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I LOVE HARVARD
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    Lien du postJeu 1 Mar - 23:44
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    les êtres vivants penser intimement qu’il suffit de vouloir pour pouvoir. il suffit d’arrêter d’y penser pour ne plus avoir à y penser, il suffit de ne plus donner de l’importance pour arrêter d’en donner, il suffit de manger pour grossir et avoir une bonne santé et plus de carence et sourire, vivre, épanouir de nouveau. FAUX, comme le dirait jadis Norman quand il faisait des bonnes vidéos, maintenant c’est de la puta clique et je déteste sa moustache. tout ça est donc faux. la volonté est dur a avoir et encore plus quand il s’agit de sa propre personne. ce soir est un soir de merde, pour ne pas échapper à la règles, t’avais fait une crise deux jours plus tôt, appeler fallon en plus deux jours plus tôt, essayer de te reprendre deux jours plus tôt, mais rien à faire, rien à foutre, tout s’effondre comme un château de carte sur lequel le grand méchant loup prenait plaisir à souffler. faudrait qu’i les calme lui, il devrait bouffer autre chose que des cochons si il veut être en bonne santé, surtout que ces bêtes là sont pas très futé. quoi qu’il en soit, tes pas se dirige d’un pas lent et incertain vers l’appartement d’Austin. peut être qu’il serait d’humeur à se mettre une race, encore une fois, peut être qu’il pourrais venir tenir tes cheveux pendants que tu vomis et que tu souhaites crever de cette alcool une bonne fois pour toute. peut être. tu sonnes, attend une réponses, sonnes encore. tu penses aux gosses que tu as surement du réveiller en sonnant encore, alors tu fais un pas en arrière et te tâte à t’enfuir, jusqu’à ce que la porte s’ouvre sur la plus belle des douceurs que tu puisses avoir dans ce monde. « Madisson? » t’es étonnée. parce que tu comprend pas ce qu’elle fou là, avant que ton cerveau se connecté, ah oui, c’est la mère des enfants. « Merde, excuse moi, je te dérange? » ce serai mal polie de dire que tu cherches austin, surtout parce qu’après la naissance des bébés t’as juste envoyer un pauvre message nul, et aussi parce que tu monopolise le père de ses enfants pour l’enmener ce mettre des races. tu te sent nulle, encore une fois. « Je suis désolée, vraiment.. je t’avoue que je suis venue voir Austin, j’aurais peut être du écrire avant. mais comme je suis là.. tu vas bien ? t’as l’air.. épuisée. » c’est censé être un compliment ça ? du moins le ton que tu as utilisée est pas très fun. « Mais jolie quand même. » rattrape toi comme tu peux. « Je peux entrée? »
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    Lien du postVen 2 Mar - 15:54
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    Plus on pédale moins fort, moins on avance plus vite. La logique n'a que de sens pour ceux qui l'appliquent, les autres sont libres. Plus le temps passe, moins les jours ont d'importances. On se lasse dans le quotidien, les habitudes, les soucis anodins. On finit même par baisser les bras, quelque fois. Aujourd'hui, c'était le cas. Tout s'effritait depuis quelque temps, il faudrait être privé de tous ses sens pour ne pas s'en rendre compte. Les choix que j'avais fait ne me semblait plus les bons. En regardant dehors ce matin, je me demandais même si j'en avais déjà réellement fait un seul pour moi, rien que pour moi, de façon totalement égoïste. La réponse est tellement amère qu'elle me fait grimacer alors que ma tasse se vide de son contenant. Il n'est pas là. Ils ne sont pas là. Je suis réveillée depuis bien trop tôt aujourd'hui et tout m'agace. Ce manque, cet appartement vide, cette décoration insupportable, cette liste de choses