J'étais toujours là dans la pièce. J'observais les attitude des gens, l'ambiance de la pièce et surtout j'avais un œil sur ma petite copine dans les bras de ce type, Noah. J'avais déjà eu vent de se qu'il pouvais bien dire dans l'oreille de cette dernière. « Je suis mieux que ton petit amis» ou encore « ne nie pas l'évidence Athénaëlle.. » En tout cas c'est ce que j'imaginais, il pouvais très bien lui dire d'autres choses, et même si j'avais tout confiance en ma petite copine sur le fais de se tromper l'un l'autre, je ne pouvais certainement pas nier que Noah était un type qui étais beau. Il est beau et il le sait, il en joue peut être trop qui sait, mais en tout cas les regards se retournait à son passage. J'étais donc non loin de la piste, les voyant danser, discutait et rire, je voyais ma petite copine rire avec ce gars. je pouvais clairement pas faire comme si rien ne m'atteignait dans ce que je voyais, mais je n'avais pas envie de me battre ce soir, je ne voulais pas exposer ma jalousie maladive devant autant de monde. Sa ne ferais rien d'autre que nous embarrasser et prouver qu'au fond de moi j'ai quand même ce sentiment qu'un jour si elle le souhaitais Athénaëlle pourrais me quitter pour un autre bien mieux que moi. Je buvais alors la presque totalité de ma bière, les dents serré de colère qui me rongeait c'était quoi son problème à ce type me regardais alors qu'il dansais avec elle. Soudain un regard de ma belle et j'arrivais légèrement à me détendre, on avais toujours cet effet sur l'autre, je lui fais signe avec ma bière comme si tout allais bien alors que j'en crever de foutre une bonne raclé à ce... Noah.

Ton regard sur la jeune femme, te voilà "seul" avec elle, enfin sans son chien surtout. Tu l'observes, tu la détailles, tu en profites même pour la faire rire. Mais tu humectes tes lèvres Alors qu'est que tu fais dans mes bras et pas dans les siens ? Surtout avec son regard noir sur moi, je vais croire qu'il est jaloux juste croire car cela ne te fait pas peur. Tu connais ce genre de regard et ce genre d'hommes qui risque sur un coup de tête essayer de te frapper, mais qui n'y arrivera pas. Parce que tu les connais les techniques. Et c'est ça qui est drôle. Mais voilà, mains posées de façon à danser plutôt énergiquement, tu en profites la faire tourner sur elle et la coller à toi pour la réceptionner. Je ne t'en veux pas, c'est oublié. Mais plus jamais tu me frappes, je ne supporte pas ça dis-tu sérieusement. La seule personne qui pouvait te frapper s'était Asia parce qu'elle était ta soeur et personne d'autre. Ca s'était clair et net. Tu regardas alors la jeune femme avant de réfléchir sur un air de chanson Celui que tu veux, du moment que je suis dans cette position avec toi, tout me va Athé Position collée à elle quoi. En même temps, elle n'avait pas l'air de bouger, ni toi non plus en fait, ce qui t'arrangeait mais son chien non

