Lundi 12 mars

Liam écarquilla les yeux de surprise alors que son tel sonnait. Dans un portable il y a tout un tas de numéro qu’on s’attend à ne plus jamais voir s’affichait sur notre écran un jour. Des personnes avec qui on a perdu contact. Mlle Argroove faisait partit de ses contacts. « Allo ? » dit-il en décrochant. Il s’en suivit une conversation de plus intéressante…

[…]

Deux plus tard, Liam tapé à la porte de la chambre d’hôtel d’une belle brune qu’il n’avait pas vu depuis longtemps, tenant dans sa main une rose et une boite de chocolat. La porte finit par s’ouvrir sur Solaris. «  Il faut que je te parle » lui dit-il en souriant alors qu’il était certain d’une chose : elle n’allait pas être ravie de le voir !

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We're Venus and Mars
We're like different stars
( @Liam Gremlins   )
crédit/ would like ✰ zara larsson

nuit agitée, réveiller difficile. tu ne sais même pas comment tu as réussi à rentrée chez toi après avoir autant bue, tu te revoit te relever à plusieurs reprise après t'être allongé sur le sol, tremper par la transpiration après avoir danser trois en hurlant les paroles d'une chanson dont tu ne connaissait que le refrain. tu te revoit enfiler un, deux, trois, six ? shoots de tequila et lécher toute les partit du corps de Riley pour le sel, tu te souvient aussi d'avoir essayer de nager mais des gens t'en ai empêcher de peur que tu t'étouffe dans la piscine. mais au final, t'avais réussi à rentrée chez toi, apparemment, seule, en plus de ça, t'as été vachement sage. une douche de trente minutes pour te remettre les idées en place, vingts autres minutes de karaoké en te remaquillant et défilant ton actualité instagram, et tu fut sortit de tes penser par la porte d'entrée. t'aurais pas du ouvrir, mais tu penser naïvement que c'était Riley qui venait t'apporter le petit déjeuner, enfin, le quatre heures. "je me souvient pas avoir commandée du connard farcie." ok c'était nul et petit, mais tu lui doit bien ça, tu n'as jamais été une ex à vengeance, encore moins une ex à menace, donc un petit pique ne faisait pas de mal. "ça tombe bien, parce que moi, j'ai rien à te dire. et si tu penses qu'une rose pour me faire changer d'avis, tu te trompe." c'est une blague ? il aurait fallut tout un rosier pour la faire changer d'avis. "Liam, je suis en vacance, qu'est-ce que tu veux ?"

«  Aujourd’hui c’est gratuit ! » lui répondit-il avec un grand sourire, loin de se laisser refroidir par sa réplique assassine. Sincèrement, elle avait déjà fait mieux. Il était d’ailleurs presque déçu. Il savait qu’elle ne serait pas ravi de le voir et il s’entendait a du grandiose, là il avait le droit à un semblant de colère. Il lui avoua alors qu’il était là pour qu’ils parlent. «  Non la rose c’était pour que te rappelais ton cœur de pierre. Tu sais comme dans la belle et la bête ? Ma bête a une rose qui lui rappelait qu’elle est incapable d’aimer. » En fait… C’était lui qu’il l’avait largué. On lui avait le choix, la fille ou un boulot génial, il avait choisit le boulot. «  J’te l’ai dit je veux parler. »  Liam poussa la porte que retenait Solaris, la bousculant légèrement au passage pour se frayer un chemin jusqu’à sa chambre. Ils n’allaient quand même pas discuté dans le couloir ! Non ? «  C’est trop gentil à toi de me laisser entré » dit-il en souriant avant de posé la rose sur le lit et de s’assoir à côté. «  Alors ? Comment tu va ? »

