feat. Simon Nessman
- 2 novembre 1995
- New York
- 22 ans
- Américain
- Sexuellement perdu
- Célibataire
- De bonne famille
- Psychologie
- Médecine
- Pas de Job
- Non boursier
Tout semblait parfait, jusqu'à l'année dernière. Après être parti de l'université sans trop donner de nouvelles, Pey a passé quasiment toute son année de Senior Year hors de l'établissement. Plus de nouvelles. Jusqu'à ce moi de mai, quasiment la fin d'année scolaire, où il est revenu. S'excusant auprès de la fac et démontrant nombres de papiers attestant de problèmes de santé mentale, il espérait du plus profond de lui pouvoir tout de même passer les examens de fin d'année, pour au moins avoir la possibilité de redoubler son année gâchée.
La Winthrop House, c'était la maison qui avait ouvert ses bras virils à Pey. Des accolades amicales, de bons moments, tout se passait parfaitement bien. Pey est d'un naturel sociable et solidaire, il était fait pour cette maison. Les soirées entre amis, les pitreries envers les Cabots, et surtout la création d'amitiés exceptionnelles, voilà ce qu'aimait faire le jeune brun et comment il concevait ses études. Néanmoins il y avait plus de six mois il abandonna ses confrères sans un mot lorsqu'il abandonna l'université. En revenant, il ne savait pas tellement s'il faisait encore parti de cette confrérie. Il fera tout de même tout ce qui et possible pour montrer à ses frères qu'il était bien des leurs.
Pey est revenu à Harvard, ça y est. Mais il a changé. Les gens ne le reconnaissent plus ; et surtout ne le comptent plus comme membre des Winthrop. Pey se jura de ne pas intégrer d'autre confrérie, parce qu'il était un Winthrop dans le coeur. Indépendant, et changé par ce qu'il a traversé cette année durant son passage à vide, il se rendit compte qu'il allait devoir rendre des comptes sur ce qui lui était arrivé.
Ses amis l'appréciaient mais s'inquiétaient tout autant. Surtout depuis "l'accident". Des fois, ses réactions étaient étranges, et ils avaient souvent peur qu'il pète un câble et fasse d'horribles choses. Et qu'il ne faut pas qu'il croise une bouteille d'alcool.
Sa famille dirait, quant à elle, que Pey est un garçon perdu, blessé par la vie, et qui devrait faire attention à ses fréquentation. Qu'il devrait arrêter de s'enticher de pseudo badboys homosexuels pour se trouver une gentille fille faisant des études.
charismatiqueinstablesociablefleur bleuetêtupsychotique
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé par celui ou celle qui voudra bien de moi ! (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8436]☆[/url] ☆ <span class="pris">SIMON NESSMAN</span> • “ Pey Rosier ”[/size]
please tell us more
« Bonjour Pey. »
« Bonjour. » Sa voix était hésitante. Chaque mot, chaque expression, chaque attitude allait être étudiée.
« Dis-moi, comment te sens-tu actuellement ? »
« Mal. Terriblement mal. Bien sûr que je me sens mal, c'est logique non ? On n'enferme pas les gens qui vont bien dans ses hôpitaux pour tarés. Ha ha ha, voilà que je suis catalogué comme un fou, même par moi-même. Putain, ça craint ça. Et je fais comment moi, pour retrouver une vie après ? Je n'ai qu'à rester fou toute ma vie non ? Piquer des crises, me jeter par la fenêtre, avaler des anxiolytiques ou je sais pas quoi. Oh, et puis arrêtez d'écrire, écoutez-moi. Non. Non ça ne va pas. D'autres questions ? Oh mais oui vous en avez des questions, évidemment. Plein, des tonnes, mais il ne faut pas les dire c'est ça. J'ai suivi des études en psychologie, je sais ce que vous faites. Vous voulez que je parle, vous voulez écouter mes associations d'idées, et bien allons-y. Je m'appelle Pey Rosier. Mon deuxième nom c'est Kentucky, mais ça on s'en fout n'est-ce pas ? Je suis né à New York le 2 novembre 1995. Ça a toujours été une bonne date, plein de cadeaux, de fêtes, un gâteau aussi, enfin c'était cool jusqu'à ce que Whichita s'explose la gueule sur le béton. Enfin ça on en parlera après, autant laisser du suspense non ? Ma famille est cool. J'ai un petit frère adorable, mes parents sont riches, gentils et bons croyants, je n'ai pas à me plaindre. Vous pourriez comparer ma mère à une Bree Van De Camp en brune – enfin vous l'avez vue vous même – folle de l’organisation, mais au fond forte et aimante. J'ai été élevé par un père fier de ses valeurs de réussite, et je pense avoir appris beaucoup de choses pour réussir ma vie future. Je m'aime bien à vrai dire. Bravo Pey, clap clap clap applaudissements, fin du premier chapitre.
