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I LOVE HARVARD
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    Always you and me ♠ Amaël
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    Lien du postMer 30 Aoû - 20:48
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    Comment oublier cette fois ci dans la piscine à Paris, tout comme je ne pourrais jamais oublier le moindre endroit que nous avions pris pour nos moments intimes. Chaque chambre d’hôtel avait été utilisé à des fin sexuelle, et puis quoi ? Nous étions jeune, heureusement que nous profitions de la vie avant que cela ne soit la vie qui profite de nous. Je n’avais qu’une envie, repartir en vacances et faire plein de nouvelles choses avec Amaël, mais la rentrée se faisait ressentir, Boston jusque-là presque vider de sa population avait retrouvé son vacarme, sa vie nocturne, et beaucoup de personnes été rentrées bien avant nous. Mais revenons à cette piscine, elle avait été le témoin de notre plus belle nuit à Paris, du meilleur moment intime que nous avions eu dans la ville des amoureux. Un sourire aux lèvres je le regardais avec une bouille émerveiller.

    « Comment pourrais-je oublier ce qu’il s’est passé dans cette piscine voyons mon amour. Ce soir je vais te faire vivre une nuit comme jamais tu n’en as vécu, crois-moi chéri. »

    Il y avait beaucoup de malice, d’espièglerie entre nous, une façon encore de nous charmer, de nous séduire, nous ne nous prenions jamais pour acquis et c’est ce qui rendais notre couple aussi puissant et intense. Nous avions le don de vivre note relation à mille à l’heure, de prendre des virages à cent quatre-vingt degrés, et surtout de ne jamais regarder derrière nous. Oui nous vivions un amour parfait. Alors que j’en venais à parler de mon père, Amaël ne put s’empêcher de faire le clown, là où beaucoup d’autre fille aurais piqué une colère, moi non, j’en rigolais avec lui. Il n’y avait que lui pour réussir à me faire rire en toutes circonstances.

    « Chéri ! Si tu savais à quel point j’ai arrêté de voir mon père de la même manière depuis très longtemps. Sa reste un célibataire convoité, alors des belles-mères d’une nuit j’en ai vus défilées crois-moi, bien assez pour organiser une défilé de mode. »

    Et me voilà en train de tourner mon père moi-même en dérision avec ces nombreuses conquêtes. Mais n’allais pas vous y tromper, j’aime mon père, et mise à part Amaël, personne n’avais le droit de parler de lui de la sorte. Alors que j’étais prise d’un petit fou rire, Amaël me confia le fait d’être tout de même stresser à l’idée de se retrouver seul avec mon père. Je ne le laisserais pas seule, j’étais bien trop curieuse de connaître leur discussion pour envisager le fait de les laissé entre hommes. Je lui souris tendrement lorsqu’il dépose un baiser sur mon front. Je me colle contre lui, et dépose un baiser sur sa joue en retour.

    « Je t’aime aussi Amaël McAlloy, je veux que tu sois mon roi. Et en ce qui concerne mon père, je resterais avec toi. »

    Je ne pouvais pas m’empêcher de lui déposer un baiser dans le cou, histoire de lui donner un petit avant-gout de notre future soirée. Je buvais une gorgée de champagne. Laissant mon regard espiègle se poser sur l’homme de ma vie. J’étais alors en train d’imaginer tout ce qui aller bien pouvoir se passé cette nuit sous les draps. Lorsque je vis le serveur arrivais je bus une gorgée de champagne nerveusement afin de ne plus pensée à tout cela devant le jeune inconnu. Je lui fis signe que nous n’avions pas encore jeté un coup d’œil sur la carte et il repartait en regardant tout de même le dos de ma robe. La jalousie allait-elle l’emporter sur la raison dans la tête de mon tendre amour ?
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    Lien du postMer 30 Aoû - 23:09
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    Elle riait beaucoup avec moi et j'adorais entendre son rire alors qu'importe s'il fallait que je fasse le pitre pour amuser ma chérie. Je me sentais rassurée quand elle parlais de ne pas ma laisser seul avec son père. Je me sentais moins stressé en sachant qu'elle serais même si je me doutait surtout qu'elle était plus curieuse de connaitre notre discussion mais ce n'était nullement grave parce qu'elle arrivais à me dire des mot doux pour me faire perdre la tête.

