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I LOVE HARVARD
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    L’amitié d’une femme pour un homme est souvent de l’amour qui ne se montre que de profil.
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    Lien du postJeu 15 Mar - 11:44
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    Le Spring Break au mois de mars c'est quand même le pied, le soleil, la plage qui viennent s'ajouter aux femmes, au sexe qui jonchent la vie des universitaire d'Harvard. Andrew lui jongle tant bien que mal entre les bons résultats scolaire, le sport, les femmes et la fête. Oui monsieur veut profiter  de la vie, chose qu'il n'a pas fait durant les dix-huit premières années de sa vie enfermé dans ce quartier doré qui lui plaisait tant. Mais maintenant loin de sa famille (qu'il aime attention ne me faite pas dire ce que je n'ai pas dis) il profite encore plus. Personne ne peut le juger, la seule chose que lui demande son père c'est de bonnes notes et ça il a, ce que lui demande sa mère c'est de ne pas lui ramener un petit-fils ou une petite-fille avec quelqu'un qu'il ne connait pas ou très peu.Les demandes ne sont pas irréalistes et lui permettent en échange de jouir de toute la fortune nécessaire à sa vie, il peut abuser de la carte bleue sans jamais recevoir un sms de son père lui disant de ralentir. Le gosse de riche, à la fois fils à papa et qui fait tout pour rendre sa mère heureuse, un gars au top sur le papier. Enfin uniquement sur le papier, parce qu'en vrai c'est une toute autre histoire, gosse de riche par excellence, il juge sur la taille du porte monnaie, la marque de la voiture et accessoirement le créateur des vêtements. Autant dire qu'en dehors de sa maison les Eliot il ne fréquente que très peu de personnes, comme si les gens moins fortuné que lui, lui faisaient peur ( Ce n'est pas totalement faux).

    Revenons en à nos moutons, présent ici au Spring Break avec sa maison  les Eliot, tout se passe pour le mieux, comme d'habitude la seule consigne et de ne pas se montrer en spectacle, l'alcool et la drogue pourquoi pas, mais jamais pour se mettre dans des états seconds. Pour Andrew c'est simple il ne supporte pas forcement l'alcool, deux verres et il plane, la drogue ? Il n'y a jamais touché et n'y touchera jamais, il part du principe que cela altère les capacités du cerveau et il en a besoin pour devenir le numéro 1 du classement FORBES. Enfin ce soir il est loin du classement FORBES, après un petit diner tranquillement au restaurant entre Eliot, direction la suite pour faire un petit after, mais en comité très restreint, uniquement avec son amie Noa. Un prénom de garçon je vous l'accorde, il c'est pas mal moqué d'elle au tout début, mais à part ça elle est parfaite. Parfaite tout simplement parce qu'elle lui ressemble comme deux goûtes d'eau, son penchant féminin. Ils sont identiques, prenant les gens plus pauvres qu'eux de haut, avec un caractère bien trempée. La chose importante c'est qu'elle voit les choses comme lui, jusqu'au plus petit des détails, les chambres mixtes chez les Eliot, c'est même ça qui les a rapprochés. Six ans, voilà déjà six ans qu'ils se côtoient et elle est la seule personne en dehors de sa famille a qui il dit bonjour en l'embrassant sur la joue et non en lui faisant la bise. Pour vous ça ne veut pas dire grand chose, mais pour lui ça veut dire beaucoup.
    Pour ce Spring Break ils avaient pris ensemble une suite dans un hôtel hors de prix, un moyen de faire chambre mixte comme ils avaient toujours voulu, ils ne partageait par contre ni la même chambre, ni le même lit. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'en plus de cette amitié si fusionnelles il y avait un petit quelque chose qui faisait très peur à Drew, il ne savait pas réellement ce qu'il ressentait pour elle. Pas très à l'aise quand elle lui touchait la main, déboussolé à chaque rêve où il pouvait l'imaginer nue ou dans le même lit que lui. Elle lui faisait peur tout autant qu'il pouvait l'aimer.