Réussite scolaire, beaucoup d'amis à New York, je faisais même du football. Sourire de publicité pour dentifrice, toujours une blague sous la main, mon dieu si j'étais pédé je serai amoureux de moi. Enfin, je suis pédé non ? Autre histoire ça encore. Le lycée avait été cool aussi, j'étais même sorti avec Cassidy, une crème cette fille, aussi belle que gentille. Mes dix-huit ans avaient été formidables aussi. Grosse soirée à la maison, de l'alcool, des amis, un peu de cocaïne je l'avoue, enfin la vie quoi, j'en étais fan. Même quand mon petit frère a vomi parce qu'il avait trop bu, c'était grave drôle. Limite trop parfait.
En fait c'était ça mon problème, tout était parfait, et quelque chose en moi voulait tout gâcher. Ca a commencé par des instincts, des voix presque. Enfin, je l'ai vu en cours, les voix sont des ressentis émotionnels traduits en stimuli auditifs. Je n'étais pas stupide, je savais que ces voix étaient fausses. En plus, je n'avais rien contre elles, j'étais d'accord. Amuse-toi, lâche-toi, pars à l'aventure … Autant d'idées folles qui ont rythmé ma première année à Harvard. Là-bas, j'avais trouvé des frères au sein de la Winthrop House. Un an avait passé, puis deux, puis l'été. Ah, enfin le moment qui vous intéresse hein !
Whichita. C'était vraiment un prénom de merde ça quand on y pense. Bronzé, cheveux noirs, yeux d'enfer, un corps pour lequel je pourrais subir la damnation éternelle. Et cet accord avec mes voix, sa folie d'aventure, son envie d'excès. Ce fut le coup de foudre. Amoureux d'un autre homme, quelle folie. Surtout que très vite, il voulut que j'arrête de voir mes parents, mes études, et mes voix disaient « ouais grave, suis-le, ça va être le feu ! ». J'en étais sûr, ça allait être ça la vie. L'alcool, la drogue, les soirées entre jeunes esprits libres, faire l'amour n'importe où. Puis les voix reprenaient, se nourrissaient de vodka et me rendaient dingue. LA ! Là je devins cinglé ! Tout explosait, et Whichita ne supportait pas ça. Il ne voulait pas d'un taré avec lui. Et moi je ne voulais pas ne pas être avec lui. On s'est battu, plusieurs fois même. J'ai encore des traces aujourd'hui. DES TRACES PARTOUT ! Sur mon corps, sur mon âme. Et maintenant qu'il est mort, je fais quoi moi ? JE FAIS QUOI ? J'ai tout abandonné pour lui. Deux jours après la rentrée en Junior Year, j'ai tout plaqué sans dire un mot aux autres. Je ne voyais que lui, ne parlais qu'à lui, et je crois bien que je ne pensais qu'à lui. Trouble obsessionnel peut-être ? Putain ouais, c'est ça. Je suis malade, ça tourne pas rond dans mon crâne. Et là, tout va exploser. Je ne me souviens pas de ces dix derniers jours là. J'étais ivre c'est ça ? Drogué ? Dans le coma ? Je crois que j'ai essayé de me buter aussi. Comme Whichita. Putain, mais il s'est suicidé ou c'était un accident ? DITES-MOI ! J'AI BESOIN DE SAVOIR ! »
Il avait crié. Il s’en rendait compte maintenant. Rien n'allait plus. Sa vie parfaite avait été détruite. Par la maladie mentale ? Par Whichita ? Par lui même ?
25 AVRIL 2018.
« Bonjour Pey, tu as bonne mine ! »
« Salut ! Oui, ça va très bien. Les dernières semaines étaient top. Retrouver une vie saine, ça fait vraiment du bien. Le football m'avait tellement manqué. J'ai beaucoup lu d'articles en psychologie et en psychiatrie, j'ai hâte de réintégrer l'université. J'ai énormément de chance qu'Harvard ait accepté de me laisser passer mes examens terminaux, et même si je vais probablement redoubler mon année scolaire, je peux réintégrer un cursus normal. Retrouver mes amis, mes frères, ça va me faire énormément de bien. Mais j'ai très peur de leur réaction, je n'ai pas envie de leur parler de ce qui m'est arrivé. Je vais avoir des comptes à rendre, et je n'ai vraiment pas envie de passer pour le taré de service. Certains savent, je crois, en fait j'en sais trop rien. Je me pose beaucoup de question au niveau sentimental et sexuel également. Retrouver des jeunes va peut-être éveiller en moi certaines choses, mais je pense encore tellement à Whichita. Quel con ai-je été de me scarifier un W sur la cuisse, j'étais vraiment décollé de la réalité. J'espère que tout va bien se passer. Je prends mes médicaments à heure fixe, je ne m'approche plus d'une bouteille d'alcool, et je vous appelle très souvent. Cet institut de soin psychiatrique m'a sauvé la vie. Merci énormément. »
prem's
I look and stare so deep in your eyes. I touch on you more and more every time, when you leave I'm begging you not to go. Call your name two or three times in a row. Such a funny thing for me to try to explain. How I'm feeling and my pride is the one to blame ? 'Cuz I know I don't understand, just how your love your doing no one else can. |
bon courage pour ta fiche
If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible
KATTIS
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⬖ ⬖ ⬖
✧. ❛ love on top. i know nothing'sperfect but it's worth it after fighting through mytears and finally you put me first. it'syou .
Bon courage pour ta fiche
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