    « Tu est déjà ma reine voyons, qu'elle idée. Qui ne voudrais pas t'avoir comme reine. Regarde, ce pauvre serveur n'a qu'une envie c'est de te draguer, et lui aussi adore le dos de ta robe apparemment. »

    Une moue s'installe sur mon visage, si je le pouvais le la garderais dans un endroit fais d'or juste pour que seul mon regard puisse observer la beauté qu'elle est. Je n'ai pas pu retenir ma petite phrase de jalousie, parce que même si je sais que son cœur est mien les yeux des autres aime se poser sur son corps. Je regardais alors vers l'entrée où est passer le serveur et je fronçais les sourcils.

    « Jamais il n'aura, ma femme. Jamais. Et sache que je compte bien lui faire comprendre de rester à sa place ma belle. »

    Je la regardais et aussitôt, j'en perd mon regard acerbe envers ce pauvre serveur, elle avais ce don là me remettre à ma place, et ma place c'est prêt d'elle et dans ces bras. Je venais alors me placer derrière elle et je glisse mes lèvres sur sa nuque sur laquelle je m'empresse de faire un petit suçon tout violet, comme pour dire : « Elle est à Amaël ! » Je souris et je souffle prêt de son oreille des mots doux mais aussi des mots sensuel et sexy, j'avais presque plus envie de manger avec l'idée de passer la nuit chez elle, mais je ne voulais pas gâcher l'instant et ce restaurant était à nous ce soir après tout.

    « Tu as envie de manger chérie, tu prendre quoi de bon ? »

    Comme si ma phrase n'avais pas de sous entendu, je glissais à pressent mes bras autour d'elle plaquant mon torse contre son dos nu, le protégeant silencieusement des regard indiscrets.


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    Lien du postJeu 31 Aoû - 0:09
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    Mon beau roi, mon protecteur, le voilà qui soudain se lance dans un sentiment que je lui connais que trop bien quand un autre homme pose ses yeux sur moi, la jalousie ! Oui mon chéri était jaloux, et cela ne me déplaise pas, au contraire j’aimais voir à quel point je lui appartenais, que je n’étais qu’a lui. Alors que ce pauvre serveur prenais rapidement la direction de la sortie, je voyais le regard sévère d’Amaël se posait sur sa personne. Le simple fait de le voir si protecteur et jaloux envers moi me faisait fondre. Je n’avais d’yeux que pour lui. En terme de jalousie je n’étais pas en reste non plus, peu de temps avant que nous nous mettions ensemble, j’avais eu l’honneur de pouvoir balancer un verre d’alcool à la figure d’une pauvre fille qui avait osé l’abordé dans mon bar fétiche. Rien que de repensé à sa tête de crapaud me donnais la gerbe ! Je plongeais donc mon regard dans celui de mon compagnon, trouvant ainsi la paix et reprenant alors un visage doux et aimant.

    « Qui n’aimerais pas le dos de cette robe ? Il faudrait qu’il soit gay pour ne pas aimer, mais je t’avoue que son regard lubrique me met mal à l’aise. »

    Avouais-je à mon bien aimé en surprenant le serveur me mater alors qu’il servait une table à l’intérieur. Le voyant m’observait perversement, au point d’en renverser d’inattention le verre qu’il venait de déposé sur la table d’un groupe d’amis. Amaël m’avoua qu’il voulait faire comprendre au serveur avide de mon corps de rester à sa place. Ce qui me rassurait et me laissais pleine de curiosité, je connaissais Amaël, je savais donc qu’il aller marquer son territoire sur mon corps, et rien que d’y pensé j’en avais le sourire collé aux lèvres. L’homme de ma vie pris place derrière moi, cachant ainsi mon dos de tous autres regards envieux, et déposa dans mon coup un suçon. Je m’y attendais, et j’aimais ces petits frissons que cela me donnais. Les mots qu’il susurre à mon oreille me donnent des idées déplacées. J’avais envie de sentir son corps contre le mien. Alors que nous séparions notre étreinte d’appartenance, le serveur revenait, bien décider à prendre notre commande. Je me tenais pas très loin de la porte qui donnais dans la salle. Le jeune homme décida de ne pas partir bredouille, et à défaut d’avoir notre commande il laissa sa main frôlais mes fesses. Mon regard devenait glacial, alors qu’une fois de plus le serveur repartait rapidement, craignant une intervention de mon tendre amour.

