( You made me obsessed for you. Thought I had the same effect on you. Couldn't see I was the best for you. N'you gotta figure out what's next for you @Cole Maxwell )

il se passe quoi là en fait ? Un rdv avec Cole. Ouais, c'est un rdv non ? Surement un rendez-vous pas comme les autres, ça c'est sur. Mister ténébreux se la joue mmh comment dire ça ? Mystérieux, même si c'est pas vraiment le mot. Genre, je sais pas vraiment à quoi m'attendre avec lui. C'est plutôt mister imprévisible. Quand je pense que le feeling se passe bien, il peut se mettre à froncer les sourcils la seconde d'après. Vous savez, comme un toutou qu'on brusque. Mais je l'aime bien ce toutou. Physiquement, il est à tomber... l'épisode du bain coquin ne lâche toujours pas mes pensées la nuit. Je le revois encore sur moi, ses lèvres sur ma peau... j'en fonds. Alors oui, pour tout vous avouer, j'attendais que ça ; le revoir. Mais si je suis du genre à prendre les commandes pour chauffer et mettre à bout un garçon, pour ce qui est de prendre les choses en main pour oser dire à la personne qui m'a marquée que je veux la revoir, ça non, Willa la couillonne, on ne l'entend plus. J'attends qu'il vienne me chercher, je suis nerveuse quand même. La dernière fois, on a plus passé notre temps à se caresser qu'à faire connaissance. Quand on se parle, on fait tout le temps des sous-entendus mais disons qu'on a pas eu vraiment de discussion sérieuse. Moi j'ai envie d'apprendre à le connaitre ce gars. Si c'est un type bien, tant mieux j'aurais fait une bonne trouvaille, si c'est un type mauvais, pas grave, c'est bien aussi, j'aime ses doigts de fée donc bon. Je me mords la joue en regardant mon téléphone. Toujours pas là putain. Une heure de retard c'est normal ? UNE HEURE. Qu'est-ce qu'il fout ? Je boude dans mon canapé, je m'étais fait toute belle et je décide de me lever pour ouvrir une bouteille de champagne. Sauf qu'en me levant, je reçois une notif sur tinder, m'annonçant qu'il m'attendait en bas. Je claque mes talons, je prends ma veste bien chaude et je claque la porte de ma suite. Arrivée en bas, je le vois à l'extérieur, appuyé sur le capot de sa voiture. Si t'essayes de faire le gentleman pour te faire pardonner, t'es con. « Tu peux rentrer chez toi Cole, je mets officiellement fin à ce rendez-vous. Dix minutes de retard, je peux tolérer, une demi-heure, c'est limite, mais UNE HEURE ! C'est une grosse blague ! Si tu voulais me poser un lapin, tu avais qu'à me le dire que tu ne voulais pas venir à la patinoire avec une pauvre fille comme moi. sois fière Willa. Je garde la tête haute et je décide de lui montrer ce qu'il a loupé, ce qui va le frustrer bien sûr. « J'avais mis ce petit ensemble sexy pour toi, je suis désolée d'apprendre que tu pourras pas en profiter. je lui montre la dentelle rouge qui dépasse de mon décolleté et je me retiens de lui cracher dessus.

✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

crédit/ tumblr ✰ w/ @willa m. cavendish

— you run me dry. Il avait vraiment voulu faire un effort pour être à l'heure à son rendez-vous - sérieusement un rendez-vous avec cette emmerdeuse, parce qu'il la considérait quand même comme une emmerdeuse même si elle lui plaisait. Il y croyait toujours pas d'ailleurs, ce qu'il s'était passé dans son bain la dernière fois l'avait déjà passablement étonné. Ils se connaissaient peu en réalité mais ils se connaissaient plutôt bien sur le plan intime maintenant, ça compensait. Donc il avait voulu faire un effort pour arriver à l'heure mais évidemment réunion de travail - enfin réunion était un bien grand mot, plutôt un questionnement pour savoir si la troupe allait rester encore un peu plus dans le coin. Le fait est qu'il était en retard d'une heure maintenant et d'ailleurs il s'en voulait presque, étonnant pour un connard comme lui de culpabiliser mais une heure de retard c'était quand même énorme. Pour se faire (pardonner) il avait même sorti sa berline plutôt que sa fidèle moto, il doutait que la jeune femme soit fan de moto de toute manière puis il suffisait qu'elle soit en robe et il avait pas envie qu'elle se retrouve les fesses à l'air - quoiqu'à force elle allait finir par en avoir l'habitude, n'est-ce pas ? Il attendait donc devant chez elle après lui avoir envoyé un message sur tinder et voilà qu'elle se pointait comme une furie pour lui régler son compte. Il planta ses dents dans sa lèvre inférieure pour camoufler son fou rire, en vrain puisqu'un éclat de rire s'arracha à sa gorge. « C'est l'excuse la plus clichée du monde mais c'est la vérité : j'ai été retenu un peu plus longtemps au travail. Histoire de savoir si on restait dans le coin encore un temps ou si on partait dans une autre ville, au canada peut-être ? » il arqua un sourcil, allez il était en train d'insinuer que du jour au lendemain il pouvait se retrouver à l'autre bout du monde, elle pouvait pas lui faire la gueule maintenant à la place elle devait profiter de tous les petits moments en sa (charmante) compagnie. Il se pencha en avant pour observer la dentelle rouge de son ensemble - qui lui mettait l'eau à la bouche « pour moi ? et pourquoi t'aurais envie de mettre un ensemble sexy pour moi, Willa ? »

