Heroes are made when you make a choice. Oui réellement, et toi tu avais enfin fais ton choix, celui d'aimer Andrew plus que de raison, terminé les message stupide que tu avais envoyé à Noah, tu avais même remis ton portable à zero pour ne plus voir ces vestiges maléfique du passé, de ton passé affectif. Aujourd'hui tu as aussi fais le choix de te battre, de te relever. Aujourd'hui tu as fais le choix de donner toute tes forces dans ton combat. Le kiné t'encourage, tu es debout, et tu te tiens à ses rampe qu'il à installer de chaque côté de toi. Tu fronce les sourcils, tu te lâche, mais tes jambe vacille et tu tombe. Le médecin veut t'aider, mais tu le repousse verbalement. Hors de question pour toi de te laisser abattre. A la force de tes bras tu te soulève et tu recommence, encore, puis encore, jusqu'à finalement réussir à faire un pas, puis deux, mais se sera tout, tu retombe d'épuisement peut-être pour le coup. Tu te sens fière de toi, comme une enfant qui aurait fais son premier. Au détour de ton regard tu vois Andrew présent dans le coin de la pièce et tu lui souris. « Se sera tout pour aujourd'hui merci. » ordonne tu avec douceur au spécialiste présent, ce dernier s'en vas et laisse le prochain rendez-vous sur un papier, dans deux jours. Tu lance un regard vers Andrew alors que Lisandre te remet dans ton fauteuil et te laisse ensuite seule avec ton homme.

« Tu as vus chéri, y'as du changement. » ton petit corps frêle te soutiens enfin et toi tu en est fière même si pour en arriver là tu en à chier clairement. Tu use du peu de force qu'il te reste dans les bras pour faire rouler ton fauteuil jusque devant Andrew, tu attrape ses mains et tu te hisse debout, devant lui. Tu profite de se moment dans ses bras pour pour venir dépose tes lèvres contre les siennes, enfin un baiser debout droite sur tes petites jambes. La petite tête blonde que tu es est super heureuse et tu souris, tu laisse même un rire t'échapper. « Je t'aime Andrew. » Tu sens tout de même que tes jambes sont fatiguée et que tu risque de t'écrouler, bien que Andrew ne te laisserais jamais tombé au sol contrairement au kiné, tu lui souris et annonce d'une voix douce « Chéri, je crois que je devrais me rasseoir. » Tu souris, tu es redevenue une jeune femme forte et souriante comme avant, et sa il semble que sa plaît à Andrew.

Mon cours venait enfin de terminé. Je regroupe toutes mes affaires pour les mettre dans mon sac ainsi que mon ordinateur. Je regarde mes amis en rigolant par rapport à une blague qu'avait fait un autre au fond de la classe. Il y avait une bonne ambiance ici, ça change puis on est tous dans le même groupe et on veut tous arriver à nos fins. Après tout quand on y réfléchis, maintenant on savait tous ce qu'on voulait de notre vie. Je prend ma voiture sur le parking de l'université puis je pars en direction de chez moi. Mes potes m'avaient demandé si je voulais venir boire dans un bar avec eux mais je leur ai dis hélas que je devais aller m'occuper de ma chérie et que cela sera surement la prochaine fois. J'avais une famille bientôt à m'occuper, je ne peux plus m'amuser comme un adolescent.

Je roule rapidement, et j'arrive en bas de chez nous, je me gare dans le parking puis j'ouvre la porte. J'avais remarqué la présence de la voiture du médecin qui était là. Athé avait sa séance de Kiné à cette heure là c'est vrai. J'espère qu'elle va réussir à voir le bout du tunnel. Elle avait besoin de cela. Elle se levait depuis quelques jours mais ce n'était pas ça, je l'aidais aussi bien sur tous les matins avant d'aller en cours. Je l'a tenais par la main. Elle devait retrouver ses muscles, elle va les retrouver. Quand on était enfant après tout on a pas marché directement, il s'en ai passé du temps et des échecs. C'est pareil aujourd'hui. J'entre et je l'a regarde en souriant. Elle était debout sur les barres, elle était enfin là aussi belle et grande. Mon regard se remplis de joie, elle avance doucement, un pas puis deux. Elle relève la tête en me regardant et elle sourit. Elle compris que j'étais là et que j'allais toujours la soutenir. Je l'aime, il n'y a aucuns doute la dessus. Le médecin quitte la maison et je me retrouve seul avec elle, elle arrive en fauteuil vers moi. "Oui du grand progrès mon coeur. C'est génial. " J'aimerais tellement que tout soit comme avant, qu'elle marche, qu'elle court dans mes bras le soir quand je rentre des cours, que je l'a retrouve à l'université après son cour de politique comme avant. Mais pour le moment il fallait être patient. Elle se lève devant moi et avance pour finir dans mes bras. J'enroule mes bras autour d'elle et en l'embrassant, je prolonge. Ca faisait du bien de retrouver ma petite amie. "Je t'aime aussi Athénaëlle, et ça. N'en doute jamais." Je souris, puis je vois elle tremblait à rester debout. Je fronce le regard pour l'asseoir sur son fauteuil. Elle avait fait beaucoup d'effort ce soir, si elle veut on continuera un peu avant d'aller dormir. "T'es tellement rayonnante aujourd'hui mon coeur." Je souris en enlevant ma veste puis mes chaussures. Je pose mon sac sur la table, et je sors de mon portable de ma poche. "Comment c'est passé ta journée?" Je pars vers la cuisine pour aller prendre un verre d'eau tout en la regardant alors qu'elle se retourne toujours dans son fauteuil. Des fois j'ai encore du mal à m'habituer qu'elle doit rester assise dans ce truc là. J'ai une amie aveugle mais ce n'est pas la même chose.