à faire. J'aimerais m'évader, partir et revenir comme bon me souhaiterait. Comme Carter lorsqu'elle était allée en Australie. Un souffle s'échappait de mes lèvres. Pourquoi me refuser de partir ? Après tout, rien ne me retient ici. Les enfants iraient chez leurs grand-parents et tout le monde aurait la paix pour se reposer. Ça ne gênerait personne et leur père encore moins. Notre mode de fonctionnement à se garder les enfants l'un après l'autre pour fuir l'appartement m'étouffait. À quoi cela servait de vivre ensemble pour eux si cela se transformait en une garde partagée ? Autant les mettre tout de suite dans l'habitude de ne jamais nous voir ensemble, en même temps. De toute manière, nous ne sommes que deux meilleurs amis ayant merdé une énième fois. Serrant les dents, je posais violemment ma tasse à mes côtés. Je n'avais pas le droit de penser cela. Néanmoins, depuis un mois, je me posais des questions. Si j'avais supposé qu'être parents pourraient nous rapprocher ? Bien sûr, qui ne l'aurait pas pensé ? Lui. Uniquement et seulement lui. La sonnerie de l'entrée me fit sursauter. L'appartement était plongé dans le silence le plus complet depuis mon réveil. Depuis hier soir, j'étais seule entre ces quatre murs et je n'attendais aucune visite. Me levant, j'enfilais un pull over size pour cacher un t-shirt ne m'appartenant pas – les mauvaises habitudes ont la vie dure – et un short en tissu. Mon pyjama, en somme. Si j'avais su qu'en ouvrant la porte, je tomberais sur Solaris, j'aurais peut-être évité d'ouvrir. À sa mine surprise, je déduis très rapidement qu'elle ne pensait pas tomber sur moi. Encore une bonne raison de ne plus partager le même appartement, je crois. « Elle-même » dis-je, légèrement blasée de voir qu'Austin ne prévenait même pas ses amis qu'il ne vivait pas seul. Très élégant comme savoir-vivre. Les idées semblaient lui revenir alors qu'elle présentait des excuses. Je ne pouvais pas la blâmer, après tout, ce n'est pas comme si je comptais pour Austin. « C'est pas grave, t'excuses pas » soufflais-je en attendant toujours de savoir ce qu'elle souhaitait – mise à part Austin qui n'était pas présent. « Si tu me dérangeais, cette porte serait déjà refermée » avouais-je pour qu'elle comprenne que même si j'avais l'air dans un mood pas très coopératif, j'étais quand même prête à discuter avec elle quelques instants. « Il n'est pas là, en effet » J'avais retenu le fameux « je me doute que tu ne venais pas pour moi », ne voulant pas être plus irritable que je ne devais l'être déjà depuis que la porte était ouverte. Ses questions me laissaient un peu.. intriguée. Comment j'allais ? Souhait-elle réellement une réponse franche et sincère ? « Les jumeaux me donnent un peu de fil à retordre, mais ils ne sont pas là aujourd'hui pour que je puisse en profiter » Sombre mensonge. J'étais éveillée depuis quelque chose comme cinq heures du matin, je n'avais pas réussi à retrouver le sommeil et je n'avais rien fait de constructif jusqu'à maintenant. Son compliment sortant de nulle part m'arrachait ce qui devait être le premier sourire de votre face-à-face. Peut-être même plus cela en sentant mes pommettes légèrement brûlées. Solaris n'était pas n'importe qui, il faut l'avouer. « Merci » soufflais-je, un peu gênée avant de m'écarter pour la laisser rentrer dans l'appartement. « Ne fais pas attention à ce qui traîne, je n'ai pas encore commencer à tout ranger » Avec trois (oui, oui, trois) enfants dans la maison, ce n'était pas facile. « Tu veux quelque chose à boire ? » proposais-je en proposant de récupérer son manteau. Poser mes doigts sur elle me faisait penser à l'an dernier. Un sourire passa rapidement sur mes lèvres. 2017 avait mieux commencé que 2018.
