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    93 résultats trouvés pour 4

    Invitéle Mer 21 Fév - 21:48:16Rechercher dans: Archives 2023-2024

    Roulette de Noël {#}4{/#}

    MASSACHUSETTS GENERAL HOSPITAL
    23 Décembre 2023
    {@=3369}Kaiden Winston{/@}  
    LISTE_TW

    A l'hôpital, tu attends impatiemment que l'inconnu sur qui tu as renversé l'arbre de Noël allait bien. quand tu y es arrivé, il dormait. tu pensais qu'il était inconscient mais les infirmières t'ont appris qu'il allait bien. Cela te rassure et tu compte bien t'excuser. Tu appelles un membre de l'équipe médicale quand l'inconnu de réveille. Tu t'excuses. Mais il ne comprends rien à la situation. C'est normal.
    Quand les médecins repartent, ils vous informe qu'il va bien et qu'il peut sortir. Tant mieux ! Je m'en veux terriblement. Je ne voulais pas vous gâcher vos fêtes de fins d'année à cause d'un foutu sapin ! Ça aurait été un mauvais coup qui aurait pu tourner au drame. Mais il s'en sort bien.
    Invitéle Dim 21 Jan - 21:23:10Rechercher dans: Archives 2023-2024

    Roulette de Noël {#}4{/#}

    MASSACHUSETTS GENERAL HOSPITAL
    23 Décembre 2023
    {@=3369}Kaiden Winston{/@}  
    LISTE_TW

    Voulant bien faire, tu étais en quête du dernier de tes cadeaux a faire. Pressé par le temps, il était plus que l'heure pour trouvé les présents de dernière minute. Tout a été vidé. Le réassort devait être pas assez pour remplir tous les rayons. Et toi, toi tu t'y prend au dernier moment. Satané Zach. Tu es un pro de la procrastination. Et maintenant tu es pressé. Tellement que tu n'as pas eu la bonne idée de demander de l'aide avec un escabeau. Non, tu as voulu le faire seul. C'est ainsi, pour cela, que tu es au chevet de ce parfait inconnu a qui tu as renversé un sapin sur la tête, l'ayant fait perdre conscience.
    Tu n'es pas à l'aise Zachary. Tu ne sais que trop quoi dire. A part de plate excuses ...Celui que j'ai fait tomber sur vous... Avait-il perdu la mémoire ? Est-ce uniquement le choc qui lui fait oublier ? Est-ce la façon de son cerveau qui efface l'incident ? Sûrement. Tout du moins, tu l'espère. Déjà que tu te sent coupable alors si en plus il oubli sa vie... Non, ça tu ne t'en remettrai jamais !

    Il a pas tord. S'il est dans ce lit d'hôpital c'est qu'il ne va pas bien. Mais il semble tout de même dans un état correct. Il parle. C'est bon signe non ? Vous voulez que j'en appelle un ? C'est vrai que seul le médecin pourra répondre vraiment a cette question. Comment va-t-il ? Tu fais signe a un médecin qui passait par là. Il est réveillé.Lances-tu à ce dernier.
    Invitéle Sam 30 Déc - 18:48:56Rechercher dans: Archives 2023-2024

    Roulette de Noël {#}4{/#}

    MASSACHUSETTS GENERAL HOSPITAL
    23 Décembre 2023
    {@=3369}Kaiden Winston{/@}  
    LISTE_TW

    Dans la chambre d'hôpital, tu observes ta victime. Tu t'en veux et t'aimerai que, même si la situation est désagréable, qu'il te pardonne. Tu avais peut-être mit ses plans à sac, contraints de resté là, dans cette chambre blanche sans décoration. Oui, toutes les chambres sont les mêmes dans les hôpitaux. Tu n'aimes pas y être. Ça te rappelle ta blessure faite il y a quelques années en arrière. Ces chambres qui sentent... Qui sentent quoi ? Qui sent l'hôpital. Oui, c'est ça. Les hôpitaux ont leur propre odeur. Et c'est généralement pas une odeur qu'on aime sentir. Comment font les médecins, les soignants pour travailler dans ces odeurs là ? Tu n'en savais rien et en soit, on s'en fou. Ce qui t'intéresse c'est de savoir comment va l'homme qui s'est prit un sapin sur la tête qui te demande qui tu es. J'en suis navré, c'est moi le sapin... Oui bon, la tournure de ta phrase est étrange. Mais tu sais pas trop quoi dire de plus... Puis, tu répètes ton interrogation. Comment allez-vous ? Ça va ..? Tu te sentais vraiment mal pour lui. Et tu te sens bien con. Planté là, face a cet inconnu. Tu aimerais pouvoir faire quelques choses mais, manifestement, tu ne peux pas faire grand chose pour ce malheureux.