    Ils venaient enfin d'arriver dans leur suite « Enfin chez soi » lança t'il avant d'aller dans le réfrigérateur afin de pouvoir récupérer une bouteille de champagne. La soirée avait été un peu arrosée, il était un peu éméché et elle aussi, mais loin des yeux ils pouvaient se comporter comme ils le voulaient, plus de code d'éthique des Eliot. Code qui de temps en temps pouvait être lourd tout de même. Ce n'est pas parce qu'on est le passé grâce à nos parents, le futur grâce à nos études que l'on doit forcement être droit dans ses bottes. On perdrait une nuit entière à côter les hommes et femmes puissants qui durant leur vie ont déparés sans jamais perdre la face.
    Loin de ça, Andrew servi deux coupes de champagne, non sans oublier d'en renverser un peu partout sur le sol. Il s'installa en se laissant tomber dans le canapé avant de lever son verre « A cette suite mixte, que les Eliot nous fouettent pour avoir partager cette chambre en tout bien tout honneur » dit-il en riant. Il était ivre, cela se voyait, mais même ivre il se voilait la face. Il ne dérapait pas uniquement parce qu'il avait peur, peur de tomber peut-être amoureux, peur que leur couple ne fonctionne pas et qu'il perdre son ami. On dit souvent un tien vaut mieux que deux tu l'auras, c'était exactement ça avec leur relation.
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    Lien du postSam 17 Mar - 13:22
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    ANDOA

    L’amitié d’une femme pour un homme est souvent de l’amour qui ne se montre que de profil.
    Le SB ? Ce que j’en pense ? C’est le rêve. Le soleil, la fête, l’alcool, les garçons,… Pas de pression pour les cours. Surtout que chaque année, je donne tout pour avoir des résultats scolaires meilleurs que la moyenne. L’échec ? Je ne le connais pas. J’imagine que si je continue sur cette voix, mon père continuera à fermer les yeux sur ma personnalité sombre et ne voir en moi que l’ange qu’il voit. Qu’est-ce que je le l’aime mon père… Cela fait quelques jours qu’on fait la fête entre Eliot, qu’on se voit, qu’on profite. Et ça, c’est la belle vie, jouir d’argent, le dépenser et tout ça c’est normal. Après ce restaurant entre Eliot, nous rentrons tous de notre côté. Et sans grande surprise c’est avec Drew que je rentre. Après notre rebellions pour les chambres mixtes, nous avions décidés de prendre une chambre à deux. Mais attention, il était hors de question que l’on dorme ensemble ! Je ne sais pas trop ce qu’il se passait entre nous, on était proche, trop proche parfois, on finissait les phrases de l’autres, on pensait pareil, on parlait pareil. En réalité, on se ressemblait tellement que ça en faisait peur. On n’osait pas être trop proche de peur de craquer mais d’un autre côté, on pouvait se faire des câlins pendant des heures (bien qu’on était mal à l’aise) parler de nos problèmes et Dieu sait que j’en avais des soucis ! Surtout en ce moment. Entre Andrew avec qui je n’arrive pas à me situer, Steeven avec qui c’est assez chaud et Sloan, ce mec de tinder qui ne fait ressortir que le bon en moi, il me fait m’ouvrir. Ça n’arrangeait en rien mes soucis décisionnaires. Enfin, bref, ce soir, je rentrais pour la énième fois avec Drew, j’étais contente de le voir, de rentrer avec lui, je savais qu’il avait du mal avec l’alcool mais il semblait encore bien, j’étais pompette mais pas défoncée. Nous arrivions à l’hôtel, je lui dis que j’allais me mettre à l’aise, les talons, c’est joli mais chiant. J’allai dans ma chambre enfiler un t-shirt que je lui avais volé au début de notre amitié et enlever mes talons. Je me démaquillai pendant qu’il servait des coupes de champagne. Quand je revins nous trinquions à la mixité de cette chambre. D’abord au Bahamas ensuite à la EH ! Dis-je en trinquant. Je bus une gorgée. Comme quoi, on peut partager une chambre sans se sauter dessus ! Dis-je en souriant. On avait un self-control à tout épreuve sachant que dans ma tête et mon cœur, c’était le bordel.
