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    Clay & Lis - One more night
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    Lien du postLun 9 Oct 2017 - 20:14
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    One more night
    Chez Lis - octobre 2017 - @Clay Fitz. Cooper

    Son téléphone abandonné sur la table basse, Lisbeth ressentit un énorme soulagement en sachant que Clay passerait la voir dans la soirée. Depuis leur retour de Stockholm, elle ne l’avait pas encore remercié convenablement d’avoir fait deux fois l’aller-retour pour l’aider et la retrouver. Sans compter les séquelles physiques et psychologiques engendrées par ce séjour improvisé. Elle se sentait toujours coupable de l’avoir entraîné dans cette histoire complètement folle mais il semblait ne pas lui en tenir rigueur. C’avait été un choix personnel que de la rejoindre dans la capitale suédoise, elle le savait pertinemment, mais la culpabilité ne la quittait pas. Depuis son retour, elle avait commencé à changer son mode de vie. Les plats surgelés et tout faits ? Bannis du réfrigérateur. A la place, elle consultait souvent des sites culinaires et ç’avait été une véritable catastrophe au départ. Pas du tout faite pour la cuisine maison, la Larsson. Mais à force de persévérance et d’alarme incendie souvent déclenchée, elle avait obtenu des résultats concluants. Mais jamais suffisants à son goût. Alors elle s’était acharnée jusqu’à ce qu’elle soit satisfaite. Et ce soir, elle l’était. Satisfaite du résultat, elle espérait que Clay apprécierait.

    Les plats mijotaient à feu doux, leur cuisson pratiquement terminée, et Lisbeth en profita pour se préparer. Elle prit une douche bien méritée pour se débarrasser des différentes effluves de nourriture puis se prépara. Quand elle se retrouva devant son armoire, elle revint des mois en arrière, quand elle ne se prenait pas la tête pour choisir ses vêtements. De toute façon, sa garde-robe contenait pas mal de pièces similaires à l’époque. Aujourd’hui, tout avait changé. Ses vêtements arboraient des couleurs beaucoup moins sombres sans toutefois être trop criardes. Étonnement, son choix fut vite fait. Elle s’empara du cintre sur lequel se trouvait une magnifique robe rouge. Décidément, ça devait être sa nouvelle couleur préférée. Elle ne faisait ni trop habillé ni trop négligé, parfaite pour ce genre de soirée. La jeune femme décrocha les bretelles du cintre avec soin puis passa le vêtement. Elle remonta la fermeture Eclair qui s’arrêtait à hauteur de reins, mettant une fois de plus le tatouage habillant son dos en valeur. Sur le devant, un décolleté en V, pas trop plongeant, mettait en valeur ses formes féminines. Les bretelles, quant à elles, tombaient légèrement sur ses épaules, achevant de dégager son cou. Une Lisbeth méconnaissable. Inutile de préciser qu’elle ne portait aucun sous-vêtement en-dessous de cette robe épousant ses courbes. Elle rangea le cintre puis revint dans la salle de bain où elle mit la touche finale à ses préparatifs. Pour une fois, elle laissa ses cheveux détachés mais les coiffa quand même avec soin. Elle hésita un instant à se maquiller et finalement, elle opta pour un coup de crayon et de mascara tout simple. Si elle était sortie, elle aurait peut-être tenté de masquer un peu plus ses traits fatigués. Mais ce soir, les artifices passeraient à la trappe.

    19h tapantes. La sonnette retentit et Lisbeth sentit sa boule au ventre se resserrer davantage. Pas possible, une véritable ado qui a le trac. Prenant une grande inspiration, elle se dirigea vers l’entrée avec l’impression de devoir passer un examen important. Et encore ! Elle était plus stressée que lors de sa soutenance de doctorat. Bref, une réaction stupide. Mais impossible de maîtriser les battements frénétiques de son cœur qui cognait dans sa poitrine. Quand elle ouvrit la porte, un courant d’air chargé d’iode s’engouffra dans l’appartement et fit onduler le bas de sa robe. Sans compter ses cheveux qui se retrouvèrent devant son visage. Super, l’accueil ! Elle dégagea rapidement son visage et put enfin voir Clay qui se tenait sur le pas de la porte.