    Invitéle Dim 24 Déc - 16:45:40Rechercher dans: Archives 2023-2024

    Roulette de Noël {#}4{/#}

    MASSACHUSETTS GENERAL HOSPITAL
    23 Décembre 2023
    {@=3369}Kaiden Winston{/@}  
    LISTE_TW

    T'es un boulet Zack. Mais quel est le con qui à mit en rayon bien trop en hauteur. Tu es grand pourtant. Mais il a fallu tout de même te mettre sur la pointe des pieds pour attraper ton dernier cadeau de noël à faire. Quel idiot tu fais... Malgré que ce ne soit pas totalement ta faute. C'est en trébuchant alors que tu quittais ta position de ballerine que ta cheville ripe sur le bord de l'étagère du bas et qui te fais pencher sur le sapin qui était près de toi. Seulement voilà, il a penché lui aussi. Tellement penché qu'il est tombé sur un parfait inconnu. Inconnu que tu as assommé en glissant.

    Tu accours vers lui mais tu vois qu'il est inconscient. Et merde... tu chope ton téléphone portable qui est dans ta poche arrière gauche et appel le numéro d'urgence. En même temps, tu demandes un médecin qui pourrait potentiellement être là, a faire ses courses. Mais visiblement, il n'y en a pas. Les urgences, ils ne sont pas presser. Ça te répond enfin et tu expliques la situation. Tu fais ce que les urgences te demandes de faire. Puis ils raccrochent. Les secours arrivent.

    Les pompiers sur place, tu leur raconte ce qu'il s'est passé et ce que tu as fait en les attendant. Ils te remercie et embarque ta victime. Vous l'emmenez où ? Oui. Tu t'inquiètes pour lui. Après tout, tu ne serais pas tomber, il n'en serait pas là, sur ce brancard.

    --

    Massachusetts, général hôpital.

    Tu as rejoint l'inconnu et demandé sa chambre. Tu ne veux pas le laisser comme ça. Tu te dois d'aller t'excuser. Prendre de ses nouvelles. Savoir si ce n'est pas trop grave.
    Tu attends. Tu attends qu'il sorte de son sommeil. Visiblement, il n'a rien. D'apparence tout du moins. Puis, il ouvre un œil. Ça va ? Tu lui souris timidement. Gêné par la situation. Je tenais à m'excuser de ma maladresse...
    Présidence Dudleyle Ven 17 Nov - 23:33:29Rechercher dans: Archives 2023-2024
    DUDLEY HOUSE ✧ Beerpong
    16 Réponses556 Vues
    Dudley Housebeerpong


    Les dudley se réunissent dans le grand salon pour passer la soirée tous ensemble. Lumières tamisées, musique en fond, buffet de pizza principalement et une ambiance qui commence à bien chauffer. Une soirée chill à leur façon et, pour ajouter un peu de piment, un beerpong a été organisé.

    Deux équipes légendaires et sans pitié ont été mises en place ! On a la team ROUGES et  ORANGES.

    Les règles sont simples, une pyramide de dix gobelets est en place de chaque côté d’une table. Chaque joueur devra lancer une balle de ping pong et, réussir à viser un verre dans la pyramide de l’équipe adverse. Lorsque la balle atterrit dans le verre, celui-ci ne compte plus et le perdant doit boire le contenu de celui-ci. pour cela il faudra lancer le dé "réussi/échoué" à chaque fois que ce sera à votre tour. Les joueurs sont tous numérotés de 1 à 9, vous allez donc défier le même numéro dans l’équipe adverse. Pour gagner, il faudra que les 10 gobelets soient retirés.

    Afin de s’assurer du bon déroulement du jeu, nous laissons 48h par joueur pour poster lorsque c’est à son tour. Au-delà, on passera au tour suivant. Si un des deux joueurs est actif, il pourra quand même faire son lancé et, on considérera que l’absent a raté son tir.

    Veillez à mettre en bas de chaque post le nombre de gobelets restants dans l’équipe.

    Veuillez privilégier les réponses courtes et de taguer les personnes concernées dans vos posts. Aussi, nous demanderons à tout le monde de poster une première fois dans le sujet avant que la partie débute.

    Et que le meilleur gagne !! Tag 4 sur I LOVE HARVARD 152426858 :heaart:

    les équipes
    déroulement

    QUAND IRL ✧ Le 18 novembre 2023.

    QUAND IG ✧ Samedi 18 novembre 2023 à 23h30.