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Bon okay, j'ai pété un plomb pour rien, ou du moins, je me suis emportée grave. Qu'on me prenne pour une conne, c'est pas nouveau et j'aurais été fort déçue de la part de Cole. Quoi que, je suis sûre qu'il n'y a pas besoin que je pique une crise en pleine rue pour qu'il me trouve conne. ça se lit sur son visage, sur le petit air amusé qu'il affiche alors que je le gronde. « N'essaye même pas de me rire au nez. que je le menace avec mon index, comme si je grondais un enfant. Mais il le fait, il sourit et je deviens rouge. J'inspire, j'expire, je croise mes bras et j'écoute ce qu'il a comme excuse. Je fronce les sourcils en clignant rapidement des yeux. « Oh. Hein ? je comprends pas de quoi il me parle. C'est quoi son travail au juste ? Et pourquoi il me dit qu'il est susceptible qu'il ne reste pas longtemps ici ? Oui, je suis un peu peinée... encore une personne à laquelle je m'attache inconsciemment pour me quitter ensuite. Je déglutis et je referme ma veste quand il se penche pour admirer ma tenue sexy. Je me mords la joue et je retrouve ma petite moue mignonne et mon air de séductrice. Bien que l'expression triste ne quitte pas les traits de mon visage. Genre : déception. « Je voulais être belle pour toi, enfin c'est débile... je me sens conne maintenant, qu'il le prenne comme ça. J'ai juste envie de me changer et de me foutre dans mon canapé.

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— you run me dry. Trop tard il riait déjà mais en même temps elle était marrante et peut-être un peu mignonne aussi quand même avec son air farouche. Puis elle avait quand même un petit peu raison de lui remettre les idées en place parce qu'une heure de retard c'était quand même sacrément abusé même pour un type dans son genre. Mais ce n'était pas de sa faute, hors de question de prendre toute la responsabilité d'ailleurs il se justifiait déjà et il voyait bien que la belle butait un peu sur ses propos. « Tu ne peux même pas imaginer le nombre de villes dans lesquelles j'ai vécu avant de débarquer dans le coin. » un peu partout dans le monde, passant par son pays natal à savoir l'australie, par la france mais également d'autres pays d'europe comme l'espagne, l'allemagne, il était passé par la russie même par la chine. Il passa sa langue sur ses lèvres en constatant la petite tenue affriolante qu'elle portait sous ses vêtements. Il plaqua sa main derrière la nuque de Willa, collant son corps contre le sien en plein milieu de la rue, il baissa son regard vers le sien et un petit sourire trônait sur ses charnues « non, c'est pas débile. Au contraire, ça me flatte de savoir que tu veux me plaire. » il lâcha le contact pour s'adosser contre sa berline « et ça marche. »

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Qu'est-ce que ça veut dire ? Maintenant je me sens bête de ne pas être capable de comprendre. C'est un touriste ? Un touriste avec un travail mouvant ? Je passe ma langue sur ma lèvre et je fronce de nouveau les sourcils, moi pas comprendre. « C'est quoi ton travail au juste ? j'ai vu assez de films où la fille tombe amoureuse d'un tueur à gages ou du patron de la mafia alors svp, je préfère éviter au cas où. Je suis loin de me douter de la réponse qu'il va me donner. Bref, ma curiosité me pousse encore. Peut-être que Cole me plait, oui, un peu, enfin, assez pour vouloir apprendre des choses sur lui et croyez-moi, c'est pas tous les jours que je m'intéresse aux gens. Tout à coup, mes pieds quittent presque le sol et je me retrouve collée à lui. Qu'est-ce que je vous avais dit ? imprévisible, aussi spontané que moi. Tu peux pas me faire des frayeurs comme ça, mon cœur va lâcher un jour. « Merci. bégayai-je comme une conne. Sourire jusqu'aux oreilles, mon teint légèrement rosé. Roh Willa qu'est-ce qu'il t'arrive ? Je retrouve mon calme - étrangement - et je décide d'ouvrir la portière passagère. Puis je la referme aussitôt. « Tu me laisses conduire ? S'il te plait ! je l'aime bien sa voiture, j'ai pas fait tilt tout de suite mais elle me plait. Allez, un nouveau petit caprice.

