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I LOVE HARVARD
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    Libérée, Délivréééé.. (je peux maintenant pousseeeer ♪) !!
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    Lien du postMar 13 Fév 2018, 22:57
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      Summer & Paris

      Libérée, Délivréééé !!

    (je peux maintenant pousseeeer ♪)

     

     
    Mercredi 14 février, presque 22h, après un dîner romantique.

    Tout était parfait ! Paris, en époux qui excelle dans l’art de vouloir me faire oublier notre première Saint-Valentin désastreuse, jouait gros à chaque 14 février pour rendre ce jour mémorable. Et cette année, il avait opté pour plus de sobriété que l’année passée (sans pour autant faire l’impasse sur l’énorme bouquet de fleurs, les chocolats, et un cadeau), et ce pour mon plus grand plaisir. Il faut dire que ces derniers temps, me déplacer devenait plus fatiguant, et bien que je n’en sois pas à être déplacée à l’aide d’un Fenwick, je peinais à rester debout ou à supporter mon ventre qui me faisait mal au dos. Je n’avais plus longtemps à tenir officiellement, et je me raccrochais à cette idée. Et je pense que Paris aussi ! Le Dunster s’armait de patience avec moi, et je lui en étais incroyablement reconnaissante. Et aujourd’hui encore, il me montrait à quel point il me soutenait et m’aimait en me proposant ce dîner aux chandelles, dans notre nouvelle maison, sans Ashlynn et la chienne à surveiller. Nous n’étions que tous les deux, éclairés par une multitude de bougies que j’étais en train d’éteindre une à une pour rendre l’ambiance encore plus tamisé dans le salon. Paris lui, débarrassait la table qu’il avait dressée, et où il nous avait servi des plats que je n’avais pas dû préparer (là encore, merci Paris, je t’aime !), parmi ceux-ci, mon dessert favori : Des profiteroles. Que demander de plus ?!
    Sans doute une danse ? un câlin ? C’était en tout cas ce qu’avait dû se dire Paris, alors que je soufflais sur une dixième bougie posée sur le meuble télé. Je sentais ses bras se poser sur mes épaules, me prodiguant un massage avant de descendre ses bras et de m’entourer en me faisant balancer contre lui, avec lui…Je rejetais ma tête en arrière, contre son épaule et fermais les yeux, appréciant la musique qui résonnait dans la pièce, et la chaleur du corps de mon époux, mêlé à son parfum que j’adorais tant… « C’était parfait mon cœur ! Tout est parfait. » lui répétais-je en posant mes mains sur ses avant-bras, qui reposaient juste au-dessus de mon ventre.
    Je ne sais pas si c’est le jour qui veut cela, ou l’ambiance, ou encore la douceur de Paris, sa bienveillance et l’amour qu’il a laissé transparaitre pendant toute cette soirée, mais je me sens bien…je me sens bien et je me sens enjôleuse, surtout ! Comme si tout ce romantisme me faisait oublier que j’étais enceinte et que je me sentais grosse. Une main se leva pour venir caresser sa joue derrière moi tout en continuant de me laisser bercer par les mouvements de Paris; et d’un murmure, je ne pouvais que lui dire le sentiment qui ne me quittait pas depuis plus de 2 années maintenant : « Je t’aime, Paris. » Jamais je n’aurais pu être plus comblée, heureuse, et amoureuse que je ne le suis aujourd’hui. Paris était tout pour moi, et bien que je n’arrivais pas vraiment à lui prouver physiquement en ce moment, je ne m’empêchais certainement pas d’user de mots pour lui rappeler chaque jour à quel point je l’aimais.

    @Paris A. Maconahey

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    Lien du postMer 14 Fév 2018, 18:54
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      Summer & Paris

      Libérée, Délivréééé !!