@Athénaëlle A. Wildingham @Amaël McAlloy

Toi, tu te risquais pas à chanter en espagnol, non vraiment pas. Si t'étais bonne voire très bonne en danse, tu ne pouvais pas en dire autant pour les langues étrangères. Donc tu t'occupais de mixer, de jouer avec la musique comme si t'y connaissais quelque chose alors que... Pas du tout. Camila continuait de pousser la chansonnette avec Noah et, une fois arrivée à la fin, elle t'informa qu'une partie de votre mission était terminée. T'hochas la tête et souriais en même temps que la cabot te relançait sur la bouffe. Ouais, vous aviez pas assez foutu la merde sur les buffets, il allait falloir changer ça. D'ailleurs, ta pote ne perdit pas une seconde et attrapas le plateau d'un serveur pour l'envoyer dans la pièce et asperger la salle avec la nourriture présente dessus. T'éclatas de rire en te penchant en avant puis te redressas, perdant au passage ta capuche et dévoilant ainsi ton visage au reste de l'assemblée. De toute manière, t'avais pas l'intention de rester incognito, t'étais pas là pour te faire des amis. Tes pas te menèrent aux pieds de l'estrade et tu t'aventuras dans la foule. Dès que tu croisais un serveur, tu lui piquais ce qu'il y avait sur son plateau pour le jeter un peu plus loin en prenant soin d'éviter toutes personnes cherchant à te chopper suite à l'ordre de Cole. Quand, enfin, tu arrivas à hauteur d'un buffet où ton regard croisa celui de quelqu'un que tu connaissais que trop bien : Tommen. C'est vrai qu'il faisait parti de l'Eliot. Tu ne te laissas pas distraire pour autant et montas sur le buffet. T'attrapas un saladier plein de velouté de concombre et te positionnas au niveau de Tommen et Davy, un sourire presque aguicheur au coin des lèvres. « Il paraît que vous êtes pas fan du vert les gars. » dis-tu en référence à la guerre Eliot/Mather assez fort pour que plusieurs personnes puissent t'entendre avant de jeter le contenu du saladier sur l'assemblée, en mettant par la même occasion sur les deux jeunes hommes. Tu descendis du buffet et collas ton doigt à la joue de ton ancien meilleur ami pour attraper du velouté et le porter à ta bouche « Quel gâchis. Mais il paraît que c'est parfait pour la peau. » dis-tu avant de rire et de faire coucou à Camila au loin.

@Tommen Hale @Davy Beckins @Camila Wildingham

Nous nous amusions tous simplement, nous dansions et plus rien n’avais d’importance hormis de croisé par moment le regard d’Amaël. Je ne voulais pas qu’il soit jaloux, je chercher juste à m’amuser avec un ami rien de plus. Je savais qu’il avait confiance en moi, mais en Noah, je ne pense pas non. Amaël avait toujours eu cet instant protecteur et jaloux, et sa me rendais encore plus folle de lui. Mais pour le moment je m’amusée, je danser sans pensée mal placée avec un ami, et les regards noir d’Amaël étaient un peu gênant, c’est pourquoi je lui lancer des regards tendre pour le calmer de loin. « Tu ne veux pas juste profiter que je sois dans tes bras et pas dans les siens justement pour une fois. » lui rappelais-je puisque j’étais toujours dans c’eux de mon chéri habituellement, et non pas dans les siens. Noah profite de mes excuses pour me faire tourner sur moi-même et me coller à lui. Je souris, ce jeune homme était intimidant, ce côté snob, arrogant qu’il avait envers moi ou n’importe qui d’autre me plaisait assez. En réalité je n’étais pas totalement insensible au charme du jeune homme, et c’est bien là la complexité de notre amitié, c’est que j’aime Amaël de tout mon cœur et c’est une certitude, mais Noah était celui qui mettais le plus en danger notre relation, autant à cause de la jalousie de Amaël, que par mon incapacité à repousser Noah de ma vie définitivement. « Plus jamais c’est promis. » lui répondais-je en lui souriant avec douceur dans le regard. Le bel italien me faisait peut à peut oublier le monde autour de nous, comme si j’étais seule dans une bulle avec lui. Je plongeais mon regard dans le sien. « Ah oui ? Alors autant laisser les filles faire. » La bataille de nourriture continuais entres les autres personnes, et lorsque je vis un petit four passé au-dessus de la tête de mon cavalier, je me mise à rire, puis finalement ma main passa délicatement dans ses cheveux pour retirer les quelques miettes qui était tombé dessus. « Voilà tu n’as plus rien. » lui assurais-je en lui montrant les miettes récoltées dans ma main pour finalement les lâchers au sol. « Noah, on pourrais aller parler dans un endroit plus calme ? » Je ne savais pas encore vraiment ce que je voulais lui dire, mais je voulais lui faire comprendre que j’aime Amaël, mais ça je ferais bien ce que je lui dirais.

