Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAlice G. Grimaldi ► Ana De Armas
I LOVE HARVARD
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    Alice G. Grimaldi ► Ana De Armas
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    Nom : Le nom de ton père, ton héros, ton king. Grimaldi. Nom symbolique et réputer, de par le statut de celui-ci. Ce nom est connu a travers le monde. Perdu sur leur bouche. Dans leur ventre, mais le tien surtout. Oui, tu en joues parfois. Tu l'aimes autant que tu le détestes, sûrement liées a l'histoire familiale. Tout le poids d'une vie de contrainte, tout le protocole rassemblé en ces sept lettres. ◇ Prénom : Alice. Tu réponds à ce prénom depuis ta naissance. Tout en simplicité. En douceur. Avec de la force. Il fut souvent attribué aux femmes de caractères - déesse du printemps. Alice c'est joli. Alice c'est gentil. Ça sonnait pure. Ça sonnait sucré.  Gabriella. Prénom de ta marraine - la sœur cadette de Daddy. Celle qui est là pour te consoler : un peu comme une maman. Rosa : comme pour rappeler au monde que tu es douce comme une Rose. Et, Chloé. Prénom Réchauffé, qui te vient de deux femmes : l'une est grand-mère et l'autre ta chère mère. . ◇ Âge : 22 pétales de roses. ◇ Date et lieu de naissance : Tu naquit le quatorze février mille neuf cent nonante-cinq, à Monaco. Ta naissance est marqué d'une pierre blanche. Dans un hôpital privé de Monte-Carlo : tu viens au monde dix minutes avant ton jumeaux. Jour de la fête des amoureux, c'est pas la classe ? Oui - Non - peut-être.◇ Nationalité : Monégasque. De par ton père. Sucré comme pas possible. Produit exotique - toxique aussi. Et, Frenchie. L'accent français ? Tu en joues - peut-être pour faire enrager ta mère. Aux coins de tes lèvres. Dans l'arrondis de la langue. La prononciation qui chaloupe, qui coupe. Tant pis. Tant mieux. T'es parfois difficile à comprendre. Mais on trouve ça mignon, c'est quand même drôlement con.  ◇ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. ◇ Statut amoureux : Coeur meurtri. Oh l'amour dis-tu ? Le prince charmant, tu n'y croyais point. C'est ce que tu laissais entendre, en tout cas. Et puis, Valentin a débarqué dans ton cœur. Il était, d'ailleurs, le seul avec qui, tu pouvais voir s'accomplir. Se réaliser, le joli conte de fées. Mais le bonheur, s'arrêtent un jour ou l'autre, tu ne comprends toujours pas les raisons de cette rupture. Ton âme était brisée, esseulée. Il s'était fissuré en mille et un éclat. Tu demeurais dans le silence, le plus totale. Le plus complet. Mais à force d'espérer un signe de sa part - oui à bout de force. Tu t'est fiancée à William. Cédant à la pression de ta mère, obliger d'oublier Valentin dans les bras d'un autre. Ouais on peut toujours rêver. Alors, tu as accepté. Poupée qui fait oui de la tête. Poupée qui rêve de se casser loin de cette comédie. Un futur mariage se prépare. Une union bénéfique pour tout le monde. Sauf pour toi. Les apparences sont souvent trompeuses, mais qui saura déceler le vacarme de cette plaisanterie funeste.i ◇ Statut social : très très très aisée, Tu n'as jamais eu a te plaindre. Tu peux même sentir le doux parfum de ce pouvoir. L'argent ça tue. L'argent te donne des ailes. Tu peux céder aux moindres caprices : ça s'appelle avoir les moyens. Daddy donne et donne encore. Remplir ton compte en banque Check. Mais ce n'est pas trop dur la vie, hein ? Touché - couler. ◇ Job étudiant : Égérie d'une marque internationale - Danseuse ballerine - Foundraiser pour l'UNICEF. ◇ Études majeures : Médecine. ◇ Études mineures : Relations Internationales.

    Code:
    Alice Grimaldi  - 22 ans - 4ème année d'étude - Médecine & Relations Internationales  - Égérie d'une marque internationale - Danseuse Étoile - Foundraiser pour L'UNICEF  

    Alice Grimaldi
    feat Ana de Armas


    ELIOT HOUSE
    Princesse héritière - caractère adéquat - Audacieuse - intelligente. Il y a des centaines de raisons pour que tu sois accepter à la Eliot. Obtenir du pouvoir - en avoir toujours plus : ce n'est pas quelque chose que tu a gagné, mais bien ta marque - ton sang. C'est un privilège d'intégrer la Eliot. Princesse a de l'ambition - désire plus que tout monter sur le trône et se battre coûte que coûte - poing contre poing pour tout déchirer. Advienne que pourra ! Bye bye Tate Sang-de-Bourbe - Sorry Arthur jumeau de princesse c'est sans rancune et reste à ta place. Fêtes finished. Alcool finished. Le monde obscur de la nuit en a fini avec toi et cela depuis bien longtemps. Durant deux longues années : le peuple a connu une Alice différente - proche des uns et des autres. Respectant la monarchie et voulant le meilleur pour ce monde. Alice a sa place dans cette confrérie - se faire démarquer de ses frères. C'est une puissance exemplaire qui ne serait se passer de ses loyaux services. Brune incendiaire, prête à tout pour obtenir ce que tu désire, telle une fusée, une comète que rien ne pourra stopper.
    CABOT HOUSE
    Femme du monde - icône vivante - héritière au trône - Féministe dans l'âme. Alice a une image à pourvoir - un message à transmettre à tout le monde. Femme fidèle sur ses principes et sur qui on peut compter. Pour sa franchise sans faille - un savoir faire et un savoir être indomptable - un charme inégalable. Il faut une certaine aisance : ce que princesse a de toute évidence. Ce n'est pas juste une jolie poupée de chiffon - ce n'est pas juste une image sans son - Alice est le symbole de l'espoir. Tu sais faire marcher autant ton physique que son cerveau pour arriver à ses fins. C'est important de paraître parfaite au yeux du monde. Vouloir être lisse sans défauts a quelques inconvénients ; certes on peut la voir comme une fille sans fond - il faut creuser pour découvrir le phénomène qui est Alice. Un réel bijoux.

    APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
    Alice n'était pas là lors des événements tragiques qui ont frappés Harvard. Bien entendu tout le monde en a parlé. Le monde entier avaient eu peur et c'était bien normale. Tu a été bouleversé en apprenant l'horreur, mais égoïstement totalement soulager de ne pas avoir été la. Autant personnellement - autant pour protéger ton statut de princesse héritière. Lorsqu'il se produit des événements de cette ampleur, tout le monde se sent un peu concerné. En tant que princesse, mais surtout en tant que personne : son devoir est de protéger le peuple - d'apporter un peu de paix. Les premières personnes à qui Alice a pensé c'était ses deux frères. Les savoir en sécurité était tout ce qui comptait. !

    APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
    Spring break 2016, voyage au Chili.
    Tu étais en voyage diplomatique pour le palais. Tu en a entendue parler, comme des centaines de personnes, la presse adore les gros titres. Ton devoir était avant tout de rassurer le peuple - le monde. Lors d'un de tes voyages ; tu a vue la détresse chez les gens et il n'était pas question de t'en aller sans leurs donner un peu d'espoir. Un seul discours et peut-être que les choses pourront-elles changer - du moins tu l'espérais. Ta famille a été très choqué et très heureux en même temps. Et, par la suite tu t'est inscrite à l'université - sans une once de peur - comme une guerrière prête à affronter le monde. La vie continue. Les catastrophes naturelles peuvent arriver n'importe où, n'importe quand. !