Tu aime c'est petit moment que tu passe avec lui, sa te donne force et courage, et sa tu en manque un peu, alors chaque moment que tu vis avec lui, tu le savoure. Plus le temps passe, et plus tu te dit que outre le fait de reprendre l'empire de ton père, plus tard tu veux vivre d'amour et de beaux paysages, voyager et faire le tour du monde des plus beau endroit de la terre en famille avec ton homme et ton fils, car oui tu espère avoir un petit garçon, tu as tellement hâte que le médecin te dise le sexe de votre enfant, et surtout tellement hâte de savoir si il va bien suite à l'accident. Oui tu ne changerai ta vie pour rien au monde malgré ce fauteuil qui t'empoisonne l’existence. Dans les bras de ton chéri tu savoure le baiser qu'il prolonge, tu ferme les yeux, tu es heureuse, enfin heureuse, tu sais enfin ce que tu veux, et cette fois plus rien ne pourra t'empêcher de vivre ta romance tel que tu le souhaite, pas même un DBS mal léché qui fou son nez dans les affaires des autres. Parfois tu te demande comment Cole fais pour les supporter. Mais passons le sujet. Ton chéri te repose dans ton fauteuil. Rayonnante ? Tu ne trouve pas, tu te trouve exactement comme d'habitude toi, alors tu te regarde et tu rigole. « Ha oui j'ai du bronzé un peu à travers les vitre de l'appartement » nouveauté chez toi tu sort des blague au hasard, sans qu'elle ne soit vraiment drôle, mais tant pis tu essaye, tu essaye justement d'être rayonnante par ton sourire, ton humeur à toute épreuve, voilà ta façon d'être rayonnante. « Tu as un très joli cul chéri » dit tu en le voyant s'éloigner. Sa aussi c'est nouveau, ta façon de parler sans filtre à ton chéri, de lui dire ce qu'il te passe par la tête ans tabou.

Tu étais devenue très habile avec ton fauteuil roulant et rapide aussi, alors tu te dirige vers la cuisine et tu reste dans l'encadrement, l'observant, tu aime le regarder, le dévisagé avec un sourire collé sur tes lèvres. Ta petite frimousse blonde sort de ses rêverie lorsque tu l'entend te questionner sur ta journée. « Lisandre m'a emmener faire un tour au parc à 10h, mon cours de relations internationales à domicile à été de 10h30 à 12h et j'ai eu mon cours de politique de 13h à 16h, et le kiné de 17h à 19h. Et ta journée chéri ? » Oui tu oublie de dire si elle c'est bien passé ou no ta journée et c'est volontaire, pour le moment tu souffre encore de ton accident, et tu ne t'étale pas trop sur tes journée hormis les décrire comme on décrirais un agenda. Tu soupire, et détourne le regard rapidement vers le chat qui est encore entrain d'emmerder le chien. « MATCHO !! » le chat te regarde et viens vers toi pour se poser sur tes genoux et ronronner, putain il à le don pour t'amadouer se sac à puce. « Rappel moi chéri pourquoi j'ai ramasser ce vieux truc dans la rue ? » Tu rigole, c'est vrais que Matcho avais vraiment mauvaise mine quand tu l'avais trouver dans la rue il y a deux jours, et la il allait beaucoup mieux, mais il était toujours entrain de chercher de noisette à ton chien, qui lui heureusement ne lui disait rien, sinon en un coup de gueule il y aurais plus de chat. Votre vie été bien remplie avec ces deux là. « Tu vois n à déjà deux gros bébés. » dit tu en voyant ton chien s'allonger devant ton fauteuil avec sa paresse légendaire. « Andrew sauve moi je suis tombé dans une embuscade. » dit tu en rigolant et en agitant le chat de bas en haut tout doucement pour pas lui faire peur.

