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    77 résultats trouvés pour Sanie

    Invitéle Sam 3 Aoû - 2:02:54Rechercher dans: Présentations archivées
    ARES RAAD ► Charlie hunnam
    26 Réponses822 Vues


    ARES RAAD


    FT. CHARLIE HUNNAM


    carte d'identité

    JE SUIS NE(E) LE À Le onze février à Boston, 1984 pour être précis. Je me suis jamais cassé de cette ville, faut croire qu'elle a un truc de plus.J'AI ACTUELLEMENT Trente-cinq putains d'années, le temps passe, mais je reste le même sale enfoiré de première. Même si dans mon crâne j'ai vingt-cinq, mon corps ne cesse d'me faire comprendre que c'est pas le cas. ET JE SUIS DE NATIONALITÉ Américaine JE SUIS ATTIRÉ(E) PAR Les femmes, ou plutôt une femme, précisément. Mais j'aime trop les courbes des femmes, j'aime trop leur voix, leur caractère de merde. Elles m'obsèdent.  ACTUELLEMENT JE SUIS Célibataire, j'imagine. J'ai été en couple il y a juste quelques bonnes semaines, mais je me suis tiré, sans rien dire, sans aucune explication. Alors, je crois que je peux dire que je suis célibataire, mais complètement raide dingue d'une nana. NIVEAU SOCIAL JE SUIS Regarde bien ma gueule, tu crois que je porte des costards ? Je suis pauvre, voir dans la classe moyenne si j'arrive à reprendre le club.  MAIS TRANQUILLE JE GÈRE je travaille comme personne, parce que pour le moment je suis clairement au chômage comme un clochard, j'ai mon appartement, mais sinon, je reprends mes vieilles habitudes, vendre d'la merde dehors, juste le temps de reprendre le club.


    ton groupe / IDONTWANNABEYOUANYMORE

    Qu'est-ce que tu aimes / n'aimes pas dans cette ville ? Attendez, ce que j’aime dans cette ville ? Vous croyez clairement qu’un gars comme moi, pauvre, qui revient d’une merde pas possible va aimer la ville qui lui a tout prit ? Je suis ici, parce que je n’ai pas d’autres endroits, je vais probablement crever la bouche ouverte ici, entouré de sales cons, et de sales connes, toutes aussi riches les uns que les autres. Je n’ai pas d’endroit préféré, j’ai pas de restaurant super cool à dire, j’ai rien de tout ça, je sais juste que cette ville, c’est moi, c’est ma définition, c’est mon résumé, et c’est clairement atroce de dire que je suis pas capable d’la quitter. Cette ville, aura ma fin, je le sais pertinemment. Je n’aime rien de cette ville. Mais je suis obligé de m’y faire. Pour vivre, pour survivre.


