Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitythey'll never tear us apart • Athénaëlle
I LOVE HARVARD
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  • they'll never tear us apart • Athénaëlle
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    — with Athénaëlle



    Boston.

    J'avais passé toute la soirée et la nuit avec Aymalyne. On s'était chauffé pendant la journée d'hier par SMS comme des fous et en ce moment, je ne sais pas ce qu'il nous prend mais on avait besoin de ça, besoin de se retrouver au lit, de coucher ensemble, de s'embrasser et de se sentir. C'était comme une obsession. Elle était devenue mon obsession rapidement. Depuis Londres j'avais des envies d'elle, des pulsions. Et aujourd'hui nous voila où nous sommes. Ces pulsions prennent tout de moi. Et je ne veux même plus quitter Aymalyne, ni son lit. Car dès qu'on se regarde, on comprend et on repart encore pour un autre épisode de baise bestial. Bon bien sur ça nous arrive de dormir, et elle aime se blottir contre moi même si elle me dit que je bouge beaucoup la nuit. Mais je réfléchis beaucoup à la base en ce moment. Surtout avec mon couple qui n'est plus un couple, bref je pense beaucoup à Athénaëlle voila. Hier soir je l'ai envoyé boulet simplement en lui disant que j'étais entrain de coucher avec Aymalyne quand elle m'a demandé si je couchais avec d'autre nana. Ba bien sur que je baise d'autres personnes même si en ce moment Aym est la seule. J'ai besoin que d'elle pour me satisfaire et pour l'a satisfaire. Une fois que Ayma était endormit, j'avais pris mon portable pour envoyer des messages à Athé, hélas ils sont revenus comment? Direct, en me disant que j'avais été bloqué par ce numéro. Mais WTF? J'étais énervé c'est clair. Le lendemain matin j'étais partit au travail simplement sans faire de chichi même si Aymalyne voulait que je reste. Bon voila on avait encore couché ensemble juste au moment où j'allais partir mais bon elle m'a sortit  la phrase "toi en costume  t'es putain de baisable" voila.. Elle était en nuisette je peux pas résister. Je ne suis qu'un homme. Bref. J'étais au bureau, j'avais une cliente à voir, puis après j'étais libre. Je regardais sur internet l'adresse d'Athénaëlle, comme rentrer dans son appartement. Je passe plusieurs appels autour de moi. Je connais des gens qu'il ne faut pas qu'elle apprenne. Puis ils me donnent toutes les informations. Ca a du bon d'avoir été élevé dans une famille d'avocat avec des relations. Vous en faites pas je vais devenir puissant un jour ils vont tous rien comprendre à leur petite vie de minable. Certaines personnes ne savent pas encore ce qu'Andrew Spector peut avoir derrière la tête. Ohh non.

    Enfin bon 19h pétante. La nuit était tombée enfin. J'arrive vers Athénaëlle, avec mon sac. J'entre chez elle et je regarde autour de moi. Elle n'est pas là, pas encore. Je souris, puis sans allumer la lumière pour ne pas attirer les regard, j'avais avec mon flash. Elle allait pas tarder à rentrer, je le sais, je pars du coup dans sa chambre qui était à l'étage pour me changer. Je sors les affaires de mon sac et j'enleve ma chemise, j'enfile un autre pantalon car je ne voulais pas tuer mon pantalon de costume. J'avais tellement envie de lui montrer maintenant que c'était moi le contrôle. Elle veut en faire qu'à sa tête très bien. elle va voir de quoi je me chauffe. Je sors de mon sac un ruban rouge, une spreader Bar et je pose ma cravate non loin. D'un coup j'entend la porte d'ouvrir. Je sors de sa chambre discrètement. Je descend les marches sans faire de bruit. "Athénaëlle..." J'avais le ruban rouge dans ma main, j'étais juste en pantalon et pied nu. Mon regard se plante dans ses yeux, un regard noir, un regard qui veut tout dire. Je l'embrasse d'un coup en lui tenant le menton. "Alors comme ça on me bloque?" Dis-je en jouant avec le ruban rouge dans les mains en le serrant. Elle ne me connait pas encore. Pas assez.