    TON ADMISSION À HARVARD
    Exigence - Réussite - tu a toujours été la meilleure des meilleures. Un quotient intellectuel élevé - plus haut que la moyenne. Une surdouée. 5000 aux SATs. Une grande intelligence, que tu préfère ne montrer qu'à certaines personnes. Ce qui l'a poussée à intégrer Harvard - pour Andréa. Et, il y a toutes ces œuvres humanitaires où tout le monde connaît son implication. Princesse - petite poupée du peuple. Passionnée par le monde de la nature - les enfants - les animaux - ses recherches pour combattre la maladie de son frère. L'entretien fut assez long - non parce qu'il était ennuyant, mais avant tout par son excellence. Et, Alice savait déjà quel études choisir : la médecine. Les œuvres humanitaires - les nombreux voyage d'Alice en vue d'obtenir une réputation légendaire Certes, tu as encore des choses à apprendre, mais ton cerveau est bouillant. En quête de savoir et de pouvoir. Blague à part, tu fait peur mine de rien, princesse mais pas stupide. Princesse mais pas sans cœur, après ça dépend de certaines personnes. Intégrer Harvard t'aidera à entamer ta nouvelle recherche, qui est la recherche contre les maladies cardiaques, un cadeau que tu veux à tout prix gagner pour Andy.

    TELL US MORE

    Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle TIFF et j'ai 22 ans. Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à top-site. Harvard c'est la base bébé alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum sous les traits de Alice G. Grimaldi . J'utilise Ana De Armas comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par @tumblr. Je fais environ 300 - 500 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Andréa L. Grimaldi.

    Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    adhérer un flood d'intégration (?)
    je veux être parrainé si oui, par Ashleigh H. S-Burberry (voir la liste des parrains)

    Je recense mon avatar
    si personnage inventé:  
    Code:
    [size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] ► <span class="pris">AVATAR</span> ♦️ “ Pseudo ”[/size]
    si scénario:
    Code:
    [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7717]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t80039-f-my-love-my-sister-my-princess]►[/url] <span class="pris">ANA DE ARMAS </span> ♦️ “ Alice G. Grimaldi ”[/size]
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    Lien du postSam 16 Sep - 16:05:49
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    MORE OF YOUR OWN STORY


    « A ce moment précis, il y a 6.470.818.671 de personnes sur Terre. Certaines doivent s’inquiéter. Certaines rentrent chez elle. D’autres mentent pour passer leurs journées tranquilles. D’autres encore doivent affronter la vérité. Certains sont des malfaisants en guerre contre le bien. Et certains autres sont bons : ils doivent combattre le mal. Six milliards de personnes sur Terre. Six milliards d’âmes et parfois on en aurait besoin que d’une seule .  »



    CHAPTER I - ONCE UPON A TIME : PILOT.

    « VOUS PENSEZ CONNAITRE L'HISTOIRE, MAIS, VOUS N'EN SAVEZ QUE LA FIN. POUR LA CONNAÎTRE - POUR LA COMPRENDRE, REMETTONS PLAY. »


    Tu es né. Exact. Bien que tu ne sois pas la seule à naître ce jour-là. Ton frère - en retard de dix minutes. Ton jumeau. Et oui, tu avais un être qui avait le même sang et la même date de naissance que toi.  D'accord, c'est beaucoup plus symbolique que ça. Un jumeau c'est bien plus. C’est dans une clinique privée de Monte-Carlo, la capitale de Monaco que les jumeaux ont poussée leurs premiers émois. Si tu veux savoir la vie de la princesse, il faut d'abord commencer par le commencement. Tu vas me dire « Logique, merci de la précision. Née dans une famille particulière - célèbre - admirer par le peuple Monégasque. Une venue mémorable pour une date unique en son genre : le 14 février. La fête des amoureux : une fête qui est devenue très emblématique aux yeux de tous. Bien entendu, tu étais la plus belle petit fille du monde entier, surtout aux yeux de ton papa. Daddy heureux d'avoir une fille. Mais l'accouchement a été une souffrance pour ta chère mère. Enfin Alice débarque dans ce monde. Outre le fait qu'ils soient jumeaux - Alice & Arthur ont un grand frère : Andréa. Une personne importante a leurs yeux. Une enfance parfois dur a comprendre - une enfance presque parfaite. En revenant sur son enfance, sur les traces de sa vie, Alice se demandaient parfois comment faisaient les enfants uniques. Ils manquaient forcément des trucs merveilleux. Il n'y avait rien de plus beau que de vivre entouré par pleins de personnes, bien sûr ce n'était pas toujours la joie. Ils se battaient souvent, pour la télé, la salle de bains ou même la cuisine, mais ils étaient très heureux d'être ensemble. Pourtant princesse aimait des fois être seule. Cela pouvait sembler bizarre, mais c'était son souhait de l'être. Besoin d'un espace vide pour souffler un peu. Alice et son frère étaient tellement mis sur le devant de la scène - obligation royale. Une famille aimante ou presque. Alice était bien plus proche de son père que de sa charmante mère. Daddy aimant et protecteur. Une mère négligente et qui trouvait le moindre des défauts a son enfant. Selon Alice, de l'image qu'elle véhicule : Chloé De Médicis est hautaine et vindicative et prête a tout pour garder cette image de domination sur sa fille. Mais Why ? Pourquoi autant de distance ? C'était des questions devenues sans réponses. Peut-être à cause de sa grossesse : les insomnies, les coups de pieds régulier, les vomissements matinaux et la prise de poids était-ce pour cela ? Alice était bien plus proche de la nourrice, qui était comme une deuxième mère. Princesse avait trois hommes dans sa vie ; d'abord Daddy - Andréa & Arthur.


    Life is not simple, it must be fought against the wind, it must be fully lived.




    CHAPTER II - A CE DIRE QUE LA VIE N'ÉTAIT QU'UNE PUTAIN..

    « LA FATALITÉ EST-ELLE LA MÊME DANS LA TRAGÉDIE CLASSIQUE ET DANS LA TRAGÉDIE ANTIQUE. »