    les anecdotes

    1) Je n’ai jamais quitté cette ville, elle me colle à la peau, comme je le dis souvent, et comme je vais probablement le dire pour le restant de mes jours. Cette ville, m’a pourri de l’intérieur. J’ai plus de parents, ils sont peut-être morts, je n’en sais foutrement rien. Mon père était un gros accroc à la méthamphétamine, et ma mère, se prostituait dans l’unique raison de rendre fou mon père. Je n’ai jamais eu une famille simple, et je crois pas être le seul à être mal tombé. J’avais un frère, un plus petit frère, de quelques années de moins que moi. Je me suis occupé de lui, jusqu’au jour où je ne l’ai plus vu, ma mère m’a dit qu’il était parti chez une tante, et c’est que depuis quelques années, que je me demande si c’est la vérité, et si c’est le cas, pourquoi sauver un fils et pas les deux ? 2) J’ai enchaîné les petits boulots de merdes, passant dans un garage, à serveur mais ça n’a duré que quelques jours. La plupart du temps, j’arrive à vendre pas mal de choses dans la rue, juste assez pour m’offrir un toit sur la tête et de quoi manger le mois. Mais je ne roule pas sur la fortune, je fais uniquement ça pour réussir à me relever. Et il y a quelques temps, j’avais acheté avec mon frère un club de boxe. C’était notre marque, nos envies. Parce que je boxais clandestinement. 3) En parlant de mon frère, c’est à cause de lui, que ma vie est devenue merdique. J’ai été clean durant quelques semaines, j’avais une vie formidable, clairement je n’avais pas à me plaindre, je faisais de mon mieux, je donnais absolument tout. J’étais en couple. Limite, j’étais posé. Il a décidé de se barré. Sans aucune hésitation, sans même regarder derrière lui. Et moi, je n’ai pas pu assumer, c’était mon frère, mon frère de cœur, celui avec qui j’ai vécu. J’ai voulu le suivre, le rattraper, jusqu’en Israël. Je n’ai pas réussi. Il m’a dit que c’était terminé, que sa vie à Boston, n’est que désormais un chapitre et qu’il fallait tourner enfin la page. 4) Je suis revenu sur Boston il y à peine trois semaines, environs. J’ai coupé les ponts avec mon ancienne vie, je n’ai pas voulu prendre de risques, puisque de toute manière, quand je me suis cassé cherché Caleb, je n’ai prévenu personne. 5) Je suis amoureux d’une fille, encore aujourd’hui, elle coule dans mes veines. Je l’aime, je sais que c’est la femme de ma vie, mais je ne suis pas l’homme de sa vie. Vous voyez le style ? Je l’aime, elle m’aime, mais le problème, c’est moi, et c’est putain de cliché de dire ça, mais c’est moi le gros souci. Quand je me suis barré, elle a tenté de m’écrire, sans arrêt, mais je n’ai jamais répondu, je sais même pas comment je vais réagir en la revoyant. 6) Je suis tatoué de la tête aux pieds, sauf sur le visage, ironique en disant la phrase. Rien d’exceptionnel, surtout en sachant que désormais, la plupart des gens sont tatoués. Mais c’est ma petite marque, chaque aventure que je fais, je la grave sur ma peau. 7) Je ne veux pas être sauvé, j’accepte ma vie, j’accepte d’être un gros fils de pute, j’accepte d’être une sale merde. Mais je ne veux pas de ton aide, je ne veux pas de ta main, je ne veux rien de toi. Faut juste pas me chercher, je suis plus comme avant, où j’avais de la patiente pour ceux qui voulaient mon bien, maintenant, tu me fais trop chier, tu peux directement le voir sur mon visage, et je n’hésite pas à cogner. Je n’ai pas peur de prendre des coups. 8) J’ai tué à un gamin en lui vendant de la drogue, il y a quelques mois, avant le départ de Caleb, j’étais dans une merde, je ne voyais pas d’autres solutions, et le gamin, il me vendait une somme incroyable. C’est le lendemain, que j’ai appris qu’il s’était foutu le tour. J’ai été longtemps recherché par son frère, mais pour le moment, je suis toujours vivant. Faut croire qu’il ne m’a pas encore trouvé. 9) Je suis inexpressif, la plupart du temps. J’ai des émotions, faut pas croire, c’est juste que j’ai du mal à l’exprimer. On me dit que je suis froid, détestable à cause de ça, mais je n’en sais rien, je crois juste qu’ils sont trop cons à dévoiler absolument tout à travers un sourire, un regard. 10) Je tombe, non, je suis tombé dans l’alcool dès que je suis revenu ici. Une bière, deux bières, puis finalement, ce fut une descente de plus en enfer. Je m’en passe pas, mais je tente de pas puer comme les alcooliques. Et je reste discret, tu ne me verras jamais avec une bouteille dans la rue. 11) On pourrait croire, mais je n’ai jamais fait d’la prison. Malgré mes crimes, je n’ai jamais été trouvé, j’ai ouais, passé des nuits dans une cellule, mais rien de grave. Le mieux, c’est de rester discret. 12) Le clope, j’ai toujours une clope entre mes lèvres. C’est une malédiction, mais je ne décroche pas. J’ai l’alcool facile, la clope facile, mais je touche plus à la drogue. C’est un mal pour un bien. 13) Ma vie se résume à la nuit. Je sors rarement durant la journée, tu me verras bien plus souvent actif durant la nuit. Fin, ça, c’est le temps de reprendre le club, le temps d’aller mieux, le temps de tout faire. 14) Je suis dépressif, mais pas le genre dépressif qui va chialer, ou qui veut se tuer. Je vais un jour crever, du coup, ça me suffit d’le penser. C’est juste, que depuis gosse, j’ai toujours été dans la merde, toujours dans la misère, que la tristesse, le malheur, font juste parti de moi. 15) J’ai été une pute fut un temps. J’ai bien vite arrêté quand j’ai réalisé que toutes les femmes qui avaient besoin de moi, devenaient bien trop dépendante de mes services. Je me lance des roses ? Absolument pas, c’était putain de flippant.