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    Madisson n’étais pas n’importe qui, ou n’importe quoi, elle avait été une belle et courte petite relation que tu as eu l’année dernière. aussi courte et intense qu’elle pouvait être, elle avait tout de même le don de te retourner l’estomac. peut être était-ce pour ça que tu avait bouger lorsqu’elle a ouvert la porte, aussi parce que tu penser voir un grand brun au cheveux beaucoup trop long et non une si jolie fille. sur le coup, tu ne comprenais pas quel genre de relation est-ce que Austin et Madisson été entrain de vivre, est-ce qu’ils se forçaient a vivre ensemble pour les gosses ? si oui, pourquoi ? ils sont même pas en âge de comprendre ce qu’est une père et un mère, ok si ils avaient cinq ou six ans et que c’est rhumatisant de séparer des gosses quand ils ont l’habitude de voir papa et maman ensemble entrain de rire, manger et s’aimer, mais des nourrissons s’en foute royalement qu’ils soient sous le même toit. Fallon et toi, avaient été élevé sans père, de manière simple et direct, il n’a jamais été là, alors elles se sont fait à l’idée que le seul parent été leurs mère, bien sur, c’était chaint de savoir faire une carte à la fête des pères alors qu’elle finirais surement à la poubelle, mais elles faisaient semblant et le soir ça aller mieux devant un épisode de Miraculous LadyBug. « désolée de m’excusez autant, c’est un automatisme. » tu allais encore lacher un désolée en fin de phrase mais tu t’es retenue de le faire, un geste de la main qui retenais d’ailleurs ce désolée dans la paume de ta main. elle t’adresser un sourire, aussi fin et léger soit il, lorsque tu lui fit un compliment et te laisse une espace pour entrée. l’intérieur de chez eux sentait principalement le bébé, vous savez cette odeur de lingette de de nourriture en pot, et un mélange de Madi et d’Austin, c’est à dire l’eau de toilette dont le brun s’asperger à chaque soirée. « Vous vivez ensemble, alors ? ou c’est en attendant que lui trouve un appart ou que toi tu trouves un appart ? » car la situation été loin d’être claire. tu te laisse tomber sur le canapé, un peut comme si c’était chez toi, par habitude d’attendre Austin pendant 30 ans à se préparer avant chaque soirée. «  C’est con, parce que vous êtes plus ensemble, alors vivre chez son ex ça ruine un peu tes chances de pécho. » t’avais pas envie de directement dire à Madisson qu’elle perdait son temps avec Austin, aussi qu’elle ne sortait plus depuis la naissance des bébés alors que lui ne s’en gêner pas, aussi qu’elle passait à côté de la jeunesse qui lui avait été offerte en s’isolant de sa propre personne. « pourtant je me souvient d’une Madi qui été pas mal populaire en ce temps là. » dis-tu dans un rire.