    Être un enfant n'était pas chose évidente, mais tu étais la préférée de Daddy. Et, pourtant c'est bel et bien le cas. Daddy gentil. Daddy passe tes caprices avec le sourire. Personne ne touche à sa princesse. En effet, tu étais une petite fille comblée d'amour - au moins par Daddy. Être avec la reine c'était une autre histoire. Enfant gâtée Check. En effet, une gamine comblée et très proche de les trois hommes de sa vie. Ta famille toisaient le bas-peuple depuis les baies vitrées du palais. D'ailleurs ; pendant un temps la reine a voulu éloigner princesse du Roi monégasque, son excuse était pour parfaire son éducation. Mais Daddy ne voulait pas éloigner sa petite fille. Alice a toujours été consciente de son statut privilégié surtout aux yeux de son père. Certes, tu en jouais un certain moment et ça énervait ta charmante mère. Tu trainais souvent dans des galas, fallait être irréprochable : tenue correcte - fille modèle de contrefaçon - tout n'était qu'une question d'apparence. Toute ton enfance, a été comme ça. Avec ta mère c'était un autre refrain : tient toi droite - reste en place - mange ton assiette - cours pas trop vite - sois gentille. Un cauchemar qui se répétait inlassablement chaque jours. Et, en grandissant cela n'a pas changer. Et, a l'âge de huit ans, tu fais une rencontre qui changea ta vie : un gosse. Le fils du majordome de la famille. Valentin fairchild. La seule personne capable de la faire évader. Un gosse un peu plus âgé, dont les yeux profonds et une grande gueule t'avait attirée. Vous vous êtes éclipser au même moment, comme si c'était écrit. A inventer des jeux. Tu adorais te balader au parc. Des journées entières, durant, tu flânais entre les allées boisées, courant derrière les écureuils en riant, saluant les passants souriants. Tu adorais cet endroit. Cette contrée verdoyante. Bien que ton père n'avait point, énormément, de temps à te consacrer, certains jours, cependant, tu venais te promener avec lui, main dans la main, aux côtés de ton frère jumeaux. Votre paternel te laisser jouer en toute liberté, en ces lieux. Tant que tu ne t'éloignais, guère trop... Parfois, tu t'autorisais à t'asseoir sur un banc et regarder les autres enfants jouer, ensemble. Glisser sur les toboggans colorés, se balancer jusqu'à toucher le soleil, et caresser les nuages duveteux, sur les balançoires. Une fois, tu avais voulu tester. Etre comme tous ces enfants, insouciants et innocents, et tu ne t'étais fait prier plus longtemps, pour venir t'installer, confortablement, sur une des balançoires. Voulant t'envoler vers les cieux, bougeant rapidement les jambes, pour aller toujours plus haut. Valentin restait toujours à proximité de ta personne - un vrai prince charmant. Peut-être, était-ce pourquoi, lorsque, tu chutais lourdement, sur le sol, il avait accouru, sortant un carré de tissu de sa poche, pour venir l'appliquer sur ton genou, d'où perlait l'essence écarlate, à l'amer odeur de rouille. Tu laissais s'échapper larmes de douleur, de tes orbes caramélisées, et il s'enquit de ton état. Cependant, la douleur n'arrivait à passer... Tu vis, alors, ton prince se pinçait les lèvres de frustration, et soudain, une idée - il se pencha légèrement, et aussi doucement que possible, posant ainsi sa bouche, contre ta plaie encore saignante, pour y déposer un furtif baiser, qui vraisemblablement, faisait disparaître toute douleur, instantanément. Tu séchais rapidement tes larmes de crocodiles, en lui exprimant ta gratitude, dans un mignon petit rictus « C'est ce qu'on fait aux princesse. Un bisou et on se sent beaucoup mieux. » Tu l'observais, désormais, avec un regard intrigué. Voir, comme si tu venais de croiser un revenant, cependant que vous vous releviez, doucement. Un bisou magique ? Voilà bien une chose, qui ne t'était guère familière. Tu te mis dont, à rougir, tel un pivoine, et t'approchais de lui, te hissant sur tes pieds, pour atteindre sa joue, où tu y déposais tes lèvres, doucement. Il fut surpris comme tous ceux qui se trouvaient près de toi. Peu importe le regard des autres, vous aviez connu plus beau, plus fort et plus intense encore que cela : un coup de foudre.

    Alice se sent heureuse, presque nageant dans un bonheur inouïe. Le lycée, meilleure partie de ta vie, des amies en or. Tu as toujours été une très bonne élève et c'était une obligation. Non seulement, tu n'a jamais vraiment fourni de réels efforts pour avoir de bonnes notes, mais ton mini-règne dans ce groupe tant convoité avait duré longtemps. Les regards curieux sur tes courbes, les chuchotements dans les couloirs, les dernières tendances à adopter avant tout le monde, la course aux faveurs des garçons, tu adorais ça. Tu aimais jouer de tes charmes, c'était nouveau. Tu as une personnalité impossible à résumer en quelques mots.... Tu n'est pas que la fille de où celle qu'on voit dans les magazines. Sous ces airs de fausse princesse intouchable et parfaite. Tu est bien plus que ça. Il n'y a aucune place pour le destin. Tout est écrit à l'avance. Famille influente Check. T'es la petite Alice. Celle qui paraît intouchable. Fille prude. Fille loyale. Parfois tu balances des sourires, parfois des baisers. Tu es la poupée porcelaine. Tu peux être capricieuse. Un peu. Parfois. Tous le temps. Tu ris trop fort. Tu souris sans raison, puis tu fronces les sourcils. Un peu contraire à toutes ces règles. Tu est pas méchante. Tu est juste par moment incomprise. Y'a personne de parfait à ce qu'il parait. Mais au delà de tout cela, tu est une vraie aventurière. Qui aime vivre de nouvelles expériences. De nouvelles choses et ça avec beaucoup d'énergie. Toute chose plate t'ennuie. Caractère de cochon Check. Fille complexe Check. Grande bouche Check. Impossible de l'arrêter (accroche toi coco). Fait preuve d'une grande intelligence. Fait preuve d'une grande dignité. Tu as le sens de la reconnaissance. Avoir une famille comme la tienne n'est pas chose facile. Être riche encore moins. Tu est une emmerdeuse finie. Y a pas de médicament pour ça. Loyale envers ta famille. Personne ne te connaît vraiment. Mais tout n'est pas tout rose et tout beau, chaque famille à son lot d'épreuve. Lorsque tu apprends la maladie de ton grand frère ta vision sur le monde changea : finalement le monde est cruel. En public, tu essaies de ne pas perdre la face, mais en privé c'est assez complexe. Des millions de questions striaient ton esprit : et si c'était la fin, que se passerait-il pour toi ? C’est le cœur battant à tout rompre que tu traversa le couloir pour atteindre la chambre de ton frère. Un coup d’œil, un jeu de regard, une fusion fraternelle qui s’opérait alors que le silence encombrait la pièce. Il était là en train de dormir - tu ne faisais que de l'observer. Il avait l'air si paisible. Alice ne laissait rien paraître. Toujours resté digne, maitresse de soi, en toute occasion, ne jamais défaillir. Cela faisait partis des nombreuses leçons qu'on lui avait enseigné. Pour la première fois, tu sentais que le destin allait vous jouer bien des tours. Finalement, peut-être que rien n'était écrit à l'avance.


    Great people never understand anything alone, and it is tiring for children to always and always give them explanations.



    CHAPTER III - 30 juillet 2009 ❀ Hautes Sphères

    « AU DEBUT, J'AVAIS JUSTE BESOIN DE QUELQU'UN, QUI PASSE ME VOIR, HISTOIRE DE JOUER,  
    MAIS, C'EST DEVENU BIEN PLUS QUE CA... SANS QUE JE NE CONTROLE QUOI QUE CE SOIT, JE ME SUIS FAITE EMPORTEE PAR L'AMOUR. UN PEU, COMME A L'OCEAN, QUAND UNE VAGUE, VOUS PREND PAR SURPRISE, ET VOUS ENTRAINE, SANS QUE VOUS N'AYEZ LE TEMPS, DE VOUS EN RENDRE COMPTE.
    »


    L'enfant fit place a une belle jeune femme encore plus intempérante, encore plus volcanique. Tu passais le plus clair de ton temps avec Valentin. Continue encore et encore de grandir - loin d'Andréa qui est parti. Voulant prendre la relève et rendre fière la famille royale. Lors d'un gala de charité en l'honneur des vétérans : Alice se fit remarquer telle comme une future reine acceptable. Et, en public tu t'accordais a mentir, jouer la comédie, pour le bien de la couronne. Avec Valentin, tu ne faisais pas semblant et tu pouvais être une fille normale. La reine te pousse à être sans émotion, ne laissant paraître qu'une coquille vide auprès des autres. Alice parfaite petite princesse. Alice la grace incarnée. Nouvelle Alice, Nouveaux Horizons a découvrir. Autant se servir de cette richesse. Tu devais prouver à cette famille bien des choses, peut-être a toi aussi. Tu te concentre sur ce que tu aimes : la danse - le monde des affaires - la littérature anglaise - aider les autres. Et, pour façonner encore plus ton image Alice a du partir dans différents pays : Espagne - Russie - Japon - Italie - New-York - Afrique - Portugal - Londres. C'était une chance. En revenant aux pays, tu voyais bien le bonheur sur le visage de ton père, mais celui de ta mère restait fermé. Et, Tu te sentais abandonnée ; d'une part par ton grand frère et d'autre part par ton jumeaux - un réel gouffre s'était mis en place. La préférée de Daddy contre le chouchou de la reine. Alors, tu continuais à vivre malgré tout avec ces règles - tu restais la gentille et douce princesse du peuple. Valentin devenait un homme séduisant même voir trop a ton goût et tu commençais à ressentir quelque chose pour lui. Personne n'était au courant de tes sentiments même pas toi. Et il y a ce jour où tu te rendais à la bibliothèque du palais, il était là dans un beau costume. Valentin était devenu le garde du corps de ton père. Tes pas martelaient le sol, suivant ton tracé. Tu laissais s'échapper un léger soupir, lourd et pesant. Pour aller tourmenter val. Oh, beau Valentin. Un homme impassible. En apparence super beau gosse. Mais qui ne voulait pas rigoler. Il était beau, il était mystérieux, il était distant. Au travail c'était comme ça. Il était la. Tout était calme. Trop calme à ton goût. Comme ta pitoyable petite vie. Tu t'ennuie. Valentin profitait de son temps libre pour bouquiner. Cela faisait des jours, des semaines entières, que tu avais fait en sorte de le séduire. Et, pourtant ce soir il avait fini par céder. Tu fus surprise. Une belle surprise. Une histoire sexe. A dire vrai, cela valait mieux que ça reste ainsi. Mais de jours en jours, il commençait à te manquer terriblement, il fallait l'admettre. Tu t'en fichais de tout ça. Obligeant de sauver les apparences, tu préférais rester dans les limites de cette pseudo relation. Alors, à quoi bon prendre des risques, si c'est pour se brûler les ailes, automatiquement ? Si c'est pour avoir le coeur brisé ? Tu pensais, sans nul doute, que tu ne méritais pas d'être aimé. Ca serait trop, pour toi... Tu t'aventurais, sur un sentier étroit, de graviers. Tu avais voulu jouer, à ce petit jeu de séduction. Mais, tu risquais gros, dans cette aventure, qui était sans condition. Mais, tu savais, que, d'une certaine part, ce n'était point entièrement de ta faute. Après tout, tu ignorais totalement l'idée, qu'un jour où l'autre, vous tomberiez dans les bras, l'un de l'autre.

