Des otaries, si on t'avais dit un jour que tu allais en voir de prêt, tu n'y aurais pas crus, tout d'abord car ce n'ai vraiment pas ton genre d'aller voir des animaux de ce type, et que fût un temps tu aurais complètement désapprouvé cette sortie, mais aujourd’hui c'est différent, tu es un peu plus ouverte d'esprit, et tu ne veux pas manquer cette activitée, c'est donc Lissandre qui t'y dépose, et pour une fois tu n'as contacté personne pour te rejoindre, tu y vas seule, si tu croise des personne que tu connais temps mieux, sinon tu ne vas pas en mourir pour autant. Une fois arrivé sur les lieux, tu semble être dans les première et on t'informe qu'il faut attendre un peu que le reste du groupe arrive, tu hausse les épaules et part t'installer dans un coin, histoire d'être à l'ombre, car clairement le soleil, la chaleur, c'est vite fatiguant, même si ça te fait du bien. C'est certain qu'en rentrant à Boston tu allait retrouver le froid, et l'humidité des journée, mais tu aime ta ville natale quand même.

Silencieux. J’ai essayé de motiver Zeus. Mais il n’avait pas l’air conquis. Alors j’ai pris Harper avec moi. Au moins. Nous pourrons nous éclater après. Enfin quoi que. Là. Le plus importants étaient les otaries. J’aime les animaux marins. J’aime les fonds marins. Je dois tout connaitre de ses animaux. De la flore. Tout ce qui touche à l’eau j’aime. J’ai déjà fait le tour du monde avec mon père. Rien que pour les récifs. C’est mon pécher mignon. J’adore ça. Alors quand j’ai vu la brochure. J’ai bougé Harper. J’ai aussi légèrement motivé Hades et Noah. Mais c’était moindre. Je m’en fichais. Je pouvais voir les otaries. Comme un enfant en fait. Je pris alors mon appareil photo. Je pris aussi Harper. Elle faisait encore la fine bouche. Mais sa bosse se voyait moins. Y’avait moins de risques qu’avant-hier… Mais ce n’était pas la question. J’arrivais alors sur ce lieu. J’observais les alentours. Toujours. Mais beaucoup moins sérieusement. J’étais ailleurs et je pouvais profiter. Enfin. Mes problemes derrière moi.

@Harper Eleanor F. Kennedy

Les otaries ! J'ai bien besoin d'un petit remontant et les animaux ont toujours réussi à me faire sourire. Du coup j'ai invité mon amie @Megara Maxwell à venir les visiter avec moi et elle a acceptée. Après être passé par sa chambre pour aller les chercher, on s'est mise en route vers le blue lagoon. T'as déjà vu des otaries toi ? Enfin arrivée à la plage, je me dirige vers le quai avec la rousse. Sinon, comment tu vas ?

Rencontre avec les otaries
— ft. All ☺

Tu avais besoin de te changer les idées, de bouger un peu, faire autres choses que d'arpenter les plages et les bars de l'hôtel. Tu allais te rendre ce mercredi au Dolphin Encounters, ça se trouvait au Blue Lagoon. Il y avait tout une activité autour des otaries, tu avais déjà eu la chance dans voir dans des parcs animaliers, des spectacles dans d'énormes bassins et tu trouvais ça chouette et drôle, du moins, ça c'était quand tu étais plus jeune. Maintenant que tu as mûri, tu verrais bien si cela te plaît toujours autant. Tu t'approchais de l'endroit en question où se trouvait déjà quelques personnes. Il n'y avait pas encore foule et tu pris place au soleil, sur ces petits bancs où tu te positionna mi-allongé, mi-assis pour profiter des rayons du soleil. "C'est parfait." Je fermais les yeux pour profiter encore plus de l'instant, de cette chaleur qui passait au travers de mes vêtements grâce au rayon du soleil.

Tu attendais sagement qu'un peu plus de monde arrive pour pouvoir commencer l’animation, et bien entendu, en observatrice que tu es, tu regardais les gens qui arrivais. C'est donc Franklin qui arrive juste après toi, en compagnie de cette fille, tu détourne le regard, faisant mine de ne pas les avoir vus, hors de question pour toi de fréquenter cette pauvre fille qui se croit si parfaite. Tu te contente de regardais d'autre personne arrivais, et c'est finalement Nathan qui attire ton attention, le revoir te fais du bien, et tu te lève pour rejoindre ton amis, prenant place à côté de lui sur le banc. « Le soleil vous convient-il monsieur Redmayne ? » le taquinais-tu tout en souriant. Dès que tu as enfin capté son attention tu lui dépose un bisou sur la joue. « Alors comme ça on vient voir des Otarie ? Tu sais qu'en plus on va pouvoir les toucher et tout ? » Tu était contente, cette activité te réjouissais d'avance, et bien entendue si en plus tu pouvais la partager avec quelqu'un sans aucune prise de tête, c'était encore mieux. Et puis peut-être que passé du temps avec Nathan te ferais du bien et que tu oublierais la présence de cette peste que tu déteste Miss Kennedy.