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« j’ai fait mieux, j’avoue. » il riait avec maladresse, ce grand brun qui a fait fondre ton coeur jadis. comme une chanson dont tu connais les paroles par coeur, tu reconnaissait les traits de son visage et son comportement de bad boy des bacs à sable. c’est peut être ça qui t’as fait fondre, son attitude de goujat alors qu’il avait le coeur sur la main et les étoiles qui pétillait dans ses yeux quand tu passer a porte d’entrée pour rejoindre ton siège, près à sauver des internautes en danger tel superman sur sa chaise de bureau. « ça fait de moi belle? c’est pourtant pas ma princesse préféré, je suis plus Mulan, je pense. » tu es sur et certaine de ne pas être une princesse en détresse en tout cas, il te décale d’un coup de main, tu ne prend même pas la peine de te défendre, sachant que tu ne peux pas car physiquement tu n’étais pas à ton top, mais surtout parce que la curiosité venait gratter le bout de ton nez, que voulait-il ? remettre le couvert ? vu ton état tu serai capable ? te dire qu’il est enceinte ? oh mon dieu tu n’est pas prête à être père ? ou alors il a balancer sans faire exprès votre sex tape sur le net et tu es devenue une star du porno amateur ? tu en doute. « ne passe pas par quatre chemin Gremlins, dit moi ce que tu veux. enfin, ce que tu as à dire. tu sais que je déteste qu’on me fasse attendre. » ou attendre en générale, ta plus grosse phobie. tu t’assoie sur le rebord du lit et croisse les bras. « t’as besoin de moi ? tu t'es rendu compte que j'étais la femme de ta vie ? tu veux que je fasse semblant d’être ta fiancé? tu veux un enfant et tu veux que je le porte? crache le morceau. »

Liam justifia sa rose par le conte de la belle et la bête. Solaris trouva bon de rectifier, annonçant qu’elle était plutôt du genre Mulan. Pour le côté travelo ou pour le côté guerrière ? Il était curieux de savoir. « Tu savais qu’elle était lesbienne dans une série ? » lui lança-t-il tout à fait sérieux. «  Apparemment amoureuse de la belle au bois dormant ! J’trouve ça triste ! » Fort heureusement Solaris n’était pas lesbienne, à moins qu’elle le soit devenu suite à leur rupture. En même temps on pouvait la comprendre, la pauvre. Abandonner par le merveilleux Liam Gremlins… ça devait être dur quand même. Liam essaya d’entamé un début de conversation mais la demoiselle semblait pressé de connaitre la raison de sa venue. Sa répartie le fit sourire, ça lui avait manqué. «  Pourquoi est-ce que tu pense que je veux forcément quelque chose ? Je ne peux pas juste venir ici pour prendre un peu de tes nouvelles, discuté un peu, passer du bon temps ? Pourquoi est-ce que tu me traite comme si j’étais un égoïste qui ne sert que ses propres intérêts ? » Peut-être parce qu’il l’avait largué dans l’unique but de ne pas perdre son job et qu’à ce moment là, il s’était bien foutu de savoir ce que pensait Solaris ? Que malgré leur complicité, la naissance de sentiment entre eux, il n’avait pas hésité une seule seconde à mettre tout ça de côté car il était trop fier pour reconnaitre qu’il préférait l’amour à la gloire ? Moais… Effectivement ça serait de bon argument !  

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« y a rien de triste à trouvée que les femmes sont mieux que les hommes. c’est même scientifiquement prouvée que les femmes ont plus d’orgames et de plaisir entre elles qu’avec un homme. » il voulait voir les chiffres? tu hausses les épaules avant de lacher un rire, oui tu connaissait cette Mulan là, c’était avant que OUAT deviennent n’importe qui et fasse du vue et du revu pour la quarante millième fois, tu trouvais Mulan tout aussi jolie que Aurore d’ailleurs, même si ton plus grand faible c’était la magnifique Emma Swan. il se gêne pas, il entre, se pose, tu roules des yeux et il ose encore te demander pourquoi tu pensais qu’il été venu ici par intérêt ? mais Liam, Liam, Liam, Liam, vous êtes sortit ensemble, tu ne parles pas à une inconnue dans un bar qui pourrais se faire berner par tes mots doux et ton sourire d’ange, tu parles de la fille qui a débattue avec toi sur les moyens les plus drôle d’annoncer à son partenaire qu’on a une MST. «  il me semble que si tu voulais prendre des mes nouvelles il auraient fallut le faire.. mhh, je sais pas moi. » tu fais mines de réfléchir. « ah si, peut être quand je t’ai envoyer 30 messages, 50 appels manqués et 20 mails pour savoir pourquoi est-ce que tu me quitté ? au lieu de lacher un pauvre « c’est fini entre toi moi » pendant une discussion. j’aurais aimer que tu prennes de mes nouvelles à ce moment là et pas maintenant que j’ai des choses à faire » un petit con, c’est tout ce qu’il est réellement, tu n’a jamais eu d’explication, le pourquoi du comment, le je suis désolée, nada. tu l’as détester de tout ton âme. «  donc pour me répété : qu’est-ce que tu veux ? » ta patience à des limites et il commencer à te pomper les nerfs.