    ✧ Salon de la dudley house.

    QUI ✧ Les inscrits au beerpong de la dudley


    Ajouter ceci lorsque vous entrez ou sortez d'un sujet de groupe


    IN


    Code:
    <up1>IN</up1>



    OUT


    Code:
    <up1>OUT</up1>


    Invitéle Sam 7 Jan - 20:46:40Rechercher dans: Archives 2023-2024
    Répertoire rps
    past:
    William Bennettle Mer 21 Déc - 2:18:07Rechercher dans: Archives 2023-2024
    Aventures au pays des cochons
    13 Réponses555 Vues
    « De beer pong ???  » répondit-il d’un air absolument ébahi.

    Est-ce que j’ai vraiment la tête d’un joueur de beer pong ? »

    Il ouvrit les bras bien large pour autoriser l’étudiante à l’inspecter minutieusement sous toute ses coutures. Il exagérait bien entendu son air scandalisé. Étudiant sérieux, il participait néanmoins aux activités sociales de son campus. Il savait que, même si on ne le mentionne que très rarement ouvertement, les connections humaines établies durant cette période exercent tout au moins autant d’influence sur le futur que les résultats académiques.

    Il avait donc, effectivement, été joueur de beer pong, à ses heures… Car peu de liens se tissent aussi solidement que ceux qui unissent deux mecs qui vont s’aider à aller pisser aux petites heures du matin, bien bourrés…

    Mais ça, c’était une histoire pour un autre jour.

    «Je veux dire, j’ai fait la NCAA pendant 4 ans, j’ai des pratiques au champ de tir à toutes les semaines, et tu crois que mes bases, c’est le beer pong ? Veux-tu bien me dire qu’est-ce qui a pu te donner cette impression ….»

    Il ponctua la conclusion de sa défense d’une rasade ‘à la viking’ de sa bière, versant avec avidité le contenu de son verre qu’il tenait par le dessus. Avec tellement d’avidité qu’un léger filet dégoulina le long de sa barbe. Mais qu’à cela ne tienne, il l’essuya avec son bras porteur, envoyant valser quelques gouttes dans le processus.

    «Huumm! Il faut AB-SO-LU-MENT que tu goutes à la Congress Street, de Trillium. Elle est à se jeter par terre. »

    «Bennett et Millet ? Par ici, terrain #4. »

    «Oh, oh, Joyce, ils nous appellent! C’est à nous! »

    Ses deux mains occupées par des victuailles, il choisit de sacrifier sa bière, par commodité plus que par envie, et c’est à grande gorgée qu’il se rendit à côté du terrain qu’on lui avait indiqué. Une fois les pieds plantés à côté de sa base, il déposa son verre vide par terre, avant de se retourner vers l’étudiante.

    «Ne t’inquiète pas trop, pour Milton. Je suis convaincu que dès que tu le verras, tu sauras quoi faire. N’oublie pas que nous ne sommes pas dans un film. We are playing the long game, here. On veut le voir. On veut voir avec qui il parle. On veut voir ce qu’il aime. On veut qu’il nous ouvre des portes. On veut voir ce qui le fait vibrer… et ce qui le terrifie lorsque la noirceur s’installe. »


    @Joyce Millett
    Invitéle Dim 16 Oct - 13:45:01Rechercher dans: Archives 2019-2022
    Répertoire de mayumi
    4 Réponses701 Vues

    répertoire RP



    neven alvaro ✧.


    Spoiler:
    Invitéle Dim 2 Jan - 9:44:27Rechercher dans: Archives 2019-2022

    répertoire RP 2022




    Zack Cassidy


    Janvier
    8 RPs


    A long time ago, we used to be friends (Joey) RP1

    Invitéle Mer 20 Oct - 16:02:16Rechercher dans: Présentations archivées
    TW : suicide, abandon, violence physique & mentale


    TAYLER ULLGER


    feat. Ashton Kutcher






    ❝ Dans le monde il n'y a pas d'un côté le bien et le mal, il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on choisit de montrer dans nos actes, ça c'est ce que l'on est vraiment. ❞  Sirius Black



    naissance
    26 Novembre 1991

    nom & prénom
    Ullger Tayler

    nationalité
    Américain

    origines
    Tchèque , irlandais , suisse-allemand

    orientation sexuelle
    Hétérosexuel

    statut amoureux
    Célibataire

    statut social
    Celle d'un professeur d'Université  

    emploi
    Professeur de littérature à Harvard
    FIRE STARTER

    Pourquoi vouloir rejoindre ce groupe ? Selon toi, pourquoi y corresponds-tu ?