    (je peux maintenant pousseeeer ♪)

     

      La Saint Valentin ou la pire journée de l’année pour Paris Maconahey. Le Dunster n’aimait pas cette fête car chaque année, il devait éplucher des tonnes de sites internet pour trouver l’idée du siècle et ainsi surprendre sa femme. L’année dernière, il avait fait fort mais comment faire mieux ou du moins aussi bien ?! C’était impossible surtout que sa valentine était enceinte jusqu’aux yeux et pas loin d’éclater. Bordel si vous saviez comme il avait hâte de pouvoir enfin retrouver sa femme sans avoir à la partager avec deux squatteurs illégaux. Oh oui, pouvoir à nouveau courir avec elle le matin avant que chacun ne parte pour une journée d’études/boulot ; de pouvoir lui faire l’amour à nouveau –parce que oui, cela commençait sérieusement à lui manquer. Bref que des petites choses du quotidien qu’ils pouvaient faire quand elle n’était pas enceinte. Néanmoins, n’allez pas croire qu’il n’était pas heureux de sa grossesse : il était l’homme le plus comblé de la Terre. C’est juste qu’il voulait retrouver sa complice dans tous les domaines de leur vie. Puis, il avait hâte de serrer ses enfants dans ses bras. Un petit garçon et une petite fille, le choix du roi. Paris n’avait jamais voulu connaître le sexe de l’enfant mais il avait été méchamment spoilé en s’incrustant à sa baby shower. Il n’avait qu’à s’en prendre à lui-même ! Paris était heureux tout de même… même en ce jour de Saint Valentin.

    Pour le coup, il avait opté pour un diner romantique à la maison. Il avait offert une journée de soin dans un spa luxueux afin qu’elle puisse profiter d’une journée entre filles pour se remettre de son accouchement futur. Il avait cherché ce qu’il pourrait lui offrir et lui permettre d’être dorlotée pendant toute une journée dans un établissement de bien être lui avait paru comme une bonne idée. Le repas, qu’il avait pris chez son traiteur préféré, s’était très bien passé, le couple partageant une soirée en amoureux sans gosse (enfin façon de parler) et sans chienne. Le jeune homme termina par revenir vers son épouse après avoir mis de la musique, du Barry White, pour mieux l’enlacer, couvrant son ventre avec ses mains, ses lèvres butinant la peau tendre de son cou. « C’est toi qui est parfaite bébé » murmura-t-il à son oreille. Finalement, cette saint valentin n’avait pas été si compliquée à organiser songea-t-il en sentant Summer se détendre et se lâcher quelque peu tout contre lui. « Je t’aime aussi bébé » répondit-il alors que ses mains remontaient lentement vers sa poitrine qu’il couvrit de ses mains caressantes.


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    Lien du postJeu 15 Fév 2018, 21:37
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      Summer & Paris

      Libérée, Délivréééé !!

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      Je souriais en fermant les yeux, toujours bercée par les tendres bras de Paris qui m’enveloppait. Ses lèvres me chatouillaient le cou avec plaisir et je penchais la tête sur le côté pour lui en donner meilleur accès et l’inciter à continuer, ma main caressant sa joue. « J’aime bien aussi, quand c’est simple, nos soirées de Saint-Valentin » lui assurais-je tout en ricanant. Je sentais les lèvres de Paris plus insistante dans mon cou, et mon sourire qui traduisait jusqu’ici une humeur détendue, se transformait bien vite en un sourire un peu plus amusé. « Dis donc…si je te ne connaissais pas un mieux, je penserais que tu es en train de profiter de la situation là et que tu as une idée derrière la tête ! » Si je ne le connaissais pas mieux, avais-je dit ironiquement alors que je gloussais à nouveau. Et en même temps, la soirée se prêtait LARGEMENT à un petit câlin crapuleux ! histoire de clôturer cette Saint-Valentin en beauté, comme on dit !

    Sincèrement, je crois bien qu’en cette soirée, ainsi détendue, je me laisserais facilement allée…j’étais sur un petit nuage, et contrairement aux autres soir, je ne laissais clairement pas ma tête prendre le dessus. C’est mon cœur qui avait le premier rôle, et il battait la chamade depuis que j’étais rentrée à la maison pour y être reçue telle une princesse.