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    Lien du postMer 7 Fév - 22:10
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    — with @Andrew T. Spector

    Oui. Oui pendant que toi tu ne fais rien, que tu reste sage et laisse simplement Ernesto te draguer et Franklin te charmer tout en réservant ton corps pour Andrew, lui il baise avec d'autres. Tu soupire en lisant la réponse qui te frappe en plein cœur, qui te martèle la tête. Tu ressent un profond néant en toi, comme si la vie venait de t'arracher le cœur sans anesthésie. Sur la frénésie de la rage et de la colère, tu te moque de lui par message, lui apprenant qu'il est entrain de perdre le contrôle et tu le bloque. Psychologiquement tu bloque son numéro pour reformer cette carapace que tu avais contre l'amour. Ce sentiment qui aujourd’hui encore te détruit, tu ne veux plus jamais le ressentir. Ta rage que ne sais pas contrôler laisse les larmes te monter aux yeux et l'une d'elle perle le long de ta joue pour s'écraser sur ta main, tu crève de douleur à cet instant, tu préférerais mille fois plus être torturer par un sauvage, que de ressentir cette peine, ce vide en toi. L'amour qui t’échappe peu à peu, sans que tu ne puisse rien y faire, ça te broie les tripes, sa t'achève. Mais tu es une personne forte, et la mort ce n'est même pas envisageable. Tu empoigne ton téléphone et contact Ernesto, tu as un immense service à lui demander. Souffrira bien qui souffrira le dernier, oups c'est pas ça le dicton ? Tu te prépare, bientôt un plan machiavélique va se refermer sur celui que tu aime et toi. Tu rentres finalement très tard chez toi, après avoir mis à exécution ton plan. Tu regarde ta main, tout en ouvrant la porte de chez toi. Lissandre part se réfugier dans sa chambre que tu lui autorise à avoir chez toi. Ce nouveau Penthouse que tu viens d'acheter la semaine dernière. Andrew aime le simple ? Rien que pour être certaine qu'il ne poserait jamais un pied chez toi, tu avais frapper fort dans le luxe. Espérant encore une fois imposer une barrière entre lui et toi.

    Lendemain, six heure du matin. Le réveil sonne et tu n'as pas envie d'aller en cours, alors tu va tout simplement voir ton père qui pour une fois est chez lui. Tu déjeune avec lui dans un somptueux restaurant et il t'accompagne faire le boutique, t'offrant tout ce que tu trouve de chouette, même si clairement tu aurais pus tout acheter toi même. Ton paternel essaye d'aborder le sujet de ta vie sentimentale et de ta grossesse, et fière comme Artaban, tu lui répond que tout vas très bien et que Andrew est très épanouis dans son stage, que votre couple et une réussite concrète. Mentir te dévaste, surtout su ce sujet. Tu aurais aimé que tout soit vrais, qu'il y est un « vous » mais non sa n'existe plus ! Tu n'en veux plus de ce poison de l'amour et de cette unions cataclysmique pour ton bien-être émotionnelle. Tu n'est pas fragile, mais pour une fois, tu te retrouve plus bas que terre. La journée ce termine, trop rapidement à ton goût. Lissandre te conduit au pied de l'immeuble au sommet duquel se tiens ton Penthouse. Tu lui à accorder sa soirée et sa nuit pour rester auprès de son fils. Tu soupire dans l'ascenseur, unique accès privé et personnel à ton logement. Un ascenseur rien que pour ton logement et ne donnant sur aucun autre. Un petit bruit retenti tu es arrivé. Encore une fois tu va devoir assumer la solitude d'une nuit durant laquelle tu ne trouvera pas le sommeil. Tu dépose ton sac sur la grande table qui se trouve dans l'entrée de ton logement. Tu reste dans la peine ombre, les immense baie vitrée et la vue sur Boston éclaire un minimum ton intérieur. Tu te résous tout de même à allumer une lumière quand d'un coup tu entend ton prénom. « Andrew ! Mais qui t'as laissé entrée bor... » tu n'as pas le temps de le dire, ce petit mot : bordel, qu'il t'attrape le menton et t'embrasse sans prévenir. Son regard noir sur toi, cette façon d'être si peu vêtus, tu as limite l'impression qu'il va te violer. Et puis c'est quoi ce ruban rouge ? Il joue à quoi ?! Tu fronce les sourcil tout détournant ton visage. « Que-est-ce que tu fou ?! » tu demande, autoritaire, froide. Il te pose à son tour une question. Tu soupire et lève des yeux au ciel « Oui et alors. »  ta réponse est sans appel, oui tu l'as bloquer, et non il n'as rien à dire. Ta petite robe noir du jour est très élégante, mais tu à légèrement qu'une envie, te doucher, et te coucher. Tu plante ton regard noir dans le sien. Qu'allait-il te faire ? Tu lève les yeux une seconde fois au ciel et ris légèrement. « Tu as fini ? » c'est tout ? Vraiment tout ce qu'il attendez de toi ?