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    Lien du postMer 7 Mar - 22:18
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    Revoir Solaris me semblait improbable. Pourquoi nos routes devraient-elles se croiser une seconde fois ? Nous avions été ensemble, pendant une courte durée, avant que cela ne se termine d'une façon peu agréable. J'aurais pu lui en vouloir, mais pas tellement au final. Tout avait été tellement compliqué à cette période-là que je ne pouvais pas lui reprocher quoique ce soit. La retrouvée face à moi, en cet instant présent me rappelait cette partie de ma vie. Néanmoins, malgré mon humeur maussade et ces souvenirs, je n'avais pas l'intention de rester amère face à elle très longtemps. Oui, elle cherchait Austin et il n'était pas présent, mais elle ne semblait pas vouloir repartir pour se mettre à sa recherche. Ses excuses redondantes me donnaient un sentiment étrange. Ce n'était pas simple de réagir face à une femme comme elle. Belle, intelligente, éblouissante en fait. Une autre excuse et mes yeux roulèrent, sinon d'un léger agacement. Pourquoi faisait-elle ça ? Après tout, sa présence n'était pas oppressante. Peut-être que si les enfants avaient été là, sa venue m'aurait rendue largement plus mal à l'aise, mais ce n'était actuellement pas le cas. Un premier sourire lui fut offert alors que je la laissais entrer dans l'appartement. Refermant la porte, ses questions me surprirent. Pourquoi ? Pourquoi me demandait-elle tout ça alors qu'Austin lui avait déjà sûrement tout dit ? Je ne savais pas où elle vouait en venir. « On vit ensemble pour le moment. Il a toujours sa chambre à la Mather, normalement » dis-je en haussant les épaules avant d'amener de quoi boire sur la table basse du salon. Au départ, nous avions chacun notre sécurité à côté : lui sa chambre chez les verts et moi avec mes meilleures amies. L'une d'entre elle étant partie et l'autre ayant emménagée avec son petit ami, le penthouse n'existait plus. Alors oui, en quelque sorte, j'étais en position de faiblesse, bien que je savais que je pourrais prendre un appartement à côté dès que je le souhaitais. Sauf que je ne voyais pas pourquoi faire. Enfin, je commençais à me poser la question. « Je ne suis pas dans une optique de « pécho » pour le moment » Je savais ce qu'elle allait dire. Qu'Austin ne se gêne pas pour sortir et faire sa vie. Il faisait ce qu'il voulait depuis bien longtemps. Depuis une bonne année je crois, il ne parlait plus de ses conquêtes et cela m'avait permis d'aller un peu de l'avant. C'était sans compter un séjour commun en avril 2017 qui a entraîné notre situation actuelle d'être parents. Ses mots me firent rire. « Si tu connaissais une Madisson populaire, alors tu ne dois pas parler de moi, je ne l'ai jamais été » Populaire ? Où ça ? À la Cabot House ? Non. À Harvard ? Encore moins. Austin est quelqu'un de populaire. Le genre de personne avec du charisme, qui est partout, à toutes les fêtes, présent pour sa confrérie et ses potes. Alors j'étais loin d'avoir la moindre prestance à côté de lui et je préférais m'effacer. De toute manière, ce n'était pas comme si cela changerait désormais. « Concrètement Solaris, tu sais très bien que j'habite avec lui alors je ne comprends pas où tu veux en venir » dis-je un peu sur la défensive. Quel était son but ? J'avais du mal à la suivre, en réalité et j'aimerais qu'elle dise réellement ce qu'elle veut. Si elle voulait Austin, qu'elle le garde, après tout, nous ne partageons qu'un appartement, rien d'autre.
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    Quel vie compliquée pour une jeune femme si simple. Tu prend place sur le canapé, tandis qu'elle te sert un verre à boire, ta langue se délit alors que tu es en présence de la jeune demoiselle, comme une aisance à parler en sa présence, toi qui est si réservée et qui aime généralement garder tout ce qu'elle a dire pour elle, tu te retrouves à déblatérait des idioties à la pèle, comme animé par l'envie de parler. tu lui dit, donc, de manière un peu crus, mais vrai, le fond de ta penser, oui c'est débile de rester vivre ensemble, non ce n'est pas une bonne idée car Madisson mérite tellement mieux qu'être enfermée en pyjama entre ses quatre murs, oui populaire et mignonne Madisson à exister, bien qu'elle n'en ai aucun souvenir. "T'es même pas obliger de vouloir pécho, les gens se battrons pour toi." toi et tes yeux de gazelle, toi et ta tendre voix, toi et cette présence spectaculaire que tu as quand tu es dans la même pièce qu'une personne, toi et tout ton être qui illumine de sa présence. comment pouvait-elle doutait de son charme ? trop butée à attendre après quelque chose qui n'en vaut pas la peine. tu ne peut pas te souvenir de ce qui vous a séparez, ou tu ne veux pas, tu n'en a que des souvenirs flou et lent, tu sais juste qu'elle n'était pas faite pour