    « Ponctuel, comme à ton habitude. »

    Un petit sourire anima son visage à la même couleur (mais en moins prononcée) que sa robe. Elle s’écarta pour le laisser entrer et sur le coup, elle ne sut comment réagir. Devait-elle s’approcher de lui et l’embrasser ? Ou directement l’amener dans le salon ? Un véritable casse-tête qui n’avait pas lieu d’être. N’avaient-ils pas dépassé ce stade ? De plus, il n’y avait personne d’autre qu’eux alors pourquoi se priver d’un baiser ? Après quelques secondes à peine de réflexion, Lisbeth s’approcha de Clay, se pencha vers lui et l’embrassa. Le baiser dura un peu plus longtemps qu’elle ne l’avait escompté mais pourquoi ne pas en profiter ? Décidément, elle réagissait vraiment comme une novice. C’était peut-être parce qu’elle l’était un peu, quand même. Après cet échange, elle l’emmena dans le séjour, ses pieds nus semblant flotter sur le sol carrelé. Oui, seule sa robe habillait son corps. Et pas entièrement. Une fois dans le salon, la même vue à couper le souffle sur l’océan. Seule différence, les couleurs automnales du ciel et l’air un peu plus frais qui s’engouffrait dans la pièce. La jeune femme ferma la baie vitrée pour éviter qu’ils n’attrapent un rhume, ou pire. Quoi que… Avec ce qu’ils ont traversé à Stockholm, ce n’était pas un courant d’air qui allait les effrayer.

    « Qu’est-ce que je te sers ? »


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    Lien du postLun 16 Oct 2017 - 9:22
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    One more Night



    Elle souhaite me remercier tout simplement... C'est ce que je me répète depuis des heures sans vraiment trop y croire puisqu'elle aurait pu me prouver de sa gratitude - que je n'ai demandée - bien avant. Quelque chose à changé, évolué, muté sans que je ne m'y sois penché, berné par un sentiment que je refoulais.

    A peine mon tour hebdomadaire au Black Dog effectué que je me suis retrouvé chez moi, à appréhender je ne se sais pourquoi ce rendez-vous alors qu'on n'en est plus au premier depuis bien longtemps déjà. Trop court fut le trajet, du moins je ne l'ai pas vu passer, focalisé sur les différents scénarios que je me suis fait de cette soirée. Anxieux? Oui je le suis et c'est pourquoi j'ai été tenté d'aller dans ma salle de bain afin de récupérer ce flacon qui m'a été prescrit il y a des mois de çà contre mes insomnies. Trois gélules dans le creux de ma paume, méditant devant ce foutu reflet plutôt enjôleur d'ailleurs d'un gars prêt à replonger. Non, je n'en ai plus besoin. La main s'incline après quelques minutes et laisse tomber les canules de gélatine dans le lavabo en faveur d'une anxiété grandissante mais que je devrais pourtant pouvoir maitriser. Et c'est en amont, sur la toquante numérique où défilent les secondes qu'elle gagne en puissance. Alors résigné à devoir faire front de toute façon, mes yeux délaissent l'horloge afin de me préparer convenablement pour la soirée. Douché et habillé - mais attention, rien de très apprêté - j'ai trouvé dans ce verre de vin un complice avant de quitter mon appartement, soufflant une dernière fois à peine le pied foulant le parvis de l'immeuble. " Elle veut se faire sauter, rien de plus.." Et cela n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd puisque le gardien s'est mis à sourire en me souhaitant dès le premier regard échangé un " Bonne chance " venant du cœur.    

    Au volant, c'est la même ritournelle, le même refrain, la même rengaine pendant les 100 premiers mètres. Lisbeth? Passer à l'étape suivante? Avec un flic? Jamais et je m'étonne moi-même, accuse mon imbécilité nourrit par une appréhension sans cesse renouvelée. Indépendant par nature, elle me plait bien cette relation partagée sans avoir à se supporter h24... Un peu plus confiant qu'en quittant ma résidence, j'arrive enfin dans son quartier qui n'est pas à plus de 10 min de route ce qui a facilité, je dois l'avouer, nos petites entrevues libertines. Pas de fleurs, pas de bouteille de vin, je joue la carte du gars qui n'a rien à offrir si ce n'est sa présence et son expérience, chose qui ne l'a jamais dérangée jusque là. C'est un parcours que je connais et sur les derniers mètres, le rythme de mes pas s'est accéléré, curieux à présent de connaitre le sort qui m'est réservé par delà cette porte fermée. Par trois fois j'ai frappé et attendu qu'elle daigne m'ouvrir pour tomber sur une vision abrégeant mes doutes: vu sa robe qui rappelle à d'agréables souvenirs, notre premier échange salivaire si j'ose dire, il s'agit bien d'un rencard à moins qu'elle ne soit devenue soudainement nostalgique.

