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    1 résultat trouvé pour cinglée

    Invitéle Ven 16 Juin - 12:25Rechercher dans: Archives 2012-2019

    Tu l'adores Denys, tu l'adores énormément, mais cette manie de défendre ses exs... tu comprendras jamais. Pour Louve et Emilia, tu sais vaguement ce qui s'est passé. Mais Gabrielle par exemple, tu sais qu'elle l'a fait souffrir en beauté, à le prendre, le jeter. Le draguer, le repousser. C'est limite si elle ne lui a pas brisé le cœur cinquante fois, pour toutes les fois où elle lui faisait croire qu'il avait une chance avec elle. Bref, il préfère mettre la faute sur cupidon que sur les demoiselles. Tu insinues que c'est ma faute ? Etant donné que tu étais le cupidon de tes amis, tu jouais avec les mots. Façon d'écourter le sujet des exs dont t'avais pas envie de commenter en long, large, travers, alors que tu le retrouvais à peine. Justement sur ce cupidon, il réclamait un salaire pour son aide. Salaire que tu proposais de massages ou petits déjs, lui voyant les souvenirs des réveils au retour du sb et voulant décliner l'offre. J'aurais dit des petits déjs en douceur, avec un fond de musique agréable, pas fort, pour se réveiller doucement, ou avec des papouilles... que tu le nargues. Mais bénévolement ça ira... Trop tard quoi, il venait de perdre sa chance... Tout comme toi tu venais de perdre un peu ton sourire en sachant qu'il bosserait beaucoup, mais trouvant bien vite une idée. Tu te voyais pas l'attendre tous les jours qu'il revienne du boulot. Enfin si, sauf que bon tout le monde allait être au sc, t'aurais pas grand monde à Boston, t'allais bien vite tourner en rond, ou finir par louer un garage afin d'y stocker toutes les fringues que tu allais acheter, trouvant ton occupation dans le shopping et de quoi faire griller la carte bleu de papa Strauss. Lui, il envisageait de te 'maltraiter' avec ton idée pour passer du temps avec lui. Tu sais qu'une poignée de porte ça se démonte Denys... Haussement de sourcil, rien qu'avec ça, tu lui prouves qu'il aura beau faire ce qu'il veut, si tu veux lui mener la vie 'dure' pour la souffrance qu'il causera à ton petit corps, tu auras des tas d'idées. Et le loft étant désormais le tien, tu pouvais sans problème casser un mur et ensuite payer les travaux, si besoin est d'en arriver là. {#}cinglée{/#}. Mais il te rassurait en confiant avoir toujours du temps pour toi. Ce qui fit apparaître un sourire sur tes lèvres, bien que tu poussais le vice un peu plus loin, jouant la victime, l'informant que tu pouvais toujours aller chez Lucky si besoin est, pour qu'il souffle s'il en avait marre de te supporter. Loin d'être le cas, lui il voulait que tu restes avec lui tout l'été. Un nouveau sourire, encore plus grand, plus satisfait, de l'entendre dire ces simples mots qui avaient un effet incroyable sur ton moral, ton humeur. Mots gâchés par son aveux de prévenir Hadès concernant le téléphone qu'il lui avait passé. Téléphone dans lequel ils avaient trouvé des preuves. Comme de par hasard ? La coïncidence tu n'y croyais pas et tu vrillais facilement en le voyant encore aussi naïf. Oui tu l'aimais pour ce côté insouciant qu'il avait, à voir du bon en tout le monde, à laisser une seconde chance, même une troisième, pour aimer les gens malgré qu'ils puissent lui faire du mal. Mais là, non. Juste non. Tu ne tolérais pas qu'il soit naïf sur ce point là quand ces personnes avaient détruits sa vie et vous avez éloignés. Tu tentais de lui ouvrir les yeux, t'emportant. Et tu te maîtrisais, car c'était lui, car tu le retrouvais à peine. Sinon t'aurais été sûrement plus dur, plus cru. Il restait sans mots. La première fois qu'il te voyait en pétard comme ça. Toutes vos disputes avaient toujours eut lieu par sms, ce qui avait été un mal pour un bien, mais fallait une première à tout. Et dans un élan, une pulsion, tu attrapes son visage pour bloquer vos regards l'un dans l'autre, lui demandant de te promettre et que tu ne veux plus qu'ils vous séparent. Ni eux, ni personne. T'en avais bavé de son arrestation, de son enfermement, de l'interdiction des visites, des appels de cinq minutes par ci par là, seulement une à deux fois dans la semaine, des lettres qui t'avait donné encore plus envie de le voir. Pas question de repasser par ce genre de choses. De tous, t'avait été la plus touchée, la plus brisée de le voir là bas. Tes mains toujours présentes sur son visage, il promettait que personne vous séparerez. Tes paupières se fermèrent à l'instant même où il parlait, sentant alors son front venir se poser contre le tien, et ses mains agripper tes hanches. Plus proche que jamais. Tu pouvais sentir son souffle sur toi quand il reprit la parole, te mettant en garde sur ce qui allait venir si tu restais ainsi. Ton cœur manque un battement, se serra dans ta poitrine. Les yeux toujours fermés, sans même t'en rendre compte tu te mordis la lèvre du bas. Tu repassais ses mots dans ta tête, et deux choix s'offraient à toi à cet instant. Rester comme ça et goûter à ses lèvres à nouveau ou, t'éloigner pour qu'une telle chose se produise. Et pourquoi c'était toujours à toi de briser tout rapprochement comme au spring break pour l'anniversaire de Louve, à cause de ce foutu défi de l'époque ? Parce que là, tous tes sens réclamait ce rapprochement, le goût de ses lèvres, encore une fois, rien qu'une. Je devrais avoir peur ? que tu lui demandes finalement, ouvrant à nouveau les yeux, remontant tes pupilles vers les siennes, séparant ainsi le contact de vos fronts. Joueuse, comme toujours, tu préférais te mettre dans ce rôle et feindre l'indifférente, celle qui n'y voyait aucun mal, aucun risque. C'était bien sûr tout autre. Parce que c'est pas le cas... Et on a ton téléphone a allait acheter, avant de rentrer chez nous. Tu le provoquais oui, parce que ce petit jeu, cette ambiguïté naissante d'avant la prison, ça t'avait manqué. Malgré que tu pensais que c'était pas la bonne chose à faire, trop risqué de te faire tomber encore plus dans ses filets. Pour le coup, tu déposais un simple baiser au coin de ses lèvres. Alors t'attends quoi ? que tu dis, attrapant une de ses mains. Un attend quoi qui pouvait signifiait pour le baiser comme pour le moment d'aller sérieusement acheter son téléphone. Toujours face à lui, une de tes mains dans la sienne, tu avançais en arrière vers ton véhicule.

    CODE BY RESSAPANDA.

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