    Tomber en amour, c'était quelque chose dont tu te refusais obligatoirement. Et, au petit matin, l'amour était là. Dans ton cœur. Dans tes veines. Un truc que tu n'aurais jamais pensé. Cette situation. Tu es sur le point de te donner entièrement a cet homme - un homme avec qui tu as envie d'être. Comme une impression de tomber amoureuse pour la première fois. Ta peau contre la sienne, ses mains qui découvrent ton corps, un frisson apparu, un plaisir partagé. A chaque caresse, cela devient plus intense et chaud. Sentant l'excitation qui montait de plus en plus fort. Oui, il t'excite. Pas besoin d'une parole. Tout se passe dans l'acte. Il savait. Tu savais. L'amour que vous ressentiez l'un pour l'autre était fort. C'est un gémissement fort qui s'échappe de vos lèvres, tellement c'était bon. Tu adores ce qu'il est en train de te faire. C'est meilleur que dans tes rêves. Une sorte de bulle se forme autour de vous. Comme s'il n'y avait plus que vous dans cette chambre. Vos corps l'un contre l'autre. Vous avez droit au bonheur. Tu le regardes d'un regard amoureux, il faisait pareil. C'était beau. C'était comme au cinéma. Tu baissais la tête, le temps de quelques instants. Contemplant le sol d'un air vide, absent. Essayant de chasser le trop plein de pensées embrouillées, qui se percutaient dans ton esprit. Lorsque soudainement, tu sentais une pression se faire, au niveau de ton menton, qui t'entrainait. « Qu'est-ce qui se passe princesse ? » Ajouta-t'il aussitôt, d'un ton doux et mélodieux. Presque dans un murmure, en te caressant la joue, avec délicatesse. Un mignon petit rictus tiraient les coins de ta bouche, cependant que tu frissonnais, une fois de plus. « Je pense à la vie, a mon père, et si ma mère apprend pour nous deux....J'ai pas envie de te perdre. » Lui retournais-tu, en prenant sa main, avec douceur. Tu posais ton regard sur le sien, cependant que tu jouais fébrilement avec ses doigts. Les entrelaçant, parfois. Bien que les siens te quittèrent, après quelques longues minutes, glissant doucement sur tes hanches. Son visage se rapprochait de nouveau. Il s'apprêtait à te voler, une seconde fois, un baiser. « Ta mère c'est le cadet de mes soucis. Je t'aime Alice. » Belle déclaration pour sa bien-aimée. Tu étais désormais dans une relation stable. Sérieuse. Réelle. Heureuse et épanouie. Tu n'avais jamais entendue ces mots, sauf de la part de ton père. Grâce à lui, tu réussis à s'épanouir. Que ça soit auprès de ton père, la famille royale, tu fais bonne figure auprès de ta mère. Toujours plus princesse. Toujours plus princesse. Il te convainc de poursuivre tes rêves - de t'épanouir dans tes passions et de montrer ton savoir. Et, c'est depuis l'annonce de la maladie de ton frère, que ton souhait le plus chère est de l'aider à guérir. L'amour c'était comme ça. Ça pouvait rendre heureux. Rendre véritablement heureux. L’amour n’est pas que trahison et mensonge, l’amour est parfois fragile mais sincère. L’amour c’est un cri dans la nuit noire lorsque le silence est d’or. Alice est amoureuse, Valentin aussi. Ensemble c'est le feu. Son amour pour toi, c'est juste un sentiment qui envahit chaque parcelle de ton corps, une sensation frissonnante qui te transporte.


    There are moments when one must choose between living one's own life fully, completely, completely, or dragging the degrading, hollow and false existence that the world, in its hypocrisy, imposes on us




    CHAPTER IV - VERS LA VOIE LACTÉE

    « CA NE S'ARRANGE PAS, AVEC LE TEMPS. LA DOULEUR, JE VEUX DIRE... LES BLESSURES CICATRISENT, EN SURFACE. T'AS L'IMPRESSION QUE, TU N'AS PLUS MAL. ET PUIS, AU MOMENT OU TU T'Y ATTENDS LE MOINS, LE CHAGRIN RESURGIT. HISTOIRE DE TE RAPPELER, QUE TU NE SERAS PLUS JAMAIS LA MEME. »


    La vie était calme, douce et aimante à ses côtés ,mais une chose planait au dessus de ce bonheur. Cette relation, c'était le ciment de ta vie, mais quelque chose se fane. Vous aviez des projets, des projets communs à atteindre - un avenir qui pouvait voir le jour. Tout semblait parfait, puis il a osé dire qu'il voulait tout arrêter, comme si c'était possible. Le cœur de la princesse se brisa en réalisant l’horreur de la situation. Valentin lui avait menti, il ne l’avait jamais aimé et son but n’avait été que de jouer avec toi. Quelle idiote tu faisais ! En réalisant ces mots, Alice se meurt dans un silence, sait à peine respirer et ne veut plus respirer. Se laissait tomber au sol, les yeux rivés sur le vide. Ne plus jamais rien ressentir. C'est fini .... le beau rêve était fini. Rien ne pouvait changer à la situation. Tu souffrais. Tu n'a pas laissé à Valentin la chance de s'expliquer c'était trop douloureux. En partant loin de lui, la seule personne qui pouvait essayer de te comprendre c'était Andréa ou ton jumeaux. Mais ils n'étaient pas là - seul ton père qui t'aimait plus que tout était présent. Le plus dur était sans doute de le voir tous les jours, au service de ton Daddy, avec ou sans le sourire ce n'était qu'une façade. Et, au bout de deux semaines il s'en est allé. Loin. Très très loin. Trop de question fusent dans ta tête. Pourquoi il est parti. Pourquoi y a plus d'amour. Pourquoi il ne t'aime plus. Pourquoi après un an de relation. Des pourquoi qui t'ennuie. Qui t'agace. Tu ne sais pas. Tu mordilles ton pouce. Pas envie d'en parler. Pas envie d'y faire face. Parce que finalement, c'était peut-être ta faute. T'es pas certaine. De rien. T'as continué comme avant, après lui. Ou presque. Assis à la table familial. Tu as même fait la conversation. T'as dérangé personne. Personne. Mais rien n'est correct. Plus maintenant. Valentin parti. La mort pouvait bien te prendre. Ton cœur est sortit de ta poitrine de toute façon. Mais tout était ta faute - tu le sentais dans ton âme - la culpabilité, c'est comme un cancer. Mais toi, t'es saine. Ou pas. C'est con tout ça. Y'a aucune explication. Tu manges pour oublier cette douleur. Tu te serais laissé tenter pour envoyer tout valser. Tu te goinfres de friandises. Il ne restait plus trop de sucrerie. Tous les bonbons échoués dans ton ventre. T'aurais fini par te vomir les tripes. La faute aux trop plein de sucre. L'énergie qui t'abandonne, comme un high, maintenant que le sucre n'est plus renouvelé. Envie de dormir. Envie d'oublier. En émergeant, le lendemain, tu ne sais plus trop pourquoi tu étais là. Ni qui tu es. Le monde n'a pas changé cela dit. C'est encore un bordel sans nom. Tant mieux.