Rentré chez moi va me faire du bien après cette longue journée de cours. Je n'en pouvais plus, bon c'était la reprise du début d'année, normal après les fêtes et tout le reste puis surtout il fallait que je me remette de mes émotions. Cette semaine de vacances entre Noel et le Jour de l'An a été assez compliqué. enfin maintenant que ma chérie était de retour chez nous c'était mieux, je me sentais plus heureux. Malgré qu'on avait eu besoin de faire cette petite discussion, de se gueuler dessus. Pour ne pas changer mais après tout, un couple qui ne s'engueule pas ce n'est pas un couple n'est ce pas. Mais ça avait fait du bien, du coup maintenant ça allait mieux, on était repartit de zéro. On avait tout recommencé à partir du moment où elle avait envoyé ces messages à Noah, donc comme si il n'avait pas existé. Il fallait oublié ce moment du passé. Le fait que j'avais rejoins Aymalyne aussi. Tout. Elle me rend heureux, et en plus elle attend notre bébé. C'était le principal. On était jeune, elle était jeune mais tous les deux on s'en moque. Après tout elle est majeur comme elle me le dit si bien. Je dis qu'elle était rayonnante et elle me sort qu'elle avait bronzé à travers les vitres de l'appartement. Je lève les yeux en l'air. "Avec ce temps dehors? Tu le trouves où le soleil? Car dis moi je suis entrain de déprimer avec toute cette neige et ce froid perso." Je souris, puis je me dirige vers la cuisine pour prendre une verre d'eau. Je me demande comment elle me voit d'assise sur ce siège. Je suis grand, je vais 1m83, et elle était à même pas 1m de hauteur. Bon, mon esprit mal placé me fait dire qu'elle est à la hauteur parfaite pour me tailler la plus belle des fellations qu'il soit mais là n'est pas le sujet. Je rigole à sa remarque sur mes fesses. "Merci, merci, je les entretiens bien en sport." J'avais pas réellement de fesses perso mais bon si elle les aime, j'en ai de la chance. Puis de toute façon elle est la seule à les voir.

Elle me rejoint dans la cuisine aussi rapide que l'éclair, je m'assois sur le plan de travail en la regardant gardant mon verre dans la main et lui demandant comment c'était déroulé sa journée. Elle m'explique un peu le déroulement, elle a fait 2h avec le médecin c'est pour cela qu'elle est fatigué mais elle a raison, elle est persévérante! C'est super. Je suis si fier d'elle. Je suis surtout content qu'elle soit sortit au parc. "Oh t'es sortit dans le parc? Génial ça! Il t'as fait un peu marché la bas où t'es resté dans ton fauteuil?" Je sais qu'elle n'aime plus sortir réellement depuis qu'elle est en fauteuil, elle n'aime pas le regard des autres, je l'a connais bien. Je sors de mes pensées quand elle cri sur le chat qu'elle venait de récupéré. Cette grosse boule de poil. Je l'aime déjà ce petit mignon. Je secoue la tête. "Alors ça je ne sais pas quoi te dire, parce que t'es faible?" Je souris puis la regardant plus sérieusement. "Et...Sérieusement bébé.. Pourquoi l'avoir appelé Matcho?" Je rigole en secouant la tête il fallait bien que je le sache, c'était rare d'appeler un chat comme ça. Puis son chien débarque. Elle me dit que j'avais déjà 2 bébé ici. J'hoche la tête. "J'ai un zoo à la maison oui." Je prend le chat dans mes bras pour lui enlever du bras et je le caresse alors qu'il ronronne. Je le berce un peu comme un bébé quoi. Il faut que je m'habitue non? Dans... 6 mois elle va accouché. Bon j'ai le temps. "Parlant de bébé.. Tes nausées ça va?" Je fronce le regard, puis je relâche le chat qui part du coup plus loin dans l'appartement. Je me demande comme ça fait d'être un chat? Genre à part manger et dormir ça fait quoi? C'est une belle vie comme ce chien là devant Athé. Ca va pas à en cours au moins. J'ouvre le frigo pour regarder ce qu'on allait manger ce soir en attendant sa réponse.