    Mes mains agrippèrent gentiment les bras de mon mari pour les lui écarter de moi, et dans le mouvement, j’en profitais pour me retourner et lui faire face, mon ventre étant le seul obstacle entre nous deux. Je posais mes mains sur ses larges épaules et observait longuement Paris sous l’éclairage tamisé. Il était beau, magnifique et désirable, comme toujours. Et comme toujours aussi, il était difficile de ne pas succomber à ses charmes, à son sourire désarmant. « Tu as été adorable avec moi ces derniers mois, et dieu sait que je t’en ai fait baver….je ne sais pas ce que je peux faire pour te remercier pour ta patience et ta gentillesse » lui avouais-je un peu honteuse alors que je baissais la tête pour fixer son torse saillant, devinant clairement ce qui se cachait sous cette belle chemise blanche que Paris portait à merveille.


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    Lien du postJeu 15 Fév 2018, 21:49
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      Summer & Paris

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      La soirée s’était déroulée à merveille et Paris en était soulagé. Il se mettait toujours la pression pour cette foutue Saint-Valentin, à croire qu’il avait besoin d’un jour précis pour prouver à sa femme qu’il l’aimait. Il avait d’ailleurs toujours trouvé cette soirée commerciale et non romantique mais depuis qu’il avait fait la rencontre de Summer, c’était tout autre. Oui, il prouvait chaque jour combien il aimait cette femme et Summer n’avait pas à se plaindre de son romantisme. Enfin si on excepté sa forte tendance à confondre romantisme et connerie. Le Dunster faisait des efforts et c’était le principal n’est-ce pas ?! Pour en revenir à la saint valentin, il savait qu’il n’avait pas besoin de faire des tonnes mais il souhaitait par-dessus tout que Summer puisse dire à ses amies : mon mec, il a assuré. C’est con mais il avait tellement envie de balayer les anciens souvenirs de son épouse concernant ses histoires passées. Il voulait par-dessus tout qu’elle puisse se vanter d’être heureuse. Telle était sa mission. « Merde, je vais annuler le jet privé dans ces cas-là » plaisantait-il avant de mordiller la peau tendre entre son cou et la naissance de son épaule. Il la sentait si détendue entre ses bras que peu à peu, l’envie commençait à s’instaurer. Quel homme sain ne profiterait pas d’une humeur aussi tendre de sa femme ?! Surtout après des semaines de ceinture ?! Paris aimait passionnément Summer, il l’admirait, il la vénérait même mais putain de bordel de merde, il en avait raz le cul de jouer avec sa main droite, comme un criminel, sur les chiottes alors qu’elle ne pensait en train de prendre une douche. Oui, c’est moche d’en être réduit à ça mais monsieur avait un appétit insatiable alors il fallait bien qu’il s’occupe l’esprit (et junior) comme il le pouvait. Au moins, il n’avait pas fait la connerie d’aller voir ailleurs. De toute manière, c’était impossible : il l’aimait trop. Puis, il n’arrivait pas à trouver une autre femme attirante.

    Sa malédiction avait changé de fusil d’épaule : si par le passé, il ne pouvait pas coucher deux fois avec la même femme, aujourd’hui, il ne pouvait coucher qu’avec une seule. La même. Son élue. En même temps, la grossesse avait donné des rondeurs à Summer qui n’étaient pas pour lui déplaire comme l’attestaient ses mains sur ses seins. Il grogna légèrement quand elle les retira pour pouvoir lui faire face. Pitié, qu’elle ne le rembarre pas… « Oh tu sais, moi j’ai bien quelques idées en tête pour que tu puisses te faire pardonner… Et étrangement, elles tournent tous autour de notre lit, de nos corps nus… Remarque, je vais pas être bégueule, je m’adapterai à tous les lieux que tu veux tant qu’on est nus, collés l’un contre l’autre » dit-il avec un sourire amusé tandis que ses doigts se glissaient sous son menton pour lui redresser son si joli visage. « Babe, on est mariés pour le meilleur et pour le pire donc inutile de me remercier… Tu as beau être une casse-couille en puissance, tu as des excuses : tu portes deux Maconahey en toi… Donc si je dois accuser quelqu’un d’être casse-couille, c’est eux, pas toi »