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    Lien du postSam 17 Mar - 16:28
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    Avec l'argent les problèmes sont souvent tellement loin qu'on en oublie presque que des gens en ont. L'argent de fait pas le bonheur, voilà une phrase qui est dans le fond totalement vraie, mais quand vous oubliez tout problème d'argent et que vous vous dites que tout le matériel dans son plus grand ensemble peut vous appartenir vous vous enlevez une belle épine du pied. Savoir dès sa naissance qu'on ne connaîtra jamais les fins de mois difficiles, les hésitations au moment de faire des cadeaux de Noël pour que tout le monde soit heureux sans pour autant se ruiner, ça aussi il ne connaîtra jamais. Tout comme il n'a jamais connu à Noël, le plaisir d'avoir quelque chose qu'il voulait tant et qu'il a eu, car oui qui dit gosse de riche dit pourri gâté et c'est ce qu'il était. Alors oui on perd très rapidement le goût des choses, une fois que tout est acquis on n'a jamais envie de rien. Sauf que voilà quand on voit le poignet droit d'Andrew on voit quelque chose que l'on oublierait facilement, certaines choses sans valeur sont celles auxquelles on tient le plus. Un petit bracelet en platine offert par sa petite sœur au moment de son départ à Harvard. Alors oui le platine est très cher, mais quand on voit sa montre de créateur a dix exemplaires, la chevalière de la famille qui doit valoir le PIB d'un pays pauvre le bracelet passerait presque pour du toc. Mais si demain il devait se faire agresser, raquetter, il donnerait quelques millions pour qu'on lui laisse ce bracelet.
    Tout ça pour en venir à une chose, aux yeux d'Andrew, sa vie est difficile, tout aussi difficile que quelqu'un qui n'a pas d'argent. Ils n'ont pas les mêmes devoirs et les gens qui les entourent n'ont pas les mêmes attentes. Andrew en tant que Koch n'a pas le droit de faire un pas de travers sans que cela sorte dans un journal papier, voir même un journal télévisé. Là ou des parents veulent uniquement voir leur fils réussir dans quelque chose qui lui plait, Andrew lui n'aura pas d'autre choix que de faire perdurer les deux firmes familiales. Alors oui il s'y est accommodé et il est heureux de le faire, mais s'il ne l'avait pas été ce serait la même chose.

    C'était la même chose pour la belle plante qui l'accompagnait, puis toute manière ils avaient le même caractère. Des gens hautains qui prenaient les autres pour de la merde la plupart du temps et qui se sentaient supérieur uniquement parce qu'ils ont de l'argent. Ils sont d'accord sur beaucoup de choses, mais sur une en particulier, l'argent amène le pouvoir, le pouvoir amène des décisions. Le pauvre lui n'a ni pouvoir, ni décisions à prendre. Andrew dans cinq peut-être dix ans, s'il fait une erreur, il mettra un nombre de famille incalculable sur la paille. Ses employés ? S'ils démissionnent ou se foirent, eux ne mettent personne en péril.
    Etre eux même ils ne se l'autorisaient uniquement quand ils étaient entre grande ce de monde comme ils aiment s'appeler, pas la peine de se plaindre de choses que ne comprendraient pas la moitié de la population. Pour prendre en pleine figures des tu es née avec une cuillère en or dans la bouche. Avec Noa en plus d'être totalement à l'aise, il est totalement lui même. Elle pense comme lui et ça fait peur, la preuve elle arrive à finir ses phrases, elle dit des choses avant que lui ne puisse ouvrir la bouche, ils sont complémentaires et fusionnels. Une belle amitié, mais si on lui demande elle n'est pas sa meilleure amie, déjà parce qu'il n'aime pas classer, mais surtout parce qu'il y a trop d’ambiguïté entre eux. On n'y reviendra pas, mais à les voir totalement mal à l'aise, pouvoir se toucher, mais jamais sans une petite arrière pensée. Cela fait d'eux de bons amis, de très bons amis, mais tant que l'amour se cachera à la cave, ils seront toujours méfiants.

