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    3 résultats trouvés pour RESERVED

    Invitéle Dim 4 Nov 2018 - 10:30Rechercher dans: Archives 2019-2022

    Soraya Erin Delfino

    Parce que y a des gens qui s'en vont, d'autres qui restent, ou qui reviennent dans notre vie. Parce que des fois c'est moi qui m'en vais, qui revient puis qui regrette d'être restée ou partie. Parce que le monde est inconstant, éphémère et indécis.

    25 YO
    CELIBATAIRE
    REL. INTER./ECO.
    STUDENT



    Soraya est née à Boston et y a vécu ses cinq premières années, pour finalement partir avec sa mère à Philadelphie. Et pour cause : son père menait une double vie. Il est déjà marié, il a déjà un fils, chose que la mère de Soraya ne supporte pas. Soraya n’a pas grandi avec une cuillère en argent dans la bouche. Durant son adolescence, elle a dû trouver des petits boulots pour pouvoir aider sa mère à payer les factures, jusqu’à finalement apprendre que cette dernière est atteinte d’une tumeur au cerveau. Elle meurt alors que la jeune fille a vingt-trois ans, Soraya se retrouve livrée à elle-même pendant quelques semaines. Aujourd’hui, son père s’est rappelée qu’elle existe et depuis deux ans, elle vit à Boston chez ce dernier. Elle ne supporte pas son demi-frère et réciproquement, elle ne s’entend pas avec sa belle-mère et en veut terriblement à son père. Aujourd’hui elle sait ce que c’est d’avoir de l’argent, et elle en profite bien.

    Elle n’est pas à l’aise avec les hommes, même si elle montre le contraire ∞ elle est italienne du côté de son père ∞ Elle ne parle pas très bien italien, mais son père souhaite qu’elle prenne des cours ∞ Soraya souhaite devenir quelqu’un dans le monde des affaires, et s’intéresse beaucoup à l’entreprise de son père ∞ Elle n’a jamais rien fait avec un homme ∞ c’est une fêtarde qui aime sortir en soirée ∞ elle a un caractère bien trempé ∞ elle est archi protectrice avec les personnes qui lui sont importantes ∞ elle n’enchaine pas les coups d’un soir ∞ elle aime les jolies fringues, le shopping, les chaussures et est totalement accro au vernis ∞ elle passe sa vie sur son portable, ça a le don d’exaspérer sa belle-mère ∞ Elle ne supporte pas son demi-frère ∞ elle fait du sport en salle et du footing de temps en temps ∞ elle refuse d’être oubliée, c’est pourquoi elle prend assez mal le manque de nouvelle de ses proches ∞ elle peut parfois avoir les attitudes d’une petite princesse capricieuse ∞ c’est une véritable chiante, mais attachante ∞ elle est râleuse professionnelle ∞ elle est totalement accro au starbucks ∞ elle aimerait que son demi-frère lui fasse tester la F1, mais n'ose même pas lui demander


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    ©️ HELLOPAINFUL
    Invitéle Sam 15 Avr 2017 - 6:52Rechercher dans: Archives 2012-2019

    William P. Spencer

    Le cœur n'a jamais de rides. Il n'a que des cicatrices.

    22 ANS
    CELIBATAIRE
    LE DROIT/SPORT
    MATHER



    William P. Spencer ♥ 22ans ♥ Célibataire ♥ Hétéro ♥ Etudie le Droit et le Sport ♥ Il est juste Troublant ♥.

    • Abandonné à la naissance • Américain • Etudie le Droit en majeur et le sport en mineur • S'est fait tabassé lors des agressions sur le campus en 2014 car il a empêché un agresseur de violer une fille • Fus adopté a l'âge de 3 ans • Fus maltraité, enfermé dans un placard a balais et dans la cave de la maison de mes parent adoptif jusque l'âge de 15 ans • Avais perdu son identité et n'existais plus légalement mais a finalement repris son nom de naissance • C'est la voisine, une fille qui habitait la maison d'a coté et qui a sensiblement le même âge que moi qui a appeler la police lorsqu'elle a compris réellement ce que je subissais. • Mes parents adoptif furent arrêtés et condamné a une lourde peine de prison • Mes tatouages sont mon journal intime, mes secrets, mes cicatrices, mes peurs, mes souvenirs sont encré en moi pour toujours et je suis le seul a connaître la signification de tous ses dessins recouvrant mon corps • Sa mère biologique est morte • J'aime faire la fête • Pratique la boxe française depuis 7 ans, c'est mon défouloir • Bois fume et se drogue occasionnellement • Aime plaire au femme, n'est pas fidèle en amour • Travailleur • Séducteur • Râleur • Sportif • A la tête sur les épaules • Drôle • Fêtard • Fou • Instable • Bagarreur • A de mauvaise fréquentation • Dessine des bandes dessinées pour passer le temps et surtout pour exprimer ce que je ressent • Fan de maitre Gims • Est du genre a suivre une série télé qui le passionne • joue au jeux vidéo de temps en temps • Fait de la musculation • Passe 2 heures chaque matin dans la salle de bain pour se préparer puis 1 heure le soir avant d'aller se coucher • Prends minimum 3 douche par jour • Mange équilibré • Aime le chocolat et les glaces a l'italienne • Regarde le football a la télé • Aime les nouvelles technologies •.