Ce qui avait empêché Liam de prendre des nouvelles de Solaris c’était les remord... Et surtout la fierté ! Il ne pouvait pas arriver la queue entre les jambes après que la radio est faite faillite. Qu’aurait-elle pensé ? Que maintenant qu’il n’y avait plus l’émission il courait dans ses bras ? Ça aurait fait un peu crevard ! Bien qu’il aurait pût en être capable s’il n’y avait pas eu sa fierté. La vérité c’est qu’il avait préféré ne pas se retourner parce que ce qu’il avait avec elle, avec son Soleil, c’était plutôt plaisant. Il avait fait son choix alors il devait l’assumer. Pas de demi mesure, tout ou rien. Alors non il n’avait pas donné de nouvelles. C’était plus facile ici. De toute façon elle avait rapidement dût faire un trait sur lui. Non ?

Il aurait pût sans mal lui balancer un « Ah bon t’a essayé de me joindre ? Flute ! J’étais pas au courant j’ai changé de téléphone ! », Un sarcasme comme lui seul en avait le secret. Seulement Solaris n’était pas une inconnue rencontré dans un bar dont il se foutait, elle était la fille avec qui il était sortit, celle avec qui il avait débattu à la radio sur le meilleur moyen d’annoncer à sa meuf que l’odeur de ses aisselles lui coupe toute érection. Les éditeurs ont de ses problèmes parfois ! « J’ai besoin de toi. » Comme il anticipait son rire, il rajouta. « Sérieusement. » et effectivement il semblait tout à fait sérieux. Pour une fois aucune trace de sarcasme ou de sourire angélique. Du sérieux, juste du sérieux. « La radio m’a rappelé. Ils ont eut des fonds pour relancer l’émission mais ça sera seulement si c’est toi et moi. Ils ne veulent personne d’autre. Ils veulent Vénus et Mars. Comme avant. » Il plongea son regard dans le sien, essayant de deviné sa réaction, avant d’ajouter. « Enfin presque. Comme avant quand on ne sortait pas ensemble. » Crut-il bon de précisé, au cas où elle aurait pût s’imaginer qu’il était en train de lui demander de sortir avec lui par la même occasion.

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la voix et l’expression de Liam avait changer de tout au tout. pourquoi, enfin.. comment, plutot est-ce que tu choisi tes hommes ? généralement tu tombes facilement pour la façade de ses jeunots qui te font rire ou te mette à l’aise, et ensuite, tout s’installe, le jeu de séduction, la réussite, les baiser, la tendresse et l’envie envoutante d’avoir cette être à ses côtés au lever du jour. le pire dans cette histoire : l’attachement, le truc qui commence dès le début, trop tôt meme, comme liée par un file que chacun est libre de couper, faut se faire assez confiance pour s’y abandonner, malheureusement t’aurais pas du attacher le fil trop fort, vu comment Liam avait couper le sien. « si c’est pour qu’on lance deux émissions et qu’on se fasse de nouveau jarté, quel est l’intérêt ? » tu te pousse contre le mur de ton lit, le dos contre le tête de lit, un coussin entre les jambes. tu adorais être présentatrice dans cette émission, pourtant, ça ne t’emballer pas plus que ça maintenant. peut être que ce que tu aimais le plus c’était de le voir lui, de partager des choses avec lui et maintenant… écouter la vie des gens n’avais plus aucun sens, c’était même presque débile. « ce que j’aimais le plus.. je pense, dans cette émission c’était.. nous. le fait qu’on soit deux planètes à echelle égale et qu’on cohabité dans le même espace. on profité du même soleil sans ce gêner et on avait un univers rien qu’à nous. » tu te perd un peu, dans tes penses, dans les souvenirs presque frais, dans les dates tinder qui n’ont aboutit à rien, dans les soirées passer à te demander si c’était toi le problème, car c’est toujours toi le problème. «  je sais pas si je serai encore capable de faire la même chose maintenant. et surtout si je serai toujours aussi performante pour te clasher en live. »