    « Non mais je rêve ! Chéri si cela te dis on commandera au traiteur de nuit, et on va rentrer, je ne supporterais pas un geste déplacer de plus ! Il vient de me toucher les fesses cet abruti, je vois que certaine personne n’ont décidément aucunes bonne manières ! »

    J’attrapais mon sac à main, et par la suite je venais embrasser langoureusement mon roi avant de finalement attraper sa main, prête à entendre son verdict, allait-il vouloir rester manger ici ou partir ? Amaël allait certainement vouloir mettre une bonne correction à ce vicieux pervers sans gènes, et bien que l’idée ne me déplaise pas, je ne voulais pas pour autant faire une esclandre dans le restaurant, bien que cet andouille le mérite ! Cette fois je ne dirais rien, si mon roi voulait lui donner une conne leçon alors je le laisserais faire, et par-dessus le marché, je ferais jouer les relations de mon père pour faire renvoyer très rapidement le serveur abusif.

    « Je t’aime mon roi, je t’appartiens, peu importe la décision que tu prendras, je te soutiens. »

    Lui avouais-je, déposant un baiser d’encouragement sur sa joue.
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    Lien du postJeu 31 Aoû - 13:47
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    On profitais tellement du moment tout les deux tranquillement, à se faire des câlins et des baisers parlant librement de notre futur nuit sous les draps. Cependant, le regarde de cet homme et ce regard qui avais oser lancer à ma compagne me rendais fou. Un seul faux pas de plus et je le tue. Tout à coup alors que je pense à ma vengeance, ma chérie deviens glaciales et me regarde me demandant de partir. J'ai comprit. Ni une ni deux je regarde ma belle et je la rassure.

    « Ne t'inquiète pas ma chérie, je vais m'occupé de lui et je viens m'occuper de toi et t'emmener dans un autre restaurant. »

    Sans rien dire de plus je prend ma veste que je retire et pose sur les éaules de ma femme, je lui fais un bisous sur la joue pour qu'elle se rassure et je me lève en vitesse allant voir se serveur. Une fois devant lui je fais comme si j'avais besoin d'un renseignement, alors qu'il est lui même face à des clients.

    « Excusez moi monsieur, j'aimerais savoir si toucher le cul de ma copine vous a fais plaisir ? Oh ne faites pas comme si vous étiez choqué, nous ne sommes que les enfants de deux familles influente qui ont largement les moyens de tout vous faire perdre au point de vous prostituer pour gagner votre vie ! D'ailleurs... »

    Et PAF, un coup de poing dans la gueule. Mais par fierté il ose lever la main sur moi et je vrille totalement je le regarde méchamment et j'enchaine les coups jusqu'à tomber sur lui et enchainer les coups de poings. Le chef du restaurant viens m'arrêter et je me débats pour qu'il me lâche. Il a quand même réussis a faire saigner ma lèvre et j'aurais peut être un bleus sur la pommette mais lui, il est k.o. Le patron me demande ce qu'il s'est passer et quand je lui donne nos nom de familles il comprends a qui il à a faire. Je demande au type de le virer parce que je compte bien en parler à mes parents qui ne se gêneront pas pour les remettre a leurs place dans ce restaurant. Je reviens vers ma belle et je l'entoure de mes bras fier de mon effet. On ne touche pas à ma chérie. Je la guide vers la sortie et une fois dehors je la regarde prenant en coupe son visage ayant mes poings plein du sang de l'autre type.