    Lettre une,.....
    Valentin, mon amour


    Je suis mort sans toi. Deux fois, trois fois et toutes les autres nuits qui ont suivi. Je t'ai vu, dans mes rêves, allongé près de moi, touchant ce bonheur tant convoité. Je t'ai aimé à la minute où je t'ai vu et je t'aimerai sans doute toujours. On aurait dû être ensemble, on aurait dû se marier. Mais avec les "on aurait " on pourrait refaire le monde. Je te doit tellement, je te veut à jamais. À chaque fois, je me réveille en sueur, et en pleurs, à chaque fois. Peut-tu revenir ? Je t'aime, Alice.


    Lettre deux, ....
    Valentin, mon amour


    Je repense parfois, à toi et moi, sur ce banc. Toi, qui viens vers moi. Tu avais une égratignure sur la joue gauche, je me rappelle. Tu m'as offert une fleur. Cette fleur était magnifique. Elle est pour toi. Je l'ai toujours. Je l'ai emmené avec moi, tu sais. Pour garder un peu de toi, chez moi. Je te revois dans mes rêves, accompagne moi, tu veux ? J'ai tout abandonné. Pour toi, j'ai du me sacrifier. j'ai tout laissé, là-bas. Tu me manques. Je t'aime,Alice.


    Des lettres envoyé qui n'ont jamais eu de réponse. Oublié. Effacer. Erreur. Erreur. Ce n'est pas de la colère qu'on a enfoncé dans ton ventre après coup - tu ne la reconnaitrais probablement pas. Mais tout est devenu désagréable après le départ de Valentin. L'eau est devenue trop ferreuse. Tes draps, arrachés, trop chauds. Le contenu de ta garde robe ? Entièrement découpée, au ciseau. Refaite, rachetée, parce que tu ne supportais plus les couleurs. Tu t'es mises au classique - adieu le rock, au moins quelques mois. Daddy n'a pas compris, mais daddy n'a rien demandé. En pleine quête spirituelle tu as commencé à t'intéresser à tout et n'importe quoi. Au revoir princesse. L'amour c'était pas fait pour toi. Tu te consacre à diverses choses ; comme ton peuple - les associations diverses où tu peux donner de ta personne. Tu étais devenue un peu un remake de la princesse Diana. Celle qu'on admire. Celle a qui on veut ressembler. Celle qui reste un mystère à déceler. Y a comme un flottement dans l'air, une absurdité qui plane sans même que son ombre apparaisse. Tu es la, dans la solitude de ton âme, dans les étoiles consternée par la grandeur de la voie lactée. Tu brilles d'un regard sans lendemain et vole au dessus des nuages. L'amour te ronge, l'avenir te déstabilise, la mort te brutalise. Tu vis au jour le jour, tu ne réfléchis plus au jour prochain qui viendra sans laisser le temps passer lentement. Tu ne t'écroule pas, le regard fixe, perdu dans le vague, perdu dans ton âme. Danse princesse. Danse princesse. Tu n'es pas complètement perdue, tu vogues au grès du vent, au grès du temps, sur des eaux au goût amer, au goût incertain. Y a pas de juste milieu, y en a plus.



    Life is so ironic; It is necessary to have known the sadness in order to savor the happiness, the noise in order to appreciate the silence and the absence in order to take advantage of the presence





    CHAPTER V - L'HOMME IDEAL.

    « CAR, ILS ETAIENT UNIS PAR UN FIL, QUI NE POUVAIT EXISTER, QU'ENTRE DEUX INDIVIDUS DE LEUR ESPECE. DEUX INDIVIDUS, QUI AVAIENT RECONNU LEUR SOLITUDE, DANS CELLE DE L'AUTRE. »



    Princesse parfaite tu l'était. Durant deux années ; tout était écrit et fait pour que tu règne. Mais il te fallait un homme a ton bras. C'est ce que ta chère mère te conseilla de faire. Fondatrice pour l'UNICEF - tu t'es laissée courtiser pendant toute une année. Tu l'aimais j'en , mais ce n'était pas de l'amour aux premiers regards. Valentin était trop présent dans ta tête. William te veut. William t'aura. Tu profites des choses de la vie. C'est un homme avec une famille influente : cela plaît à la reine. Le temps défile. Encore. Encore. Et, malgré tout ça, au fil du temps, même proche de William, tu n'ose pas lâcher prise - être toi te paraît tellement abstrait. Tu a peur. Peur d'être mise à terre une nouvelle fois. Cela faisait déjà plusieurs mois, que tu repoussais ses avances. Que tu renvoyais tous les présents, que le bel apollon t'offraient, sans exception. Non pas que cela ne te plaisait guère. Bien au contraire. Mais, tu te refusais à sauter le pas. William voulait statuer votre relation. Toi tu n'était pas prête. Pourtant, même si tu n'osais te l'avouer. Même si, tu agissais comme tel, il était évident, que tu tombais, un peu plus, sous le charme de William, à chaque minute, chaque instant, qui s'écoulaient, à travers ce sablier, qui marque notre temps. Tu pourrais très bien te laisser aller. Lui dire ce que tu ressentais, mais le fait est, que, dans le fond, tu étais, quelque peu, effrayée... Cela t'empêchait de le faire. De sauter. Après tout, tu n'avais jamais été très heureuse. Très chanceuse, question sentiments. Et puis, il y a ton statut royal - tu savais très bien qu'il serait parfait a tes côtés. Parce que, dans le fond, tu ne voulais lui donner de faux espoirs, étant donné, que, ton âme esseulée, appartenait, secrètement, à un autre. Que, la supercherie de tes sentiments, demeurer enfouis. Dissimuler, à jamais... C'est d'ailleurs, pour ça, que tu te demandais bien, pourquoi ce bel ange, persévérait... Oui, il fallait se rendre à l'évidence : William était bien trop beau, trop gentil. Trop romantique, attentionné. Bien trop parfait, pour toi. L'homme idéal, tu le voyais en lui. Mais, tu te savais, parfaitement, qu'ill pouvait avoir n'importe quelle femme, alors... Pourquoi diable, continuer à te tourmenter ? Ce n'était qu'une ombre. Une simple pensée, que celui-ci croyait aimé. Tu ne pouvais lui donner ce qu'il recherchait. Tu ne saurais répondre à ses attentes, à ses prières. Chose que le beau brun n'avait l'air de comprendre, visiblement... Alors, que tu chassais toutes ces pensées embrouillaient, de ton esprit torturé.