Tu ris, c'est vrais que le temps ne ce prête pas trop au jeu en ce moment, que la vie est figé, et que la neige glace Boston, tu à même eu l'impression que la ville c'était endormie, que le temps avait arrêter d'y faire son devoir, et que tout était comme fixe. Les animaux on vite envahis ton espace et tu ris. Ta vie te comble, tu es heureuse même si tu ne le ressent pas très bien, tu as encore un vide dans la poitrine, depuis le départ de Cole rien n'est comme avant. Tu soupire. « Hoo la neige c'est pas si déprimant que sa chéri. C'est même beau. » Tu le suit dans la cuisine, et finalement après un moment, il récupère le chat qui fini par s'en aller, et le chien aussi fini par se pousser, comme pour vous laissez votre intimité si grandement méritais. Tu lui annonce ta sortie dans le parc avec Lisandre. « Oui, mais très peu, Lisandre me connais depuis que je suis bébé, il à toujours peur que je me fasse mal. Enfin c'est compliqué, mon père l'avais licencié car il prenais un peu trop le rôle de père plus que de garde du corps justement. Mais je suis contente qu'il soit de nouveau à mes côté. » Tu lui souris, tu as envie de te confier à lui. Tu te souviens lui avoir balancer pour Amaël et Jay pendant cette horrible moment de ta vie, juste avant ton accident. Tu as besoin de lui en parler. Faible ? Ce mot te fais soulever les yeux alors que ta patate de gros chien reviens vers toi et réclame des caresse. « Faible ? Oui je pense, mais regarde le, il est tellement heureux ici. » Tu ris, un zoo ? Sérieusement il n'as pas tors, heureusement que tu avais employé une femme de ménage à temps plein pour votre logement, elle venais tout les jours faire les besognes du quotidien que tu n'as jamais faite étant donné que ton père avais eu le même réflexe pour chez lui. « Non, il nous manque des poissons rouge, un perroquet, un serpent, un lion, et eu … des chèvres pour avoir un zoo. » Tu éclate de rire, ca te fais du bien d'avoir un un fou rire comme celui là, cela faisait une éternité que tu n'en avais plus eu. Une fois que tu arrive enfin à reprendre ton sérieux tu regarde l'homme que tu aime, et tu souris. Pourquoi avoir appeler le chat Matcho ? Bonne question, certainement à cause de sa tronche de mal lécher jamais content et son poids, ce chat est énorme, mais magnifique. « On en dirais un non ? Il à jamais l'air content avec sa petite tête, et en plus dès qu'on lui donne à manger il gronde sur le chien quand il approche et il lui envois les griffe. Je pouvais pas l'appeler Glonton, c'est horrible, donc Matcho. Et puis il c'est battu avec une chatte quand il est sortie la dernière fois. » Oui car tu promène ton chat, tu l'emporte avec toi dehors parfois, histoire qu'il ne soit pas qu'une chat de salon à sa mémère. Tu regarde Andrew qui ouvre le frigo, en voilà un autre qui ne pense qu'à manger, tu laisse un petit rire t'échapper avant de répondre à sa question. « Ca va, j'en est encore quelque unes, mais je commence à m'y habituer. Il va falloir qu'on parle de prénom bientôt. » Oui tu aime bien tout planifier à l'avance, et donc vous alliez devoir choisir un prénom de garçon et un prénom de fille. Tu soupire et lance un regard enjôleur sur Andrew. « Laisse ce frigo en paix, et viens plutôt avec moi sur notre immense canapé. » Voilà, tu commence enfin à bouger tes jambes, à faire un ou deux pas, alors tu n'as qu'une envie là tout de suite, c'est de enfin pouvoir faire l'amour dans toute la maison, et tu est plutôt en manque du corps de ton chéri en ce moment. Tu capte son attention, et tu te mordille la lèvres inférieur, il sais ce que cela signifie lorsque tu fais cela.