    « Ponctuel, comme à ton habitude. » Pour ce genre de rendez-vous toujours et c'est une déformation professionnelle à laquelle je ne peux rien changer, formaté depuis presque sept longues années maintenant à une assiduité et à une loyauté sans faille envers mon pays, une machine qui ne cherche qu'à plaire à son créateur tout en y trouvant son compte. Elle a rougit, j'en jurerais, juste une seconde avant de s'approcher alors que je patientais sur son palier, devinant déjà ses intentions qui ne sont pas pour me déplaire, loin de là. " Tu me connais. " L'accueil rivalise avec la manière qu'elle a eu d'envelopper la volupté de ses courbes dans le soyeux de ce rouge, sans la moindre frivolité, dans la plus simple expression d'une étoffe portée à même la chaleur de sa peau. Goutant à la saveur de ses lèvres, j'envisage de passer outre les préliminaires lorsqu'elle s'en soustrait pour mieux s'enfoncer dans le décors sobre et moderne de son appart, offrant une vue ouvrant à d'autres envies et où bascule mon regard. Elle m'invite à la suivre, doléances acceptées sans me faire prier et sur lesquelles se referme la porte de son entrée. Cette fois-ci, pas de terrasse ni de voisins pour nous épier quoique tous les appartements semblent profondément baignés dans une noirceur, une obscurité propice à toutes les méthodes qualifiées de pas assez intériorisées, trop peu adaptées aux mœurs de la majorité. « Qu’est-ce que je te sers ? » Le message résonne dans la pièce silencieuse. Vraisemblablement quelque chose qui sort de l'ordinaire. Ma veste pliée puis déposée sur son sofa, je jette un œil tout autour de moi avant de constater qu'elle a mis les petits plats dans les grands, s'est donnée du mal pour me faire partager un délicieux moment. La signature olfactive qui se dégage de la cuisine complète admirablement cette image de femme très peu docile qu'elle suggère.  " Tu es bonne à marier maintenant. " La transformation est presque complète. Elle a su en si peu de temps adopter un style de vie si différent du sien, troquer ses piercings contre du satin, et je la devine capable de l'inverse à tout instant. " Alors. Qu'est-ce qu'on fête? "


    CODAGE PAR   AMIANTE


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    Lien du postSam 21 Oct 2017 - 17:45
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    One more night
    Chez Lis - octobre 2017 - @Clay Fitz. Cooper

    Lisbeth appréhendait ce rendez-vous en tête-à-tête qu’elle avait pourtant initié. Pourquoi se mettait-elle autant la pression ? Pourtant, ce n’était pas la première fois qu’ils s’offraient ce genre de soirée. Mais depuis la dernière fois, les choses avaient changé. Sans qu’elle lui ait demandé quoi que ce soit, Clay lui avait proposé son aide pour retrouver sa sœur jumelle. Mieux que ça, à deux reprises il s’était déplacé à Stockholm pour l’aider. Et il en avait subi les conséquences. Lisbeth était au courant des SMS envoyés par Camilla via son portable et elle était certaine que Clay savait qu’il fonçait droit dans un piège en volant à son secours. Pendant des jours, il en avait bavé autant qu’elle, chose qui l’avait mise dans une rage folle qu’elle était alors bien incapable d’exprimer librement. Sauf quand ses mains se refermèrent sur le cou fin et gracile de sa sœur jumelle. Ses phalanges se souvenaient encore des courbes de son cou, de la texture de sa peau. Si c’était à recommencer, elle n’hésiterait pas une seule seconde. A présent débarrassée du danger qui avait plané au-dessus de sa tête des mois durant, Lisbeth se sentait comme revivre, n’ayant plus besoin de regarder par-dessus son épaule pour s’assurer que personne ne l’épiait. Elle ne craignait plus pour sa sécurité ni pour celle de ses proches. C’était un sentiment bien agréable, qu’elle n’avait pas ressenti depuis longtemps. Non, elle n’avait pas demandé à Clay de l’aider mais il l’avait fait sans se poser de questions. Et il s’était jeté dans la gueule du loup pour elle. Jamais personne n’avait fait ça et même si elle ne le montrait pas explicitement, elle était touchée. Et c’est là qu’elle se rendait compte que quelque chose était en train de céder.

