InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postLun 18 Juin - 13:29
|
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postLun 18 Juin - 16:35
I never said thank you
@Clay Fitz. Cooper & Amélia
« Toutes les choses vraiment atroces démarrent dans l'innocence. »
Voilà quelques semaines à peine qu’Amélia était installée à Boston qu’elle avait déjà trouvé sa place de stage dans un cabinet d’avocats réputé de la ville. Ayant envoyé ses candidatures depuis l’Espagne, avant de quitter Séville, elle ne s’était aucunement attendue à recevoir une réponse aussi rapidement. Très certainement que ses notes excellentes, les recommandations de ses professeurs et son nom de famille y étaient pour quelque chose. Au moins, ce n’était pas son nom qui avait fait tout le travail… Pour ses premiers temps comme stagiaire, elle s’était attendue à servir le café et ramener le courrier mais son patron l’avait rapidement mise dans le bain en lui parlant de certains dossiers. Un peu surprise, la jeune étudiante avait mis les bouchées doubles pour connaître chacune des affaires du bout des doigts. Sans compter le fait qu’elle devait se familiariser avec les lois américaines, différentes de celles de son pays natal. Mais comme elle avait des facilités pour apprendre, elle commençait à s’y faire. Merci, lectures passionnées du soir… Et ce n’était pas des romans à l’eau de rose qu’elle lisait mais plutôt des ouvrages de droit. Petit à petit, elle put accompagner ses collègues lors des visites en prison et avait même pu assister à un procès. Ce matin, elle arriva de bonne heure au cabinet pour travailler sur certains dossiers épineux. Elle était plongée depuis de nombreuses heures sur un plaidoyer quand un de ses collègues entra. Il lui expliqua qu’un type venait de se faire arrêter pour viol et qu’il n’en était pas à son coup d’essai. Il demanda à Amélia si elle voulait se charger d’aller le voir en salle d’interrogatoire, l’homme les ayant appelés un peu plus tôt. La jeune femme trouva de mauvais goût de lui demander ça alors qu’elle était une femme et que ce type était accusé de viol. La présomption d’innocence, elle ne devait jamais l’oublier. Après quelques secondes d’hésitation, elle accepta de se charger de ce cas et prit le dossier qu’il lui tendait. Elle le parcourut et l’étudia rapidement, remarquant quelques petites incohérences. Et si ce type était vraiment innocent ? Bientôt, elle rangea le dossier dans son sac et prit son blazer avant de quitter le cabinet. Elle prit sa voiture et se rendit au commissariat de police, là où son client l’attendait. Elle entra dans le bâtiment puis se dirigea vers le premier comptoir qu’elle voyait. Elle demanda à la secrétaire où se trouvait la salle d’interrogatoire avant de lui montrer un badge prouvant qu’elle travaillait pour le cabinet d’avocats sollicité par le suspect. Elle lui indiqua le chemin et Amélia prit la direction indiquée, ses talons hauts claquant sur le parquet à chacun de ses pas. Bientôt, elle aperçut deux sergents qui montaient la garde près d’une porte, tels des cerbères. Elle était au bon endroit, plus de doute possible. Elle demanda à ce qu’on la laisse passer mais ces flics étaient dubitatifs quant à la véracité de ses propos. Elle, l’avocate du suspect ? N’était-elle pas un peu jeune pour ça ? Agacée, la jeune femme leur colla presque son badge au visage avant d’ouvrir elle-même la porte. Des amateurs, comme cet agent qui n’avait même pas pris la peine de lire les droits de son client. D’ailleurs, il devait sûrement être présent dans cette pièce, restait à savoir lequel des deux. Analysant rapidement la scène qui s’offrait à elle, Amélia en conclut qu’il devait s’agir de celui assis en face de son client. Il semblait un peu désemparé alors que le lieutenant situé derrière lui avait le regard dur et perçant. Il n’aurait jamais fait une erreur pareille. Elle s’adressa alors à celui qui tentait de mener l’interrogatoire et lui montra son badge.
