heureusement que c'était danneel, parce que sinon tu serai jamais venu. c'était un peu chiant comme soirée, les gens se connaissait déjà et ils faisaient des groupes, pas très ouvert à la discussion. t'étais dans ton coin à attendre que le bierre au beurre pong commencer pour donner une bonne excuse à ton alcoolisme. mais rien à faire, les gens aimaient se regarder dans le blanc des yeux et parler de la pluie et du beau temps : gerbant. alors tu buvait deux trois coupe de cocktail, jouait avec ta cravatte, manger des canapés, tout ce qui pouvait te faire sortir de cette ennuies. t'avais pas envie d'aller embêter Danneel alors qu'elle était à fond dans ses activités, t'aurais été une mauvaise amie. alors tu prend sur toi, patiente, et laisse le temps passer jusqu'à ce que tu fini vraiment par en avoir marre. tu prend tes affaires et prend la porte, mais dans l'encadrement de celle-ci tu voit Elliot. ton coeur manque un battement, tu fais glisser le dernier verre que tu avais à la main et te cache derrière un meuble. « merde, fait chier, putain. » t'avais oubliée que t'avais commencer à jouer un jeu malsain et méchant avec Elliot. tu essaie de ramper jusqu'à la porte de la cuisine, mais les bouts de verre t'empêche de te mettre entièrement à quatre patte, alors tu retires cette idée de tes penser à attend juste qu'il se casse, en espérant qu'il t'es pas vu.

@Elliot T. Maxwell

Eliot m’avait lâchement abandonné à la soirée Harry Potter des Lowells. Il avait reposé les yeux sur sa belle et ça l’avait fait disjoncté. Le pauvre. J’espérais que Nath ne finirait pas comme ça. Même si, vu les yeux doux qu’il faisait à Nova la blondinette, pour l’instant, il avait l’air loin du compte. J’étais sorti pour prendre un peu l’air, deux secondes de fraicheur et de tranquillité. Et quand je revenais sur mes pas, j’eus simplement le temps d’apercevoir une brunette qui s’échappait en vitesse non sans un fracas de verre qui s’explosait par terre. Et d’un côté, j’espérais que tu n’étais pas celle que je pensais avoir vu. Mais de l’autre, bon sang ce que j’avais attendu ce moment. Alors, j’entrais à nouveau chez les Lowells et n’eus qu’à suivre les bouts de verre éparpillés par terre tel le Petit Poucet pour te trouver accroupie par terre, derrière un meuble. Je feins un air surpris et te pris par la main. « Bébé, qu’est-ce qui t’arrives? T’es pas blessée au moins? » J’avais vraiment l’air inquiet, et je te relevais pour que tu sois à ma hauteur. Je t’offrais un baiser digne de N’oublie Jamais. Peut-être que j’aurais dû être acteur, finalement. Parce que j’étais sacrément doué à prétendre t’aimer comme si je ne savais pas, depuis le temps, qui tu étais.

Ça n'arrive qu'à toi, oui ça n'arrive qu'à toi, mais le karma julia est une chose que tu ne peux pas contrôler. Quand tu fais du mal, ça te reviens forcement à la gueule, comme une roue géante que tu lances une personne mais que t'as pas compris qu'on été dans un grand bol géant et que la roue finira toujours par revenir. Donc t'as lancer ta roue sur Elliot et maintenant, tu t'en mors les doigts. Il t'as remarquer, bien sur, il faudrait être aveugle et sourd pour ne pas avoir remarquer ton geste maladroit et ton faut mouvement pour te cacher, c'était stupide mais sur le coup, t'as trouver que c'était une bonne idée, il arrive vers toi et t'aide à te redresse. Tu sais pas vraiment comment agir, et-ce qu'il le sait ? Est-ce que lui aussi fait semblant ? Il t'embrasse, tu fais de gros yeux avant de faire un sourire gêner et te détacher de son étreinte. Tu le regardes, ses yeux remplis de malice et fronce les sourcils, saleté. « Pas de ça avec moi. » range tes mots doux et ton sourire charmeur Maxwell, avec les autres, mais pas avec moi. Tu le tires hors de la foule et des vas et vient, dan des endroits calme de la maison en le tirant à bout de bras. T'as tendu un piège et t'es tomber dedans, bravo Julia, toi qui penser être le lyon, tu n'es au final que l’antilope qui se fait bouffer. « Ok, crache le morceau, déverse ta haine et ris de moi, mais tu vas voir que le karma va finir par te rouler dessus. » calme toi, respire, tu vires cette stupide cravate qui sembler étouffer, avant de t’asseoir, la tête dans tes mains. « Tu m'as utilisées, comme tu as utilisée plein de fille avant moi. Mot romantique et promesse à deux balles, avant de me baiser et de me jeter, tout bêtement. Je mérite pas ça, personne ne merite ça. » alors t'as voulu te vengeait, sauf que le mec dans l'avion s'en ai charger pour toi, et que t'as fait que rajouté une cerise sur le bout du gateau qu'été le désastre de sa vie.

