Ezio trouvait pas mal sa petite initiative et préférait être dans son Range Rover avec Louison plutôt que d'être dans la chambre d'hôtel d'un autre avec Victoria. Il aimait sa blondinette et, même si le jeu lui avait plu, il ne voulait pas en baiser une autre. C'était elle ou rien. Cette fille avait un réel pouvoir sur lui et pouvait contrôler ses faits et gestes. Inconsciemment, il réalisait et comblait le moindre de ses caprices, il était fou d'elle. Son coeur lui appartenait, à elle d'en prendre soin et de ne pas le piétiner. Traînant sa belle hors du Manadarin Oriental, il avait prit la route pour s'arrêter sur le bord, dans un petit chemin sombre. Il avait alors proposé à Louison de faire l'amour ici, à même l’habitacle de la bagnole luxueuse. Ils n'étaient pas dans sa fiat 500, ils avaient quand même pas mal de place pour bouger. Sa proposition semblait faire de l'effet à sa belle qui détacha grossièrement sa ceinture pour venir le chevaucher, se cognant contre le volant. Mort de rire, Ezio posa ses mains sur ses cuisses et leva légèrement la tête pour la regarder. « Ah j'te l'avais dit qu'un jour ça viendrait de toi ... ça commence à venir. » s'amusa-t-il à répondre, fier de lui et de l'effet qu'il pouvait bien lui faire. Louison encadra son visage de ses mains et vint capturer ses lèvres pour un baiser sauvage et fiévreux. L'italien y répondit avec autant de ferveur qu'elle. La température grimpa en flèche dans cette voiture. Elle enleva sa veste et vint lui arracher les quelques miséreux boutons restants de sa chemise. « Tout c'que tu voudras bébé. » avait-il répondu en la matant sans le moindre scrupule. Louison embrassa son torse avant de râler et de passer derrière. Elle se permit même une petite remarque sur sa souplesse et sa capacité à venir la rejoindre. « Tu sais quoi ? J'suis pas un cascadeur moi ... Puis j'ai encore mal de ma chute de cheval. » lança-t-il en enlevant sa ceinture. Sans chercher à comprendre plus loin, il sortit du véhicule et ouvrit la porte arrière pour grimper à ses côtés. Il n'était peut-être pas très souple mais il était malin. Une fois à l'intérieur, il s'approcha d'elle et reprit le baiser. Le principe de faire des cochonneries en voiture est de garder ses vêtements, genre au cas où ils se faisaient chopper par les flics ou autre. Ezio posa ses mains sur ses collants et lui arracher d'un geste assez franc. « Tu ne vas plus avoir besoin de ça ... Tu sais bébé si on était resté devant on aurait pu abaisser le siège, j'dis ça j'dis rien. » s'amusa-t-il à la taquiner. Bon, pour une fois il allait la laisser gérer la situation mais c'était exceptionnel. L'italien vint de nouveau l'embrasser, ne pouvant plus attendre plus longtemps, il avait trop envie d'elle pour faire le difficile. « Putain en fait c'est pas confortable ! » commença-t-il à râler. Ouais, Ezio était un râleur confirmé.