feat. kim taehyeong
- 12 avril 92 - famille ravages
- daegu, corée du sud
- 26 ans - jeunesse perdue
- sud coréen - surprise
- pansexuel - beauté d'âme
- célibataire - exigence
- l'argent - jusque dans le sang
- musique - encore, toujours
- histoire de l'art - savoir
- escroc - mais grand cœur
- non boursier - nul besoin
il y a ces mots que l'on couche sur le papier, cette plume dont le noir dessine des arabesques incomprises par tous - ces graffitis dont les dessins relatent les rêves et les déceptions d'une vie amère. il y a ces lignes, ces quelques proses fleurissantes que l'on sait se faner lorsque viendra le temps des morts lentes, ces quelques sonnets qui ne voudront alors plus parler - ne plus rien confier tout du moins. artiste en chute libre, nébuleuse enflammée. la force de ses envies, le courage de ses dénonciations, la fragilité des sons, la sensualité de ses doigts sur le blanc piano. et à ses côtés, ceux à qui ses sourires ne sont pas factices - ceux qui comprennent la moindre de ses plaintes ; ceux qui, à son image, aiment à se mourir pour la beauté d'âme - d'art.
et ses yeux en demie-lune, plissés dans la joie de l'étranger auquel l'on tire le sourire sincère. le bruit de l'argent à chaque pas, par les gourmettes tinté, et pourtant, cette douce humilité. la testostérone, par leurs corps dégagés - odeur rassurante de la masculinité. et ces phrases, ces frasques, à demis-morts murmurés, lorsque les lionnes roulent leurs hanches divines ; le plaisir d'appartenir à une meute sans alpha, où d'une humiliation vive il n'en sera pas oméga. et les astres, posés à même ses orbes noirs, qui les remercient dans le plus grand des silences - merci d'être ma nouvelle famille.
fondre, comme la neige au soleil - crier, et avoir le silence pour écho. mourir, à petits feux - se consumer d'être injustement consommé ; renaître, pour mieux vivre » les rires aussi hauts sur les étoiles, et la joie qui fait pâlir le ciel, gauler la lune - les sourires que l'on ne simule plus, mais que l'on offre aux plus méritants. orion, l'astre solaire. » la douceur dans les gestes les plus calculé, la tendresse millimétrée, le brasier au creux des reins, le feu follet dans ses orbes noirs lorsque sous la pulpe de ses doigts, la divine s'effeuille et l'embrase. » les promesses que l'on sait sacrées, les qu'en dira-t-on dont on se moque ; la loyauté à l'image des loups primaires, ceux des temps ancestraux qui eurent dessiné avant l'homme le principe sauvage d'une meute soudée. » la colère qui tire les traits masculin d'un visage pourtant porcelaine ; les poings serrés, les dents qui claquent - l'imprévisibilité revêt son manteau de hargne. un geste, et nébuleuse éclate. » les regards furtifs qui ne savent où s'ancrer, le myocarde qui palpite à en perdre haleine : regarde-moi, aime-moi, ne me laisse pas. jalousie dévorante, possessivité ardente. » les bras qui étreignent les tailles, les baisers perdus au creux des cou, les mèches oxydées qui chatouillent l'épiderme des aimé(e)s ; et dans la douceur d'une nuit d'été, ils s'endorment, entremêlés - la simplicité pour bonne étoile, l'amour en idéal. » les problèmes sont équations et planent au dessus de son crâne lorsque, délibérément aveugle, il ferme les paupières sur tout le mal du monde. laissez-moi, j'ai déjà trop donné. à d'autres les maux cruels, les mots maudits, laissez-moi respirer avant l'ultime soupire.
purple rain under the hurricane ❥ the eye of the tiger ❥ okey dokey ❥ sly fox & dumb bunny ❥ words are disaster ❥ 7sin(ister)
mille perles accrochées à ses oreilles, regard vague et vague à l'âme ; les mains planent au dessus du globe cristallin ((dans leur dos, le sourire est mutin)). lien indéfectible, il fait danser les morts sur leurs propres tombes et glisse le sourire aux lèvres des plus fragiles. et pour un bon billet, escroc abonné, le voilà voyant - aucune compétence, simplement, charlatant. » étudiant en arts, homme dans sa dernière année ((et la peur aux viscères, d'une main de fer)). et après ? quel avenir, pour un désabusé.
braisesroncescapharnaümnébuleusetyphonvivre
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8344]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t87817-m-i-ve-missed-you]►[/url] <span class="pris">KIM TAEHYUNG</span> ◊ “ Orion A. Baek ”[/size]
please tell us more
et au milieu du capharnaüm, il y a orion. celui dont on ne sait que faire ; mauvaise place, bel enfant, arrivé trop tard ou bien trop tôt.