« Enlevez-lui ces menottes. La prochaine fois, vous lui lirez ses droits à l’arrestation. »
Le surplombant de toute sa hauteur, la jeune étudiante le toisait. Son tailleur noir lui conférait un air beaucoup plus dur que d’habitude, sans oublier son caractère de feu, venu tout droit d’Espagne. Alors mieux valait ne pas la contrarier.
« Je n’ai pas toute la journée. »
« Enlevez-lui ces menottes. La prochaine fois, vous lui lirez ses droits à l’arrestation. »
Le surplombant de toute sa hauteur, la jeune étudiante le toisait. Son tailleur noir lui conférait un air beaucoup plus dur que d’habitude, sans oublier son caractère de feu, venu tout droit d’Espagne. Alors mieux valait ne pas la contrarier.
« Je n’ai pas toute la journée. »
(c) DΛNDELION
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postMer 27 Juin - 15:46
|
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postMer 27 Juin - 20:51
I never said thank you
@Clay Fitz. Cooper & Amélia
« Toutes les choses vraiment atroces démarrent dans l'innocence. »
Amélia commençait à en avoir marre qu’on ne la prenne pas au sérieux. D’exaspération, elle avait collé son badge sous les yeux des deux gardes à l’entrée de la salle d’interrogatoire ainsi qu’au comparse du lieutenant. Une fois fait, elle fit part de ses exigences, c’est-à-dire de relâcher son client puisqu’il y avait eu bavure. Effectivement, elle avait été mise au courant que ses droits ne lui avaient pas été lus à son arrestation. Le plus pire des criminels pouvait être relâché par cette grossière faute. Malheureusement pour les forces de l’ordre, ce violeur allait être libéré à cause de cette négligence. Amélia ne faisait qu’appliquer la loi même si elle trouvait plutôt mal placé de la part de ses collègues de lui avait refilé ce dossier épineux. Elle exécrait les hommes qui abusaient des femmes contre leur gré, encore plus quand elles étaient droguées. S’il n’était même pas capable de draguer et de mettre une femme dans son lit par ses charmes… Mais son opinion personnelle, elle pouvait se la garder pour le moment. Croisant les bras, son regard bleu s’était posé sur celui qui menait la danse. Comme elle ne s’était pas trompée, il s’agissait du flic assis en retrait. Quand il lui annonça que les droits de l’accusé lui ont été lus, la réaction de ce dernier ne se fit pas tarder. Il posa son regard sur Clay puis sur Amélia avant de dire que ça faisait à peine deux minutes que ses droits lui avaient été lus. C’était bien ce qu’elle pensait. Restant silencieuse, elle regarda le sergent sortir puis elle suivit du regard le lieutenant qui s’approchait d’elle. Elle ne broncha pas, habituée à être accueillie avec ce genre de froideur qui ne l’atteignait même plus.
« Quand vous aurez terminé de faire des remarques sur mon physique, vous libèrerez mon client. »
La blondinette qu’elle était en avait dans le crâne et, une nouvelle fois, elle fut agacée par son air hautain de lieutenant qui semblait se moquer de ses capacités intellectuelles. Il s’approcha alors d’elle, se penchant pour prendre un ton de confidence. Les bras croisés, la jeune femme l’écouta sans sourciller, consciente de tout ce qu’il était en train de lui dire. Si ça ne tenait qu’à elle, elle aurait depuis longtemps planté son talon dans l’entrejambe de son client mais sa fonction le lui interdisait. Un court instant, elle se demanda si son collègue ne voulait pas la tester. Après tout, elle était la petite nouvelle encore aux études alors autant lui refiler le sale boulot. Quand il lui tendit la clé pour qu’elle le libère elle-même, elle se recula d’un pas.
« Mon travail n’est pas de le relâcher mais de le défendre. Chacun son job. »
Elle savait qu’elle n’était pas habilitée à prendre cette responsabilité et ce lieutenant « je-sais-tout » commençait à lui taper sur le système.