    Enfin ce soir ce qui l’inquiétait comme tous les soirs c'est que même démaquillé avec un vieux T-shirt à lui elle lui plaisait et ça ce n'est jamais bon signe. Normalement les nanas elles nous plaisent pas forcement au réveil, mais on fait l'effort parce que la journée elles sont canon. Seul l'amour rend aveugle, chez Andrew la seule chose qui lui redonne la vue c'est quand elle parle de ses autres mecs, enfin le mot est fort, mais des mecs en général. Il ne montre rien bien au contraire, mais elle fait pareil quand il parle de femme, mais il est fort saoulé. En parlant de saoul, ce soir encore une fois il l'était bien, il attaquait son troisième verre, elle n'était donc pas à l'abris de le voir s'endormir sur son épaule ou même à ses pieds, Andrew était plein de surprises. « Ouai on n'est pas des animaux, enfin surtout moi. Parce que la seule chose qui me ferait détester les chambres mixtes, être avec toi et le gorille qui dort en toi la nuit. Tu ronfles encore plus que mon pote de chambre »  Ils se taquinaient à longueur de journée, encore quelque chose qui pouvait mettre mal à l'aise.
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    Lien du postVen 23 Mar - 12:12
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    ANDOA

    L’amitié d’une femme pour un homme est souvent de l’amour qui ne se montre que de profil.
    Dernier restaurant au Bahamas, dernier jour de SB... J'étais triste que je décidai de rester un jour de plus, seule. Parfois j'avais ce besoin de rester seule et réfléchir. Demain, j'enverrais un SMS à Sloan pour le prévenir qu'il n'aurait pas mon loft avant deux jours. Après tout ce qu'il s'était passé ces derniers jours, les complots avec Athé, ce rendez-vous de deux jours avec Milo durant lequel il s'était efforcé de faire ressortir mon humanité, ma vulnérabilité,... Tout ça pour au final, ne plus donner de nouvelles. Je m'étais juré qu'on ne m'aurait plus sauf que Sloan avait réussi à faire la même chose, je me montrai gentille, altruiste avec lui, au point de lui prêter mon loft le temps qu'il ne se retourne. En rentrant à Boston, c'était décidé, je me montrerai encore plus inhumaine qu'à l'habitude. Nous étions rentré du restaurant avec Andrew afin de rejoindre note chambre. La relation qu'il y avait entre nous, était tout aussi compliqué que ma vie en générale, rien ne pouvait être simple dans ma vie d'ailleurs. Mais quand quelqu'un te ressemble à ce point, ça passe ou ça casse. Et pourquoi prendre le risque de briser ce qu'on a pour une relation qui pourrait nous détruire ? Une fois arrivés dans notre chambre, il ouvrit une bouteille de champagne pendant que j'enlevai mes fringues, le maquillage qui ornait mon visage pour enfiler un vieux t-shirt de Drew. Quand je revins, nous trinquions à la mixité des chambres. C'était assez drôle. Je fis une remarque sur le fait qu'on pouvait partager une chambre sans se sauter dessus, ce qui était vrai bien que nous le faisions pas alors qu'on en mourait d'envie. MAIS N'IMPORTE QUOI ! Dis-je en lui frappant l'épaule. C'est toi qui ronfle ! Moi, quand je dors je fais aucun bruit et je bouge pas. Je savais qu'il me taquinait mais il savait aussi que j'étais susceptible !
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    Lien du postVen 23 Mar - 13:29
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    Un couple, un vrai petit couple, voilà ce que l'on avait en face de nous. Oui il n'y a pas de doute à avoir, une femme totalement démaquillé avec un mec, portant en plus de ça un T-shirt à lui, tranquillement installé en train de boire un coup sur un canapé d'une chambre hors de prix. Nous avons donc un couple de riche ensemble et à voir comment ils se comportent, soit c'est un jeune couple, soit c'est un vieux couple avec une complicité à toute épreuve. Je stoppe tout de suite les enquêteurs en carton, ils ne sont pas en couple, ce n'est pas qu'ils n'en meurent pas d'envie, mais encore une fois on sait ce qu'on perd, mais jamais ce que l'on gagne. Cette peur de perdre ce qu'ils ont pour le moment fait qu'ils arrivent à se retenir. Alors peut-être qu'un jour un baiser sera échangé et que de là tout commencera, mais nous sommes loin de tout ça. Pour le moment nous avons deux très bons amis qui discutent et se chambrent, comme des amis d'enfance, comme des enfants, sauf que vous rajoutez beaucoup de tension et de non dit à ça et la mayonnaise prend, elle prend trop vite. Heureusement il ne se pose pas sans cesse des questions, la plupart du temps il n'a qu'à être lui même avec la belle brune, les envies de l'embrasser sont souvent présentes, mais il fait avec. Il passe tellement de bons moments avec elle qu'il est heureux comme ça. Vous lui proposez de passer une semaine de vacances en tête à tête avec la belle, sans avoir le droit de l'embrasser, pas grave il prend tout de suite les billets. Elle est drôle et surtout sait le faire rire, elle est Andrew féminin.
