Mykonos très bel endroit pour des vacances et je me sens chanceuse d'y être vu comment les paysages sont parfait. J'ai bien fait de venir au Summer Camps, à Boston je me serais fortement ennuyée surtout que mes amis sont aussi au Summer Camp donc c'était une bonne raison de plus pour venir. Puis ça me déconnecte des cours, de mon boulot au magasin de jeux vidéos ça fait du bien de temps en temps de changer d'air.
Aujourd'hui je me suis rendu à la plage étant donner qu'il fait très chaud, se plonger dans la mer c'est une bonne façon de se rafraîchir et puis il y a plus de place sur le sable par rapport à la piscine ou tout le monde est coller autant dedans que dans un transat. Je me cherche une bonne place avec ma serviette sur les épaules et mon livre pour pouvoir me détendre en sortant de l'eau, je porte aussi mes lunettes de soleil et j'ai déjà mis ma crème solaire à l'hôtel avant de partir. La plage est quand même bondée je viens de m'introduire dans un chemin ou je dois passer au dessus des pieds des gens super, comme je suis super maladroite je me prends les pieds dans les pieds de quelqu'un qui est allongé et qui se met d'ailleurs à râler. Je me rattrape à ce que je peux c'est à dire au bikini de la fille devant moi qui tombe dans mes mains, elle se retrouve nue sur la plage. Oh mais non Poppy faut vraiment que ça t'arrive ce genre de choses? « Oh merde je suis désolée! » Faut dire que si son bikini était plus serré ça ne serait jamais arrivé, mais je me dépêche de mettre ma serviette autour d'elle pour la cacher des regards trop curieux de certains. « Excuse moi vraiment je comprendrais si tu as envie de me tuée sur place. » Malaise.

@Louison Chamberlain

je suis pas d’humeur. je suis vraiment exécrable depuis ce matin. je fais tout tomber sur mon passage. j’ai mal dormi. j’enchaîne les cauchemars. je viens de me disputer avec ma mère au téléphone, c’est pas la joie, ça pourrait vraiment être mieux. ce n’est pas de ma faute si toute la famille s’est barrée pour les fuir. raaah. d’ailleurs, j’ai de plus en plus envie de quitter ces vacances pour me réfugier loin, aux states. j’ai juste peur de le regretter. c’est si beau ici. j’sais bien que j'ai de la chance de pouvoir être ici. j’aimerais juste avoir la conscience tranquille pour en profiter amplement. bref. le soleil frappe bien sur mykonos. je devrais sortir au lieu de ruminer. j’enfile ainsi mon maillot et je rejoins la plage principale où tous les touristes s’agglutinent comme des abeilles sur une ruche. mon sac de paille à l’épaule, mes lunettes sur le nez et mon bikini rose fluo sur moi, je me fraie un chemin dans ce dédale en cherchant un emplacement. tout à coup, alors que je m’arrête pour observer la plage, j’sens mon soutif se détacher et ma poitrine se dévoiler. mes yeux s’écarquillent derrière mes verres fumés. automatiquement, je porte mes mains sur mes seins et je me retourne. et là, je t’aperçois, toi, une petite brune à terre. je rêve où tu viens de te rattraper à moi ? tu m’as pris pour un putain de meuble ? j’ai pas le temps de t’incendier que tu me jettes ta serviette autour du corps. t’as au moins du bon sens dans ta maladresse. m’enveloppant très fort dans la serviette, je place mes lunettes sur mon crâne en te fusillant du regard « effectivement, j’ai envie de t’enterrer vivante sous ce sable brûlant » depuis quand j’suis aussi méchante. c’est pas moi. c’est juste l’effet de surprise qui m’a pris de court. « c’est quoi ton nom ? que je puisse signaler ta disparition d’une cabine téléphonique en anonyme » plaisantai-je en cherchant la moitié de mon maillot que tenait un homme allongé entre nous « hum tu peux le récupérer ? »