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    Lien du postJeu 15 Fév 2018, 22:06
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      La réponse de Paris ne m’étonna pas plus que cela. Elle avait beau avoir été donné sur le ton de l’humour, je savais très bien que dans le fond, la façon qu’imaginait Paris de me faire pardonner, n’étais pas à prendre à la légère. Et d’ailleurs, tout en y réfléchissant, je me disais que ce ne serait que pure justice pour lui…Et pour moi aussi, soyons honnête ! Son corps me manquait, nos ébats me manquaient aussi, tout autant qu’à lui. C’est bête, mais plus je me sentais affreusement grosse ou laide, plus j’avais besoin de ses bras ou de sa peau…mais le problème, c’est que dès que je me laissais aller dans ses bras, je me rendais compte que je ne pouvais pas me présenter ainsi à lui. Je ne me sentais pas assez…belle ? ou présentable ? ou sexy ? ou attirante ? je ne sais pas, sans doute un package de tout. En somme, je ne me sentais pas à la hauteur de sa beauté à lui. Mais ce soir ? Ce soir, je dois bien avouer que je me sentais soudain assez volontaire pour mettre mon cerveau sur OFF et accepter de me laisser aller à des caresses qui me manquaient tellement.

    Paris me rappela que je n’avais pas à le remercier, et adoptait donc un comportement plus sérieux que pour sa première réaction, et moi je secouais la tête, le contredisant : « non, non, non…je …je tiens vraiment à te remercier » lui déclarais-je alors que je me pinçais les lèvres et que mes mains glissaient de ses épaules à ses bras, montant et descendant pour initier une caresses qui laissait présager mon humeur badine. « Et…à tout bien réfléchir….je crois que tu as raison. » cette fois-ci, Parsi pouvait constater mon air mutin et mon sourire en coin alors que je continuais à lui parler : « Corps nus. Lit…toi, collé à moi. C’est très tentant » tout aussi tentant que les autres fois où il me les avait proposé. A une différence près : Avant, c’est lui qui initiait l’idée et moi j’hésitais, tergiversait avant de me laisser convaincre, pour mieux fuir quelques instant après malheureusement…Mais là, je n’hésitais pas ! Clairement, je faisais comprendre à Paris que j’étais plutôt intéressée par nos retrouvailles corporelles. Il faut dire que j’avais chaud depuis tout à l’heure, et que je me sentais bizarre. Un peu légère…ou un peu…enfin je sais pas, mais je sentais que quelque chose était en train de changer en moi et du coup, je voulais en profiter avant qu’il ne soit trop tard ! « Après j’hésite un peu quand même….Lit ou…ici ? »