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Il l'adorait son métier, les gens comprenaient pas forcément pourquoi il l'aimait tant alors que ça payait mal mais pour un type comme Cole qui avait grandi dans la rue c'était son métier qui l'avait sauvé, il avait grandi avec les gens de la troupe et ils étaient sa véritable famille. Depuis ses dix-huit ans il suivait le mouvement partout dans le monde, ça lui permettait également d'être quelqu'un d'autre parce qu'il fuyait complètement son identité. Il s'approcha de la jeune femme pour se pencher vers son oreille « je travaille pour le gouvernement, disons qu'on me paie pour tuer les gens qui sont de trop. » il se recula pour observer les traits de son visage se modifier, resta silencieux plusieurs secondes avant de croquer dans sa lèvre inférieure « je plaisante, je travaille dans un cirque. » ouais il portait pas mal de costard mais c'était clairement pas parce qu'il était homme d'affaire ou avocat, il était même très loin de ce genre de métier. Il fronça les sourcils à sa demande, conduire sa voiture ? quelle drôle d'idée mais c'était pas lui que ça allait déranger. Il lui lança les clés « je t'en prie, je déteste conduire les voitures mais je me suis dis que t'avais peut-être pas envie de poser tes fesses sur une harley. » bah ouais la moto ça plaisait pas à toutes les filles. Il haussa un sourcil avant d'ouvrir la porte côté passager pour se glisser à l'intérieur, de toute manière elle connaissait le chemin vers la patinoire sûrement mieux que lui.

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Mon sang se glace quand il me glisse à l'oreille qu'il tue des gens pour le gouvernement. Directement, je tombe dans le panneau. Je vous ai dit que j'étais la fille la plus naïve du monde ? Je reste bouche baie et je sens presque les larmes me monter aux yeux. Pourquoi ? Je sais pas, l'info est un choc pour moi. Manquerait plus que je lui dise : putain je m'en doutais, t'as une gueule à zigouiller des gens. « Putain t'as failli me faire pleurer. et je lui frappe l'épaule avec mon petit sac. Je revis maintenant. Par contre, un cirque ? Je me pince les lèvres. « Un cirque, vraiment ? ça existe encore de nos jours ça ? et je rigole, le rire de l'insupportable petite bourgeoise qui se moque du pauvre. Je me rends compte que Cole lui, ne rigole pas, alors je ravale mon sourire en prenant un air faussement sérieux. « Ok, là tu blaguais pas... oups ? Je me mords la joue presque à sang et je lui demande si je peux conduire sa caisse. Je tombe sur le cul quand il accepte. Seriously ? Je le regarde pendant quelques secondes, la bouche grande ouverte. « Whaaat ? T'es le premier mec que je connaisse qui me dit oui ! oui car il faut savoir que ma conduite est très mauvaise donc la raison pour ne pas me laisser le volant n'est pas forcément parce que l'homme aime sa voiture par-dessus tout. Je prends les clés que Cole me donne et je m'assieds sur le siège conducteur, toute contente. Je boucle ma ceinture de sécurité, j'enclenche le contact et je sursaute d'horreur en entendant la musique sortir de sa stéréo. « Oh mon dieu chéri, tu écoutes de la musique de papy... t'as quel âge au fait ? que je lance bêtement en appuyant sur les boutons pour chercher après du r'n'b, un petit Beyoncé pourquoi pas.

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Évidemment elle ne marchait pas, elle courrait dans son piège et lui ça le faisait bien rire. En même temps si il était réellement tueur à gage il n'irait pas le crier sur tous les toits, encore moins à l'oreille d'une jeune femme qu'il connaissait à peine. Il secoua la tête et fronça les sourcils « sérieux j'ai pas une tête de tueur en série quand même. » carrément que si en réalité, il avait ce regard figé qui semblait dépourvu de sentiments, le sourire cynique du parfait connard et les mains écorchées de ses multiples bagarres de rue alors l'on était en droit de se poser des questions. Et d'ailleurs c'était ce même regard sombre qu'il fixait sur la jeune femme alors qu'elle riait de lui, de son métier plus précisément. Lèvres pincées il se contentait de la fixer sans sourciller « arrête de rire. » voix froide qui ne donnait d'ailleurs pas envie de continuer de se moquer de lui « On a pas tous la chance d'avoir un père blindé de fric. Ou dans mon cas d'en avoir bel et bien un blindé de fric mais qui t'abandonne pas comme une merde à la naissance. » il savait pas trop pourquoi il se confiait mais il restait quand même pas mal évasif, hors de question de trop en dire sur sa vie alors que son propre frère n'était même pas encore au courant de qui il était. Il fila les clés de sa voiture à la jeune femme avant de s'installer, la mine refroidie par les moqueries de la belle. « 27 ans, je vais sur mes 28. Je suis trop vieux pour toi. » bon il ne connaissait toujours pas son âge à elle mais il imaginait bien qu'elle était plus proche de la vingtaine que de la trentaine.