Il m'arrive toujours de faire des conneries j'ai vraiment deux mains gauches et on peut me décerner le prix de la reine de la maladresse sérieux. Je me sens vraiment honteuse de m'être rattrapée au bikini de cette fille, mais jamais j'aurais cru qu'il était mal attaché et qu'elle se serait retrouver toute nue. « Je comprends ton envie de me tuée à ta place j'aurais réagis pareil, mais peu de personnes ont eu le temps de te voir je t'ai vite mis la serviette autour pour te cacher. » J'ai eu ce bon réflexe heureusement pour elle d'ailleurs même si ça ne me défend pas. « Je peux te donner mon nom, mais on me confond souvent avec ma jumelle donc je ne sais pas si tu arriverais à me retrouver. » Je lâche un petit rire pour détendre l'atmosphère, puis je termine de ramasser son bikini histoire de lui donner et qu'elle puisse l'enfiler. « Je peux t'offrir un verre pour me faire pardonner? » Je demande hésitante, elle n'a pas l'air de vouloir vraiment me tuer donc il y a peut-être moyen de boire un verre et au final de rire de la situation.

je n’en reviens pas. je me suis retrouvé seins nus sur cette plage bondée. alors ouais, j’suis en fureur là. j’suis godzilla, prête à tout casser sur son chemin. pourtant, je te trouve si adorable malgré ta maladresse. quoi ? une jumelle ? tu viens carrément de piquer ma curiosité. « les flics ne se tromperont pas t’inquiète, mais je parie que tu es bien différente de ta soeur, en dehors du physique » je l’espère pour toi, j’vivrais mal le fait d’être une pâle copie d’une autre personne. j'veux dire, heureusement que notre intellect se différencie par les expériences que l’on vit. « alors, tu t’appelles comment miss maladroite ? » un malin joue avec mon maillot sur le sable et je te demande de bien vouloir le récupérer pour que je puisse éventuellement le remettre à un moment donné. pour l’instant, je reste emmitouflée sous ta serviette et j’acquiesce à ta proposition « oui, une mather ne refusera jamais une telle offre. allons-y ! » me faufilant entre toutes les serviettes et les corps amoncelés sur le sol, je déboule au bar de la plage en cherchant directement les chiottes « tu pourrais m’aider à remettre mon soutif s’il te plait ? enfin, dans les toilettes.. » s’il est tombé aussi facilement, c’est que je ne suis absolument pas douée pour l’attacher convenablement. bon, indirectement, il se peut que je tente aussi de voir tes limites ou du moins si les filles peuvent être ta came.. on ne sait jamais, sur un malentendu pareil..

Je suis vraiment chanceuse de temps en temps, une autre personne m'aurait tuée, mais cette fille même si elle fait mine d'être furieuse un peu me lance des blagues et le prends plutôt bien. Tant mieux je n'ai pas envie de mourir aujourd'hui et le motif serait assez surprenant. « Les flics pas sûr j'ai déjà donner le nom de ma soeur lorsque je me suis faite contrôler après une soirée, bon je n'étais pas au volant, mais ils m'ont crû malgré mon prénom sur ma carte d'identité mais longue histoire. Et oui je suis différente d'elle heureusement d'ailleurs je préfère avoir mon propre caractère. » Je ne suis pas son double après tout. « Poppy et toi c'est comment? » Autant que je le sache aussi après tout je viens de lui proposer de boire un verre, je n'ai pas envie que son prénom me reste inconnue. Lorsqu'elle dit qu'elle est Mather je ne peux pas m'empêcher de sourire. « Allons boire un verre entre Mathers alors! » Je risque de la revoir à la rentrée donc autant bien m'entendre avec elle, qui sait peut-être que ma maladresse conduira à une belle amitié? J'ai récupérer le haut de son bikini pour que le mec arrête de le mater entre ses mains, vieux pervers puis je la suis jusqu'aux toilettes près du bar de la plage histoire de l'aider à serrer son bikini, je peux comprendre le noeud est derrière après tout donc toute seule ça peut paraître difficile parfois. « Oui je te suis au moins je pourrais te faire un noeud plus solide, puis mets toi à l'abri des pervers de la plage. » On entre dans les toilettes, c'est mieux de le mettre dedans plutôt que face à tout le monde elle s'est déjà retrouver nue par ma faute on ne va pas recommencer quand même.