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      Summer & Paris

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      ALERTE ROUGE !! ALERTE ROUGE !! Summer affichait un air qu’il lui connaissait bien car c’était celui qu’elle arborait dès qu’elle voulait obtenir quelque chose de diablement pas catholique avec lui. Sa libido se réveilla en râlant, pestant qu’il n’avait pas intérêt à la réveiller pour rien sinon, elle serait capable du pire. Est-ce qu’il y avait viol si un mari forçait sa femme en lui tapant sur la tête avec un oreiller pour lui faire rentrer dans l’esprit qu’elle était simplement sexy ?! Bon, certainement. Paris n’irait jamais jusque là mais il crevait d’envie de lui faire l’amour depuis des semaines qu’il n’avait qu’une hâte : qu’elle dise oui. Or là, c’était elle qui initiait le mouvement… Une petite voix lui souffla que ce n’était pas la première fois qu’elle lui faisait le coup pour le laisser limite au bord des larmes, la bave au coin de la bouche… L’image n’était pas glorieuse mais qui a dit qu’un homme sexuellement frustré et obligé de redescendre en pression tout seul, l’était ?! « Non personne ne réfléchit… On bannit ce mot de notre vocabulaire ! Sérieux, c’est quoi réfléchir ? ça veut dire quoi ? Moi je sais pas… Absolument pas » dit-il avec un sourire idiot alors qu’il frissonnait en sentant les mains de sa femme lui caresser les bras, les épaules. Le jeune homme qu’il était avait limite envie de crier victoire et de faire la pose à la Ussain Bolt. « Très très tentant même et tu sais ce qu’on dit sur les tentations ? Il vaut mieux y céder car sinon cela crée des ulcères, des trucs vraiment pas jojos en soi. Pour ta santé mentale et physique bébé, laisse-toi aller… Au pire, tu fais l’étoile de mer, je m’occupe de tout » réplique-t-il, un peu craintif qu’elle ne mette fin au délire. Ce serait le pire des scénarios mais elle semblait réellement partante. Pas de crainte ou d’appréhension dans son regard bleuté… Putain, il allait y avoir le droit ENFIN ! Finalement, retirez tout, il adorait la saint valentin, il kiffait même cette journée de l’amour. L’année prochaine, il brûlerait un cierge ainsi que les années suivantes. « Je vais être grand prince, je t’accorde le lit mais embrasse moi tout de suite bébé, histoire de m’assurer que tu es toujours aussi partante » dit-il en l’embrassant langoureusement, le tout, en profitant pour la soulever dans ses bras et la conduire jusqu’à leur chambre où il l’allongea sur le lit, avec toutes les précautions du monde. Paris ne tarda pas à enlever sa chemise, apparaissant torse nu. Oui, il voulait gagner du temps ! Hey sait-on jamais, il n’avait pas envie que son cerveau se réveille entre temps.

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      Summer & Paris

      Libérée, Délivréééé !!

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      J’avais envie de rire, parce que je trouvais que Paris pouvait agir avec beaucoup de connerie, mais dans le fond je savais que Paris pensait que j’allais rebrousser chemin. Il le craignait même, c’était limite compréhensible en même temps : combien de fois j’avais pu le mettre sur la touche après l’avoir chauffé comme une braise ? Je m’en voulais d’ailleurs pour toutes les fois où je n’avais pas su éteindre cette petite voix dans ma tête. Mais pour le coup, aujourd’hui, j’avais envie de faire tous les efforts du monde. Et encore ! en soit, ce n’était pas un effort : c’était une envie ! Une envie réelle de succomber aux charmes de Paris et de regoutter à sa peau, à son corps. Rien que d’y penser, j’avais encore plus chaud que pendant le repas.

    Je riais franchement à ses paroles, avant de lui répondre un tout aussi franc « Pfff, T’es con ! » mais bien évidemment, vu mon sourire il s’avait que c’était à prendre avec humour. Le connaissant, il doit même être fier de sa connerie. Cependant, moi, je continuais de me montrer sérieuse dans mes intentions, redoublant de caresses sur ses bras et ses épaules, allant même jusqu’à faire voyager mes mains sur son torse dont les formes se dévoilait sous mes paumes. « étoile de mer ?! Mon cœur, même avec toute volonté du monde, je ne pourrais pas adopter cette posture. Ce ne sera ni fun pour toi, ni fun pour moi ! » lui rappelerais-je tout en rigolant alors que Paris comprenait finalement que là, j’étais clairement fin prête à passer à l’étape supérieure, et ce même s’il préférait tout de même une confirmation avec un baiser. Je ne me fis pas prier pour répondre au sien, gémissant même contre ses lèvres alors que mes mains entouraient son cou pour l’attirer encore plus vers moi !

