son image, le sémillant bibliophile pratique de nombreuses heures hebdomadaires de sport et musculation. Tout ses efforts lui ont permis de se sculpter une musculature puissante de bel éphèbe. Une plastique de rêve faisant la nique à celle des statues helléniques en marbre blanc. (Jadid) Bien conscient que la pratique sportive seule ne suffit pas, il s’astreint à un régime alimentaire drastique et draconien. Pas de graisse, de sucre, de sel, de lait d’origines animales, de gluten, de viande rouge. Il va même jusqu’à peser au gramme près ses portions. Une véritable obsession relevant incontestablement du trouble du comportement alimentaire. (Eshr) L'auteur japonais Haruki Murakami lui a donné le goût pour la littérature. Il est également admiratif de l’œuvre d'écrivains tel que John Dos Passos, Keigo Higashino, Camila Läckberg et Umberto Eco. (Iana) Il appréhende et redoute grandement le passage à la quarantaine. Le cap du quart de siècle et le cap de la trentaine n’ont déjà pas été simples pour lui à digérer, alors il est inutile de vous dire qu’il craint énormément un nouveau changement de dizaine. (Athna Eashar) Prodigieusement surdoué, son QI de 165 dépasse de cinq points celui de Einstein. Conscient de son haut Quotient Intellectuel, il a parfois tendance a se montrer hautain et condescendant avec ses semblables. (Thlatht Eshr) Touche à tout et modèle de polyvalence, il a sauté cinq classes et a mené de front un Master en Edition et un second en Bibliothéconomie. Il s'est ensuite également spécialisé dans la restauration de livres anciens. Sa thèse portait sur l'essor et les perspectives d'évolution de l'Edition Numérique dans les pays en voie de développement. (Thlatht Eshr) Véritable bourreau de travail, il ne passe que très peu de temps chez lui. Pourtant, son grand appartement aux allures de loft sous les combles, sur Charles Street en plein cœur de Beacon Hills est loin de manquer de charme ou de confort. (Arbet Eshr) Pour décompresser lorsqu'il est chez lui, il adore écouter ses musiques préférées. Le tout en chantant - atrocement faux - à tue-tête et dansant en boxer dans tout l'appartement. (Khmst Eshr) Obnubilé par sa carrière, il peut parfois donner l'impression d'être prêt à tout pour y arriver. Y compris écraser ou piétiner les autres. (St Eshr) Il est plutôt du genre solo et n'a jamais été très doué pour les travaux de groupe. Il a d'ailleurs eu du mal pour recruter une étudiante en Métiers du Livre et du Patrimoine, afin d'en faire son assistante, lui apprendre les ficelles du métier et lui dispenser son savoir par la même occasion, en vue de la réalisation de sa thèse. (Sbet Eshr) Depuis l'âge de douze ans, il est lépidoptériste. Traduction : il collectionne des papillons épinglés sur un tableau de liège et mis en vitrine sous verre. En grandissant, Farhan a également développé un goût étrange - pour ne pas dire flippant - pour les animaux naturalisés et les têtes réduites. Une pièce de son appartement leur y est d'ailleurs tout spécialement dédiée et consacrée. Cabinet de curiosité pour certains ; petit musée des horreurs pour d'autres : tout est une question d'opinion et de point de vue. (Thmanyt Eshr) Contrairement à beaucoup de personnes, il adore la pluie. Il n’est d’ailleurs pas rare qu’il reste sous une averse, la tête levée vers le ciel et les yeux clos. L’eau ruisselant sur son visage et son corps l’apaise et lui permet de faire le vide. Qu’importe s’il prend froid ou s’enrhume. Il a besoin de cela pour se sentir vivant. (Tiseat Eashar) Il est ambidextre. A ce titre, il peut donc écrire et faire toutes les actions du quotidien des deux mains. Très pratique. Notamment lorsqu’il est en retard le matin. Brushing de la main gauche, et dans le même temps rasage de la main droite. (Eshrwn) Bien qu’il sache pertinemment que c’est ridicule, le piquant joyau de Amritsar possède quelques tocs pour le moins … étranges. Par exemple, il est incapable de marcher sur des lignes. Idem lorsqu’il traverse un passage piéton : il ne marche que sur les bandes blanches. (Wahid W Eshrwn) Il a une profonde aversion pour les chiens. Ces derniers le lui rendent bien, d'ailleurs. A chaque fois qu'un canidé le voit, vous pouvez être certain qu'il grognera et aboiera. ('Ithnan Waeishrun) A côté de cela, c'est l'ami de chats. Ces petits félins adorent se blottir contre ses jambes, ou se lover au creux de son giron. Allez savoir pourquoi ... . (Thlatht W Eshrwn) Il est extrêmement superstitieux, et ne supporte pas que l’on appelle toutes ses petites manies des « histoires de bonnes femmes ». Jamais, au grand jamais il ne passera sous une échelle. Il reste calfeutré chez lui les Vendredis 13. La vue d’un chapeau sur un lit l’indispose. Il jette une poignée de sel par dessus son épaule, lorsque la salière tombe. Et lorsqu’il croise un chat noir, il conjure le mauvais sort en se touchant successivement les yeux, les oreilles et la bouche. Oui, il est très marabouté.