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    Lien du postVen 9 Fév - 2:14
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    — with Athénaëlle



    Boston.

    Je ne supporte pas quand on me tient tête, c'était quelque chose que je déteste. Je ne sais pas pourquoi mais c'est comme ça. Peut-être que le fait d'avoir toujours tout eu dans ma vie ça aidait. J'ai jamais aimé de ne pas avoir le contrôle et je trouve que je ne l'ai plus depuis longtemps avec Athénaëlle et ça me saoule. C'était elle que j'aimais maintenant mais avec ses conneries elle me pousse dans les bras de mon ex. Aymalyne et moi avons eu certes de beaux moments ensemble mais ça ne sera plus pareil, plus comme avant.
    Sauf si bon... On continue à se rapprocher comme nous le sommes maintenant. Car je ne vais pas mentir mais dormir avec Ayma cette nuit m'a fait du bien. Mais bon elle ne sera pas Athénaëlle qui elle m'a donné vraiment tout l'amour dont j'avais besoin. C'était ça en faite ce que j'avais besoin de ma vie, une femme qui m'aime réellement. J m'en fous qu'elle soit riche ou pas. Simple ou pas. Je m'en fous de tout ça. Maintenant à l'heure actuelle je veux retrouver la femme que j'aime et surtout celle qui porte ma fille. Je ne suis pas là pendant le processus de la grossesse et ça me casse les couilles. Je suis le père et en plus de ça j'assume amplement. Enfin, j'étais dans son appartement, il était immense,
    grand. Je regarde autour de moi, j'aime bien mais la déco était quand même assez simple, je ne m'attendais pas à ça d'elle. Je ne trouve pas son caractère dans sa décoration, c'est pas la Athénaëlle que je connais. Elle veut se donner un style mais lequel? Je ne sais pas réellement. Enfin bon si elle voyait mon appartement à moi ça ne donnerait pas la même chose. On a un peu près les mêmes gouts mais bon j'aime la saouler avec le fait qu'il faut aimer la simplicité. En tout cas dans cet appartement elle ne l'a pas. J'entend un bruit, c'était surement elle. Je descend du coup les marches doucement en la regardant. Dans mon regard on pouvait voir que j'étais énervé, que je voulais totalement la punir. Lui montrer de quoi j'étais capable. "Tu me connais mal. Quand je veux quelque chose, je l'ai." Je souris, elle n'a pas besoin de savoir comment je suis rentré ici, ni par qui et encore moins pourquoi. Mais je suis ici et j'ai réussis en effet à entrer, à passer la sécurité de la grande Wildingham. On m'avait quand même prévenu quand j'ai commencé à sortir avec elle. Qu'elle allait me faire souffrir mais je veux lui montrer ce qu'elle perd en étant plus avec moi.

    Je m'avance vers elle mon regard dans le sien. Elle s'attend à quoi? Elle regarde le ruban que j'avais dans les mains. Je souris en lui faisant un clin d'oeil. Si seulement elle pouvait savoir ce que j'avais en tête. "Tu sais très bien que j'aime pas ça quand on me tient tête..." Je me colle à elle d'un coup. "Non! Retourne toi maintenant! " Je sers plus fort ce petit ruban rouge. Elle ne veut pas se retourner en soutenant mon regard.
    Tanpis! Je lui prend les bras et je l'a retourne d'un coup, mettant le ruban sur ses cheveux et faisant un noeud. Très bien. Elle ne veut pas m'écouter? Ba elle va m'écouter vous en faites pas. Je vais lui montrer qu'est ce que ça me fait quand elle m'écoute pas. Comment ça me saoule à l'intérieur et combien ça m'énerve. Je veux lui montrer tout ça. "Suis moi!" Je l'a prend sur mon épaule comme un sac à patate en lui donnant une fessé rapidement. Sa petite robe me donne qu'une envie de lui enlever et de l'a baiser brutalement la maintenant. Elle n'est pas consciente en faite de ce qu'elle me donne comme envie. Une fois arriver dans sa chambre à l'étage. Je l'a balance sur le lit en me mettant à califourchon sur elle. Je prend ma cravate pour lui attacher les mains au lit. Serrant bien. "Comme ça tu ne bougeras pas!" Je l'embrasse sauvagement lui mordant la lèvre. Elle ne m'a jamais vu comme ça. Je ne sais pas si ça va lui plaire mais je m'en fous. J'en ai marre d'être le mec adorable et gentil. Me laisser marcher dessus, oh non je ne veux pas.  