    Je sentis Paris s’abaisser un instant, pour mieux me soulever et même si j’avais eu peur sur l’instant d’être trop lourde pour lui – et avoir failli lui dire de ne pas tenter de me soulever – je le laissa faire, pour mieux constater avec admiration qu’il avait réussi à me porter pour m’emmener jusqu’à la chambre. Une nouvelle onde de chaleur me parcourait le corps alors que mon époux m’allongea sur le lit, et je grognais même de frustration au moment où il mit fin au baiser en s’écartant de moi. Dressé devant le lit, et déterminé, Paris retira sa chemise, me faisant découvrir ce torse que je n’avais pas arrêter de fixer quelques instants plutôt. Un sourire gourmand se dessina sur mes lèvres, et à nouveau je sentis une nouvelle boufée de chaleur…Woaw, la vache, qu’est-ce qu’il se passe ? Ca fait si longtemps que ça ??...oui, une éternité en fait. Sans doute pour cela que mon corps réagit au quart de tour. J’ai l’impression d’être une vraie bouillante, mais je m’en moque complètement. J’ai envie de Paris, j’en crève tellement j’ai besoin de le sentir contre moi ! Il resta planté un instant devant moi, comme si il attendait quelque chose de ma part. Une directive ? non…il attendait un éventuel STOP ! Ca se sentait. Mon dieu, voilà à quoi j’ai réduit mon homme : à la peur d’etre à nouveau frustré sexuellement. Y’a pas pire femme que moi !

    Je me recalais un peu plus confortablement dans le lit, tentant d’adopter comme je le pouvais une position « transat » tout en laissant mes yeux se délecter de la vue. Et comme je voyais Paris attendre après moi, je fus soudain prise d’un brin de coquinerie en exigeant « Enlève-tout ! Maintenant, devant moi ! » Et levant une main, je désignais sa ceinture, me mordant la lèvre « Commence par elle….le plus doucement possible » en gros, mon cœur, fais moi un séance strip-tease, j’ai trop envie que tu me fasse languir !

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    Lien du postJeu 15 Fév 2018, 23:12
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      Summer & Paris

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      « C’est pour ça que tu m’as épousé non ? » la taquinait-il de bon cœur. Summer était une des rares personnes qui pouvaient lui dire «t’es con » sans déclencher sa colère. Il savait pertinemment qu’entre ses lèvres, cela équivalait à une marque d’affection. Le couple se connaissait beaucoup trop pour s’arrêter à ce genre de choses. D’ailleurs, n’avait-il pas dit une fois, pour plaisanter quand elle lui avait confié que dans l’urgence d’un réveil matin trop tardif, elle avait oublié de mettre une petite culotte sous sa jupe ?! Figurez-vous que ce jour-là, il avait lâché un « La saloooope » en rigolant. Certes, ce n’était pas son moment le plus glorieux mais il avait bien rigolé quand elle lui avait balancé un coussin du canapé. Il avait par contre, beaucoup moins rit quand Ashlynn qui avait tout entendu, s’était écrié en pleine crèche en voyant un camarade se faire changer la couche : ooooh la zalope. Oui, Summer avait bien ri en l’envoyant répondre comme un grand, à la convocation de la directrice de crèche. Les joies d’être père ! Bon, honnêtement, si on accusait uniquement la génétique, Paris vous avouerait que selon la légende urbaine, son premier mot avait été vagin. Grace en rigolait toujours… Mère indigne !! « Bon d’accord, j’admets que même si je suis particulièrement souple, je ne pourrais pas jouer à Rocco Sifredi dans cette position… Disons qu’on va inventer un nouveau concept : l’étoile de mer latérale » répondit-il avec un sourire charmeur mais non dénué d’amusement. Il n’avait pas envie de dramatiser la situation au risque qu’elle ne fasse machine arrière. Monsieur voulait vraiment son câlin et il ne reculerait devant rien pour l’avoir.