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    © HELLOPAINFUL
    Invitéle Mer 12 Oct 2016 - 14:00Rechercher dans: Archives 2012-2019

    ROY CALEB PECORELLA

    « Evil is a source of moral intelligence in the sense that we need to learn from our shadow, from our dark side, in order to be good. » J. Bradshaw

    28 ANS
    CÉLIBATAIRE
    MÉD. VÉTÉRINAIRE
    MATHER HOUSE



    roy caleb pecorella → 28 ans → italien → fluent en 4 langues → vient d'une famille très aisée, propriétaire d'une compagnie de Vodka → sociopathe → dealer → a un frère jumeau qui a fait de la prison à sa place → a un autre frère, sa mère ayant accouchée de triplés à sa naissance → étudie en médecine vétérinaire depuis quatre ans → a très peu d'amis, étant très antisociale → travaille dans un magasin d'alcool → en construction

    HISTOIRE COMPLÈTE

    22 DÉCEMBRE 1987, FOGGIA (ITALIE)

    « Tre ragazzini in perfetta salute! »

    Mon père avait toujours chérit l’idée d’avoir un fils unique. Certes, l’univers avait décidé autrement, en lui offrant des triplés. Quatre mois plus tard ma mère accouchait, donnant naissance à moi et Mika, deux frères jumeaux identiques, ainsi que Vince, le troisième à s’être pointé le bout du nez.

    17 DÉCEMBRE 1994, RIPALTA (ITALIE)

    Je me rappel de la journée même où j’ai compris que j’étais différent. J’entendais ma mère pleurer dans la chambre voisine à la mienne, celle de Vince. Entre les demi-mots et sanglots que je pouvais entendre, deux mots m’ont interpellé. Padre. Morto. Mon père était mort. L’instant d’une seconde, mon monde s’écroulait. Nous savions ce que la mort était, nous avions perdu notre grand-mère moins de six mois auparavant. Seulement, cette fois-ci, le deuil ne fut que l’instant de cette seconde. Jamais je n’ai pleuré. Je me souviens lui avoir automatiquement dit « Papa est mort. » quand elle est entrée dans ma chambre pour m’annoncer son décès. Elle s’était approchée de moi afin de me serrer dans une étreinte qui lui semblait beaucoup plus nécessaire qu’à moi. « Tu peux pleurer si tu as besoin Caleb, tu sais? » Je savais que cette simple phrase avait pris le peu d’énergie qu’il lui restait. Voyant qu’aucune réaction ne pouvait être tirée de moi, elle s’est alors assise auprès de Mika qui était dans un état aussi misérable qu’elle. Je la voyais du coin de l’oeil, à m’examiner, à essayer de comprendre pourquoi son fils ne ressentait rien face à la mort de son père. Plusieurs années plus tard, j’ai compris. Empathy isn’t my cup of tea.

    Les professeurs me décrivaient comme l’élève le plus calme de la classe. Je n’avais pas d’amis, je ne subissais pas d’intimidation et je passais la plupart de mon temps à étudier. J’étais un élève modèle. À chaque photo d’école nous étions habillés avec des vêtements neufs que ma mère gardait précieusement, nous rappelant que cette tradition serait continuée par nous aussi. Ma mère était perçue comme une icône maternelle dans notre petit coin de pays, laissant à mon père un honorable héritage ; trois fils bien éduqués qui prendraient prochainement les rênes de sa compagnie de vodka. Malgré le fait que ma famille avait une richesse bâtit à partir d’une compagnie d’alcool, le visage de notre famille avait toujours été la première priorité de mon père.