oh merde, j’suis tombée sur une tête aussi brûlée que la mienne. t’es une folle, t’as dénoncé ta soeur quoi ! respect. « je t'adore déjà toi ! » ponctuais-je en ricanant. c’est bon, je ne t’en veux déjà plus et j’crois que tu débarques au bon moment dans ma vie. « louison, enchantée » je t’aurais bien tendu ma main pour officialiser les présentations, mais elles sont occupées à maintenir ma serviette autour de ma poitrine. j’accepte toutefois ton invitation et j’apprends ainsi ton appartenance à la même confrérie que moi. « omg, t’es aussi une mather ? comment se fait-il que je ne t’aie encore jamais croisé ? malheureusement j’hésite à changer de confrérie à la rentrée prochaine.. » je parle beaucoup de claquer la porte des verts, mais j’y tiens. c’est cette maison qui colle le plus à ma personnalité.. certes, la baraque coule, mais est-ce une raison valable pour la laisser couler encore plus en partant ? je vais devoir y réfléchir. bref, tu récupères mon haut de maillot et je file au bar bordant la plage. je repère très vite les chiottes et je t’y traine pour m’aider à arranger ta bêtise. je verrouille la porte principale et je me place face au miroir. je lâche ta serviette et je la pose sur le comptoir en te laissant une superbe vue sur mes seins rebondis. « j’suis pas douée pour m’habiller, peut-être que je devrais devenir naturiste, ça me faciliterait la tâche » je me dévergonde complet. je scrute ta réaction à travers la glace. j'adopte une pause un peu sexy. je continue d'agir normalement, comme si c’était absolument naturel que tu puisses mater mes lolos « tu es à harvard toi aussi ? » te demandai-je en relevant mes cheveux pour t’offrir mon dos « un petit-ami ? une petite-amie ? »

Quand elle me dit qu'elle m'adore déjà je souris je pense être tombée sur une fille qui a le même caractère que moi, ça tombe bien ça pourra coller entre nous. Parfait surtout que c'est une Mather en plus. « Merci et tu vas m'adorer de plus en plus! » Non je ne prends pas la grosse tête et mes chevilles vont très bien. « Enchantée aussi. » Louison au moins je sais comment elle s'appelle, je ne pourrais pas dire "l'inconnue au bikini non serré" quand je reparlerai de ce moment gênant. « Bizut Mather pour être plus précise. Oh bah il y a tellement de personnes à la confrérie ou alors on s'est croisées sans s'en rendre vraiment compte. Pourquoi tu veux changer ça ne te plaît plus? » Je ne connais pas les autres confréries j'en entends seulement parler de la bouche de certains, mais je sais que moi ça restera toujours les Mathers quoiqu'il arrive. Une fois dans les toilettes elle se pose face au miroir et lâche sa serviette sans aucune pudeur, bon ok je l'ai vue nue il y a quelques minutes, mais pas tant que ça vu que j'ai vite mis ma serviette autour d'elle pour la cacher, la elle me tape la dicute normal les seins à l'air. Peut-être qu'elle est naturiste de temps en temps et c'est pour ça qu'elle ne m'a pas tuée sur le sable. Justement quand je pense ça dans ma tête elle en parle. « Tu ne l'es pas? Comme tu te mets nue devant moi sans aucune pudeur alors que je suis une parfaite inconnue à tes yeux. » Je lui souris je ne veux pas la vexée tout de même. « Oui j'étudie la psychologie et toi? » Voir son corps ne me dérange pas plus que ça je veux dire elle a les mêmes atouts que moi du coup j'ai l'habitude en me regardant dans le miroir chaque matin et chaque soir dans la salle de bains. « Je suis célibataire et toi? » Si elle a pour habitude de se mettre nue devant les gens en étant en couple je pense que l'autre personne pourrait vite péter un câble. J'ai toujours son haut dans les mains je m'approche d'elle pour lui enfiler. « Tu me dis si jamais je serre trop fort d'accord? Le but c'est qu'il sois bien serré pas qu'il sois en train de t'étouffer. » Je lâche un petit rire et commence à m'y mettre.