    Et certainement pas devant une demande aussi officielle pour avoir un striptease. « Toi, je savais en fait, que tu kiffais mon passé de stripteaseur » lâcha-t-il tandis que ses doigts effleuraient la boucle de sa ceinture avec une lenteur exacerbée. Poussant le vice jusqu’au bout, Paris plongea la main dans la poche de son pantalon pour attraper son téléphone et y mettre une musique parfaite pour un petit striptease. Du Joe Cocker évidement. Puis, accompagné d’un déhanché dont il avait le secret grâce à des années de pratique de danse (merci les danses latines), il entama un striptease alléchant. Les yeux plantés dans ceux de sa femme, le Dunster accompagné chacun des mouvements de son bassin par un effeuillement sensuel et lascif. Sa ceinture termina même sa course aux pieds de femme avant que ses doigts n’attaquent les boutons de son pantalon. En dessous, il portait un boxer noir, mettant en valeur sa virilité qui peu à peu, s’éveillait. Il faut dire que voir le regard aussi désireux de Summer avait de quoi éveiller les passions. Le pantalon échoua finalement à ses pieds tandis qu’il s’attaquait à son boxer… La tension montait.

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    Lien du postJeu 15 Fév 2018, 23:56
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      Summer & Paris

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      Si on y regardait de plus près, je suis sûre qu’en scrutant dans mes yeux, n’importe qui pourrait y avoir un feu d’artifice éclore dans mes pupilles dilatées ! C’est simple, je prenais goût au spectacle, il n’y avait aucun doute là-dessus. Je suivais les mouvements de mon homme, mes joues rougissantes et mes lèvres n’osant pas sourire à pleines dents, parce que j’avais l’impression de ne pas avoir le droit d’apprécier autant ce striptease… j’agissais un peu comme une future mariée devant le stripteaseur réservée pour son enterrement de vie de jeune fille. A ça près que pour le coup, moi, j’aurais le droit de repartir avec le stripteaseur à la fin de la danse !!
    Je me mordais la lèvre, et d’un mouvement de poignet, venais rejeter des mèches de cheveux à l’arrière de mes épaules, ayant l’impression qu’elles me collaient tellement j’avais chaud. Et que dire de mon cœur qui palpitait à vive allure dans ma poitrine. Excitée comme une puce, j’attendais avec impatience, et en même adorait la lenteur d’adoptait Paris dans ses mouvements. Seulement au moment où il commença à s’attaquer à son boxer, il fallait que j’émette une objection « Ah non…attend » me précipitais à lui dire tandis que je tentais de me redresser avec le peu de souplesse qu’il me restait. « Celui-là, je m’en charge ! » déclarais-je alors que de mes deux bras tendus vers lui, j’agitais les doigts comme pour lui dire de se dépêcher de venir me mettre son petit derrière entre mes mains. Je pris assise sur le bord du lit et attendait que Paris me rejoigne, et là encore, une nouvelle bouffée de chaleur me parcouru le corps « Il fait super chaud ici, ou c’est moi ? » lui demandais-je à tout hasard alors que mon attention sur le boxer reprenait très vite le dessus sur ma curiosité.

    Face à moi s’éveillait un Junior que je devinais car toujours emprisonné de ce tissu noir autour de la taille de Paris. Délicatement, je passais mes mains sur les hanches du Dunster, caressant son abdomen au passage, puis le haut de ses cuisse musclés, avant de caresser les extérieurs. Je prenais clairement mon temps, tandis que la température, grimpait et grimpait en moi, me faisant perler une tout petite goutte de sueur sur mon front à la naissance de mes cheveux. J’en faisais totalement abstraction, profitant d’avoir les mains de chaque côté des hanches de Paris pour le forcer à changer de position « Tourne-toi… » lui demandais-je tout en accompagnant son mouvement de mes mains, les paumes et mes doigts effleurant le tissu au passage. Je me trouvais ainsi nez à nez avec le petit cul tout musclé et bombé de Paris, et il est clair que j’avais envie de le croquer « Tu sais que je l’aime ton derrière ? » lui déclarais-je amusé, en gloussant légèrement, allant même jusqu’à lui infliger une toute petite -mini- claque que son fessier « Je te jure, j’ai envie de mordre dedans ! » était-ce mon côté gourmande au possible qui me donnait des envies bizarres ?? non !! Paris me connaissait. Parfois j’avais des lubies bizarre. Et c’était pas la première fois même que je lui avouais ce fait. Une fois, j’avais même été jusqu’à réellement croquer dans l’un de ses fesses – sans faire mal, bien évidemment – pour le faire se réveiller afin d’assouvir mon envie sexuelle du matin ! Ouais je suis sadique, mais en même temps je suis sérieuse : ses fesses sont véritablement à croquer !!