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    Lien du postVen 9 Fév - 2:59
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    — with @Andrew T. Spector

    Libère toi de tes entrave, tu dois te réveiller ce n'est qu'un mauvais rêve, il n'est pas ici devant toi, pas après cet apocalypse qu'il à crée entre vous. Pas après ce que tu as fais. Dans toutes ces ténèbres tu aurais aimer trouver un soupçon de lumière, mais non il n'y en avais aucune, tu avais le cœur brisé depuis hier, depuis son message. Tu l'observe et il s'approche de toi t'embrasse, tu le défis, le toise de ton regard noisette, sourire aux coins de lèvres pour le provoquer, rire pour le rendre fou, tu veux qu'il craque, qu'il te dise qu'il t'aime et qu'il veux avoir cette discutions, tu étais loin de t'attendre à ce qu'il allait te faire. L'homme que tu aime te tire contre lui. Tu soupire et annonce « Et bien moi je te tiens tête. » Tu vas pour te dégager de son emprise, mais il te donne un ordre. Ton regard intriguer, la respiration qui s'accélère, tu ne lui connaissais pas ce côté si autoritaire, limite effrayant, et pourtant si excitant. Tu te mordille la lèvres inférieur en lui faisant face, comme si tu avais l'impression d'avoir faire une bêtise, alors que tu n'as rien fais. Surprise tu n’obéis absolument pas à son ordre. Et il te retourne d'un coup, tu en frissonne tant tu est encore plus surprise et tu n'ose plus bouger. C'est parfois effrayant de sortir de sa zone de confort, de ne plus avoir d'emprise sur la situation. Il noue le ruban rouge dans tes long cheveux blond, et tu ne comprend pas le but de cette acte, mais tant pis tu hausse les épaules. « Non. » protestais-tu à son ordre de le suivre.

    Visiblement tu n'as pas vraiment ton mot à dire puisque alors que tu te refuse à la suivre, et que toi tout ce que tu attend c'est une discutions, lui le prend tout autrement, en réalité c'est toi qu'il prends sur son épaules comme un vulgaire sac à patates. Tu soupire, tu comprend que ce n'est pas parler qu'il veux, et dans le mélange insoutenable des sentiments qui caractérise votre relation, celle de l'envie de l'autre à été un tabou c'est dernier temps. La chambre ce dessine peu à peu et sans ménagement te voilà jeter sur le lit, ce lit où personne n'as dormis pas même toi, non tu n'avais pas la force de dormir dans un si grand lit sans lui, alors toi tu dormais sur le canapé, avec une vulgaire couverture polaire. Tu plante ton regard sur lui alors qu'il se met à califourchon sur toi dans l'unique but de t’immobiliser. Il t'attache aux lit, et là te sais que c'est terminé, qu'il n'y aura pas de discutions avant qu'il ne t'ai baiser au moins toute la nuit. « Andr... » Tu n'as rien le temps de dire, qu'il t'embrasse sauvagement, te mordant même la lèvre. Tu pousse un soupir, oui tu le veux, tu l'aime, mais putain pas comme ça, enfin si de cette manière si il veux, mais pas avant cette foutue discutions merde ! Tes yeux de biche se pose dans les siens dès lors qu'il daigne te regarder. Si il veux jouer à ce jeu il va perdre. Les yeux dans les siens, tu hoche légèrement la tête sur le côté. « C'est tout ce dont tu es capable ? » Vas-y putain ! Tu à envie qu'il te prenne toute la nuit.

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    Lien du postMar 13 Fév - 21:01
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    Lien du postVen 2 Mar - 10:38
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