    Et, ce moment est arrivé. Il était rentrer dans ta chambre - comme un voleur en pleine nuit. Tu baissais le regard, en laissant s'échapper de tes lèvres rosées, un soupir, aussi léger qu'une brise. Mais, une main vint, finalement, t'arracher de tes jolis rêves. Tu daignais t'écartais légèrement, pour laisser place. Ne te doutant guère, que cela était justement le bel apollon. Et, pourtant... Après quelques longs instants, tu croisais enfin, son doux regard envoûtant. Pénétrant. Arf... Que faisait-il, ici ? Tu sentais une boule se former, dans le creux de ton ventre. Ta gorge se serrer,
    systématiquement, alors que ton rythme cardiaque accélérait, sensiblement. Tu ne savais que dire. Tu étais totalement paralysée. Pourtant, tu n'avais envie que d'une chose : Te retrouver loin de lui. Une requête, qui t'était, quelque peu, refusée, pour l'instant... « Tu comptes m'éviter encore longtemps ? » Te demanda-t'il, directement, bien que, cela n'avait point l'air d'être un reproche. Tu posais tes iris caramels, sur les siennes, soupirant de lassitude. Mais pourquoi, diantre, s'obstinait-il, ainsi ? Ce n'était pas en t'offrant des présents, en faisant tout, pour te faire craquer, que tu allais lui tomber dans les bras! « Je ne sais pas... Tu comptes me tourmenter encore longtemps ? » Lui retournais-tu, d'une petite voix calme. Sereine, en haussant les épaules. Tu le vis, dont, te toiser, dans le plus grand silence, bien que, ce dernier se rapprocher, dangereusement, de toi. Ah, non... Pas ça! Il y avait assez d'espace pour vous deux, alors, il était totalement inutile de te raisonner, tu ne céderais pas! « En fait, c'est un jeu, pour toi... N'est-ce pas ? » Tes yeux s'écarquillés, se changeant presque en secoupes, à mesure, que tu étais sonnée, par ces propos. Ainsi dont, il pensait que ce n'était qu'un simple jeu, pour toi ? Il croyait vraiment que, tu prenais un malin plaisir à jouer avec son petit coeur ? Pourquoi diable, prendrais-tu, ce risque - le risque de tout envoyer valser, d'un simple revers de main, alors, que tu partageais ses sentiments ? D'accord... Tu lui résistais. Certes, dis comme ça, ça parait cruel, mais, tu ne le pouvais pas, et il le savait, parfaitement. « Pardon ? Tu... Crois vraiment que je m'amuse avec toi ? » - « Parce que ce n'est pas le cas ? » Tu soupirais, une fois de plus, détournant, alors, le regard. Te sentant, quelque peu, blessée. Froissée. Néanmoins, tu t'apprêtais à placer quelques paroles, mais ce dernier, te devança, une fois de plus. « Je veux juste savoir... Dis-moi, seulement, que tu ne ressens rien. Que tu ne m'aimes pas. Que mes sentiments ne sont, malheureusement, pas réciproque. Dis-le franchement, simplement, en me regardant bien droit dans les yeux, et ensuite... Je te laisserais partir. Je te laisserais, définitivement, tranquille. Je n'essayerais plus d'être un obstacle. De te retenir. » Un long silence s'abattit dans l'habitacle. Un silence oppressant, qui ferait retourner n'importe quel spectre, dans sa sépulture, cependant que tu restais là, aussi droite qu'un piquet. Aussi raide, qu'une simple planche de bois. Tu n'aimais guère la tournure, que prenait ces événements. Tu avais même, la vague impression d'avoir affaire au Chapelier fou, dans Alice. A force, tu ne savais plus sur quel pied danser, avec ses sautes d'humeur, constantes... « Non, je... Ce n'est pas du tout ce que tu crois. Je... Je ne veux pas que tu me laisses tranquille! C'est la première fois que je me sens bien. Heureuse. Que je me sens revivre. Sans toi, mon monde n'est qu'un océan rempli de ténèbres. Je... Je ne veux pas, que... » Tu soupirais alors, dans un semblant de mélancolie. De profond désarroi. « Je suis désolée de t'avoir blessé, si tel est le cas. Crois-moi, ce n'en était pas du tout mon intention. Au contraire... Seulement, si j'ai lutté contre tout ça. Contre les sentiments que j'ai pour toi. Que je t'ai renvoyé tous ces présents, c'est parce que... Je ne pouvais pas. Je... Tu es quelqu'un d'extraordinaire. De merveilleux. Tu es doux, gentil. Drôle. Agréable a regardé... Tu es tout simplement parfait. Et, je... Je me disais, qu'en agissant ainsi, tu finirais par m'oublier, par passé à autres choses. Parce qu'il faut se rendre à l'évidence, tu mérites vraiment d'être heureux. De trouver mieux. Et... Je n'ai jamais été très douée, question sentiments. Et puis, je ne voulais pas nous créer des ennuis, en prenant le risque d'être avec toi. Parce que... Parce que, si c'est le cas, je m'en voudrais, que trop... Mais... » Tu te rapprochais, à ton tour, en posant ta main, délicatement, sur la douce joue nacrée du beau brun. Reprenant ton souffle perdu, doucement, à mesure, que, tu te noyais dans ses yeux, d'un brun translucide. Des orbes caramélisées, aux couleurs chatoyantes. « Je t'aime, William. » Lui avouais-tu, finalement. Presque dans un murmure, en lui caressant le visage, avec tendresse. Tu vis, dont, son doux visage, s'avancer, systématiquement. Comme s'il se sentait tirer vers le fond. Et, après plusieurs secondes, qui te parurent interminables, celui-ci t'embrasser, avec amour et passion. Tu prolongeais son doux baiser, en espérant. En priant de tout ton coeur, pour que tout ceci, ne prenne fin. Pour que tout cela, ne soit point un simple rêve. Que la réalité ne te rattrape guère, si tu osais ouvrir tes paupières. Puis, le bel apollon se recula légèrement, reprenant son souffle, qui se mêlait au tiens. « Moi aussi, je t'aime, Amour. » Te susurra-t'il, d'un ton particulièrement doux, en t'adressant un mignon petit rictus. Bien que cette petite pointe d'amusement s'afficha sur son visage pénétrant. « Cependant, j'ai enfin gagné mon pari... T'as craquée! » Tu levais les yeux au ciel. Hochant la tête, vivement, avant même d'afficher une petite moue, adorable. « Au lieu de faire le malin, embrasse-moi. » Il laissa échapper un léger rire cristallin, avant de s'exécuter, cependant que tu le prolongeais, avec passion. Et, pour la toute première fois, de ta vie, tu te sentais, réellement, bien. Enfin complète. Comme si tu étais sur un doux petit nuage duveteux. Ton monde retrouvait de sa splendeur, de sa saveur. De son éclat. Il n'y avait plus que vous deux, qui comptait. Rien ni personne, n'oserait troubler votre bonheur. Du moins... C'est ce que tu te portais à croire...


    Our life is a book written on its own. We are novel characters who do not always understand what the author wants




    CHAPTER VI - LA PROPOSITION.

    « C'EST LA COMBUSTION DE MON AME, QUE TU AS CAUSE. IL A SUFFI UN SEUL REGARD. AME QUI SE LIE A LA TIENNE, SANS QUE TU SOIS AU COURANT. TU HANTES MES PENSEES, VOILE CARMIN, OU SE DESSINENT TES IRIS CARAMELISEES. ET, JE NE CESSE DE PRIER - PRIER, POUR QUE TU ME VOIS, INCONSCIEMMENT, TANDIS QUE MA RAISON ME POUSSE A TE TOURNER LE DOS, EBAHIT DE LA VIOLENCE, DE SENTIMENTS INAVOUES. »


