01 dana est issue d’une famille aisée, fille unique de jules hotchkiss et opra maxwell. elle grandit dans ce qu’elle appelle la seconde capitale de l’australie, aka la ville de brisbane et sera bercée par la modernité et l’opulence de sa descendance. cependant, elle éprouve un certain désintérêt à leur richesse bien que dana soit élevée comme une véritable gosse de riche des années durant. 02 étant fille unique, elle eut pour unique frère son cousin elliot avec lequel elle fit très probablement ses premiers pas. ils grandissent ensemble jusqu’au déménagement du blond et encore aujourd’hui cette complicité perdure. cette autonomie rapidement acquise pousse dana à s’ouvrir facilement aux autres et encore aujourd’hui, elle considère ses proches comme sa famille. 03 opra maxwell, sa mère, est reliée directement à l’entreprise familiale qu’entretient encore aujourd’hui l’oncle de la brune aux états-unis. même si monsieur hotchkiss a su ramener ce qu’il faut à la maison, leur richesse est dû davantage grâce à leur mère, qui su tirer profit du compte en banque familial lorsqu’elle le devait. 04 dana se démarque rapidement des autres enfants. c’est une grande gueule, gueule d’ange certes mais c’est la merdeuse de service qui se fera toujours engueuler pour avoir escalader le toboggan en sens inverse. pleine de vie, ce côté très casse-cou de la brune sèmera d’embuches ses relations avec ses parents. 05 puisqu’en effet, les parents souhaitent pour dana un chemin parsemé de réussite, plein de paillettes, une vie ambitieuse : tout ce à quoi elle n’aspire pas. elle rêve d’une vie simple ou elle pourrait rester dans sa zone de confort comme elle a bien trop l’habitude de faire car dana, bien qu’elle soit une badgirl, elle est prévisible et on sait toujours à quoi s’attendre avec ce personnage. dites-vous que ça lui aurait bien plu de vivre chez ses parents jusqu’à la trentaine, histoire d’avoir tout à disposition. 06 elle n’a jamais eu de mal à se faire des amis, cependant c’était rarement des filles et sa familiarité avec les garçons de la primaire lui donne cet aspect de garçon manqué qui même sous le bout de femme qu’elle est à présent, ne cesse d’être arboré. belle et rebelle, c’est pas une peste mais elle hésitera pas à te faire comprendre que si tu ne la suis pas, il te suffit de rester derrière. dana ne cherche pas à être aimée, encore moins à être appréciée. l’opinion des autres elle s’en fout, du moment que son égo reste là où il doit être elle ne mord pas. si tu t’attaques à un de ses proches, gare à tes fesses puisque dans le fond c’est une sauvage qui ne pense qu’à sa survie et celle de son monde. 07 dana c’est la meuf très confiante, parfois trop et que tu peux voir se balader en pyjama dans la rue pour déjeuner ses spécial k sur la plage, qui même si elle ne cherche pas à être particulièrement remarquée ne passera jamais inaperçue. on raconte même qu’à un des galas de charité auquel dana a assisté (dieu sait combien de galas de charité puérils elle a dû subir) elle aurait distribué des tracts invitant à voter pour elle pour être déléguée de sa classe du haut de ses onze ans, vêtue d’une robe préalablement cousue sur-mesure. insolente, un peu, mais elle ça lui plait de sentir qu’elle a dévié une fois de plus l’autorité de ses parents. de sentir qu’elle se libère de cette image de brunette parfaite. oops. 08 côté cœur dana elle tombera toujours pour le connard qui a la jolie phrase aguicheuse au bout des lèvres, toujours celui qui la prendra pour une conne. rien n’y fait, sa naïveté l’a perdue de nombreuses fois et quoiqu’elle fasse elle se retrouve déçue. parce que dans le fond, dana c’est une romantique qui ne s’assume pas, étant le fruit de l’amour passionné de ses parents qui lui ont jeté leur réussite amoureuse à la figure depuis qu’elle est jeune. 09 dana elle foire tout ce qu’elle entreprend généralement, c’est un danger public et destructif qui emporte dans sa tornade envoutante tout ce qu’il y a sur son passage. tout. que ce soit ses mauvaises décisions, sa tête brulée, son impulsivité elle sait toujours comment foutre en l’air l’occasion de faire les choses correctement. elle déconne, elle déconne, jusqu’à ce qu’elle ne fasse plus rire personne de sa maladresse insupportable. c’est un côté que dana a du mal à admettre et pourtant, dieu sait qu’elle tente de s’organiser pour ne pas se vautrer du haut de sa tour d’ivoire. 10 elle a le goût pour la fête, le goût pour la liberté et sait comment bâtir son propre univers de folie et surtout comment impliquer les autres dedans. elle adore se bouger jusqu’à ce que l’aurore l’en empêche, elle adore l’ambiance que ça renferme dans son ensemble et vous ne la verrez jamais en refuser une. c’est son échappatoire, son moyen d’expression et elle reflète tout ça à son caractère corporel. dana qui passe la soirée dans son canapé, ça n’existe pas. 11 c’est en 2013 qu’encouragée par andy, une âme sœur amicale avec laquelle elle discutait via internet mais également par ses parents, dana se lança dans l’aventure que représente harvard, sous l’œil dépourvu de tout ses proches. qui aurait pensé qu’un jour, la brunette s’envolerait si loin pour accomplir un parcours si brillant ? l’occasion inespérée pour une dana qui n’en a pourtant rien à foutre, de tant d’élitisme. poussée par un pacte d’adolescence auquel elle ne pensait jamais trouver de solution, la voilà qui débarque ses quelques bagages en main dans la ville de cambridge. dana qui n’avait pourtant jamais bougé trouvait une certaine excitation à s’envoler ailleurs, comme une expansion de sa personne qui allait savourer aux délices de la décadence américaine. 12 elle rejoint alors la mather house, confrérie qui correspond parfaitement à son profil et au fil du temps commence à se trouver une certaine place dans l’impressionnante université. pourtant, dana n’avait pas changé et restait dans son regard la gamine qui dix piges plus tôt élaborait ses premiers plans de délinquance, le démon aujourd’hui grand et adulte qui agissait toujours dans cette même psychologie. car pour rien au monde elle n’aurait changé, dana c’est dana et personne d’autre. une version un peu plus mature, mais d’autant plus naïve. 13 à présent, dana continue d’imposer sa personne auprès de ceux qui confronteront son regard, de ceux qui aimeront son regard et de ceux qui éviteront son regard. craignez-la, fuyez-la, adorez-la, le phénomène maxwell perdure et vous finirez par y succomber quoique vous choisissez.