    « - C'est donc ici le moment où je dois défendre ma place ? Bien alors dans ce cas, allons-y. Je pense que je peux intégrer FIRE STARTER, car je suis un homme plutôt solitaire, qui n'aime pas forcément être rattaché qu'a une seule idée. Je suis vagabond depuis mon plus jeune âge, autant physiquement que mentalement. Si jamais tu en doutes, je t'invite à te joindre à moi durant une journée, afin que tu puisses en juger par toi même. L'idée te plaît ? Alors tu sais ce qu'il te reste à faire. »
    caractère de Tayler

    ‹ AMICAL & ATTENTIONNE ›

    J'ai toujours été quelqu'un qui aime aider autrui. Je pense que si mentalement j'en avais été capable, je travaillerais actuellement dans le domaine du médical. Malheureusement, ayant un souvenir plutôt néfaste du monde hospitalier, des blouses blanches et tout ce qui va avec, je me suis toujours débrouillé pour donner à l'autre ce que je pouvais à mon échelle.

    ‹ AUTONOME & SOLITAIRE ›

    Depuis mon enfance j'ai toujours voulu voler de mes propres ailes. Ce qui, je dois l'avouer, m'a apporté pas mal d'ennuis. Je suis totalement incapable de m'enfermer dans une routine qui ne me correspond pas. Il ne m'est pas impossible de m'adapter aux personnes, bien au contraire, en revanche je dois régulièrement revenir à ma propre source afin de pouvoir me retrouver moi.

    ‹ CURIEUX & RESERVE ›

    Comme on me l'a souvent dit, la curiosité est un vilain défaut. Je suis entièrement d'accord avec cette phrase. Étant plus jeune la curiosité ma value pas mal de punitions et quelques " traumatismes ", comme ; apprendre que finalement les enfants ne se fabriquent pas dans les roses ni les choux. Cependant avec l'âge j'ai appris à me servir de ma curiosité, je l'ai mise à profit et j'ai réussi mes études haut la main grâce à elle. Bon j'ai aussi fait fuir bon nombre de femme également, car la curiosité chez certaines d'entre elles peut être rapidement irritante. Sur ce point là, il faut encore que je m'améliore.
    En ce qui concerne ma vie, je suis plutôt discret sur ce sujet. Il faut vraiment me tirer les vers du nez pour connaître mon passé et ce qui se déroule dans mon crâne.

    ‹ HONNETE & FRANC ›

    Ma franchise m'a valu une paire de gifles, plusieurs bagarres et un poignet cassé. Malheureusement ou heureusement, chacun vois ça comme il le souhaite, j'ai tendance à ne pas garder ma langue dans ma poche. Je pense que le pire, c'est lorsque je suis témoin ou directement touché par l'injustice.  

    ‹ IMPATIENT & IMPULSIF ›

    Je n'ai jamais été patient et je pense que cela s'aggrave même avec le temps. Mon impatience impacte fortement mon humeur.
    Oui je suis quelqu'un d'impulsif. Mais qui dit impulsif ne dit pas forcément violent. D'ailleurs je trouve que bien trop souvent ses deux mots sont liés, alors qu'ils n'ont parfois rien avoir ensemble. Je suis impulsif dans mes choix, ma façon d'agir dans une situation qui me met mal à l'aise ou dans mes phrases. En aucun cas je me considère comme quelqu'un de violent.

    ‹ JALOUX & OUVERT D'ESPRIT ›

    Ma jalousie a pourri mon adolescence. Heureusement pour moi, j'ai réussi à dompter celle-ci avec le temps. Il m'arrive de retrouver mes vieux démons, mais lorsque l'on m'explique le pourquoi du comment, j'ai tendance à me montrer ouvert d'esprit. Ce qui me permet de passer l'éponge rapidement.

    anecdotes

    ANECDOTE {#}1{/#}
    J'ai grandi dans un foyer pour mineurs, car lors de ma naissance ma mère n'avait pas les moyens financiers pour s'occuper d'un nouveau-né. Tandis que mon père, lui, est inconnu au bataillon. J'ignore si ma mère est toujours en vie, pour le moment la question ne m'effleure pas l'esprit. Comment un être inconnu peut-il vous manquer ?

    ANECDOTE {#}2{/#}
    Lorsque j'étais adolescent je n'étais pas le style de mec qui attirait les filles. Disons que la puberté m'avait dans sa ligne de mire. J'ai beaucoup souffert de mon acné très prononcée, heureusement pour moi, le docteur qui était présent dans mon foyer, a su préserver ma peau de cette avalanche de pustule. N'attirant pas le sexe opposé pendant plusieurs années, j'ai été le dernier de ma bande à perdre ma virginité. J'avais 19 ans lorsque j'ai connu pour la première fois les plaisirs charnels à deux.