« Pas de ça avec moi. » Merde, j’aurais pensé que tu n’y aurais vu que du feu, dans mon jeu d’acteur. Malheureusement pour moi, mon plan tombait donc à l’eau. J’avais prévu de faire comme si de rien n’était, que tu jouerais toi aussi à ton petit rôle de petite-amie aimante, que je te pousserais à aller dans la chambre et que là, tu ne pourrais plus faire semblant, et tu serais obligée de faire tomber le masque. De façon assez surprenante, tu étais plus maligne que ce que j’avais imaginé. Tu me tirais hors de là, à l’abri des regards. « Bah quoi, t’as honte? De qui? De moi ou de toi? » Petite conne va. « Ok, crache le morceau, déverse ta haine et ris de moi, mais tu vas voir que le karma va finir par te rouler dessus. » Et là, tu m’arrachais un rire moqueur. « Le karma? » Mon oeil. Bah quoi, t’étouffais dans ta cravate un peu trop serrée que t’envoyais valser? C’était p’têtre le karma qui venait te faire la peau. Quelle ironie ça ferait. « Tu m'as utilisée, comme tu as utilisé pleins de filles avant moi. Mots romantique et promesses à deux balles, avant de me baiser et de me jeter, tout bêtement. Je mérite pas ça, personne ne mérite ça. » Tu pensais que j’allais croire un seul autre mot qui sortait de ta bouche? Je ne faisais pas ça, t’étais qu’une menteuse, folle à lier en plus de ça. Certes, des nanas, j’en sautais. Mais je ne leur faisais aucune promesse, au contraire, j’étais cash dès le départ pour éviter qu’elles ne se fassent des idées et qu’on en arrive là. Et ça, c’était un fait. « Tu t’es pas dit que le fait d’avoir frôlé la mort dans un putain de crash d’hélico c’était le karma qui m’avait rattrapé par hasard? Nan, il a fallut que tu joues à l’actrice hollywoodienne en carton? » Putain, ce que j’avais envie de t’insulter, mais je me mordais la joue pour ne pas laisser la colère et le dégoût prendre le dessus. « Tu m’expliques ce que t’as gagné dans cette histoire d’ailleurs? » Parce qu’à mes yeux, rien. Je ne t’avais pas appréciée une seule seconde, et tu ne m’avais pas blessé. T’étais insignifiante à mes yeux, Julia.

Stupide crétin infâme. pourquoi tu paniques ? tu comprend pas. ça te prend la gorge, sert ton coeur, comme une sourit prise au piège tu manques de souffle. l'air est inexistant et t'arrives à rien, juste la tête qui tourne et le coeur serrez. tu veux te débarrasser de tout, de tout ce qui t'as ronger, de tout ce qui te fait mal dans la poitrine depuis des semaines et des semaines, alors tu relâches tout. tout ce qui vas pas, le pourquoi du comment, la vrai raison/ la tête dans tes mains, tu respires enfin, tu le voit bouillir, prêt à rugir, mais tu ne redresse pas la tête, tu avais dit ce que tu avais à dire et bien que ce que tu as fait été mesquin, il le méritait. Tu laches un rire quand il parle de son accident, moment tragique dans sa vie effectivement. tu te redresse et éponge ta sueur avec une poignet de serviette environnante, enfant qu'il déverse sa haine sur toi. tait toi, tait toi, t'es insupportable. tu roules des yeux. « Oui, mais c'était pas suffisant. j'avais besoin de regarder ton malheurs dans les yeux. j'avais besoin de te voir appreurer et triste de n'avoir aucun souvenir. et tu veux savoir ? c'était délicieux. l'homme qui a réussi à me détruire a finalement été détruit. » tu marques une pause, il reprend son discours, tu roules des yeux encore une fois. d'accord ton petit jeu ne lui avait rien fait et pourtant c'était géniale de ton côté, il n'était pas amoureux de toi, il ne l'a jamais été, mais dans un sens ce faux couple t'avais combler dans ton envie d'être aimer. pendant un moment, il se soucier vraiment de toi, pendant un moment tu n'étais pas une parmi tant d'autre. « premièrement, je suis une très très bonne actrice, deuxièmement : tu merite tout ce qui t'es arriver, il fallait bien que tout le mal que tu fais autour de toi finisse par te retomber dessus. j'ai été stupide d'avoir fait ce que j'ai fait, mais sache que je ne regrette rien. » petite conne ou alors juste trop de fierté ? tu peux lui dire qu'au fond tu aurais aimer être sa copine, ou juste une fille qui brille plus à ses yeux que les autres, mais tu savait pas quoi faire, tu savait pas comment réagir, tu ne pouvait pas être triste pour un homme qui ne l'aurait pas été si c'était toi dans l'avion.