    Il se tenait devant elle, sans trop d’artifice, Clay dans toute sa splendeur. Elle n’en demandait pas plus. Elle le fit entrer chez elle et eut un moment d’hésitation quant à la conduite à tenir. L’embrasser, ne pas l’embrasser ? Finalement, elle céda à la tentation et ses lèvres trouvèrent rapidement les siennes. Un baiser qui aurait pu s’éterniser et les emmener vers d’autres horizons. Mais non, pas tout de suite. Elle rompit bientôt ce contact agréable et le conduisit dans le séjour, sentant son regard posé sur elle. La robe qu’elle portait était sensiblement différente de celle qui habillait son corps le jour du bal de fin d’année mais arborait la même couleur sanglante. Couleur qui rappelait également le sang versé dans cette maison qui n’était plus que cendre à présent. Un courant froid qui la glaça jusqu’aux os s’engouffra dans la pièce et elle s’empressa de refermer la baie vitrée. Elle qui adorait le froid se sentait moins résistante aux températures automnales de Boston. Et ce n’était pas le seul changement qu’elle avait constaté depuis leur retour sur le sol américain. Des petits détails par-ci par-là, des palpitations sans raison apparente, une fatigue inexplicable, un manque flagrant d’appétit et peut-être une perte de poids. Seuls, ces symptômes ne l’inquiétaient guère mais quand elle y réfléchissait bien, elle se disait que ce serait pas mal de consulter un médecin. Mais Lisbeth et le corps médical, ça fait deux. Pour le moment, elle préféra chasser ces pensées de son esprit et elle demanda à Clay ce qu’il voulait boire. Il sembla alors se rendre compte de l’odeur qui flottait dans la pièce.

    « Bonne à marier ? C’est si invraisemblable de savoir que j’ai cuisiné ? »

    Euh… Oui… Même pour toi. Exaspérée par ses propres pensées, elle se dirigea dans la cuisine où le vin décantait déjà. Elle avait tout prévu et il ne manquait que les deux verres à pied qui ne demandaient qu’à être remplis. Elle s’en empara, tout comme la bouteille qui trônait sur le comptoir. Revenant dans le salon, elle posa le tout délicatement sur la table basse avant de s’asseoir près du lieutenant. Elle maintint une petite distance de convenance mais elle savait qu’elle serait vite abolie.

    « Je te laisse faire le service. »

    Quant à savoir ce qu’ils fêtaient, elle ne savait comment exprimer sa réponse à voix haute. Elle le laissa faire couler le liquide vermillon dans les réceptacles et, une fois la bouteille reposée et Clay prêt à prendre son verre en main, elle posa sa main sur son poignet pour l’arrêter dans son mouvement. Elle se pencha alors pour prendre son autre poignet et son regard se perdit sur ses mains, ses avant-bras, comme le jour où elle avait examiné son corps avant de prendre leur première douche depuis environ une semaine. Cette fois, le cadre était plus réjouissant et surtout, ils ne gardaient presque plus de séquelles physiques de leur mésaventure. Lisbeth semblait perdue dans ses pensées et quand elle revint à elle, elle releva la tête.

    « Merci… Merci de m’avoir aidée et surtout d’être venu à Stockholm. Tu n’as pas demandé à ce que je te remercie, je le sais bien, mais ce que tu as fait… Personne ne l’a jamais fait pour moi. »

    Elle doutait qu’il comprenne un jour ce que son geste signifiait pour elle et même s’il l’avait aidée sans rien attendre en retour, elle lui serait toujours redevable. Il pouvait lui demander ce qu’il voulait, elle serait toujours là, prête à l’aider. Loin de là l’envie de le mettre mal à l’aise avec cette séquence émotion alors pour lui prouver sa reconnaissance, elle relâcha ses poignets pour passer ses bras autour de son cou et l’embrasser. Elle se permit même l’audace de se mettre à califourchon sur lui tout en prenant garde à ce que le bas de sa robe ne se soulève pas trop (n’oublions pas qu’elle ne porte rien en-dessous…). Oui, Lisbeth conservait sa fougue et sa spontanéité. Mais Alysse avait eu raison sur un point quand elle avait écrit à Clay le jour de l’anniversaire d’Alaska : elle n’était pas au meilleur de sa forme.


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