Rencontre avec les otaries
— ft. All ☺

Ce spectacle me changerait les idées, mais pendant ce temps, en attendant les autres participants, j'avais décidé de prendre place sur un banc, fermant les yeux et profitant du soleil. Mais je fus interrompu par Athénaëlle, tiens elle était là aussi, ça me ferait un peu changer de voir des personnes que je connaissais. "Il fait si bon, j'en profite." Je tendais la joue alors qu'elle m'y déposait un bisou. Elle semblait très heureuse d'être là, de profiter de cet instant avec ces belles bêtes. "Oui je sais, j'ai déjà vu pas mal de spectacles avec des otaries, je trouve ça chouette." Ce n'était pas ma première fois, c'est vrai qu'à l'habitude ce sont les dauphins qui font de drôles de spectacles, cette fois, on avait droit à des otaries et ils sont plutôt doués pour amuser la galerie. Je me redressais alors pour ouvrir les yeux et de fixer Athénaëlle qui s'était installé à mes côtés.

Zéphyr m’avait fait toute une esclandre sur les otaries. Il fallait voir les otaries, les otaries étaient là, nous devions y aller. J’avais compris. C’est en pyjama après une courte nuit que je m’habillais difficilement, non très motivée à sortir, bien plus pour le voir lui. Malheureusement ma cicatrice ne s’était pas estompée. Au contraire, un bleu indigo s’était étalé sur mon front. Mais trop tard, j’avais cédé à mon meilleur ami, aujourd’hui ce serait otaries. Alors qu’il m’attendait dans la chambre me pressant comme un enfant allant à une kermesse, je tentais de camoufler dans ma salle de bain les vestiges de la maudite noix de coco qui m’avait provoqué une petite commotion cérébrale avec un peu de fond de teint Chanel. Je n’avais certainement pas besoin que des photos volées de moi dans cet état apparaissent dans la presse en ce moment. J’accompagnais finalement Zéphyr qui insista pour prendre l’appareil photo. Je le taquinais gentiment. « Je te préviens Zeph. Tu me prends en photo avec cette horrible cicatrice, et ton appareil finira dans la gueule d’une de ces otaries que tu aimes tant. » Ou dans celle d’Athénaëlle que je venais d’apercevoir un peu plus loin, sinon ? Je détournais le regard pour admirer bien plus beau, les otaries en question. Malgré mon front abimé, j’étais bien. La présence de Zeph me rassurait. « Merci de m’avoir tenu compagnie l’autre nuit. » Dis-je doucement à mon ami qui se trouvait à mes côtés tout en observant ces magnifiques créatures.

@Franklin Z. De Spoelberch

J'avais demandé une chose. Les otaries. J'avais le droit de les réclamer. Donc. Je les réclamais à Harper. Elle avait décidé de faire autre chose après. Je la suiverai. Mais d'abord les otaries. Les fonds marins. Les animaux. Tous ces trucs. Ce sont mes trucs à moi. Et donc j'étais excité. Je regardais partout. Un enfant. J'avais vingt trois ans. Je n'étais pas un enfant. Je passe ma main dans mes cheveux. Je sors de la voiture. Je suis prêt. Et là voilà. Elle fait sa petite princesse. L'objectif de l'appareil sur elle. La photo se prend. Je soupire. Alors tu vas jeter ça cet appareil sur ces pauvres petites otaries adorables ? Sérieusement Harper ? Je t'ai connu plus visieuse que ça. Petit sourire en coin. Je souris. Je suis heureux. Et voilà. L'aquarium aérien. Tout ce que j'aimais. Je n'observais même plus les autres. Juste ses créatures. Elle était au courant. Elle le savait. Je les regardais de là où j'étais. Je déposes mes affaires. La chaleur de l'île est presque insupportable. Mais je le vis très bien. Je prends sur moi avant de soupirer doucement. Pourquoi tu me remercies ? Tu aurais fait la même chose je te rappelle non ? Dis-je avant de continuer. Et puis. Tu es ma meilleure amie. Je passe mon bras autour de ses épaules. J'embrasse sa tempe doucement. Je souris. Maintenant j'ai ton fond de teint sur mes lèvres Ajoutes-je. Je ris à cette remarque.


@Harper Eleanor F. Kennedy