toi, trop distraite, trop occuper, et toi solaris tu as toujours eu besoin que tout les feux des projecteurs soit tournée vers ta personne. trop égoïste et trop possessive pour arriver à partager ce qui t'appartient. de plus, en ce temps là, austin été encore son meilleur ami, il l'est peut être encore, mais tu ne pouvais juste pas l'avoir dans ton champ de vision si Madisson devait t'appartenir. "tu te trompes, à mes yeux tu as toujours été la fille la plus jolie de la cabot house, oserai-je même dire de tout le campus. il ne suffit pas que de se trimballer en bikini et coucher avec la moitié du peuple pour qu'on te trouve du charme, ou alors des millions de like sous tes photos. le truc que t'as et que t'as jamais réussi à enlever c'est ton charme fou." tu avales une gorger d'eau pour assouvir ta soif, après avoir utiliser autant de salive, tu l'as voit à fleur de peau et presque énerver, un soupire s'échappe de tes lèvres avant de sourire. tu es mauvaise solaris, tu joue avec le feu et les nerfs comme si c'était facile utiliser, tu met une mèche rebelle derrière ton oreille et hausse les épaules. "excuse moi si je me suis montrée mauvaise." tu n'en avait aucunement l'attention, peut être que si en fait, tu voulais lui prouver que cette situation été débile. "Je trouve juste que tu mérites mieux, que tes bébés mérites mieux et que ce serait bien que tu t'accordes un peu de liberté et surtout : le bonheur de faire ce que tu veux, quand tu veux."
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    Lien du postDim 18 Mar - 20:22
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    La discussion ne se profilait pas de très bonne augure. Le ton et la manière qu'utilisait Solaris pour s'adresser à moi m'irritait. Certes, elle ne tombait pas dans le bon jour, ni le mauvais moment, mais ses sous-entendues me rendaient distantes. Je ne savais pas où elle voulait en venir et cela ne me plaisait pas trop. Elle qui était amie avec Austin.. son discours me décontenançait quelque peu. Tout ce qu'elle me disait me paraissait étrange. Plaire à d'autres personnes, être populaire et j'en passe. J'avais l'impression qu'elle me parlait d'une autre personne. Elle par exemple. Il fallait être aveugle pour ne pas admettre qu'elle avait un charme incroyable, une prestance envoûtante et un charisme fou. Un léger rire s'échappait de mes lèvres à sa remarque sur le fait que les gens se battraient pour moi. « C'est gentil de me penser aussi irrésistible, mais je suis certaine qu'au mot « maman », plus personne ne se battra  » avouais-je. C'était une réalité. Qui voudrait prendre la responsabilité de deux enfants qui ne sont pas de lui ? Je n'étais même pas certaine qu'Austin accepterait qu'une autre personne prenne soin d'eux. Sa possessivité m'étonnera toujours, mais je pouvais le concevoir. S'il venait à avoir une copine, je serais agacée qu'elle touche à NOS enfants. C'était peut-être tout ceci le problème de notre relation : personne ne supportait que l'autre aille être heureux ailleurs pour X ou Y raison. Soupirant doucement, je ne voulais pas penser à lui alors qu'il n'était même pas présent. Pour le moment, je souhaitais juste savoir où Solaris voulait en venir avec toutes ses paroles. Paroles qui me mirent très rapidement mal à l'aise, gênée. Jolie. Charme fou. Pourtant, nous n'avions pas été très longtemps ensemble, alors.. est-ce que cela pouvait-il réellement être vrai ? « Il y a de bien plus belles filles que moi, à la Cabot comme à l'université » murmurais-je. Peu de confiance en moi ? Oh non, aucune pour être exact. En même temps, ce n'était pas facile. Dans une maison comme la Cabot, même s'il n'y a pas de rivalité voyante entre les filles, c'était tout comme. Sauf que cela se fait silencieusement. Même s'il n'y avait pas que cela, Andrew avait bien choisi de passer le restant de sa vie avec Cécilia. Bref. « Je ne comprendrais jamais comment j'ai pu attiré ton attention » admis-je en fuyant quelque peu son regard. Je secouais légèrement ma main pour lui dire que ce n'était pas grave. Après tout, il fallait aussi que je me détente que j'arrête d'être sur la défensive en face d'elle. Elle n'avait rien fait de grave. Le passé appartenait au passé. « Je n'ai jamais réfléchi à autre chose qu'une vie avec Austin, avoir un jour des enfants avec lui – même si la situation actuelle avait été envisagée d'une autre manière dans mes rêves – mais.. » Je haussais les épaules. Que pouvais-je dire ? « Tu peux m'inviter aussi à sortir, au lieu de l'embarquer à chaque fois » l'accusais-je gentiment avec un sourire amusé. Un soir sur deux, l'un de nous sort avec elle, c'était un bon deal je trouvais. Peut-être avait-elle de s'ennuyer avec moi ? Je n'étais pas la fille la plus extravertie de la terre, mais je savais m'amuser quand même. Il fallait juste qu'elle me laisse le temps de m'ouvrir à elle..