    le caractère


    J’ai un caractère de merde, une grande gueule, j’ai le sang-froid, j’ai plus de patience pour rien, mais au contraire, je suis fidèle, je suis honnête, sincère. Si j’ai un truc à dire, je ne vais pas tourner autour comme font certaines personnes. Faut juste bien creuser, parce que dans le fond, on peut tous être quelqu’un de bien. Et je le suis, je sais que je suis une bonne personne. Je peux te tendre ma main, si je vois que t’as besoin de moi. Et au contraire, je peux te briser la mâchoire, si je sais que tu m’as trahi. Je suis possessif, jaloux, anxieux. Ce qui est à moi, est à moi, et à personne d’autres. Je déteste que quelqu’un soit égal à moi dans une relation.


    derrière l'écran

    Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle {#}Sanie{/#} et j'ai 24 ans. Je suis portugaise et j'ai connu le forum grâce à j'y étais il y a quelques semaines  face . Vos impressions sur le forumon revient toujours à la maison, il me semble  :cal: . J'utilise Charlie Hunnam comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Tumblr et l'avatar Kaotika. Je fais environ 200 à 2000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé !.



    Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir les explications, pas besoin de poster pour s'inscrire)

    Je recense mon avatar
    si personnage inventé:  
    Code:
    [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9492]☆[/url] ☆ <span class="pris">CHARLIE HUNNAM</span> ◊ “ Ares Raad ”[/size]


    Invitéle Ven 2 Nov - 23:38:42Rechercher dans: Présentations archivées
    ARES RAAD ► ryan Gosling
    20 Réponses1308 Vues
    ARES RAAD

    feat. Ryan Gosling




    ID CARD
    • 11.02.86
    • BOSTON
    • 32 ANS
    • AMERICAINE
    • BISEXUEL
    • CELIBATAIRE
    • MOYEN, PAUVRE
    • PLUSIEURS JOBS
    • AUCUNE ETUDE
    BOSTON
    depuis combien de temps vis tu ici ? -J’ai toujours vécu ici, mes parents, mes grands-parents aussi, j’imagine. En étant petit, j’ai toujours pensé que cette ville pourrait me donner de bonnes choses, que si mes parents pouvaient m’aimer un peu plus, et bien je pourrais éventuellement aimer cette ville. Mais, je crois surtout qu’elle me déteste, et que je ne peux rien y changer. J’ai 32 ans, je bosse sous plusieurs jobs comme un étudiant, et j’accompagne des femmes, rien de très glorieux, rien de ce que la ville voudrait pour les habitants qui y résident. Mais je reste, parce que je suis sans doute fou.    
    comment te vois tu dans 10 ans ? - Dans dix ans, je vais avoir 42 ans. Je crois honnêtement qu’avec mes merdes, je vais simplement mourir. Ou bien, je vais continuer cette vie. J’ai pas envie de dire que je m’imagine avec un gosse ou marié, parce que je sais que ça n’arrivera pas. Alors, je peux simplement dire que, j’espère juste être en vie encore, et c’est déjà pas mal.    