    Elle était susceptible il le savait, mais princesse Noa n'avait surement jamais trouvé un mec qui lui disait la vérité, elle avait surement un cloison nasale bouché où tout simplement un problème de respiration la nuit. Mais elle faisait un bruit qui le stressait pas mal, ils avaient assez partagé la même chambre voir le même lit pour le dire. Et quand ils sont dans le même lit autant dire que les moments sans dormir sont nombreux, il est même certain qu'elle aussi, le moment où vous réfléchissait. Si je faisais semblant de me rapprocher d'elle, de la prendre dans mes bras, de déposer mes lèvres sur elle. Elle ne le serait jamais et il pourrait savoir ce qu'il ressent. Dormir à coté d'une bombe c'est quasiment impossible, alors une fille comme Noa c'est encore plus dur. Elle avait tout ce qu'il recherchait, il fallait qu'il trouve une Noa bis avec qui il n'aurait pas peur de se mettre en couple et de prendre des risques. Les risques peuvent être payants. Mais pour revenir au débat, Andrew savait comment mettre fin à tout et surtout mettre le doute sur Noa, il fallait qu'il coupe court à la discussion, comme s'il voulait esquiver une discussion qui allait dégénéré, elle ne supportait pas ça. « C'est vrai tu ne ronfles pas, ça doit être une autre » Petit bonus, parler d'une autre fille, elle était jalouse intérieurement comme il pouvait l'être avec elle. Il n'aimait pas qu'elle parle des autres mecs quand il était là, elle avait assez de copines pour qu'elle n'ait pas besoin de lui en parler. C'était toujours un supplice pour lui de l'entendre parler de ses histoires de cœur, surtout que la pauvre enchainait les mecs pas top.

    Il fallait maintenant totalement changer de discussion pour qu'elle s’énerve un peu et revienne sur le fait qu'elle ne ronflait pas. «  Retour à l’université, fini de partager une chambre. Tu sais que voir tes petites culottes qui trainent va me manquer. Le matin les croiser à droite ou à gauche ça me mettait toujours de très bonne humeur ! » Oui il ne pouvait pas s’empêcher de la taquiner, elle aime ça, il aime ça alors pourquoi changer ?
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    Lien du postLun 26 Mar - 16:39
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      Quand on les voyait comme ça dans un canapé, parlant tout les deux, aussi complice qu'ils le sont, on pourrait croire à un couple. Et même si cette idée pouvait me ravir, elle me faisait peur et je préférais l'oublier. Ce que j'avais avec Drew était bien trop important pour tout gâcher pour une simple histoire d'amour. Et puis j'aimais à croire qu'il était mon amour impossible comme dans mes comédies romantique préférées. Il me taquinait tout en sachant que j'étais susceptible et rajouta que ça devait être vrai, je ne ronflais pas et que ça devait être une autre. Je lui jetai un regard noir. Ouais, surement. Dis-je très sèchement. Et puis, il réalisa que c'était déjà la fin du SB, c'était fini la cohabitation. Nous en étions tous les deux conscients et il me dit que ça allait lui manquer. Je lui souris faiblement après tout, j'étais toujours un peu fâché par sa remarque précédente. Et bien, je pourrais venir déposer des fringues à moi dans ta chambre et venir te réveiller tous les matins si ce n'est que ça. Dis-je en lui ébouriffant les cheveux. J'avoue que ça va me faire bizarre de rentrer dans ma chambre vide à la EH. Pour le moment, je ne partageais ma chambre avec personne et bien que je sois heureuse de l'avoir pour moi seule, avoir passé quelques jours en compagnie d'Andrew allait faire un vide à mon retour. Et puis qui va m'apporter mon petit déjeuner au lit ? Ou même me faire rire à en mourir avant que j'aille me coucher ? Dis-je en déposant ma tête sur son épaule. C'est ce genre de moments qui me rendent bien, qui me vident la tête et dans lesquels j'ai l'impression que rien ne peut m'atteindre. Mais je t'avoue que je pense rester un jour en plus, seule, ici. Après je dois aussi avouer que je suis heureuse de rentrer pour reprendre le cours de ma vie.