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    Lien du postMer 21 Mar - 20:55
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    pourquoi est-ce que tu trouvais ça énervant ? de la voir se plaindre de celle qu’elle est, de rabaisser la personne formidable qu’elle est ? pourquoi c’était énervant de voir quelqu’un se mettre plus bas que terre alors que tu passes le plus clair de ton temps à le faire ? t’arrive pas à comprendre, comment c’est possible ? de ne pas voir à quel point elle été extraordinaire. si elle était capable de se voir avec les yeux avec lequel tu l’a voyer, elle se sentirais tout de suite débile de sortir autant de connerie à la minute. « Moi j’adorerais me taper une jeune maman. » dis-tu dans un rire, à peine cacher. elle rester magnifique, pire encore, elle rayonner. comme le soleil cacher par les nuages elle flottait au dessus de tout et de tout le monde, en attendant que le vent souffle assez fort pour balayer les nuages qui l’embête et hurler à haute voix qu’elle est brillantissime. ce mot n’existe pas, il devrai, juste pour elle. c’était atroce et horrible, parce que tu sait que tu es celle qui le fait tout le temps et te rend compte à quel point tu peut être énervante quand tu te rabaisse. « mouai, y a belle et belle. » tu hausses les épaules, ouai, toi t’aime pas les filles de l’université; peut être de manière globale parce qu’elles sont généralement entrain de se la pété tout le temps ou alors elles sont hautaine et méchante, à la limite du mauvaise. tu peux pas encadrer les filles qui se sente au dessus de tout le monde, sous prétexte que x y ou z. tu te souvient de ta première année horrible ou t’avais envie d’égorger tout le monde, car tu trouvais que tout le bahut en entier été chiant. elle état un peu l’aiguille dans la botte de foin et t’adorais ça, elle a un petit truc, un je ne sais quoi, qui fait tourner la tête. une présence, une importance, qui te donne envie de l’écouter murmurer des conneries pendant des heures, tant que ses mots glisses en toi comme un champ de sirène. c’était ça, une sirène. elle t’attire et te remplisse de désire, comme envouter par sa présence charnelle et l’envie de la dévorer. ah ça oui, la dévorer tu aimerais bien. « je te trouvais jolie, c’est toujours le cas d’ailleurs. en plus tes seins ont doubler de volume, c’est mieux encore. » tu lui adresses un sourire en zieutant de manière rapide sa poitrine, cacher sous ce vieux pull trop large qui recouver ses courbes et sa silhouette, zut. faudrait peut être penser à l’enlever ce pyjama. «  commence pas à me blâmer. » tu t’approche pour te mettre à sa hauteur, chassant l’espace que vous aviez mis entre vous deux, le no gay space qu’il faut respecter quand on est avec un hétérosexuel, tu lui sourit, grandement, des grandes dents aligner tel un prédateur qui attendrais le bon moment pour chassez sa proie. « Je peux me rattraper de cette longue année d’absence si tu veux. je peux te faire revivre janvier 2017. »
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    Lien du postSam 7 Avr - 9:41