Débarquer à la soirée Eliot ? Franchement Abel, j'espère bien l'y voir lui aussi pour qu'on mette le bordel ensemble. Une robe verte enfilée, « ABEL président » écris en gros sur la poitrine au parqueur, me voilà prête. Je suis déjà en retard, certaine que Bambi m'y attend déjà. Elle paraissait vraiment chaude pour y aller elle aussi. Rapidement, je la vois dans la soirée. J'évite de peu la nourriture qui vole déjà. Apparemment, nous ne sommes pas les seules à vouloir mettre un peu d'ambiance dans cette soirée bien trop guindée. Je pensais que les Eliots pouvaient faire de meilleures soirées, mais j'ai la preuve sous les yeux de l'ennui total des invités. Je vois Noah de loin, en train de danser avec une jeune femme. Quelques pas vers Noah, et sans prêter la moindre attention à sa cavalière, j'attrape sa mâchoire et pose mes lèvres sur sa joue, proche de ses lèvres, pour un baiser appuyé. Un clin d’œil rapide, et j'avance vers queen B, accostée par un jeune homme (Tate), juste à temps pour entendre ses propos. J'attrape Tate dans mes bras, ma poitrine contre son dos. « Sois poli beau gosse ! Je vous pensais bien élevé chez les Eliots. »

@Tate L.Murray @Noah M. Ferrari @Bambi C. Corleonesi @Abel I. Galinha

Bambi se contenta d'arquer un sourire avant d'éclater de rire face à la pathétique attaque de Tate. Il valait mieux s'en marrer qu'en pleurer. Bouh que c'est polissé tout ça ! Pète un coup, ça te fera du bien Murray ! Par ailleurs, je ne te savais pas pro rose... faut t'appeler comment du coup, Tatounette ? papillonna-t-elle des yeux avant la superbe intervention de sa comparse verte, Echo. Cette dernière marquait un point : plus aucune politesse chez les bleus, la confrérie partait à volo. Mais tant mieux, ça ne donnait que davantage de grain à moudre à l'italienne, qui tapota la joue de Tate genre brave bête, histoire qu'il rage encore un peu plus. C'est toi qui schlingue à trois kilomètres, on t'a jamais dit que prendre une douche à l'eau de Cologne, c'était limite interdit par la convention de Genève ? attaqua-t-elle de façon plus mordante, avant de s'emparer d'un chou à la crème et de le renverser très maladroitement sur la veste de ce pauvre bleu. Il l'avait attaqué en premier, il en faisait les frais derrière. Fallait pas commencer. Faut pas se frotter à la Mather. Vous avez été pépère jusqu'à maintenant, mais ça va changer. Vous allez pleurer dans les jupons de vos maternelles tellement on va vous mettre la misère. Z'allez même faire la fortune de vos chers psys en papier bulle, parce qu'on vous lâchera pas. Cette année, les bleus vont brûler. Et sur ces mots, elle incita Echo à la suivre, pour ne pas se mêler davantage à cette plèbe contaminée.

OUT

@D. Echo T-Leone @Tate L.Murray @Abel I. Galinha

Je m'étais vêtue d'une de mes plus belles robes, fétiche si je puis dire puisque c'était l'une des premières que je m'étais achetée en arrivant à Boston. Je venais tout juste de sortir de l'hôpital et il m'avait fallu pas mal de personne pour me sortir de mon trou et remonter la pente comme il le fallait. Alors c'est avec un faux sourire et une tronche bien tartinée de maquillage afin de cacher mes cernes que j'entrais dans les lieux de la Eliot House avec un peu d'appréhension et surtout de retard, je dois l'avouer. J'étais arrivée ici il y a de ça 5 mois, je ne connaissais que mes frères qui, eux aussi, faisaient partit de l'Eliot House, mais bizarrement, me retrouver dans le même nid que tous les autres riches, ça me donnait un peu la chair de poule. Ils se connaissaient déjà tous et étaient certainement plus habitués que moi au luxe et aux soirées de ce type. Je prenais mon temps pour entrer, histoire d'admirer ma future 'maison'. Le sourire me monta aux lèvres car malgré tout, je réalisais un de mes rêves en intégrant l'élite et mon ambition ainsi que tous mes projets futurs, reprenaient le dessus. Dans l'attente d'engager une conversation avec quelqu'un, je me prenais une coupe de champagne et observais tout le beau peuple dans un coin de la pièce...