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    Lien du postMer 28 Mar - 9:35
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    La peur ne faisait pourtant pas partie du vocabulaire du jeune homme, mais bizarrement il avait appris pas mal de choses à Harvard. Lui qui ne pense pas que l’amitié homme femme peut exister, prouvait chaque jour qu'il se trompait. Enfin dans son raisonnement il n'avait pas forcement tord, il pense qu'on peut être ami avec une femme, mais qu'on aura toujours des pensées qui ne sont pas très catholique. L’amitié avec une femme quand on est un homme n'est pas la même qu'avec  un autre homme, impossible et ça il en est persuadé. On prend Noa par exemple avec qui il s'entend parfaitement, avec qui il adore passer des moments, il ne pourrait jamais se retrouver nu avec elle, il le sait il serait obligé de déraper, alors qu'avec un ami homme aucun risque. Il est toujours obligé de faire attention à ce qu'il dit à ce qu'il fait quand il est avec une amie femme, il a toujours peur de faire quelque chose de travers. Chose qu'il ne fait pas avec ses potes, il dit et fait tout ce qui lui passe par la tête et de toute manière les hommes ne sont pas aussi rancuniers que les femmes. Tout ça pour dire que la seule chose qui le retient de passer à l'acte avec la belle brune c'est bien cette peur de la perdre. Il ne voit pas sa vie ici à Harvard sans elle, pour le moment il ne voit pas l'après Harvard, mais ils se connaissent depuis 7 ans, elle est la première personne qu'il a fréquenté dans sa « nouvelle vie », alors il ne fait jamais de plans sur la comète, mais il y a de fortes chances qu'elle soit très importante durant toute sa vie, peut-être même plus importante qu'il ne le pense. Elle est le profil parfait pour devenir sa femme, belle, intelligente, riche et surtout qui a feeling hors du commun avec lui. Un amour impossible ? Non il ne pense pas, mais plutôt un amour qu'ils s'interdisent...
    La discussion du couple, enfin du couple d'ami voguait sur des choses de la vie de tous les jours, bien qu'ils ne vivent pas ensemble le temps passé ensemble ici au Spring Break avait été super. Oui elle ronflait un peu, oui elle laissait parfois trainer des choses, mais lui ne baissait pas la lunette de toilettes, lui oubliait de fermer le frigo et de vider le lave vaisselle. Des discussions encore une fois de couple et l'atmosphère qui régnait n'enlevait rien au tableau.

    Elle n'avait pas aimé qu'il parle d'autres femmes sans même donner de nom, il jubilait intérieurement, parce que le jeune homme aimait voir qu'elle ressentait la même chose que lui. Une manière sadique de se rassurer, il était attiré par elle, mais ce l'interdisait. Elle l'était tout autant et ce l'interdisait aussi, ils le savaient, mais ne faisaient rien. Ils étaient franchement pétri de peur à l'idée de se perdre et c'était beau de voir une amitié comme celle-ci. « Franchement passer les vacances avec toi avec grand plaisir, je veux bien passer toutes mes vacances avec toi. Mais à l’université, si tu venais à me saccager mes nuits et foutre le bordel dans la petite chambre je ne supporterai pas »  parfois dans leurs phrases venaient des mots comme ça, toutes mes vacances était surement de trop pour lui, mais la phrase était maintenant sortie. Elle allait certainement faire semblant de pas avoir entendu, esquissant un léger sourire et pourquoi pas en rougissant. Ils avaient des oeillères et tous leurs amis le disaient. « Au pire je pourrai venir te l'apporter à Harvard, enfin uniquement le dimanche hein ! Pis toi en échange tu pourrais laver mon ligne, franchement un donnant donnant parfait non ? » Ce qu'il ne supportait pas à Harvard, faire la lessive, chose qu'il n'avait jamais faite avant maman et s'il pouvait s'en débarrasser en échange d'un petit déjeuner au lit alors il était le grand gagnant.