    ANECDOTE {#}3{/#}
    Depuis quinze jours j'ai arrêté de fumer. Ce qui pour le moment se montre assez simple. Sans compter le fait que j'ai parfois, pour ne pas dire quotidiennement, des moments où il faut que j'aille prendre l'air ou tout simplement m'isoler, pour éviter de péter un câble devant tout le monde.

    ANECDOTE {#}4{/#}
    Je suis un pétochard des chevaux. J'en ai carrément une peur bleue. Si cet animal se trouve sur mon chemin lors d'une balade, je suis totalement capable de prendre mes jambes à mon cou et de fuir le plus vite possible.

    Pour le reste, je garde quelques anecdotes sous le coude, histoire d'en avoir encore sous la pédale.  

    & irl, ça donne quoi ?

    pseudo L'inconnue du net
    âge Vous êtes sûr ? Sérieux, je pense que je suis un peu vieille maintenant pour être encore ici ... Mais bon, puisque vous me le demandez. J'ai 26 ans.
    nationalité Française
    forum connu par... Depuis le temps, je ne m'en souviens plus. Il me semble que c'était par la pub que faisait mon ancien forum, NYCL.
    ILH, j'en pense quoi ? J'ai toujours aimé ILH. Je trouve que les graphismes sont toujours cool, puis je dois avouer que le monde présent ici est plutôt top ! C'est tellement rare maintenant de trouver un forum avec une jolie décoration et un nombre de joueurs correct.
    autres comptes ? Non, pas pour le  moment.
    avatar utilisé Ashton Kutcher
    crédits images Tumblr, Photogallery, les modifications sont faites par moi.
    nombre de mots par rp Cela dépend de la personne avec qui je RP et surtout l'inspiration de moment... Mais bon, si vous souhaitez réellement un petit aperçu, vous pouvez vous baser sur l'histoire de Tayler.
    type personnage Il est inventé.

    code métier
    nom du lieu + nom du métier : explicatif pour remplir correctement
    Code:
    @"Tayler Ullger" » <i>(Professeur de littérature)</i>



    code bottin
    Code:
    <span class="pris">ASHTON KUTCHER</span> <span class="inv/scena/pl"></span> @"Tayler Ullger"









    i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard



    l'histoire



    Elle était là, installée à quelques mètres de moi. Son regard défilé sur le texte que je venais de distribuer à l'ensemble de la classe. Je sentais les battements de mon cœur s'accélérer de secondes en seconde, mon esprit dérivé sur des scènes que seul mon jardin secret pouvait supporter. Elle portait la robe fleurie qui lui allait à merveille, elle avait remonté ses longs cheveux ondulés en un chignon négligé qui laissaient à découvert son cou. La sonnerie déterminant la fin de mon cours raisonna dans l'ensemble du bâtiment, ce qui m'arracha à ma contemplation et à ma rêvasserie.
    Les élèves rangèrent leurs documents, nous échangèrent avec bon nombre d'eux des formules de politesse, mais je ne pouvais m'empêcher après chaque passage de déposer mon regard sur elle. Elle me plaisait et elle en était parfaitement consciente, c'est pour cette raison qu'elle n'avait pas bougée d'un pouce et qu'elle s'était mise à m'observer. La classe fut rapidement vidée de ses occupants, il ne restait plus qu'elle et moi. Nous étions à présent face à face, moi sagement installé derrière mon bureau d'instituteur et elle derrière son bureau d'étudiante universitaire. Le temps me parut long, elle m'observait avec profondeur, comme si elle sondait mon âme. J'étais sur le point de me sentir mal à l'aise, mais avant même d'avoir le temps de ressentir ce sentiment, elle se leva de son bureau et s'avança jusqu'au mien. Elle plaqua brusquement ses mains sur le bois et se pencha tellement que je pouvais distinguer une infime partie de la dentelle blanche de son sous-vêtement. L'odeur de camomille provenant de ses cheveux enveloppa tout mon environnement, je pouvais sentir mon cœur battre jusque dans les moindres fibres charnelles de ma chaire. Elle entrouvrait sa bouche rosie par son rouge à lèvres discret et elle se mit à mordiller sa lèvre inférieure. À cet instant, elle était parfaitement consciente que j'étais à point.