Qui dit rentrée dit bizutage et qui dit bizutage dit bonjour aux nombreux défis qu'elle allait devoir réaliser pour réintégrer la Mather House et c'est avec cet état esprit que Lucky s'est infiltrée à la soirée des Eliots. Elle avait une mission à accomplir et peu importe qu'elle soit ridicule ou pas, brunette allait le réaliser sans se soucier des regards ou bien des préjugés. Après tout, le ridicule ne tue pas non ? À peine les pieds dans le plat, qu'elle entend des propos néfaste à l'encontre d'une de mes copines vertes. Encore et toujours monsieur Murray. Toujours à dénigrer les verts quand ça l'arrange et les tâter profondément lorsqu'il à besoin de confort. Franchement, quelle honte il y a d'avouer que les vertes sont les plus bonnes du campus ? Sourire aux lèvres, elle se rapproche et lui donne une claque contre les fesses histoire de le faire sursauter. « Le chameau ne voit pas sa bosse à ce que je vois ? » Lache-t-elle en se plaçant face à l'eliot. « Faut que tu sortes un peu de ton trou, que tu te détendes et que tu pètes un bon coup ! » Elle laisse un rire s'échapper entre ses lèvres avant de poser ses mains sur les épaules de Tate mimant un semblant de massage. « T'es tellement stupide à l'ouvrir pour ne rien dire ! Relâche la pression, tu veux que je te montre ? » Et sans attendre de réponse, elle se met à danser la macarena bougeant bien son boule et profitant au passage pour lui donner un coup de fesses contre son rein histoire de le pousser sur le côté. Et arrêtant ensuite son petit manège, elle reprend d'un air beaucoup plus sérieux. « M'bon, je suppose que je me fatigue à vouloir t'apprendre vu que t'as un melon à la place du cerveau !. » Souffle la mather en secouant la tête l'air totalement déçu. « Oh et pas la peine de m'escorter, je connais le chemin du buffet. Snobinards va ! » Elle repousse son épaule de son doigt, sourire mesquin et se rend au buffet pour piocher dans le tas et partir. Fin "dans le tas" trop grand mot en fait.

tg eliot · soirée de bienvenue pour les bizuts — Abandonnant Agathe à ses occupations avec le beau parleur, je rejoignais un groupe de jeunes femmes, en apercevant que deux mais Deirdre était de mise également et j'étais agréablement surpris de voir qu'elle me parlait dans notre langue natale. Sourire aux lèvres, je lui répondais tout naturellement “Dia duit Deirdre” Le truc, c'est que je ne connaissais qu'elle, alors quand elle demandait de présenter une jeune femme, j'étais incapable de dire quoique ce soit sur elle. Nouveau à Cambridge, il m'était difficile de parler de qui que ce soit, si ce n'est Agathe, Deirdre et Cléolya. Bien heureusement, elles étaient toutes Eliots. “Enchanté Amalthia” Attrapant sa main, je lui faisais un baiser sur le dos de celle-ci avant de me tourner vers l'autre jeune femme inconnue au bataillon (Nina). “En effet, je suis bizut, nouveau sur le continent américain. Jaden. Jaden O'Callaghan et ami de longue date de Deirdre ici présente.” Je regardais tout autour de nous avant de les regarder toutes les trois les unes après les autres. “Ravi d'être ici, parmi vous. Je pense me plaire ici.”