    BOSTON CITIZEN

    Non mais, attendez. Vous êtes réellement en train de me demander d’expliquer pourquoi j’aime cette ville ? Mais vous avez juste posé votre regard sur mon histoire ? Faut être vachement con pour ne pas comprendre que je déteste tout, sauf que je suis coincé dans cette merde jusqu’au cou, et que je ne peux pas partir. Ouais, je peux pas, t’es content ? J’ai trop de trucs à gérer, trop d’embrouilles à terminer, et je peux pas tout abandonner d’un seul coup, je suis pas de ce style de gars. Quand je veux quelque chose, je fais le nécessaire pour l’avoir jusqu’à me plier en deux pour l’atteindre. J’aime rien, ni les cafés, ni les bars, les rues, les gens, merde. Attends, je me calme. Bon, je respire. J’aime peut-être un peu les cafés, et les bars, les femmes et les gars, et puis, j’aime la police, parce que pour le moment elle est bien trop flemmarde pour me coincer. Ouais, c’est important. J’adore la police de Boston.  


    1) Je déteste être pressé, c’est vraiment une merde. Je vais jamais me lever en retard ou dans l’optique d’être stressé pour arriver à l’heure. 2) J’ai des tatouages quasiment sur la totalité du corps. Je peux garantir que pour chercher du boulot, c’est toujours pas facile. Les gens jugent sur le physique, mais bon, je m’en cogne. 3) Si vous l’aviez compris, je suis un éternel je-m’en-foutisme. Tu pars de ma vie ? Pas grave, tu veux me prendre la tête ? Pas grave, je m’en fiche. Ah, attends tu as des sentiments ? Ca va passer. Je suis pas dans le style à me prendre la tête. C’est peut-être pour ça que j’ai ce genre de vie. 4) Je suis pas riche, je suis dans la moyenne. Mais honnêtement, je frôle clairement la pauvreté. Même en allant avec des femmes riches, j’ai tendance à tout gaspiller. Et d’ailleurs, j’ai pas de compte en banque. J’ai tout chez moi. 5) J’ai été dans un gang. Je boxais pour l’argents, et pour vendre de la drogue. Est-ce que j’y suis encore ? Faudra voir avec mon avocat. 6) J’ai plus de famille, ou peut-être que si, mais ils donnent plus de signes de vie, je pense que je fais un peu pitié avec mes 40 ans sans enfant, sans une maison de la taille d’un château, et sans métier fixe. 7) J’ai jamais été amoureux, j’ai jamais été dans une relation. J’ai toujours enchaîné les coups d’un soir. J’ai pas peur de la solitude. 8) Et arrêtez de croire que j’ai besoin qu’on vienne me sauver. Vous croyez vraiment que j’allais dire que j’aimerais que ma vie change ? Non, j’aime pas ma vie, ouais. Mais je l’accepte et je la tolère. Si il y a un problème, c’est vous, et non moi. 9) Je suis pas un drogué, ni alcoolique, je vends et je consomme normalement. Les stéréotypes du gars qui vend et qui est h24 drogué, c’est pas pour moi. 10) Je m’en branle de vos avis.  




    MenteurEgoïsteLoyalPassionnantCaptivantVulgaire


    Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle {#}Sanie{/#} et j'ai 23 ans. Je suis portugaise et j'ai connu le forum grâce au fait que j'étais une ancienne joueuse -il y a genre bien plus d'une année- . Votre forum est incroyable, alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Ares Raad, aucune maison . J'utilise ryan gosling comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr, tumblr gif hunt, et avatar : lilousilver. Je fais environ entre 300 et 3000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

    Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    je ne veux être parrainé )

    Je recense mon avatar
    si personnage inventé:  
    [/b]
    Code:
    [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8809]☆[/url] ☆ <span class="pris">RYAN GOSLING</span> • “ Ares Raad ”[/size]


    si scénario:

    Code:
    [size=10][url=lienversvotreprofil]☆[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]☆[/url] <span class="pris">AVATAR</span> • “ Pseudo ”[/size]


    Invitéle Jeu 16 Nov - 20:45:46Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Déshabille toi.






    « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez. »




    Alors que le jeu allait reprendre, je voyais Mae se remettre en place puis ajouter des activités que nous pourrions faire, je souris. On dirait un petit gamin, un gosse qui était pressé de faire plusieurs choses en même temps mais qui ne savait pas par où commencer. Je plongeais mes iris claires dans les siennes, m’approchant sans pour autant le toucher, mais juste le regarder. « On peut faire tout ça, commençant par commander et jouer, et ensuite on ira prendre un bain avec beaucoup de mousses, et si tu veux on pourra même faire l’amour dedans, puis en sortant de la baignoire, on pourra ensuite faire un gâteau, et re faire l’amour dans la cuisine, on peut se comporter comme des adolescents en chaleur et ça me va très bien. » C’est clairement ce que je veux, je veux pouvoir animer ces prunelles, qu’il m’aime comme avant et surtout qu’il ne peut pas être sans moi. Suis-je fou ? Peut-être. Mais quand on aime quelqu’un, on fait tout pour cette dernière, on l’accepte et si ça ne va pas, et si on sent un changement on est dans le devoir de faire quelque chose. Je pose ma main sur sa joue, avant de venir passer mon pouce sur la bouche de mon tendre. Lui souriant, j’articulais une nouvelle fois. « J’ai envie de faire beaucoup de choses avec toi, mais on a toute notre vie devant, tu ne penses pas ? » Ces temps, j’ai un besoin de dingue d’être rassuré, j’ai besoin d’être réconforté sur plusieurs idées, mais je sais à quel point c’est pénible, surtout que je n’ai en rien besoin de me plaindre, ou peut-être que si, mais au fond je me pose trop de questions et il serait préférable de laisser le temps faire, de laisser les choses faire, plutôt que de me presser, et de remuer des choses, de me questionner alors que non, la seule chose que je dois faire, c’est ouvrir les yeux et profiter de la chance que j’ai d’être là. Je me place correctement sur le lit, en tendant mon bras pour attraper le téléphone. Je voyageais sur plusieurs sites internets qui proposaient de livrer des plats, et pour être honnête je mourrais d’envie de manger du salé, avec du sucré. Mon regard fixé sur l’écran, mes doigts glissaient en marquant des temps de pauses sur les propositions que je voulais. « On peut commander plusieurs choses, au pire. Ca ce garde. Non ? »

     


    {#}Sanie{/#}

    Invitéle Jeu 16 Nov - 20:06:06Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Déshabille toi.






    « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez. »




    Je regardais longuement les images qui défilaient devant nos yeux, j’adorais les jeux d’horreur, même si je devais avouer que quelques fois je peinais à jouer correctement tellement j’avais peur, enfin peur était un bien trop grand mot, je dirais simplement que ça fait son effet et que malheureusement quand il y a des images qui apparaissent d’un coup, je crois que n’importe qui pourrait sursauter. Je longe le corps de Marley, qui lui est très mal par rapport à ce jeu, mais au fond ça me fait rire, et ça le rends si adorable que j’aurais envie de mettre pause pour violemment le tenir contre mon échine. Mais là, quand je reprends vivement la partie, je fronce les sourcils en remarquant que nous venions d’être attrapé. « Ah merde. » Ce sont les seuls mots que je venais de réussir à articuler, il se blotti contre moi, et mes bras viennent doucement l’entourer pour créer une étreinte. Je l’aime, terriblement, et je ne sais pas ce que je ferais sans lui, parce que j’ai constamment peur de le perdre. J’en viens doucement à frissonner, en passant mes phalanges sur son dos, puis lentement pinçant ces hanches. « T’es beau quand tu as aussi peur. » Je plonge sans égard mon visage dans le creux de son épaule, et je l’embrasse là, tant j’ai envie de le faire. Je le fais bousculer en arrière pour me venir me glisser entre ces cuisses, mes coudes de chaque côté de son visage, mon regard suspendu sur la beauté de ces traits et surtout de ces lèvres magnifiquement pulpeuses. « Quand je pense que tu peux m’exciter avec un rien. » Je lève un sourcil, puis mon sourire suit le mouvement. Je pose ma bouche contre la sienne, et lentement je la fais glisser sur son menton en picorant sa peau. Je sais qu’on était en train de jouer, mais dois-je vraiment expliquer pourquoi ? Regardez-le. Qui n’aimerait pas l’avoir ? Je me recule, l’air de rien, après ces baisers qui m’échappaient, et je me replace comme avant en reprenant la manette, appuyant sur le bouton pour remettre la partie. « On continu ? Ou tu veux commander ? Oh, on peut commander un petit déjeuner ? Même si on a déjà mangé. » J’imaginais déjà pleins de choses devant nous, alors que lui et moi on reste sous les draps à jouer comme des adolescents.
     