    Bref, je caressais son joli petit derrière quand une nouvelle bouffée de chaleur me prit, et n’y tenant plus je demandais franchement « Paris, sérieux, tu voudrais pas aller voir si le radiateur il est pas àfond là ou quoi ? parce que je crève de chaud… » Okay j’avoue, les hormones, ça travaille. Ca et le désir que j’ai pour mon homme ne m’aide pas ! Mais j’ai clairement pas envie d’être en sueur avant même qu’on est commencé quoique ce soit !!


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    Lien du postLun 19 Fév 2018, 22:58
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      Summer & Paris

      Libérée, Délivréééé !!

    (je peux maintenant pousseeeer ♪)

     

      Paris entendait presque le son des cloches de l’église et le gospel chanter « oh happy days » tant l’idée de faire à nouveau l’amour à sa femme l’enchantait. Il n’y avait pas à dire, il adorait les moments privilégiés avec Summer. Certes, il aimait également simplement discuter avec elle, faire des activités etc. Ce n’est pas la question. Bordel, il voulait juste s’envoyer en l’air ! Ce n’était pas plus compliqué… L’amour platonique, ce n’était clairement pas pour lui. « Tu sais que tes doigts lui ont manqué ? Je t’assure, il pleurait encore ce matin en mode, je suis un caliméro, elle ne m’aime plus. J’ai passé un temps fou à le consoler » la taquine-t-il. Summer savait très bien qu’il ne cherchait pas à la culpabiliser. Paris avait beau avoir des défauts dont la goujaterie par moment, il n’était pas cruel avec son épouse. Il savait combien c’était difficile pour elle de voir son corps ainsi transformé. Summer avait connu des problèmes avec l’anorexie quand elle était adolescente et depuis sa guérison, elle avait tout fait pour contrôler son poids. Or, avec la grossesse, elle ne pouvait plus le faire. Paris avait cherché à être le plus rassurant possible, lui confiant combien il la trouvait belle et sexy mais ses vieux démons l’avaient reprise. Aujourd’hui, elle semblait au contraire, prête à les mettre de côté et rien que pour cela, il en était heureux. C’était tout con mais pour lui, c’était une preuve qu’elle reprenait du poil de la bête. « Babe, tu n’es pas obligée d’en faire des tonnes, j’ai compris que je te faisais de l’effet et que tu avais envie de moi » rit-il légèrement sans se douter qu’il allait une nouvelle fois, devoir se la mettre derrière l’oreille. Non, il était inconscient de cela, porté par son désir de la posséder à nouveau car faire l’amour à Summer, c’était sa façon à lui de se rassurer.

    A son ordre à peine voilé, il se tourna, lui offrant la vision orgasmique de son derrière musclé. « Oui je le sais… Cela me rappelle un certain réveil » dit-il d’une voix rauque avant de froncer les sourcils. « Summer, tu te rappelles que le radiateur fonctionne pas ? Je te sers suffisamment de bouillotte tous les soirs pour t’assurer que la température est à la limite d’être supportable » répondit-il. Il ne faisait pas froid à ce point-là car le couple avait installé un petit chauffage d’appoint mais ce dernier était en veille pour le moment. Il ne chaufferait que dans une heure ou deux. Paris se retourna et posa sa main sur le front moite de sa femme. « Tu es chaude et j’y suis pour rien… Tu es sûre que ça va ? » demanda-t-il inquiet pour le coup. « Je crois que junior va pouvoir se recoucher… allonge toi sur le lit, je vais aller chercher le thermomètre… Dire que je pensais pas en arriver là ce soir… Dommage, ça sera pas aussi imposant que junior » tentait-il de dédramatiser.

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