« Vous êtes en train de vous enfoncer. D’abord, vous ne lisez pas les droits à mon client puis vous refusez de le relâcher. Décidément, ce n’est pas une bonne journée pour vous. Libérez-le ou j’en réfèrerai plus haut. »
Une menace qu’elle était prête à mettre à exécution dans la minute si le lieutenant ne s’exécutait pas.
« Quand vous aurez terminé de faire des remarques sur mon physique, vous libèrerez mon client. »
La blondinette qu’elle était en avait dans le crâne et, une nouvelle fois, elle fut agacée par son air hautain de lieutenant qui semblait se moquer de ses capacités intellectuelles. Il s’approcha alors d’elle, se penchant pour prendre un ton de confidence. Les bras croisés, la jeune femme l’écouta sans sourciller, consciente de tout ce qu’il était en train de lui dire. Si ça ne tenait qu’à elle, elle aurait depuis longtemps planté son talon dans l’entrejambe de son client mais sa fonction le lui interdisait. Un court instant, elle se demanda si son collègue ne voulait pas la tester. Après tout, elle était la petite nouvelle encore aux études alors autant lui refiler le sale boulot. Quand il lui tendit la clé pour qu’elle le libère elle-même, elle se recula d’un pas.
« Mon travail n’est pas de le relâcher mais de le défendre. Chacun son job. »
Elle savait qu’elle n’était pas habilitée à prendre cette responsabilité et ce lieutenant « je-sais-tout » commençait à lui taper sur le système.
« Vous êtes en train de vous enfoncer. D’abord, vous ne lisez pas les droits à mon client puis vous refusez de le relâcher. Décidément, ce n’est pas une bonne journée pour vous. Libérez-le ou j’en réfèrerai plus haut. »
Une menace qu’elle était prête à mettre à exécution dans la minute si le lieutenant ne s’exécutait pas.
(c) DΛNDELION
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postMer 18 Juil - 14:34
|
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postMer 18 Juil - 18:51
I never said thank you
@Clay Fitz. Cooper & Amélia
« Toutes les choses vraiment atroces démarrent dans l'innocence. »
Décidément, cette affaire était pourrie. Dans tous les sens du terme. Sa première affaire en solo ne se passait pas du tout comme elle l’avait imaginé. D’un côté, elle devait respecter à la lettre les lois alors que son éthique profonde lui dictait de laisser croupir ce crevard en taule et de ne surtout pas le libérer. Le lieutenant soulevait un point important : le prisonnier devait rester en garde à vue 24h. Il avait le droit de le retenir, même sans preuve contre lui, avant de devoir le relâcher si les preuves manquaient. Mais ses droits ne lui avaient pas été lus. Ou trop tard, plutôt. De ce fait, le violeur devrait être relâché pour ensuite être à nouveau arrêté. Un truc complètement débile, à l’Américaine. En Espagne, ce type serait déjà en train de croupir dans une cellule chargée d’humidité et il boufferait du pain rassis et de l’eau. Que faire ? Suivre le droit Miranda dont son client avait droit ou celui de la garde à vue de 24h ? Et puis merde ! Après avoir fixé le lieutenant de longues secondes après sa tirade, elle extirpa un dossier de son sac suivi d’un bloc-notes. Elle tira la chaise située à côté de son client avant de s’asseoir. Elle ouvrit le dossier devant elle même si elle le connaissait déjà par cœur et écouta Clay rappeler les faits. Bordel, ce qu’elle aurait préféré être l’avocate d’une des victimes… A croire que son patron voulait la tester. Ça ne l’étonnerait même pas, elle qui était la petite nouvelle qui n’avait pas encore terminé ses études. Pire encore, elle était une femme alors son boss avait dû se douter que ce dossier la toucherait plus que si c’était un de ses collègue mâle qui s’en était chargé. Jetant un rapide coup d’œil à l’une des pages du dossier, elle se dit que la cause de son client était perdue. Des preuves l’incriminaient, notamment de l’ADN retrouvé sur les jeunes femmes. Sans oublier sa signature, amadouant toujours ses victimes de la même manière. L’une d’entre elles l’avait même formellement identifié. Tout ce qu’elle pouvait faire pour lui, c’était négocier une réduction de peine. Ou plaider la folie du violeur. Mais en le voyant ainsi, elle doutait qu’un psychiatre lui trouve une maladie mentale. Il avait l’air totalement conscient de ses actes. Mais sait-on jamais.