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    Mon esprit devenait de plus en plus confus. Je n'arrivais pas à comprendre les intentions de Solaris. Me faisais-je des idées à ses sous-entendus ? Je me butais dessus, les rendant agaçant pour ne pas penser à autre chose. Le pouvais-je ? Espérer quelque chose d'elle après notre courte relation, l'an passé ? Je n'en étais pas certaine. Tout me semblait encore plus compliqué depuis la venue des enfants. Je n'avais pas envie de faire des choix que je regretterais et dont ils pourraient être au courant, un jour ou l'autre. La déclaration de la jeune brune me soufflait. Elle- Oh. Immédiatement, mes pommettes prirent une couleur que je ne connaissais que trop bien. La remercier ? Je ne savais pas si c'était la meilleure des réponses, mais en attendait-elle une ? « Tu dis ça pour me faire plaisir » dis-je en me rabaissant encore une fois, sachant très bien qu'une telle phrase ne serait pas appréciée par cette femme bourrée de charme. Son rire m'avait fait douter et je ne savais pas sur quel pied danser avec elle. Je tentais par tous les moyens de lui démontrer que je n'étais pas une femme intéressante et encore moins emplis des caractères qu'elle m'attribuait. Surtout la beauté. Dans la Cabot House, il y avait des femmes qui ressemblaient à des mannequins, alors je ne faisais clairement pas le poids d'un niveau physique. Solaris pouvait encore me dire longtemps que ce n'était pas son avis, je restais convaincue que si. La preuve, la femme d'Andrew s'y trouvait donc.. Soit, ce n'était pas le moment de penser à lui. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle continue sur sa lancée et encore moins que son regard se balade sur une partie bien précise de mon corps. Comme un réflexe, je mettais un bras en travers de ma poitrine, comme si d'un seul coup, elle avait retiré tous mes habits et que je me retrouvais en topless devant son regard investigateur. « Ne me regarde pas comme ça.. » lui demandais-je doucement, sans lui demander réellement pour autant. Elle avait cette manière de parler qui me faisait fondre et je n'arrivais pas à être réellement convaincue que la repousser serve à quelque chose. Histoire de trouver une parade, je lui faisais remarquer qu'au lieu de sortir uniquement mon meilleur ami, elle pouvait aussi m'embarquer pour faire la fête. Ok, ce n'était pas aussi fun avec moi qu'avec Austin, mais je savais quand même m'amuser de temps à autre. Je pouffais alors qu'elle me disait que je ne devais pas la blâmer. Ce n'était pas mon intention. Si j'avais envie de sortir, je pouvais le faire, avec ou sans elle, mais seule.. C'était moyen quand même. Mon cerveau cessait brusquement de réfléchir alors que son corps s'approchait du mien. Si je comptais reculer ? Non. De toute façon, je n'en avais ni la capacité, ni l'envie. Mon regard trouvait le sien, alors que son sourire magnifique me décontenançait. Ses mots me touchèrent en plein cœur alors qu'une nouvelle gêne apparaissait sur mes joues. Parlait-elle sérieusement ? Oh oui, Solaris n'était pas du genre à dire ce genre de paroles en l'air et au lieu de continuer à réfléchir, j'agissais. Sans me poser de questions – peut-être aurais-je du – mes lèvres vinrent à la rencontre de celles que je connaissais déjà. Je ne savais pas ce que cette situation allait avoir comme impact, mais je n'en pouvais plus de me poser mille questions sans cesse. Un baiser n'engageait à rien et si elle n'avait proposer ces retrouvailles que pour rire, cela m'aurait permis au moins de la surprendre, un peu.
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