Seigneur tends l'oreille jusqu'à moi. J'implore ton pardon ! Je sais que je suis une exclue de tes croyances. Mais, s'il vous plait, sois indulgent avec moi ! Est-ce que tu peux m'entendre ? Si oui, écoute mon humble prière sans me juger. Tends-moi la main pour me venir à mon aide et pardonne-moi de mes péchés ! Je suis victime d'un mauvais sort...celui d'aimer. Mon crime est celui-ci. Aide-moi !




Oublie-moi ! S'il vous plaît, ignore-moi ! Ne t'approche pas ! Pourquoi ton regard rempli de tristesse qui se dépose sur celle que je suis. Tu n'aurais jamais du ! Je dois te résister. Je dois t'ignorer ! Il ne faut pas ! Disparais ! Éloigne-toi ! Je ne pourrais tenir plus longtemps ! Je ne peux tenir devant toi. Mes mains ne me répondent plus. Elles t'explorent, elle te caresse. Elles touchent chaque partie de ton corps. Mes lèvres ne veulent que te gouter. Gouter ses lèvres qui me séduisent lorsqu'elles bougent. Je ne peux qu’y déposer les miennes contre ce qui forme une séduction. Laisse-moi explorer et danser avec toi. Laisse nos muscles se pavaner ensemble. Je te supplie de brise pas se moment délicieux. Je veux tout sentir. Je dois sentir ce mal ! Je dois sentir ce bien ! Il me faut ce moment ! Mais, je ne peux ! Je dois m'éloigner de ce fantasme ! Disparais ! Non ! Je dois marcher loin de toi. Je dois éviter ce détournement. Je dois suivre cette route aux pierres d'or. Il ne faut pas que je m'éloigne de ce chemin pour y déposer mon pied sur la route de pierre grise. Je t'en supplie ! Disparais ! Je ne pourrais résister plus longtemps. Ne me touche pas ! Je dois faire disparaitre cette sensation naissante entre mes cuisses. Celle qui apparait depuis que ton regard a croisé le mien ! Je ne peux approuver ! Je dois me parler ! Je dois éliminer ce désir. Cette rêverie. Je dois détourner la tête comme le vent change de direction. Oublie-moi ! Regarde une autre femme ! Je ne peux te supporter. Je suis destinée à une vie imposante ! Qui es-tu ? Dégage ! Oublie-moi dans ta tristesse ! Ne t'approche pas !  Ne salue pas mon frère ! Je t'en supplie. Je serais celle te résistant...pour mon bien...
''Je vous présente ma soeur Viktoria Hohenzöllern d'Allemagne.''.
Je te hais !

Il n'aurait fallu que je te croise...mais qui suis-je ? Pourquoi moi ?


Je déteste ma vie. Je déteste mon destin. Je hais ce statut qui me colle à la peau telqu'une gomme sous le soulier. Il me brûle la peau me dévorant peu à peu en ne laissant des derrières lui les traces de brûlure. Il me poursuit sans jamais me laisser. En m'offrant ainsi dans la noirceur d'un cauchemar destructeur. J'aimerais changer, mais je suis prise avec ce nom et cet héritage. Cependant, ma petite vie parfaite changea lorsqu'il apparut. Tout se transforme. Ma vie changea lorsque ses yeux croisaient les miens. Les aiguilles de l'horloge commencèrent à bouger. Moi, Viktoria-Augusta Élisabeth Hohenzöllern d'Allemagne ! Voici mon histoire.

Le soleil descend doucement sur le parc de notre demeure. Ce doux mois de mars est une vraie journée de printemps. J'ai passé mes dernières heures assises sous le grand saule pleureur de notre jardin. Le regard poser sur les pages de mon roman.  Je n'avais pas bouger depuis les quatre dernières heures. Les mots savait transformer en image et les images en action puis les actions activèrent mon imagination. Les minutes passèrent si vite que j'avais oublié le lieu qui m'entourait. Ce n'était pas volé ! Il s'agit d'un temps relaxant, un moment bien mériter. Je voulais rester assise ici profitant de la tranquillité. Sans aucun brouhaha de la maison. Je voulais rêvasser et à somnoler. Pouvant m'évader du destin tout tracer que j'ai depuis ma naissance. Mais, je devais me lever. Il faut que je quitte ce lieu paradisiaque pour la tradition que ma mère et moi avant depuis des années. Nous rejoignons ses soeurs régulièrement pour le temps repas. Elles ne se perdaient pas de vus. Elles pouvaient connaitre la seule fille de la famille. C'était un évènement à la fois sacré et nécessaire auprès d'eux. Nous pouvons discuter de nos problèmes ce qui vient à nous sauvé plus d'une fois des tourments de la vie. Je ne pourrais dire que les soirées nous sauvent la vie, comme elles se plaisent à le dire. Moi, je préférais écouter leurs histoires avant de quitter les murs de briques de la maison des Hohenzollern. Ce qu'elles ignoraient encore est que cette soirée allait être la dernière. J'allais partir loin d'ici. Depuis toujours je rêve de liberté. Même que j'enviais les héros de mes romans. Je vais pouvoir enfin vivre cette aventure qu'on surnomme le rêve américain. J'avais demandé à plusieurs universités Canadienne et Américaine d'intégrer leurs universités en rédigeant les examens et mes arguments de mon intégration. Ce fut compliqué, mais le résultat en voulait le coup. Je ferme la première couverture de mon livre pour déposer mon regard sur le sac à main noir déposer contre moi. Il cachait la lettre qui m'indiqua que l'université d'Harvard m'approuva. L'examen d'entrée avait été si facile que j'ai osé douter de moi. Mon sourire s'élargis alors que je perçois ma mère s'approcher. Je savais qu'il était temps de partir. Le dernier repas que je vais pouvoir prendre avec eux. Ce qui allait me manquer était l'amitié que j'avais développé avec ces femmes, si différentes, les unes des autres, s'est maintenue malgré les années et les points de vus différent que j'avais elles. Elles croyaient que les femmes ne devraient pas travailler. Mais, j'étais mannequin. Je voulais créer ma ligne de vêtement voilà pourquoi je quitter L'Allemagne pour les États-Unis. Je voulais m'éloigner de ses règles appliquer depuis des siècles. Personne n'avait encore saisie le sens de liberté. Pour la première fois de ma vie après ce 5 à 7 en famille, je vais pouvoir rempirer ! Je vais pouvoir m'imaginer libre économiquement, socialement, et je vais pouvoir fournir cette économie.