    Tu saisis, nerveusement, la poignée de porte, et l'ouvrais, finalement. Tu inspirais une grande goulée d'air frais, qui te libérée, aussitôt, de cette ambiance, que tu trouvais, un tant soit peu, animée, étouffante. Trop agitée, oppressante. Festive, écrasante, et dont le chauffage te monter aux tempes. Tu avais oublier Valentin dans les bras d'un autre, au moins tout est propre avec lui. Quelques semaines durant, tu n'avais put t'empêcher de voir la porte de sortie. De te jeter à corps perdu, cependant. Tu avais voulu te  démêler, de cette foule insensée. De cette fête, pleine de cotillons, de chandeliers et de décoration colorée et luxuriante, sur la table posée, dont tu ne te sentais à ta place constante. Tu avais fait en sorte de faire plaisir à William, en invitant toute sa grande famille. Au palais c'était la fête. Même tes frères étaient là à tes côtés. Tu avais tout fait pour que tout soit parfait. Tu nageais dans un bonheur que les gens avaient l'air d'apprécier. Brailleries de tes convives, et t'engouffrais, dans cette vaste contrée verdoyante. Cet espace, qui donnait sur un grand et majestueux jardin, dont tout le monde jalouserait, sans précédent. Tu t'emmitouflais dans ta grande veste grisâtre, bien que la température, ne te gêner guère plus que cela, et te dirigeais, vers ce fameux balcon où tu t'aventurait avec Andréa. Tu découvrais, alors, le jeune garçon, que tu recherchais, activement. S'accoudant, se tenant sur la rampe, de ce gazebo, où tu avais pris pour habitude d'être avec lui. Les douces lumières, qu'avait installé l'élu de ton cœur, autour de ce petit bâtiment découvert, donner un air épuré, bien qu'élégant. Rappelant à quiconque, qui s'aventurait ici, au demeurant, que la période de Noël pouvait se trouver magique, émouvante... Tu fermais, dont, les paupières sur tes orbes ténébreuses, prenant, une fois de plus, une grande bouffée d'air frais. Une respiration lente et régulière, que tu voulais contrôler. Absolument maitrisée, et te décidais, finalement, à les rouvrir, avant même, de monter les quelques marches, de ta démarche gracieusement dansante, alors, que dans le fond, tu semblais indécise. Tu fus tellement discrète, que ton frère n'eut l'air de remarquer ta présence... Tu avalais ta salive, avec une certaine difficulté. Alors, qu'elle peinait à descendre, dans le fin fond de ta trachée, à mesure que, tu redoutais l'instant présent. Mieux aurait fallu que tu fasse demi-tour. Que tu rebrousse chemin. « Alice... Ca fait longtemps que tu es là ? » Te questionna-t'il, cependant qu'un sourire idiot tirait les coins de sa bouche. Visiblement heureux de te voir. « Non, juste depuis quelques instants. Je voulais simplement t'informer, que le dessert va bientôt être servi, et qu'on attends plus que toi. » Lui avouais-tu, d'une voix calme, sereine. « C'est gentil. Et, dans ce cas, je te suis. » Tu acquiesçais, dont, d'un léger signe de tête, pour approuver. Lui faire savoir, que tu venais de saisir son message, à l'instar, que tu tournais les talons. Te préparant à redescendre du gazebo. A retourner à l'intérieur, dans l'atmosphère lourde et chaude. « Au fait, je voulais te demander quelque chose .... est-ce que tu est heureuse, .. je veux dire avec lui. » Te retourna-t'il, gentiment. Vraisemblablement, sincère et toucher. Tu te retournais, dont, et lui adresser un petit rictus, sans joie. Prête à dégainée, à lui montrer le fin fond de ta pensée. « Ça y ressemble en tout cas .. William est parfait pour moi et je suis parfaite pour lui. Et, il a l'air de plaire beaucoup à maman. » A ces mots, qui se vouait vide et sans conviction, Andréa fronçais les sourcils. A ces paroles, un jeux de regard - celui du frère qui avait compris. Alice ne voulait plus souffrir. Mais fort heureusement que Valentin n'était plus là - il a toujours pu s'entendre avec ton grand frère, comparer à Arthur qui ne le portait pas dans son cœur. Peut-être était-ce parce qu'il n'était pas qu'un simple garde du corps pour Daddy. La jalousie tue la jalousie. Tu doutais de la force de tes émotions, tes sentiments. Et, si Valentin revenait que se passerait-il ? Tu aimerais lui faire comprendre l'affront, qu'il avait causé. Lui faire payer son détournement, sa fourberie. La trahison du serpent. Le faire tombait avec toi, alors que tu avais, dors et déjà, précéder à ta chute déferlante. Que tu avais glissé, dans ce trou noir et béant, sous ton regard médusé, impuissant. Alors que le sol s'écrouler, derrière ton tracé, sous tes pas. Bien au devant, de ton trépas. Tu avais omis de divulguer ce qui s'était passé avec Valentin a tes frères. C'était ton jardin secret. Quand bien même, cela te pesait sur la conscience... Tu devais faire preuve, malgré tout, de bien aisance, et tu étais bien décidé, à garder le contrôle sur quelque chose. Le contrôle sur ton esprit.


    William prend ta main et te somme de le suivre au milieu de toute cette foule. Tu sentais, soudainement, ton cœur tambouriner, inlassablement, dans ta poitrine... Ton souffle haché, saccadé, lui laisser croire, que tu étais intimidé. Cependant, que tu reculais de quelques pas, t'accoudant, dont, à la rambarde en bois. Tu avais peur que le beau brun ne commette une autre bourde. L'irréparable. « cher convive, merci à tous d'être venu aujourd'hui - c'est un jour très spécial pour son altesse et moi-même. Je ne pensais pas faire un discours de la sorte, mais n'est-elle pas somptueuse ? Oh bien sûr que oui ! Cesse de plaisanterie, passons aux choses sérieuses : Amour, tu es la personne la plus douce et la plus belle qui m'ait eu la chance de connaître - après mûres réflexions et j'avoue que ta chère mère à approuver cette idée y compris le Roi, ton père adoré - me ferais-tu l'honneur, une immense joie, Alice Gabriella Rosa Chloé Grimaldi, veux tu devenir ma femme ? » Tu perdais tes moyens. La voix de la sagesse. De la conscience, te poussait à rester sur tes gardes. A ne pas te jeter sur lui, pour lui dire oui. De sa proposition, alors que tu avais voulu t'éloigner. Disparaître à sa vue, de son champs de vision. Le temps de quelques instants durant, tu t'arrêtais sur le chemin de gravier et te retourner. Tu contemplais son doux visage pénétrant, qui attendait. Patienter, sagement, ta décision. Guettant ta réaction. Sur le moment, tu t'imaginais, sans nul doute, qu'il se moquait de toi. Jouer à tes dépends. Tu croyais que tout ceci, n'était que le simple fruit, de la plaisanterie. Qu'il s'esclafferait, à gorge déployée, sous ton regard noir, meurtrier. Mais, rien n'y faisait... Ton souffle saccadé, se couper, alors. Les mots te manquaient. Ils restaient coincés, dans le fin fond de ta trachée. Tout le monde attendaient ta réponse avec impatience. Et finalement, tu ne pouvais pas refuser. Tu fis mine d'être totalement heureuse et épanouie, aux côtés de ta moitié, qui fut très heureux du choix final. Il te déposait un furtif baiser, sur ta joue nacrée, sous le regard de tes convives. Tu acquiesçais, dont, d'un léger signe de tête, pour approuver à l'assemblée ta joie de cette nouvelle. Un nouveau chapitre va commencer dans votre vie.




    CHAPTER VII - LE TEMPS DES MIRACLES.