    Six ans après le décès de mon père, ma mère épousa Ricky, un homme que nous connaissions depuis longtemps, qui vivaient à quelques maisons de nous. Trois ans de mariage heureux avant que ce dernier décède dans un accident de la route. Ce fut la dernière ligne pour ma mère. Cette femme qui avait surmonté  la mort de son premier mari n’avait plus la force de continuer. Une femme de si grande notoriété n’était plus qu’une simple droguée oubliée.

    Trois mois après le décès de Ricky, ma mère n’était plus que l’ombre d’elle-même. Un soir, je je souviens l’avoir trouvé allongée sur le sofa. Elle s’était mise à monologuer à quel point elle ne pouvait plus vivre dans cette réalité et que si elle n’obtenait pas quelque chose pour “partir” d’ici, qu’elle le ferait d’une autre façon. En d’autres termes, si ma mère n’obtenait pas une quelconque substance pour s’exploser la cervelle, elle se l’exploserait elle-même. Ce jour-là, j’ai vu ma mère sans émotion me demander de lui trouver quelque chose. « Je .. connais quelqu’un. J’ai juste besoin que tu y ailles pour moi. » Elle me demandait clairement d’aller chez l’un de ses contacts et de lui en ramener. C’est alors ce que je fis. Mais vous savez, vous le faites une fois, et puis après, c’est toujours. Il n’y a plus de fin.

    Cette manie que j’avais de m’occuper de sa consommation pris un tournant différent. À un certain point, j’ai commencé à vendre. Pour une fois, je prenais plaisir à quelque chose. Le seul problème, c’est que je pouvais rapidement m’emmener des embrouilles. Ma mère me donnait des vêtements que je n’avais jamais porté afin que personne ne puisse me reconnaître. Ma mère me rappelait toujours que de vendre était un risque inutile. que nous avions l’argent nécessaire pour survivre. Elle avait raison mais à elle seule, elle avait déjà détruit l’image de notre famille avec sa descente en enfer.

    Un soir, alors que je rentrais d’une journée d’école, ma mère m’interpella à peine que j’eus mis le pied dans la maison. « Ton frère est en prison. » Je dû lui demander de me répéter quelques fois cette phrase qui me semblait absurde. Mon frère n’avait aucune raison d’être en prison.

    Jusqu’à ce qu’elle m’explique tout. « Les vêtements que tu portais… C’est les vêtements que ton frère a porté une seule fois à chaque photo d’école des trois dernières années. » Il était accusé de trafic de stupéfiants. Mon jumeau Mika, qui ne connaissait rien du monde de la drogue, autre le fait que notre mère en consommait en quantité monstrueuse, allait devoir passé cinq ans de sa vie pour un crime qu’il n’avait même pas commis. Ma mère avait l’argent nécessaire pour m’acheter cinquante magasins de vêtements, mais à la place, elle m’avait donné les vêtements de mon frère. Si cela n’en dit pas assez sur quel genre d’amour ma mère portait envers mon frère jumeau..

    Mon frère ne me dénonça jamais et je ne pris pas le blâme non plus. Est-ce mal de dire que je n’ai pas le moindre regret face au choix de mon frère? Quel humain moindrement intelligent aurait plaidé coupable alors qu’il était aucunement associé avec le “crime”? Certes, j’étais le coupable, mais je n’allais pas non plus gâché ma vie en me dénonçant. Il n’est pas mort, après tout. Moins d’un an après cet événement, je déménageais à Worchester. J’étais âgé de vingt-deux ans et je considérais avoir déjà assez traîné de la patte face à mes études. Je savais depuis bien longtemps déjà que j’étais destiné à étudier la médecine vétérinaire à Harvard. J’avais passé toutes ces années à certes faire le con pendant un certain temps, mais je m’étais toujours dévoué sur le plan scolaire. Je devais fuire ma mère, ce carnage de vie qui m’attendait et penser à moi. Pour le moment je réussis, reste à savoir si prétendre est un passe-temps que je peux maîtriser encore longtemps.

    Pour conclure sur quelques points importants, je n’ai jamais eu de fréquentations au-delà des quatre ou cinq mois. Je n’ai jamais eu la sensation de devoir me dévouer à quelqu’un, jamais ressenti ce sentiment d’amour. Sex, we all need it. Reste que nous avons aussi tous besoin de cette personne qui prend la peine de nous démystifier même quand nous semblons n’être qu’une cause perdue. Je ne collectionne pas les amis, mais je reste tout de même un confident hors pair, toujours neutre et véridique. Je ne ressens pas de tristesse face au malheur des autres, je suis un sans-coeur si vous préférez voir ça ainsi. Bref, je vis ma vie et espère être oublié au travers de cette plèbe.



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