ah, mais tout s’explique, tu es nouvelle parmi les mather ! je me demande qui va te faire vivre un petit calvaire, en tout cas ton nom ne m’a pas encore été affecté. « la mather house n’allait pas fort dernièrement tu sais.. il faut voir si la doyenne va reprendre tout ça en main.. » mais je sais que les quitter sera très douloureux. j’y ai peut-être une mission là-bas ? peut-être que je devrais carrément tenter la présidence pour voir à quel point c’est compliqué de gérer une organisation pareille. bref, on se rend enfin dans un bar et je t’invite à m’aider dans les chiottes pour me rhabiller. sans gêne, je retire la serviette autour de mon corps pour te causer à moitié fringuée. « non non, j’suis pas une cul-nu, mais je n’ai plus honte de mon corps grâce à mon dépuceleur » l’air de rien, je poursuis la discussion afin d’en apprendre plus sur toi « droit et théâtre, et ouais, célibataire jusqu’à présent » oui, je n’étais pas encore engagée dans une relation libre avec liam gremlins à ce moment-là, j’étais encore loin de m’imaginer ce qui allait se passer deux jours plus tard, dans un foutu jacuzzi sous les étoiles. t'approchant ensuite de moi, je sens tes mains caressant ma peau. je frissonne et souris alors que les petits triangles de mon maillot se positionnent devant mes seins. « je ne sens pas beaucoup la douleur comme meuf » plaisantais-je à moitié alors que tu commençais à nouer les noeuds à mon cou, puis sur mon dos. une pro je dis. enfin vêtue, je me retourne face à toi et embrasse ta joue pour te remercier à ma façon « tu me paies ce verre alors ? attention, une fois que je bois, je m’arrête plus, j’espère que t’as le porte-monnaie rempli » t’avouais-je en jouant avec une de tes mèches de cheveux. abandonnant ta crinière brune, je retourne dans la pièce principale pour m’installer au bar « un sex on the beach s’il vous plaît et toi pooooppppy ? »

Elle m'explique que la Mather ne va fort en ce moment, j'en ai pas encore entendu parler malgré que le président sois un de mes amis proches. J'ai tellement de choses à apprendre de la confrérie après tout. « Oh j'espère que ça va aller à la rentrée alors, la Mather a peut-être besoin de membres soudés et surtout motiver a afficher les couleurs avec fierté de temps en temps. » Elle m'explique que non elle n'est pas nudiste, mais n'a pas honte de son corps bon après tout elle fait ce qu'elle veut de sa vie hein. « Pas de quoi avoir honte de toute façon. » Elle est bien foutue autant qu'elle en profite. « Ça te plaît tes études? Bon bah vive le célibat alors même si c'est chiant! » C'est vrai qu'a force surtout quand je vois Piper qui a trouver quelqu'un de bien et qui est mariée ça me donne envie parfois de vivre la même chose m'enfin c'est pas prêt d'arriver maintenant. Je remets son bikini en prenant soin de bien le serré cette fois ci ça serait bête de le re perdre une deuxième fois, surtout que ça serais encore de ma faute vu que c'est moi qui a fait le noeud. On se rend au bar car j'ai un verre à lui payer après tout une parole est une parole. « La même chose! » Je sors de mon sac l'argent que je tends au barman une fois qu'il nous donne les verres. « A notre rencontre maladroite! » Je lui souris et lève mon verre pour trinquer.

je suis absolument d’accord. j’aimerais vraiment que les membres mather retrouvent leur unité. est-ce que j’suis capable de réaliser cette mission ? je ne sais pas. je ne suis pas forcément une bonne leadeuse, j’verrais plus tard, selon mon agenda professionnel et sentimental hum. enfin, il me faudrait surtout que je puisse compter sur un bon vice-président quoi. bref. tandis que je me fous à poil devant toi, tu m’aides à revêtir mon maillot pendant qu’on se tape la discut’ pépère « mes études me plaît oui. le droit c’est lourd quand même, je préfère le théâtre, j’échangerais bien leur poids. genre le droit en mineur et le théâtre en majeur » tu sers ensuite mon bikini dans mon cou et je t’applaudis une fois que tu termines. je suis parée ! je retrouve le bar avec toi et je commande aussitôt un verre. le barman prépare nos cocktails et on trinque assez vite. « ouais, à notre rencontre terriblement maladroite ! » merci de payer, j’roule pas sur l’or moi. « tes parents t’aident bien financièrement ? ou tu bosses toute l’année ? » te demandais-je en sirotant tranquillement ma boisson, le regard braqué sur toi et rien d’autre. faut dire que tu es ravissante. t’as de beaux yeux, un sourire étincelant et des courbes féminines absolument délicieuses. j’suis sous le charme moi.