    le caractère

    Farhan. Liberté. Incarnation et personnification de la liberté. Oiseau rebelle qui n’a jamais, jamais connu de loi. Oiseau de proie. Eternel adolescent fuyant les responsabilités, le devoir et les obligations. Allergique à l’engagement obnubilé par la recherche du plaisir. Le plaisir qu’il chasse et dont il s’enivre au-delà de la démesure, en parfait opiomane et éthéromane qu’il est. Pas de limite, pas d’interdit, pas de modération. C’est un épicurien avant toute chose. Une âme voulant profiter. Une âme qui sait qu’il y a urgence. Oui, il faut faire vite. La vie est courte, vulnérable, fragile, en sursis. Il le sait mieux que quiconque.

    Ne pas avoir de regret et partir du principe qu’il n’y aura pas de demain. Tel est son leitmotiv. Son credo. Un esprit brillant au savoir encyclopédique. Détenteur d’un fort complexe de supériorité, sa grande bouche et son bagout intarissable lui ont valu, lui valent et lui vaudront bon nombres d’inimitiés. Véritable petit con à la haute opinion de lui même, il se montre bien souvent dédaigneux et méprisant envers ses semblables. Phraseur et beau-parleur hors pair, il parade tel un paon faisant la roue et se complait en faisant de l’esbroufe ou en jetant de la poudre aux yeux. Un mégalomane dans toute sa splendeur. Opportuniste né, il s'arrange toujours pour être du "bon côté" et n'hésite pas à trahir ses alliés quand il sent que le vent tourne.

    Etre rampant et obséquieux quand il cherche à obtenir quelque chose, Farhan excelle dans l'art de la basse flatterie, de la flagornerie et la formulation des salamalecs. Véritable panier percé, il dépense sans compter et mène un train de vie de Tsar matérialiste et insatiable. Natif du pays qui inventa les échecs, c'est un fin calculateur ayant toujours plusieurs coups d'avance ou un atout dans sa manche. Amoureux de l'art, des belles choses et des mots rares, c'est un flamboyant orateur maître de la rhétorique, éloquent et sachant se faire persuasif et convaincant lorsque cela s'avère nécessaire.

    Que l’on ne s’y trompe pas, l'adonis sait également faire preuve de fermeté, d’autoritarisme, de despotisme et n’hésite pas à taper du poing sur la table pour imposer ses vues - qu'il sait les meilleures - aux auteurs dont il chapeaute la carrière. Individu colérique et tempétueux, il ne s’encombre pas d’états d’âme et ne rechigne pas à renvoyer ses protégés à leur ouvrage. Monstre d’orgueil et de cruauté, il raffole davantage de la torture et de la manipulation mentale que de la violence physique. Rien ne lui fait plus prendre son pied que de battre et détruire psychiquement quelqu’un, en vue de le reconstruire selon son bon vouloir et ses envies.

    Parfois, il lui arrive de choisir au hasard une victime à tourmenter, torturer et martyriser, dans le seul et unique but de se divertir et tromper l’ennui. Homme traînant dans son sillage une fragrance ambrée et musquée de souffre et de scandale. Hédoniste intrigant et reptilien, détenteur d’une aura de mystère décuplant sa prestance ainsi que son charisme, et lui conférant une certaine influence. Un parfait spécimen de nombriliste n’ayant de considération pour rien ni personne, hormis sa chère et tendre sœur : Nas. Dilettante, borderline, cyclothymique et versatile, Farhan semble avoir quelques tendances bipolaires, puisqu’il alterne les phases d’excitation, d’hyperactivité et d’euphorie avec celles d’apathie, d’atonie et d’inertie.


    derrière l'écran

    Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lasitskene et j'ai 26 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à Top Site + Pub Bazzart. Un forum chill, cocooning, sans prise de tête et qui a fait ses preuves alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Karan Tacker comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par {#}Chevalisse{/#}. Je fais environ 300-600 ou + selon l'inspi' mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.



    Je souhaite
    je veux être parrainé
    je veux participer au Summer Camp !

    Je recense mon avatar
    si personnage inventé:  

    Code:
    [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9448]☆[/url] ☆ <span class="pris">Karan Tacker</span> ◊ “ Farhan-Ul-Haq Qureshi ”[/size]


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