    « - Alors cher professeur, qu'attendons-nous ? Vous n'êtes pas stupide et je suis loin de l'être également. Vous ressentez comme moi cette tension qui est présente entre nous depuis plusieurs mois maintenant. Nous l'avons cultivé petit à petit, nous y avons mis notre savoir-faire pour aboutir à cet instant précis. Ce que je veux savoir à présent c'est, est-ce que vous aurez les couilles d'aller jusqu'au bout ?! »

    Elle se redressa et alla jusqu'à la porte de la classe pour fermer celle-ci. Les endorphines me rendaient ivre, mon corps était en train de s'adapter aux messages physiques et verbaux qu'elle venait de me balancer en pleine gueule. Elle fit glisser le brise vue présent sur la petite fenêtre de la porte et mit un tour de clé afin que je sache bel et bien que je ne pouvais plus reculer à présent. Comme elle venait de me le dire, je n'étais pas stupide, je ne savais parfaitement que ce qui aller se produire était totalement idiot et exclu de toutes déontologies de professeur. Elle s'avança vers moi tout en remontant sa robe jusqu'en haut de ses cuisses révélant un petit tatouage en forme de cœur et la dentelle blanche de sa culotte. Ce qui me confirma que ce matin en se levant, elle avait pris la peine d'assortir ses plus beaux sous-vêtements et que c'était aujourd'hui que nous allions franchir le cap. Tout était clair dans sa tête, le plan était fondé. Elle s'installa à califourchon sur moi et prit mon visage entre ses mains. Je pouvais sentir l'excitation à travers sa respiration. Il m'était compliqué de lutter, je dois l'avouer. J'étais faible. Elle m'embrassa une première fois, je m’efforçai de ne pas répondre à son baiser, mais elle m'avait analysé depuis plusieurs mois, elle commençait à me connaître. Elle prit mes mains et les passa sous sa robe afin que mes doigts viennent toucher la peau tiède de son corps. Le fil conducteur qui me permettait de ne pas flancher céda …

    Une nouvelle journée avait débuté, les élèves de mon troisième cours prenaient place dans la salle. J'avais encore en mémoire ce qui s'était passé hier sur cette chaise. Une vapeur d'excitation balaya mon dos, ce qui me provoqua un frisson. Les étudiants étaient tous installés et l'heure de commencer mon cours était arrivé. Instinctivement mon regard traversa de part et d'autre la salle pendant que je saluais verbalement les élèves. Elle n'était pas présente, ce qui n'était pas habituel chez elle. Depuis le début de l'année, elle n'avait jamais manqué un seul de mes cours, même lorsqu'elle avait eu cette grosse crève pendant trois jours. En revanche sa meilleure amie, elle, était présente. D'ailleurs celle-ci m'observait avec un demi-sourire accroché aux lèvres, ce qui éveilla légèrement ma curiosité. Était-elle au courant ? Une chose était sûre, elle aurait certainement l’explication sur l'absence de son amie. Le cours se déroula normalement, bien trop d'ailleurs. Habituellement elle intervient pour poser la question ultime qui fera rebondir le cours sur le sujet concret de celui-ci. J'ai pourtant essayé aujourd'hui de faire jaillir cette fameuse question, mais rien à y faire.
    La sonnerie retentit comme chaque jour à la même heure, ce qui donne le signalement aux étudiants que mon cours est terminé. Ils s'empressent tous de quitter la classe car aujourd'hui nous sommes la fin de la semaine et que ce soir, toute cette jolie petite bande aura très certainement mieux à faire qu'étudier le dernier roman que je viens de leur confier pour la fin de la semaine prochaine. Je les observe quitter les lieux, tandis que je vois sa meilleure amie se faufiler à travers la salle. Il ne faut absolument pas que je passe à côté de cette occasion.

    « - Ambre ?! Ambre ?! Excuse-moi de te couper dans ton élan, mais peux-tu venir deux petites secondes s'il te plaît ? »

    La jeune femme rebrousse chemin et s'avance vers mon pupitre, avant de jeter un bref coup d’œil derrière son épaule afin de constater que la salle est belle et bien vide. Elle m'observe tout en arborant de nouveau son sourire, elle coince une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille.

