Accueil1 résultat trouvé pour i
(zalem) ≈ I just wanna heal
12 Réponses333 Vues
"C’est de ta faute." Pff, j'me retourne avec un petit sourire mi-dépité mi-amusé, ma faute hein ? Elle veut qu'on se tape la marmotte ? "Toujours en train de traîner." -"Mais c'est qu'elle provoque la petite." Je fais un pas vers elle, passe une main sur sa taille, l'autre vient ébouriffer ses cheveux pour répondre à ses moqueries, sentir son petit crâne sous mes doigts espiègles. Alors on fait quoi poulette ? "Ouuuh, ça c’est un dilemme." Manger un pancake ou manger ma {#}i{/#}@&! (previous thought has been censored), je reconnais que le choix est dur. Allez, je choisis pour elle, de toute façon j'suis au régime, vade retro le cheesecake du matin. Puis elle est jolie, à peine réveillée, ça chatouille ma libido d'ado. "Et dire que t’as repoussé mes avances cinq minutes plus tôt." Tu m'connais, j'suis dur à suivre. Ma main posée sur sa taille remonte jusque sur ses côtes, tout près de ses seins que j'laisse tranquille, pour l'instant. Je dépose un petit baiser nuage sur ses lèvres, les lunettes de soleil s'entre-choquent, aïe. J'suis vraiment un manche. "J'sais pas si je vais te laisser me manger du coup." Elle se dégage de mes bras dans un roulement de hanche, mord sa lèvre et me lance un regard brûlant. Ça y est, j'me sens à l'étroit dans mon short hawaïen. Je suis là les bras ballants, les yeux gourmands, le feu dans le ventre à regard la rouquine qui se joue de moi. "A moins que tu ne sois convaincant." Ok. Je lance un petit regard par dessus mon épaule, entre les étudiants posés à la piscine ou les familles à la réception, j'me vois mal être convaincant ici. Ou alors tout bas. Je fais un pas vers elle, glisse ma nuque presque contre la sienne. "Je promets de faire des bisous partout, partout, partout, partout." Aka le cunni d'une vie. "Tu me suis ?" Mes doigts s'emmêlent dans les siens, je tire sur sa main, j'suis à la recherche d'un endroit insolite mais confortable, un minimum. Tadam. Les vestiaires de la piscine. C'est glauque, archi pas romantique mais on est jeunes et fous et cons. Je pousse la porte d'une douche handicapés, c'pas fair-play je sais, n'empêche que c'est un poil plus spacieux, de quoi écarter les longues jambes de la star. La porte claque derrière moi, fais voler le bob à fleurs, je plaque Salem contre les carreaux froids et humides, mes deux mains s'accrochent aux siennes, les font glisser au-dessus de sa tignasse rousse contre le mur. Ma langue est folle, joue avec la sienne, guide ma bouche vers son cou, l'embrasser partout, partout, je tiens mes promesses. Un mouvement habile et ma poigne entoure ses deux mains, mon autre main est libre. Libre et taquine. Mes doigts font remonter son tee-shirt, chatouillent son ventre, j'veux lui arracher un rire. J'm'attarde pas bien longtemps à mes jeux d'enfants. Je défais le bouton, le zip du jean, le laisse flotter sur ses hanches alors que ma main plonge entre ses reins, faire des guilis ailleurs, entendre un rire plus enchanteur. Rappel : ne jamais oublier le clito.
|
|
|