mais orion, bambin des étoiles, a quelque chose qu'ils n'ont pas : la sensibilité. et bientôt, grandissant avec lui, elle dessine sous ses orbes curieux la beauté de la musique dans son entièreté, la lui offre à nu et la lui présente : l'amante avec qui il trompera ses muses le restant de sa vie.
il intègre une prestigieuse école de musique au sein de sa ville natale : daegu. il y apprend les rudiments, ceux qui lui murmurent d'oublier ce qu'il pensait juste. le hasard n'a pas de place ; le talent ne s'exprime qu'avec le travail. et l'enfant du milieu s'exerce, jour après jour - nuit après nuit. il écrit sa vie de sa propre plume et brille enfin dans les orbes de sa famille. lui aussi, les fait alors espérer - ce qu'il aime à les impressionner, ô tendre gamin douceur.
orion, la musique dans la peau, la sensibilité à même ses veines fines - orion, l'enfant prodige. mais sans la musique, orion peut-il seulement exister, où s'éteindra-t-elle en emportant avec lui le dernier de ses soupires ?
jeune génie, les classes se succèdent mais jamais ne se ressemblent ((moins encore lorsqu'aussi brillant élève que lui se voit sauter l'une des classes transitoires)). le train qui l'emporte pour séoul lui fait alors une douce promesse. celle de garder au creux de ses wagons leur plus profond secret : celui de toutes les larmes qu'il a versé alors que déjà, sa famille l'oubliait. orion adonis baek, l'enfant transparent.
ressorti major de sa promotion à l'université des arts de séoul, le lionceau apprend enfin à rugir. et alors, sans le poids perpétuel d'une famille à satisfaire, le lion s'éveille : stop, vivons.
mais sunae a une leucémie. leurs huit mois de bonheur seront leur bulle, le plus précieux des secrets enfermé à double tour au fond de son palpitant ravagé. sunae s'est éteinte un matin dans le silence, mais brille aujourd'hui dans le ciel pour éclairer son trajet.
orion ne pleure pas - n'a pas pleuré. la fin n'est que le renouveau, un commencement éternel - qui ose pleurer la beauté du néant, la saveur du désespoir.
orion n'a pas pleuré. et lui qui jusqu'alors pensait vivre a compris que l'amertume a toujours guidé le moindre de ses pas ; alors l'enfant devenu homme insuffle un nouveau désir, un nouveau trajet à ses compositions, à ses chansons. orion adonis baek comprend la vie, la chante, la respire. il v i t. le plus beau des hommages pour celle qui l'a fait naître.
orion se perd les premiers jours. elle qui, dans les sourires qu'elle lui adresse, revêt les traits de sunae. elle qui, de son jeune âge, pas même majeure, le fait vibrer ((vivre, rire, pleurer)). les je t'aime lancés à la volée, les sors avec moi suppliés ; puis il comprend. elle n'est pas son aimée, ne le sera jamais, mais à défaut d'être sa dulcinée, sa disparue regrettée, elle sera sa bouffée d'air frais.
margot et orion, orion et margot. un an et demi de collocation lancée sur un coup de tête, une amitié tissée des plus indéfectibles. elle est son péché mignon, sa douceur cachée, cette addiction que l'on consomme en secret. elle, et leurs cinq ans d'écart, et le monde qui les oppose. et pourtant, il ne s'est jamais senti plus vivant qu'à l'instant. elle, qui a dompté le lion pour le faire rugir de ses ordres doucement proférés - lui, qui d'un œil observateur et pour elle, eliot fit tomber. mais margot s'en va aussi - cette fois, ça n'est pas un calme matin. sans elle, l'oxygène se fait plus rare, la vie plus lourde, les peines plus grandes.
la g a m i n e a apprivoisé l'homme qu'il est devenu et, dans l'avion qui la ramène en Amérique, elle enchaîne une part de son myocarde.
v i n g t s i x a n s. de nouvelles ambitions, celles muées par le quart de siècle passé. et ce palpitant qui vibre aux échos de cette part restée avec elle, là-bas, dans la valise d'une rousse embrasée. il est considéré comme l'un des génies de son pays, la musique est son essence, son âme, son sang ; l'effusion des idées, du talent, bout en ses veines dessinées. l'inspiration se pose sur sa peau hâlée. harvard - pour conquérir le monde, pour se hisser au sommet. harvard - pour la retrouver.
Bienvenue parmi nous et ton smiley. Je viendrais te réclamer un petit lien
OSEKOUR, BB TAE.
donnez moi de l'air, t'es moche de venir juste après ça
- Spoiler:
BIENVENUE
si tu as la moindre question concernant le forum, n'hésite pas.
sur ce, je vais respirer plus loin.
( )
Courage pour ta fiche
MAIS
MAIS JTM IRL POUR CE CHOIX DIVIN DSBDSJBDSJDSK
PAR CONTRE ON PEUT BCP S'AIMER AVEC MA NORA
BIENVENUE DARLING BON REPAS DE FAMILLE
Bon courage pour ta fiche
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