    {#}Sanie{/#}

    Invitéle Dim 12 Nov - 18:53:04Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Déshabille toi.






    « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez. »




    Je crois que j’aime le voir peureux, c’est con à dire. Mais le sentir contre ma personne est une sensation des plus délicieuses. Il pourrait très bien l’imaginer puisque je ne cesse de lui dire à quel point il est magnifique quand il se comporte comme un gosse. Je le regarde se faufiler contre ma personne et machinalement je passe un bras pardessus ces épaules pour le tenir bien fort. Ces paroles me font sourire, presque rire. Que je tente de camoufler en plaquant ma bouche contre sa tempe. « Non, pas de bougie. Pas de lumière. Il n’y a aura plus que toi et moi, et le jeu. » J’allais rajouter le monstre, mais je ne pense pas qu’il le prendrait bien. Enfin, je scrute l’écran d’accueil, en appuyant sur les touches pour confirmer que nous avons plus de dix-huit ans, et qu’on peut démarrer l’intro. C’était un jeu rythmé d’une source vraie. Du moins, c’est ce qui est écrit sur la description. C’est un film sur la possession, et les choses surnaturels. Autant vous dire que je suis un affamé de ce genre de découverte et ce genre de sujet. En posant mon regard attentif sur les scènes qui se déroulent devant nos yeux. Je glisse ma main sur sa nuque, puis sur ces clavicules que je touche avec un immense plaisir. Je profite oui, qu’il soit autant hypnotisé par les images, alors que moi, je souris contre sa tempe. Je viens glisser mes lèvres sur sa joue, sur le coin de sa bouche, puis sur celle-ci, en marquant un temps de pause. Déjà ? J’ai déjà cité il me semble, le fait que Mae me rend dingue et envieux de sa personne, ce n’est un secret pour personne d’ailleurs. Je bascule la barrière de sa bouche pour que nos langues se retrouvent, jouent avec gourmandise le temps d’une étreinte. Et je me recule, assoiffé de lui, mais préparé pour commencer le jeu. C’était pour le taquiner. Je redresse mon bras, mon buste et tout mon corps. Et c’est à nous de jouer. Il y a une histoire dans un manoir psychiatrique. Où on doit filmer pour avoir des preuves, et surtout réussir à s’en échapper. Je glisse des informations à Mae, pour qu’il fasse attention, des bruits sourds et pesant commençant à remplir la pièce, tout aussi en chauffant notre chambre. C’est à la fois marrant, mais pas trop. Je suis attentif, très attentif, je sens même le corps de mon compagnon se coller davantage contre moi, son odeur sous mes narines, ce parfum si divin.  


    {#}Sanie{/#}

    Invitéle Dim 12 Nov - 18:18:53Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Déshabille toi.






    « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez. »