« Vous pouvez répondre. »
De toute façon, tout le monde dans cette salle connaissait la réponse à cette question. Toujours avec un sourire narquois, l’homme répondit un bobard, comme il fallait s’y attendre. Il prétendait être chez lui avec une jeune femme et il n’y avait pas besoin d’être devin pour deviner ce qu’ils faisaient. Mais des caméras de surveillance l’avaient repéré dans plusieurs coins de la ville, cette nuit-là. Cependant, les forces de l’ordre seraient quand même obligées de contrôler son alibi, notamment en prenant contact avec cette prétendue femme dont il lâcha enfin le nom. Et les mensonges s’enchaînaient, les uns après les autres et soudain, Amélia poussa quelques feuilles de son dossier vers lui.
« Si vous ne voulez pas vous enfoncer encore plus, taisez-vous. Ces résultats d’ADN sont formels : tout ce dont on vous accuse est vrai. Alors si vous ne voulez pas croupir en prison jusqu’à perpèt, vous avez intérêt à avouer. »
Une lueur d’étonnement traversa le regard de l’homme, qui ne s’attendait visiblement pas à ce revirement de situation. Son boss allait sûrement réprimander Amélia mais qu’importe. En agissant ainsi, elle avait l’impression de protéger d’éventuelles victimes tout en diminuant la peine du violeur. Si, toutefois, elle arrivait à négocier. Mais au fond d’elle, elle espérait échouer et c’était bien la première fois qu’elle pensait ainsi.
« Vous pouvez répondre. »
De toute façon, tout le monde dans cette salle connaissait la réponse à cette question. Toujours avec un sourire narquois, l’homme répondit un bobard, comme il fallait s’y attendre. Il prétendait être chez lui avec une jeune femme et il n’y avait pas besoin d’être devin pour deviner ce qu’ils faisaient. Mais des caméras de surveillance l’avaient repéré dans plusieurs coins de la ville, cette nuit-là. Cependant, les forces de l’ordre seraient quand même obligées de contrôler son alibi, notamment en prenant contact avec cette prétendue femme dont il lâcha enfin le nom. Et les mensonges s’enchaînaient, les uns après les autres et soudain, Amélia poussa quelques feuilles de son dossier vers lui.
« Si vous ne voulez pas vous enfoncer encore plus, taisez-vous. Ces résultats d’ADN sont formels : tout ce dont on vous accuse est vrai. Alors si vous ne voulez pas croupir en prison jusqu’à perpèt, vous avez intérêt à avouer. »
Une lueur d’étonnement traversa le regard de l’homme, qui ne s’attendait visiblement pas à ce revirement de situation. Son boss allait sûrement réprimander Amélia mais qu’importe. En agissant ainsi, elle avait l’impression de protéger d’éventuelles victimes tout en diminuant la peine du violeur. Si, toutefois, elle arrivait à négocier. Mais au fond d’elle, elle espérait échouer et c’était bien la première fois qu’elle pensait ainsi.