    « - Je suis au courant. »
    « - Excuse-moi ? Je manque de m'étouffer avec ma salive. »
    « - Pour hier. Je suis au courant. Vous ne pensiez tout de même pas qu'elle n'allait pas me mettre dans la confidence ?! J'ignore si vous êtes conscient de ce que vous avez fait, mais sincèrement, je n'aimerais pas me retrouver à votre place. Vous êtes conscient que si quelqu'un vient à apprendre ce qui c'est produit entre vous deux, vous risquez votre place ?! Sans oublier le peu de dignités qu'ils vous restera. »
    Là je dois avouer que je suis dans la merde. Mais pourquoi as-tu fait ça ?! Cela devait rester notre petit secret entre nous. Réfléchis quelques secondes avant de répondre, et s'il te plaît, sois persuasif.
    « - Je ne t'ai pas demandé de discuter de ceci avec moi, la seule chose que j'aimerais savoir c'est, où elle est ?! »
    « - Pourquoi ? Elle a oublié de récupérer sa petite culotte sous votre bureau. Un nouveau sourire, cette fois-ci narquois, étira ses lèvres. Elle ne me laissa pas le temps de répondre et enchaîna. J'ignore où elle est. La seule chose que je sais, c'est qu'hier elle n'avait que votre prénom à la bouche. »

    Sur ces dernières paroles, elle tourna les talons et quitta la classe tout en me laissant dans mon tourbillon d'inquiétude. J'avais fauté et correctement. Il fallait absolument que je reprenne mes esprits, je devais être blanc comme un linge et il me serait impossible d'expliquer à mes collègues la cause de ce teint laiteux. Je devais absolument me ressaisir.
    Je rangeais mes affaires dans mon bureau, les informations fusées dans mon crâne, comme si celui-ci était adapté d'une centrale capable de filtrer un nombre incohérent d'informations plus folles les unes que les autres. Je ne devrais pas, mais je commençai très probablement à perdre pied. Mon téléphone en main, je composais le message qui lui était dédié.

    « Il faut que l'on se voit, je dois te parler. Fais-moi signe rapidement, s'il te plaît. »

    Je regardais ma montre, il était presque minuit. Aucune réponse de sa part ne m'avait été adressé. J'avais bu deux bières et commandé chinois histoire de me changer les idées et surtout d'arrêter de faire les cent pas dans mon petit appartement. Nous ne nous étions jamais écrit par message. Peut-être aurais-je dû lui signaler que c'était moi ? Je ne pouvais pas prendre le risque, si quelqu'un apprenait que nous avions également échangé nos numéros, j'aurais aggravé mon cas. Le son de la télévision me berçait malgré mes angoisses et je finis par sombrer dans les bras de Morphée.

    On toqua violemment contre ma porte d'entrée ce qui me fit me réveiller dans un sursaut monstre. Le cœur battant aux tempes, les yeux à moitié clos, j'allais ouvrir la porte. Devant moi, deux agents, ils me dévisageaient d'un air solennel. Je me tenais à la rainure de ma porte d'entrée, prêt à refuser leur demande de collecte de fonds pour la caserne.

    « - Monsieur Ullger ? »
    Merde ils connaissent mon nom.
    « - Eeeh, oui. »
    « - Nous devons discuter avec vous. »
    Pardon ?!
    « - Pour qu'elle raison ? »
    « - Le corps de Cloé a été retrouver sur la rive du lac hier soir par un groupe de jeunes. Et d'après nos recherches, vous êtes le dernier à voir eut un contact avec elle. »

    Je ne me sentais pas bien. Mon sang était glacé et l'air commençait à me manquer. J'observai les deux agents comme si j'étais en plein rêve. Ma vue s'était troublée et j'ignorai si je n'allais pas perdre connaissance. Je laissai glisser ma main le long de la rainure de ma porte et dans un titubement incertain, j'allais m’asseoir sur mon canapé. Les deux agents en conclurent qu'ils pouvaient pénétrer dans mon intimité et s'avancèrent dans mon salon tout en prenant la peine de refermer la porte. Habituellement je leur aurais proposé un café, mais vu dans l'état dans lequel je me trouvais, il m'était impossible d'être accueillant.
    Il m'était difficile d'entendre les détaille de l'enquête, mais une partie de moi voulait savoir et surtout comprendre. D'après les agents, il n’avait exclut aucune possibilité. Crime, suicide, accident. Rien n'avait été mis de côté, pas même moi. J'allais devoir livrer notre petit secret, j'allais devoir donner tous les détails qui nous avaient liés 48 heures auparavant.
    Les agents m'observaient sans laisser refléter la moindre émotion sur leurs visages, mais d'après leurs froideurs, je pouvais en conclure qu'ils avaient qu'une seule envie c'était très certainement de me péter la gueule. La seule chose qui les retenait de franchir ce cap, c'était que Cloé était majeure et qu'ils étaient sur mon territoire. De toute manière, ils ne pourraient jamais comprendre ce qu'il c'était produit entre elle et moi durant tous ces longs mois. Ils n'avaient qu'une envie, c'était que je file l'information qui leur permettrait de se dire que j'étais peut-être le suspect numéro un. Manque de bol pour eux, je n'avais absolument rien à me reprocher sur la disparition subite de Cloé. L'un d'eux c'était levé et sorti de sa poche son téléphone portable. Il observa son collègue.