    « SI PARFOIS, ON NE CROIT, CE QUE L'ON VOIT, IL Y A D'AUTRES FOIS, OU LES CHOSES LES PLUS IMPORTANTES, AU MONDE, SONT CELLES QUE L'ON NE VOIT PAS. »


    Le rêve américain, c'est différent en vrai. En personne. Pas aussi brillant, ni aussi propre. Mais ça ne te déplait pas. Daddy à beau te répéter que ce n'est que le commencement, que tu n'as pas besoin de t'inquiéter, tu le sais déjà. Tu n'es pas nerveuse. Ton ventre fait des petits sauts. Se contracte. Mais ça n'a rien d'inquiétant. Rien de perturbant. Tu découvres le monde - le tien. Celui qui t'attend. Harvard nous voilà. Tu rejoins Andréa au mois de septembre 2014. Arthur a choisi d'y être. Toi, c'était pour te rapprocher de ton grand frère. Il t'avais tant manqué. William est en voyage d'affaires, mais tu attends son retour avec impatience. Ou pas. Ou presque. Tu souris un peu. Une courbe tordue sur la bouche. Les lèvres encore enflées. De lui. Son odeur est partout sur toi. En toi. Ses doigts se perdent dans tes cheveux et tu fermes les yeux. Tu te sens bien parmi les tiens ou tu fais semblant de l'être. Tu est prête à vivre ce nouveau départ. Tu a choisi la médecine afin d'être dans la recherche continuelle pour ton frère. Tu veux le sauver à tout prix. Et, parlons de ton jumeaux. Celui que tu adores, mais qui le mot guerre rime plus avec votre relation. Vous allez vous battre pour le trône. Princesse parfaite 1. Prince rebelle 1. Balle partout comme on dit dans le jargon football. Mais tu n'est pas prête à laisser la place a ton frère et encore moins à Tate. Le battard de la famille. Daddy ta grave déconne sur ce point. Enfant illégitime bienvenue. Ou pas. William était revenu de voyage avec un joli présent, un bijoux à sa princesse. Tu errais. Déambuler au côté de ta moitié, sur le chemin. Les rues de pavés. Laissant ton esprit voguait, se laisser emporter vers de vastes rivages. De vastes horizons. Tu songeais, douloureusement, à ton trouble passé. Il y a de ça quelques semaines, tu avais croisé Valentin sur le campus. Merde. C'était pas assez dur comme ça. Pourquoi revient-il maintenant ? Est-ce Andréa qui l'a appelé ? Il avait brisé votre belle et longue relation. La fissurant, dans une fine poudre de diamants, en te prenant dans la foulée, un doux baiser langoureux et passionné. Oui, tu ne pouvais t'empêcher de ressasser cela, cependant que, celui que tu aimais, vous arrêter soudainement, sous tes orbes étonnées. Tu le toisais, alors qu'il te faisait face. Voulant absolument rester, dans ton champ de vision. Tu lui adressais, dont, un regard navré, à mesure que tu comprenais, que tu n'avais guère écouté, ce qu'il venait de te révéler... Il s'enquit de ton état, sentant une certaine quiétude, pour toi, néanmoins, que tu lui adressais un doux et mignon petit rictus. Vous profitiez l'un de l'autre, même si ton esprit était vouée à un autre. Quelques jours plus tard ; suivant ton emploi du temps, tu te rendais a une de tes nombreuses associations,spécialisation pour les enfants malades. Tu a très vite sympathiser avec une jeune femme, elle aussi semblait être ravie de cette échange. Une complicité s'est très vite installer entre vous...aussi vite que l'orage. Alice, reviens en forme pour cette quatrième année, tu parais en forme et ressourcer. Tu en a parcourue du chemin, une route difficile qui ta fait grandir. A présent, tu es devenue une femme brillante, qui brille non pas pour n'importe quoi, mais qui à trouver sa voix. Avec William tout se passe à merveille. Il est amoureux, c'est une évidence même. Toi aussi. Ou pas. Mais chose bizarre : depuis l'annonce de ton futur mariage - qui fait la une de tous les journaux, la reine est plus docile avec toi. À quoi ça rimait cette comédie ? A garder l'apparence royale. Mais Alice ne peut oublier son vrai prince charmant. Il était trop spécial.  En public, tu joues les princesses parfaites, prête à conquérir le monde coûte que coûte. Et, en privé tu t'accorde a quelques fissures, même si montrer tes faiblesses n'est pas vraiment bon pour toi. Tu reviens de voyages. A peine posé les valises, tu reçois une lettre de ton tendre Valentin. Une lettre dans laquelle, il te fait du mal. Ses mots sont sanglants, pleines de reproches, pourquoi te fait-il endurer ce calvaire ? Il était lui-même sur le campus, pourquoi se servir d'une lettre ? Bref, tu t'en fous. Oui. Non. Peut-être.


    Tu avais tant de choses à te soucier, comme préparer ton futur mariage. Une chose pas si pressée que ça. Tout se passait bien, alors pourquoi est-tu malheureuse ? Pourquoi continuer à jouer la comédie ? Tu tient que ça à avoir cette couronne sur ta tête ? A défier ton jumeaux. Était-ce nécessaire ? Oui, tu a beaucoup perdue avec Valentin, il était temps pour toi de montrer au monde et ta famille quel genre de reine tu pourrais être. Encouragée par Daddy, bien évidement. Il restera ton premier fan. Mais ce n'était pas ta seule préoccupation. Tu avais bien des centres d'intérêts diverses et variés. Enchaînant les nuits blanches, accumulant les associations et les déplacement, la jeune fille semblait ignorer tous ses besoins vitaux, jusqu'au jour où tu fis un malaise. Transportée à l'hôpital le plus proche. Hôpital que tu a voulu quitter aussitôt réveiller, tentant de justifier ton malaise en évoquant la raison du surmenage, le fameux ‘burn-out’. Mais les médecins ne se laissèrent pas convaincre aussi facilement : ils leur était apparemment impossible de te laisser partir sans s’être assurés de ton état. Confrontés à la mine déconcertée d'Alice, les médecins durent éclaircir la situation : ils t'annoncèrent que d’après les analyses, tu était enceinte de deux mois. Une nouvelle qui eut l’effet d’un choc sur la princesse. A aucun moment, tu n’avais ressenti le moindre symptôme d’une quelconque grossesse, et de toute façon jamais tu n'avais envisagé l'être. Comment se fait-il ? Soudain une nouvelle pensée te foudroya littéralement, de qui était-il ? Oui, parce que tu a revue Valentin et les choses naturelles ont pris possession de la situation. C'était juste une fois. Une passion dévorante. Était-il de lui où de ton fiancé William ? Anéantie par l’annonce de ta grossesse, Alice ne parvenait à distinguer ce qui était pire entre porter l’enfant de Valentin, un homme que tu aimes d'une passion sans faille, où de porter l'enfant de William l'homme parfait. Un putain de malaise et toute ta vie se trouva chamboulée. Tu ne peux en parler autour de toi, cela ferait le tour de la toile, personne ne pourra t'aider sur ce coup de chance ou de malchance. Tellement de choses qui fusent dans ta tête, tellement de pensées qui se mélangent encore et encore. C'est pourquoi, tu essaies de ne rien montrer, surtout pas à ta famille. Ils t'obligeraient à garder ce futur héritier. Ou pas. S'il était d'un simple citoyen comme Valentin, le nom des Grimaldi serait sali par ta faute. Que va-tu faire ? Le faire disparaître ? Oui. Non. Oups, princesse dans le caca.
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    bienvenue chez toi Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 2109348208 .
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    Lien du postSam 16 Sep - 16:47:48
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    oh, la jolie clara. Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 3850463188
    bienvenue par ici et bonne chance pour ta fiche. :heaart:
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    Lien du postSam 16 Sep - 16:49:52
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    bienvenue parmi nous :heaart:
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    Lien du postSam 16 Sep - 16:55:17
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    LA PETITE SOEUR Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 1656269883 Tu sais déjà que je t'aime et je te kiff Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 1656269883
    En tout cas, merci beaucoup de choisir ma petite Alice Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 1656269883 je suis trop heureux, je kiff de ouf Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 1656269883
    Tu sais où me trouver si tu as besoin de quoi que ce soit et bonne chance pour ta fiche Vic
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    Lien du postSam 16 Sep - 17:45:09
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    Bienvenue et bon courage pour ta fiche :heaart:
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    Lien du postSam 16 Sep - 18:08:49
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    Ma demi-soeur Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 3997999705

    Bienvenue sur ILH Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 2511619667
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    Lien du postSam 16 Sep - 19:07:36
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    Bienvenue chez toiiiii !! Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 1946740601 Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 1230098378 Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 3026748879
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    Lien du postSam 16 Sep - 19:13:07
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    Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche Alice G. Grimaldi  ► Ana De Armas 1508216586
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