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J'arrête de rire et je ravale ma salive. Le pauvre, je me moque de lui en lui faisant comprendre qu'il a une tête de mafieux et là, je me moque de son travail de pauvre. Je déglutis, j'ose même plus parler, je suis honteuse là. Le regard que Cole me porte a totalement changé. Ok, j'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas. Et bizarrement, le jeune homme se confie un peu sur son histoire même si j'ai pas tout compris. Je baisse le regard et je soupire. « Mon père est peut-être riche mais je ne suis plus rien à ses yeux depuis que ma mère a été assassinée par des gens qui voulaient notre fortune familiale.  je parle vite, pourquoi j'ai dit ça ? Ah parce que Cole s'est confié sur sa famille. Bref, je tente de détendre l'atmosphère mais Cole se montre encore désagréable. « Et moi trop jeune pour toi ? sans doute... je fais une petite moue et je tords nerveusement mes doigts neuve-ment manucurés pour ce soir. Je regarde ensuite Cole car j'en peux plus de ce silence et je me rapproche en posant ma main sur son genou. « Excuse-moi d'avoir rigolé je... je suis trop maladroite et je m'en veux. j'affiche une petite mine triste. Je me rapproche un peu plus de lui et je joue même avec le col de sa chemise. Mh, quel parfum, j'adore. « Je suis même curieuse de voir ce que tu fais. sincèrement, s'il dresse les lions et le feu, ça, c'est sexy. Mais s'il fait le clown avec des poneys... je m'étrangle. Je le regarde, je détaille son visage durci et je tente le tout pour le tout pour le faire rire. « Bon, on va enfreindre les règles et nous attirer des ennuis ou on reste ici à bouder monsieur le tombeur ? après tout, on doit aller à la patinoire en douce, y'aura personne, ça va être le feu. Dis-moi que tu es toujours partant Coco.

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Le silence était assez gênant en fait, mais en même temps Cole n'était pas réellement vexé mais plutôt contrarié et surtout au bord de l'énervement ; il était du genre intransigeant en ce qui concernait son métier, cette troupe lui avait sauvé la vie au sens littéral du terme et il n'appréciait pas les moqueries à son encontre parce que ce n'était pas un métier glorieux comme président ou pdg d'une grande entreprise comme apple ou microsoft. Mais voilà qu'elle se confiait maintenant à lui « tu vois au lieu de rire, il vaut mieux être pauvre au moins on risque pas de t'assassiner pour ton argent. » puis c'était question de beaucoup d'autres choses, Cole n'aimait pas les gens riches mais il se gardait bien de le dire à son interlocutrice. Mais elle avait eu l'une des réactions pour lesquelles il n'appréciait pas les petits bourgeois, il fallait arrêter les faux semblants quand on était riche comme crésus on se préoccupait que de sa petite gueule et donner aux associations n'était qu'une façade pour faire bon genre, pour se faire mousser rien de plus. Ah, qu'il haïssait les riches. « J'aime les plus jeunes. Enfin, tant qu'elles sont majeures hein. » histoire de pas avoir d'ennuis avec les flics quoi puis c'était quand même dégueulasse sur le principe aussi si il s'estimait déjà trop vieux pour Willa. Il posa son regard sur la main qu'elle venait de glisser sur son genoux puis sur son col. « Non, t'as pas envie de voir. Je suis pas acrobate ou dresseur de fauves. » à la place il était mime - mime, pas clown, il détestait être comparé aux clowns c'était grotesque alors que lui était artistique même si il s'entendait très bien avec le clown de la troupe - mais ces derniers temps il était surtout ventriloque, un humoriste avec un pantin quoi et les pantins ça faisait peur à beaucoup de personnes au fond. Cole il savait que son pantin faisait flipper tant qu'il l'animait pas, et il faisait rire exclusivement quand il était à côté de lui. « Je sais pas, je voudrais pas que tu ais honte d'être vue avec un pauvre. »