Calme-toi Elliot, ne pète pas à un câble alors que tout le monde passe une bonne soirée. Je ne frappe pas les femmes, au contraire, je les respecte, mais celle devant moi, j’ai beau y mettre toute ma volonté, non, je n’éprouve que du dégoût quand je la regarde. Quand je te regarde, Julia. Est-ce que c’était ça que tu voulais? T’en avais pas eu assez de ma part, avant le crash, apparement? « Oui, mais c'était pas suffisant. j'avais besoin de regarder ton malheurs dans les yeux. j'avais besoin de te voir appreurer et triste de n'avoir aucun souvenir. et tu veux savoir ? c'était délicieux. l'homme qui a réussi à me détruire a finalement été détruit. » Détruit? À nouveau, je lâche un rire sincère. « Oh ma pauvre. Si tu penses que je suis détruit, ça te rend presque mignonne. » Au contraire, j’me portais encore mieux qu’avant. J’étais tel le phoenix qui renait de ses cendres. « premièrement, je suis une très très bonne actrice » Euh… Débattable. Clairement débattable. Et encore, non. Même pas. T’étais une actrice pourrie, et j’espérais que t’étais pas en train de faire des études dramatiques parce que tu fonçais droit dans le mur. « deuxièmement : tu merite tout ce qui t'es arriver, il fallait bien que tout le mal que tu fais autour de toi finisse par te retomber dessus. j'ai été stupide d'avoir fait ce que j'ai fait, mais sache que je ne regrette rien. » Je levais les yeux au ciel. « Ton discours devient rébarbatif. Je suis une mauvaise personne, blablabla, je blesse les gens qui m’entourent, blablabla, je mérite que du mal, blablabla, tu regrettes pas, blablabla. Change de disque. » Ouais, voilà mon degré de je m’en foutisme. Tes mots me rentraient dans l’oreille et ressortaient aussitôt par l’autre. « T’es qu’une petite conne pourrie gâtée et manipulatrice. » Pour moi, c’était la fin de la discussion. Je n’avais rien d’autre à lui dire, et je ne voulais plus jamais avoir à faire à elle. Son nom était désormais dans ma liste noire.

tu le voyait faire une tête bizarre quand tu as confirmer que tu été bonne actrice, tokay t'avais un gout particulier pour rôle de drama queen et pas les gentilles petites copines qui pleure la maladie de leurs copains, certes, pourtant t'avais réussi à bien embobiner ses parents. ou pas, t'en sais rien, tu leurs a perler 5 mins, même pas. « peut être que mon discours est répétitif, parce que justement il est sincère? oui tu m'as fait du mal et oui, j'ai eu envie de me venger, pauvre de moi, obliger de me plier en quatre pour avoir un peu de justice. » c'était peut être à cause de ça que le karma et toi vous étiez pas copain, t'avais toujours envie de faire ta propre justice alors que le temps est censé réparer les choses, alors pourquoi avoir fait justice soit même? tu soupires et roules des yeux, cette situation était débile, tout ça était débile. tu étais blesser et triste, et t'avais juste envie que tout ce qui se passer actuellement s'arrête. « C'est bon, on a compris, tu renaît de tes cendres, tu es la Team Rocket qui revient avec de nouveau plan diabolique et je plains la fille qui va devoir supporter tout ça. » tu roules des yeux et fini par tourner le talons, en plus t'étais un peu bourrée donc si tu t'énerver trop ça allait finir en fight, vaut mieux que tu prennes tranquillement la voiture pour rentrer et oublié tout ce mercier.