    Marley est la seule personne qui arrive à me faire sourire, d’une manière si naturelle que quelques fois je peine à le réaliser. Je le regarde faire, je regarde ce garçon qui éblouit ma vie depuis tant de temps, qui m’aime pour ce que je suis, et qui ne veut pas que je change, pour rien au monde. Même si je suis difficile, même si c’est compliqué d’exprimer mes émotions et sentiments, il arrive toujours à me calmer et à me rassurer. D’une façon plutôt violente, ou par chance, d’une façon douce et délicate. Je le prends contre moi, je le serre soudainement comme si mon envie était que nos corps fusionnent, et dès le moment où il commence à parler, j’ai envie de le garder contre moi, je n’ai pas envie qu’il vienne à partir, bordel. S’il pouvait imaginer à quel point je l’aime, si seulement il pouvait vivre dans ma tête dix minutes. « Je n’ai pas envie que tu quittes mes bras non plus. Et je sais que tu n’aimes pas la foule, on peut très bien sortir quand il y a moins de monde. » Je le connais, je connais tout de lui, de son passé à son présent, passant par ces envies pour le futur. Et je l’encourage, à faire ce qu’il aime, je le soutiendrais toujours, quoiqu’il puisse arriver, et quoiqu’il veuille faire. C’est ça, non ? Aimer une personne véritablement ? Du moins, c’est comme ça que je la vois la chose. Je pourrais tout faire pour lui, décrocher la lune, déplacer les montagnes, me briser une jambe si ça pouvait le sauver. Mais même ça, je suis incapable de le dire. Parce que je flippe, je flippe à mort des sentiments que j’éprouve à son égard. Il m’entraîne dans la chambre, le lit est encore défait et mon regard s’attardent sur sa manière de se dévêtir. Croyez-le ou non, je peux dessiner chaque courbe du corps de Mae, les yeux fermés, je l’ai tant de fois parcourue. Je fais comme lui, comme des adolescents. Je retire le peu de vêtements qu’il me reste et je me faufile sous les draps pour lui tenir compagnie. Même si au début, c’était moi qui voulais le retrouver là. « Jeu d’horreur. Comme ça, j’ai plus de chance de te retrouver sur moi, contre moi. Alors, jeu d’horreur. Mais, les volets doivent être fermés ! » Je me précipite vers nos fenêtres pour créer une ambiance plutôt neutre, voir un peu terrifiante après avoir signalé mon envie de jeu d’horreur. Je retourne bien vite vers le lit, en prenant les deux manettes pour venir le retrouver, tout en lui tendant une. « On commandera un peu plus tard, je veux d’abord te voir flipper et venir contre moi. » Ironie ? Pas vraiment. Je me suis réveillé d’une manière neutre, et vous avez encore la preuve qu’il peut tout changer.


    {#}Sanie{/#}

    Invitéle Dim 12 Nov - 17:24:02Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Déshabille toi.






    « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez. »




    Est-ce que j’ai bien dormi ? Cette réponse reste un moment suspendue, alors que je redresse mon faciès pour le secouer légèrement, je suis encore dans mes pensées. Et même si je suis là, j’ai l’impression d’être absent. « J’ai bien dormi, j’avais besoin de ces heures de sommeil. Sinon, je ne crois pas que j’allais pouvoir tenir. » Je ne suis pas né avec des pouvoirs, je suis juste un humain. Et j’ai besoin de repos, comme le voisin, la tante, ou le cousin. Je passe le bout de ma langue entre mes lèvres en plongeant la première cuillère dans ma bouche. Le lait, froid. Avec des céréales, c’est juste parfait pour me réveiller, manquerait plus qu’un jus de fruits et du pain pour parfaitement me réveiller. Je le vois s’excuser, venir vers moi encercler mon corps, et mes bras passent machinalement autour de sa nuque. J’aime, quand il est ainsi. Tendre, j’oublie le temps de quelques secondes les soucis, et cette douceur que seul lui, arrivait à exprimer. S’il pouvait être comme ça, sans arrêt. Il ne pourrait imaginer le bien qu’il m’envoie. « Ne t’en fais pas, j’aurai fait pareil. » Déjà qu’il dort difficilement, avec des cauchemars la plupart du temps, je ne lui aurais pas privé de tranquillité. Je baisse mon regard pour poser mes lèvres sur son front. Je le câline comme je peux, en le gardant soigneusement contre ma personne. De son compliment, je hausse un sourcil. Beau ? Dur à le croire vu mon état, et mon attitude molle. Je souris, néanmoins attendri par sa manière d’être. Tout en posant le bol à côté de mon corps, que mes mains se posent sur sa nuque en redressant son visage, pour que je puisse l’embrasser amoureusement. « Seulement pour toi. » Je le laisse me quitter à contre cœur, reprenant mon bol que je dévore en quelques vagues minutes avant de le reposer dans la machine, c’est un matin calme. Et, ça ne peut que nous faire du bien. Mes yeux s’attardent sur le paysage, il fait beau, c’est vrai. Il n’y a pas de vent, et je suppose que la plupart des gens se tiennent dehors, mais bon. On n’est pas les autres. « Vraiment ? Ce n'est pas quelque chose de dérangeant. On peut très bien rester là, commander, et ensuite sortir un coup. Histoire de ne pas devenir vieux. » Je me déplace dans l’appartement, en rangeant les quelques trucs qui n’étaient pas à leurs places. « La prochaine fois, reste dans le lit. S’il te plaît. » Je sais, je suis chiant et un enfant. Mais j’ai envie de me réveiller avec lui à mes côtés, de son regard veillant sur moi, et de sa chaleur m’enveloppant. Je m’arrête même, les bras pendant, et le visage dirigé vers Mae.