Il y a un certain nombre de choses qui arrivent quand on arrive dans un nouveau pays. Surtout lorsqu'on n'y a jamais mis les pieds. Il y a toujours quelqu'un pour nous faire regretter notre choix pour quelques minutes. On se questionne sur nos priorités et nos regrets. Ce qui est ridicule, quand on y pense, parce que tout le monde sait qu'une fois nos rêves entrepris, on préfère continuer.C'est ce que j'ai fait ! Le guide de l'université s'amusait à rire de mon fort accent en me provoquant. Il haussait le sourcil en m'invitant de lui répondre. En levant évoquer certain fait morbide de mon pays, ma main droite me chauffait. La petite violence en moi grimpa. Ma main voulait former un poing et lu présenter contre sa joue ou son nez.

Il fallait respirer pour ne pas briser la première image que je projetais. Je déteste ce type d'homme ! Je te provoque pour mieux jouer de toi ! Il n'était pas tombé sur la bonne demoiselle. Je voulais simplement fréquenter ce lieu universitaire pour apprendre. Il était impossible pour moi de sortir. Je voulais devenir la petite fille modèle qui terminera première. Je respirais profondément en laissant mes ongles pénétrer la peau de mes paumes. Je détournais le regard avant de laisser ce troupeau de moutons. Son blabla me tomba sur les nerfs. J'allais directement vers mon dortoir ! Quel beau logement ! Je vais pouvoir afin avoir une liberté...malgré le fait que cet idiot de grand frère, que j'aime énormément, soit aussi inscrit. Le pire d'entre tous...je savais qu'il allait jouer la comédie pour venir me rendre visite.

Ayant quitté le groupe, j'ouvris enfin la porte de ma chambre et découvris deux lits. Une chambre décorer sous l'influence de cette bombe chirurgicale de Kim Kardashian. Je me mordis la lèvre du bas pour réprimer un rire. J'avançais vers mon lit en lançant les valises sur mon lit. Je me laissais tomber sur le lit et déposèrent les bras sur mon visage. Je pouvais respirer de nouveau. Libre comme l'air ! Sans ce bordel de vie royal que j'ai depuis des années

C'était la dernière année universitaire. Je me souviens de cette première journée qui me parut une éternité. J'avais bien aimé la visite de ce beau ténébreux que ma colocataire m'avait présenté. Il fut mon premier petit ami, mais je le laissais lorsqu'il glissa ses mains entre mes cuisses. Je n'avais plus jamais fréquenter d'autres personnes. Tandis que les filles de la fraternité sortèrent pour jouer de leurs charmes. Je restais assise à étudier et avancer. Mon frère appréciait cette présence reposer. Il n'avait pas besoin de craindre le pire. Après tout , les films américains le firent facilement cauchemarder. Le pauvre !

Je fermais les yeux en serrant la robe noire qui me recouvrait. Un garçon de mon âge fit le discours. Mon coeur se serra. Après cinq ans, je vais pouvoir vivre mon rêve. C'était enfin le temps. Les larmes et la vie inculte de jeune adulte allaient pouvoir se terminer. C'était le temps ! Le rêve. Le directeur commença à nommer les noms des finissants. Puis mon nom de baptême apparut. Un nom qui me couvrait de honte. Je montais tranquillement en souhaitant de ne pas tomber du haut de mes talons. J'attrapai le bout de papier et le lev fièrement. Les larmes descendirent alors que ma mère me salua en m'envoyant des baisers de sa main. C'était fini ! Je retournais m'assoir. Quelques minutes plus tard. Nous sommes finalement déclarés finissants, graduer. Nous lançons nos chapeaux dans les airs en criant.

Je n'aurais jamais cru qu'il aurait été difficile de se placer dans la société. Je tentais de créer ma ligne de vêtement, mais je trouvais un emploi dans un magasin de vêtement de luxe. Je fus employée comme superviseur à temps partiel. D'un autre côté. J'essaie de percer dans le mannequinat. Une princesse qui cherche à vivre par elle-même...mauvaise idée. Je profite encore de la fortune de Hohenzollern.

Aujourd'hui à 29 ans, j'essaie de percer dans l'univers du monde comme mannequin, mais mon nom arrête toutes les agences...ou mon père...Je souhaite lancer ma ligne de vêtement, mais je ne suis pas assez connue. Alors, je reste employer dans cette boutique en laissant afficher ma carrure sur instagram. Malgré cela, je rends service à mon père en me baladant pour honorer notre nom. Visitant les évènements importants des États-Unis et d'ailleurs. Merde ! J'ai hâte que ma vie bouge un peu ! Sinon, je vais finir vieille fille avec des chats.