Le cœur de Liam se serra. Il avait toujours du mal de parler de sentiments et entre Solaris et lui ça avait démarré par un jeu. Le jeune homme c’était mit à aimer leur joutes verbales, en a devenir accro bien plus qu’il ne le pensait et au fil du temps des sentiments étaient né. Seulement…Il n’était pas un sentimental, aussi il ne lui avait jamais clairement dit qu’elle avait de l’importance pour lui, bien qu’elle en avait. Nous. Ils avaient donc un eux, leur univers, donc apparemment elle déplorait l’absence. Solaris était une belle femme, intelligente et avec un caractère sans pareil. Liam n’aura pas pensé avoir autant d’importance pour elle. Quand bien même il en avait, Liam n’était pas habitué à tant de franchisse à son égard. Peut-être était-ce dut au fait qu’il ne prenait rien au sérieux et qu’il passait son temps à tout tourner en dérision. Entendre Solaris lui avouer clairement que sans lui l’émission n’avait pas d’intérêt, ou plutôt sans leur attirance mutuelle, le désarma totalement. Il en perdait même sa capacité à faire du sarcasme. Une première ! Elle doutait de sa capacité à le clasher en public et il formula alors une question qui lui brûler les lèvres.  «  Parce que je t’ai fait souffrir ou parce que tu a encore des sentiments pour moi ? »  Réalisant que la conversation devenait bien trop sérieuse et qu’il n’avait peut-être pas envie d’avoir la réponse, il se reprit. «  Tu sous-estime ma capacité à être agaçant. Rappel toi la fois où tu va faillit finir aux urgences parce que j’avais échangé nos sandwich. Je préféré le tiens au mien mais t’a fait une réaction allergique. » Il sourit à y repenser. «  Cette fois là tu a bien faillit m’étrangler ! »  

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il n’y a pas de juste milieu avec toi, le gris n’existe pas. tu aimes sans te demander si ça vaut la peine, tu te donne sans te soucier si ça va marcher ou pas. t’as aimer tout ce qui s’est passer entre Liam et toi, car tu t’es donnée aveuglement dans une histoire qui n’avait ni queue, ni tête. tu t’es dit que pour une fois ça valait le coup de se laisser aller, car cette fois, t’avais envie de ressentir et non réfléchir. non tu ne voulais pas l’abimer avec tes penser négative, non tu ne voulais pas lui imposer tes tournant ,car n’existe de vous que les moments de pur bonheur passer ensemble. mais il n’était rien de ce que tu voulais, il avait un coeur d’artichaut, c’est un dragueur de première, les yeux partout et le coeur nul part, t’avais conscience que tu été une parmi tant d’autre. et c’est la raison que tu as donné à votre rupture quand il t’as lamentablement laisser tomber. c’est de ta faute, t’es pas assez bien, pas assez jolie, pas assez grande, trop boursouflé, les joues trop gonfler, le ventre trop flasque, les chevilles trop boudiner, les cuisses énorme dépassant chaque jour de ton jean, ça devait le dégouter, c’est de ta faute. « Je répondrais pas à ça. » tu le dit dans un souffle, un peu trop bas, peut être parce que tu n’avais pas envie de lui avouée que oui il t’avais fait souffrir, que oui il t’en a fait baver. niveau sentiment, tu t’étais tellement braquer que tu n’es plus sure de pouvoir de nouveau l’apprécier. il essaie de te faire rire en ranimant des souvenirs, mais ça te sert juste le coeur, non, tu veux t’en rappeler. tu refoules le tout en roulant des yeux et jouant la fille indifférente. tu soupires. « Demande à quelqu’un d’autre de reprendre l’émission avec toi. je suis pas capable de le faire, en plus j’ai beaucoup de travaux en cour en ce moment, c’est pas possible pour moi. je peux t’aider à en trouvée une autre si tu veux, aussi féministe que moi. » non, tu peux pas, c’est trop te demander. revenir entre ses quatre mur, ressentir cette adrénaline, entendre son rire, ses blagues de merdes, ses jeux de mots, avoir un orgasme intellectuelle en sachant qu’il t’avais traité comme une moins que rien, non, tu vaux mieux que ça. tu te lèves et te dirige vers la porte comme pour lui dire que c’est le moment de partir. « tu sais j’aurais juste aimer un sms pour me dire que c’est fini. » je te quitte, lancer sur messenger, sur snap même, peut importe, juste pour que tu ne passe pas les quatre dernier mois suivant à attendre ce que n’aura plus jamais.