    « - C'est John. Je reviens. »

    L'homme était sorti à l'extérieur. Je me retrouvais en face à face avec le cliché même du flic qui trompe sa femme depuis des mois, mais qui s'entête à se dire que ce n'est pas de sa faute, mais plutôt celle de sa femme. J'étais sur le point de lui proposer un café, histoire de me libérer de son regard accusateur pendant quelques minutes, mais son collègue pénétra de nouveau dans mon appartement tout en rangeant son téléphone. Il s'avança face à moi.

    « - Votre amie à mise fin à ses jours. Il se tourne vers son collègue. Ils viennent de mettre la main sur une lettre écrite. Elle explique pourquoi elle a fait ça ainsi que le lieu où elle allait le faire. L'agent m'observe à nouveau de son air supérieur. Excusez-nous du dérangement. Et nous vous présentons toutes nos condoléances. »

    Sur ces dernières paroles, la porte se refermait sur les deux êtres en uniforme. Les scènes qui venaient de se produire m'étaient apparues comme si j'étais spectateur de celles-ci. Mon esprit sombrait dans le chaos, tandis que les gens présents dans la rue, eux, ignoraient totalement ce qu'il venait de se produire dans mon appartement. La vie aller poursuivre son rythme et moi j'allais devoir apprendre à vivre avec cet énorme bagage émotionnel.

    Les mois avaient défilé à une allure folle. Dès le lendemain de l'annonce du suicide de Cloé, j'avais sauté dans le premier avion et quitté le Canada pour vivre ma propre aventure. Depuis que j'étais dans mes études pour devenir professeur d'université, je m'étais mis en tête que je ferais le tour des pays qui m'attiraient le plus. Avec les quelques sous que j'avais de côté, il m'avait été possible de me diriger vers le Japon et sa culture plus qu'extraordinaire, la France et ses bons petits plats en sauces et je venais de terminer mon périple par les États Unis, plus précisément Cambridge dans l'État du Massachusetts, ma ville natale.
    Avec mes dernières économies, j'avais pu me trouver un petit logement qui pour le moment suffisait amplement à mes besoins. En revanche, je commençais sérieusement à manquer d'argent et si je ne voulais pas me retrouver dans une merde noire, j'allais devoir me bouger pour trouver de quoi renflouer mes comptes.
    J'avais enchaîné les petits boulots, mais aucun d'eux ne me correspondait concrètement. J'avais fait des études pendant plusieurs années pour exercer le métier que j'aimais, je ne pouvais pas retomber dans mon ancienne routine à passer de petit boulot en petit boulot tout en me demandant si demain je serais toujours employé. Je me devais de faire ce que je savais faire de mieux.

    Mon enveloppe contenant ma lettre de motivation en main, j'observai la boîte aux lettres tout en me demandant si j'avais fait le bon choix. À ce moment précis, un flash de mon passé eut l'effet d'une claque sur mon petit minois. J'étais prêt à retirer l'enveloppe de l'ouverte de la boîte aux lettres, mais celle-ci resta accroché dans l’habitacle et m'échappa des mains avant de terminer sa course au fond de l'énorme boite en métal. À ce moment précis, j'aurais été capable de me gifler. Mes nerfs avaient rendu mon teint rouge écarlate et j'étais sur le point d'exploser de rage.

    Après quelques jours d'attente dans une angoisse constante, mon téléphone sonna tandis que j'étais installé sur mon canapé plongé dans un roman que je connaissais sur le bout du doigt. C'est ce qu'il me fallait. Un roman que je connaissais parfaitement afin de ne pas avoir à réfléchir sur le contenu de celui-ci. J'observai l'écran de mon cellulaire qui affichait un numéro qui m'était totalement inconnu. Cependant, il ne le resta pas longtemps, car après une brève hésitation, je reconnus le numéro que j'avais vu quelques jours auparavant sur l'offre d'emplois pour travailler en tant que professeur de littérature a l'université de Cambridge.
    L'échange qui en suivit fut bref et plutôt concluant. J'étais officiellement le nouveau professeur de littérature et je devais venir voir la doyenne en fin d'après-midi afin de signer les papiers de mon contrat d'essai pour un mois.


    Dans ce nouvel universitaire et cette nouvelle classe, Tayler fera la connaissance d'une nouvelle « elle ».



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