Je n'avais jamais des températures aussi glaciales avant, j'en suis même surpris. Pourquoi la plan^te nous fait vivre ça. Et ils osent nous parler du réchauffement climatique? Ba je ne sais pas où il est ce con aujourd'hui. Car là franchement je serais tellement mieux au soleil, sur la plage les pieds dans l'eau. Ma chérie près de moi. Avec un miracle qu'elle remarche, main dans la main. Ca me fait pensé que j'ai tellement envie de planifier un voyage avec elle pour cette été. Juste nous deux, en amoureux. Mais elle sera à combien mois de grossesse? Est-ce qu'elle aura accouché? Je n'en sais strictement rien. Pour quand est-ce prévu? Je vais de lui poser la question, elle doit en savoir un peu plus que moi, après tout, ce bébé pousse en elle. Même si son ventre n'est pas encore rond. Je sors de mes pensées quand elle me parle du temps. "C'est beau oui mais là c'est le froid j'arrive plus à tenir. On dirait on est au pôle nord." Je rigole, j'aurais bien des idées pour me réchauffer la maintenant surtout avec ma petite amie mais bon je ne veux pas la forcer ni même la fatiguer. En ce moment on couche beaucoup moins ensemble qu'à nos débuts, ça doit être normal je présume dans une relation de couple. Je m'en rappelle pas avec Aymalyne comment c'était. C'était il y a trop longtemps puis on était plus jeune, on passait du temps à baiser ensemble dès qu'on se voyait. Normal. Mais on habitait pas ensemble non plus. Ca aidait. Je la regarde alors me parler de sa journée en jouant avec mon téléphone dans mes mains. Elle m'explique sa relation avec Lissandre. C'est vrai que voila, maintenant même lui avait appris à me connaitre, je ne sais pas ce qu'il pense de moi, si c'était pareil qu'avec Ferdinand mais bon, tant que Lissandre prend soin de ma chérie, je le reste je m'en fous. Je ne suis pas là moi pour l'aider, pour la conduire ou elle veut, j'ai mes cours à suivre. Je n'ai pas le choix la journée... "Ouais votre relation est vraiment cool, vous rigolez bien ensemble. Ca se voit qu'il te connait et tant mieux." Je souris, alors que je bouge vers la cuisine. J'avais une faim de loup. Je ne savais pas encore ce qu'on allait faire à manger mais on devait bien sur trouver. On allait trouver. Je ne suis pas un chef cuisinier mais je me débrouille tout de même.

Voila qu'on parle de nos animaux, c'est vrai, que il manquait pas mal d'animaux encore pour faire un zoo mais bon que voulez vous. On avait quand même notre chat et nos chien. Je lui demande pourquoi matcho, elle me parle de la tête du chat. J'explose de rire en le voyant après. C'est vrai qu'il a un mauvais caractère ce chat mais qu'il en reste tout de même bien mignon. Il en ai même adorable. "C'est vrai j'avoue tu n'as vraiment pas tord quand on le regarde bien." Je souris, puis parlons de chose qui me tiennent un peu plus à coeur. Savoir comment elle va avec sa grossesse. C'était notre premier enfant, le fruit de notre magnifique amour qui commence à grandir en elle. Elle me répond que les nausées elle s'habitue et que ça se calme enfin. Je souris, tant mieux car bon la voir vomir tous les matins c'est pas non plus génial. Surtout ce sentiment d'impuissance qui est toujours présent, car bon on est juste un homme. On ne peut rien faire avec tout ça. Juste la regarder et la soutenir, lui dire que ça va aller mieux d'ici quelques jours mais on ne sait jamais réellement. Elle me dit qu'il va falloir parler de prénoms. "Chérie, on ne sait même pas encore le sexe du bébé. On a le temps pour le prénom je pense." Je souris, mais bon c'est vrai que ça passe plutôt vite. J'avais tellement hâte de savoir si on allait avoir un garçon ou une fille. J'avoue j'aimerais un fils pour passer beaucoup de temps avec lui, l'aider à devenir un vrai homme. Mais si on a une fille ça sera tout aussi bien mais là... Je vais être beaucoup trop protecteur. Je me connais. Dans le fond cet instinct paternelle je l'ai. On l'a tous arrivé à un moment. Même à 26 ans. J'étais entrain de regarder maintenant le frigo en prenant des choses à grignoter puis elle me dit de la rejoindre sur le canapé. Je me retourne et je la vois se mordiller les lèvres. Pourquoi elle me fait ça, elle a donc aussi la même envie que moi. Elle veut que je l'a réchauffe. "Bébé... Tu sais très bien que là je veux te sauter dessus depuis des heures." Je rigole, j'aimais le sexe oui, et je ne vais pas lui cacher que j'ai énormément envie d'elle. Puis c'est une récompense pour le fait qu'elle marche de plus en plus et qu'elle tienne sur ses jambes. Je m'approche d'elle, la sort de ce fauteuil, la portant dans mes bras et l'embrassant tendrement, la serrant contre moi alors que je sens ses jambes serrer ma taille. Je vais dans le canapé, l'allongeant toujours en l'embrassant puis l'embrassant dans le cou. "Mon ange, que je t'aime..." Je lui répète plusieurs fois