    Il était bien et ne pensait à rien, il était en plus un peu ivre... Quand elle posa sa tête sur son épaule il mit la sienne dans le bas de son dos pour lui caresser le dos. Une amitié fusionnelle ? Une amitié fraternelle ? Un amour caché ? Un amour naissant ? On pouvait bien se poser des questions, ils s'en posent plus que nous...
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    @Noa S. Cohan
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    Lien du postMar 24 Avr - 12:38
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      Je n'aimais pas qu'il parle d'autres femmes devant moi alors que je passais mon temps à parler d'hommes devant lui. Cette relation était bizarre mais nous ne pouvions nous empêcher de jalouser les conquêtes de l'autre. « Franchement passer les vacances avec toi avec grand plaisir, je veux bien passer toutes mes vacances avec toi. Mais à l’université, si tu venais à me saccager mes nuits et foutre le bordel dans la petite chambre je ne supporterai pas » Je le regardai d'un regard noir. Puis je me mis sur les genoux et commença à lui saccager sa coiffure. Ah bon ?! T'es certain. Tu vas donc le payer. Dis-je en riant. Je m'arrêtai net. Et puis qui te dis que ce n'est pas toi qui me saccagerait mes nuits ? Dis-je en buvant une gorgée de champagne. Je parlai ensuite du fait qu'il allait me manquer, le matin, l'après-midi, toutes ces petites intentions à mon égard. Juste le dimanche ? Non, tous les jours. Et je ne lave déjà pas le mien, alors pourquoi je laverais le tien ? Dis-je outrée. Je ne faisais pas ce genre de choses toute seule, j'avais de l'argent et j'en profitais. Après tout c'est à cela que ça servait non ? Je posai mes yeux sur lui. J'étais soûle. Drew... Pourquoi on a jamais essayé d'être ensemble nous deux ? C'était fini, l'alcool parlait pour moi.
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    Lien du postVen 27 Avr - 14:58
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    C'est le propre de l'homme avec un grand h attention je ne fais pas de sexisme, nous sommes tous pareils, quand on aime quelqu'un que ce soit d'une amitié forte et profonde ou d'un amour sincère, nous ne supportons pas que d'autres soient dans la danse. Alors quoi qu'on en dise, un homme ne supportera jamais que sa meilleure amie avec qui il n'y a pas d’ambiguïté parle de ses ex ou de ses futurs conquêtes. Entre Noa et Andrew c'était flou, il y avait un max d’ambiguïté, alors forcement la formule est difficile et l'équation devient complexe. Quand elle vient le décoiffer cela le sort de ses pensées, pensées dans lesquelles il se trouve souvent quand elle est dans la même pièce que lui, proche, toujours plus, mais le danger lui est de plus en plus grand. « Moi quand je saccage une nuit d'une nana ce n'est pas parce que je ronfle et au réveil elle a un sourire jusqu'auw oreilles » lui lança t'il en lui tirant la langue, oui il aimait jouer avec sa tout comme elle aimait le faire de son coté. Un jour peut-être l'un des deux dira enfin ce qu'il pense, qu'il n'aime pas entendre l'autre parler de ses ébats et ils pourront mettre les choses à plat.
    L'alcool commençait à prendre le dessus sur les deux, la question de la jeune femme était pertinente, sans alcool il aurait répondu avec une pirouette, avec l'alcool son cœur avait plus tendance à parler et voilà pourquoi il lança à la jeune femme « La lâcheté, la peur de se perdre, de perdre ce qu'on a » un tien vaux mieux que deux tu l'aura prenait tout son sens pour eux.
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    @Noa S. Cohan Désolé du retard
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