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    Invitéle Dim 12 Nov - 16:55:31Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Déshabille toi.






    « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez. »




    J’avais senti une présence à mes côtés, je savais que c’était celle de Mae, cependant. La chose qui me perturbait était le moment où il n’y avait plus rien. Un certain vide dans le lit, une froideur qui remplissait l’espace sous les draps. Un mauvais moment, que je jugeais en une grimace, et une plainte qui s’évanouissait sous mes soupires. Je restais immobile, le temps de me reposer, la semaine a été éprouvante et animée. Je n’ai pas cessé de bouger à droite et à gauche et surtout les disputes dans le couple avaient pris une large place entre nous deux, me faisant faire des cauchemars, des pertes d’appétits. Les moments que nous passions ensemble étaient donc importantes, les prises d’initiatives étaient-elles, misent en avant pour qu’aucun de nous se sente mal, ou délaisser. Après quelques bonnes minutes, j’ouvrais paisiblement les paupières en observant les alentours. Couché sur le ventre, les mains sous le visage. J’appuyais sur le bouton de mon téléphone pour qu’il débute une chanson qui me réveillait en douceur. Je tourne mon regard, et à l’absence de Mae. Je baisse le regard. Je n’aime pas me réveiller sans lui, mais qui suis-je pour l’inciter à rester dans un lit, à rien faire ? Je décide de me redresser, d’enfiler mon t-shirt et un jogging qui me tombe sur les reins. Me retrouvant bien vite dans les toilettes où je me brosse les dents, me savonne le visage pour me laisser les cheveux en bataille. « Bordel. » C’est le mot qui sortait directement de mes cordes vocales. On est déjà samedi. Le temps passe horriblement vite, et j’ai la sensation à chaque fois d’y laisser une part de moi. En gagnant le salon ouvert sur la cuisine, je remarquais la silhouette de Mae. Il écoutait de la musique avec ces écouteurs, sans doute pour ne pas me réveiller. Et il buvait un chocolat chaud. C’est tout lui. Je ne voulais pas lui faire peur, mais au moment où mes pas arrivaient vers lui, il se retournait soudainement. Moi-même j’eu un mouvement de surprise. « Hey, je viens de me réveiller. Tu es debout depuis longtemps ? » Je fronce les sourcils en me souvenant de la sensation désagréable d’être sans lui dans le lit. Je m’approche, posant une main chaude sur sa nuque pour que mes lèvres arrivent sur le sommet de son front. Avant de me diriger vers l’armoire où je prends des céréales et ensuite du lait pour m’en faire un bol. « Tu m’as manqué. Dans le lit. » J’appuie mes fesses sur le comptoir, l’observant de mes iris bleutés.


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    Invitéle Mar 7 Nov - 19:17:04Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Ezley

    Tu es ma lumière. Tu es mon soleil. Tu es la douceur du matin, et la fraîcheur du soir. Tu es mon monde, mon univers. Mes sourires, et mes pleures. Tu seras ma tristesse et ma joie, ma peur et mon courage. Tu seras mon amour, celui qui rime pour toujours.

     
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    Invitéle Sam 4 Nov - 23:37:42Rechercher dans: Archives 2012-2019


    Ezley

    Tu es ma lumière. Tu es mon soleil. Tu es la douceur du matin, et la fraîcheur du soir. Tu es mon monde, mon univers. Mes sourires, et mes pleures. Tu seras ma tristesse et ma joie, ma peur et mon courage. Tu seras mon amour, celui qui rime pour toujours.


     
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