(c) DΛNDELION
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postJeu 19 Juil - 11:34
|
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postJeu 19 Juil - 14:00
I never said thank you
@Clay Fitz. Cooper & Amélia
« Toutes les choses vraiment atroces démarrent dans l'innocence. »
Amélia écoutait toutes les conneries que débitait son client avec la même perplexité que Clay. Elle ne croyait pas un mot de ce qu’il pouvait leur raconter et, visiblement, c’était également le cas du lieutenant. Au bout d’un moment, elle ordonna à l’homme assis à ses côtés de la boucler s’il ne voulait pas s’enfoncer encore plus. En guise d’argument, elle extirpa quelques résultats d’analyses ADN de son dossier et les poussa en direction du violeur. Il ne devait pas comprendre grand-chose au charabia inscrit sur ces feuilles mais ce n’était pas le but. Les paroles de son avocate eurent le don de le faire taire et perdre son sourire narquois. Alors que son esprit tournait à mille à l’heure pour élaborer une stratégie de défense qui aiderait à la fois victimes et coupable, le lieutenant réagit en se levant pour les laisser discuter. Elle hocha la tête en guise de remerciement et quand il lui demanda pour quel cabinet elle travaillait, elle lui apprit que c’était pour Fitz & Cie, un des cabinets d’avocats le plus réputé de Boston. Ma foi, elle était bien obligée de répondre, surtout que son bloc-notes était estampillé du logo de son cabinet. Cependant, la jeune femme éprouva une pointe d’agacement à l’idée qu’il apprendrait bientôt qu’elle n’était qu’une stagiaire encore aux études. Une fois seuls, elle se leva pour prendre place en face de son client, emportant ses affaires avec elle. Elle lui fit part de tous les éléments qu’ils avaient en leur possession et lui expliqua que tout l’incriminer. Tout ce qu’elle pouvait faire pour lui, c’était obtenir une réduction de peine car plaider la folie ne semblait pas du tout plaire à l’homme installé en face d’elle. Cependant, il serait quand même soumis à une évaluation psychiatrique au vu des mêmes actes commis à de nombreuses reprises. Au fil de la conversation, le violeur confirma petit à petit tous les faits qui lui étaient reprochés. Un bon point pour lui puisque des aveux étaient souvent synonymes de diminution de la peine encourue. Après de longs pourparlers, il était temps pour Amélia de quitter cette salle d’interrogatoire austère pour retrouver un semblant de lumière du jour. Elle rassembla ses affaires, les rangea dans son sac, salua son client avant de quitter la pièce à son tour.
« Quelle affaire de merde… » Marmonna-t-elle.
Son client risquait de ne plus la revoir car elle allait balancer ses quatre vérités à son patron. Elle risquait de s’en mordre les doigts mais qu’importe. Si elle étudiait le droit, ce n’était pas pour défendre des pourritures de ce genre mais pour être du côté de leurs victimes. En plus, elle voulait se spécialiser dans le droit familial, notamment la protection des enfants. Les atrocités vécues par son ami d’enfance y étaient pour beaucoup mais pas seulement. Pour elle, il fallait que des gens protègent les intérêts bafoués de certains enfants et elle espérait en faire partie, un jour. Un peu perdue dans ses pensées alors qu’elle informait son patron qu’elle arriverait au cabinet dans moins d’une heure, le lieutenant apparut devant elle.
« J’imagine que vous n’avez pas perdu une miette de notre entretien. »
Si c’était le cas, tant mieux, elle n’aurait pas à se répéter comme ça.
« Quelle affaire de merde… » Marmonna-t-elle.
Son client risquait de ne plus la revoir car elle allait balancer ses quatre vérités à son patron. Elle risquait de s’en mordre les doigts mais qu’importe. Si elle étudiait le droit, ce n’était pas pour défendre des pourritures de ce genre mais pour être du côté de leurs victimes. En plus, elle voulait se spécialiser dans le droit familial, notamment la protection des enfants. Les atrocités vécues par son ami d’enfance y étaient pour beaucoup mais pas seulement. Pour elle, il fallait que des gens protègent les intérêts bafoués de certains enfants et elle espérait en faire partie, un jour. Un peu perdue dans ses pensées alors qu’elle informait son patron qu’elle arriverait au cabinet dans moins d’une heure, le lieutenant apparut devant elle.
« J’imagine que vous n’avez pas perdu une miette de notre entretien. »
Si c’était le cas, tant mieux, elle n’aurait pas à se répéter comme ça.
(c) DΛNDELION
Contenu sponsorisé
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|