    « Chérie, tu va bien ? Il ne ta rien fais de plus j'espère. Sinon je peut rentré là-bas et le remettre a sa place encore une fois hein... Aller viens rentrons, je n'ai plus faim.. »
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    Lien du postJeu 31 Aoû - 20:19
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    Sa tendresse, son regard, il me faisait fondre, et alors que j’étais soudainement devenue très froide dans mon regard, et que le serveur partait fièrement, Amaël d’un simple regard sur moi, me fit reprendre mon sourire, avec lui j’étais tellement différente, je n’avais même pas envie d’aller pourrir ce type, et pourquoi car la tendresse remplissais mon cœur à chaque moment passé avec Amaël, mais je pense que mon chéri lui, ne voyais pas les choses tel que je les voyais, pour lui il était tout simplement insupportable qu’un autre homme me regarde, alors qu’un homme se permette de me toucher, autant dire qu’il était mort. Amaël me disait qu’il allait s’occuper de lui, puis que nous irions dans un autre lieu pour nous restaurer, sans aucune résistance j’accepter volontiers, lui faisant un beau sourire pour le remercier. Soudain il posa sa veste sur mes épaule, ce geste me fit rougir, il avait cette façon de prendre soin de moi qui me rendais terriblement accros à lui, il était littéralement ma drogue ! Je le voyais s’éloigner, et me tenant dans l’encadrement de la porte, je le voyais abordais le serveur. Amaël, lui donne un coup de poing, et bien entendue le serveur plutôt têtu lui redonne un coup, je fronce les sourcils, prête à me mettre terriblement en colère contre cet individu, mais c’est alors qu’Amaël commence à tomber sur lui et enchaine les coups. J’avais rarement vus Amaël dans une rage aussi folle. Je plaquais ma main sur ma bouche, comme choquée de la violence qui avait lieu dans le restaurant. Lorsque Amaël viens me récupérer et me conduit à la sortie, je m’arrête quelque instant devant le patron des lieux.

    « Monsieur, je ne vais pas vous attribuer la faute de votre personnel, mais je vous avertis que dès demain Wildingham Finance aura racheté cet endroit et que l’intégralité du personnel sera changé, alors si vous ne voulez pas perdre votre emplois, je vous conseille vivement de mettre votre employé à la porte. »

    Puis sans me retourner je partais avec Amaël, le patron commencer à hurler sur son serveur qui était encore KO. Lorsque je pose mon regard sur Amaël, je vois que sa lèvre saigne, je grimace dans un premier temps, puis je dépose ma main sur sa joue et avec un doigt, je viens délicatement retirer le sang sur sa lèvre. Je passe une main dans ses cheveux, et fière de lui, je passe mes bras autour de son cou et je reste là quelque instant à lui faire un câlin. Je l’aime cet homme plus que ma propre vie, plus que tout au monde, il est ma merveille, mon avenir ne se fera pas sans lui. Mes mains se pose sur ses joues et je l’embrasse tendrement puis un peu plus langoureusement. Oui j’allais bien, mais ce que je voulais savoir pour le moment, c’est si lui allait bien, je ne supporterais pas que mon chéri soit mal à cause d’un minable ! Je lance un regard rempli d’amour sur Amaël, et je li souris tout en rougissant bêtement comme une fillette devant son première amour.

    « Non rassure toi chéri, je vais bien, il n’as rien fait de plus, et heureusement pour lui. Je n’ai plus très envie de manger non plus, tu as raison rentrons. Berlioz nous attend. »

    Et en effet mon chauffeur et à ses heures perdus garde du corps, venait de nous voir à l’extérieur et avait avancé la limousine jusque devant le restaurant pour que nous n’ayons pas à marcher, et puis il avait surtout peur pour nous. Berlioz était très protecteur envers moi, et depuis peu il le devenait aussi envers Amaël. Je montais dans le véhicule, laissant Amaël monter juste après moi. Une fois que la limousine était en marche, je me coller à Amaël posant ma tête sur son épaule. Cette sortie entre amoureux n’avait pas été une franche réussite, j’espérais que la prochaine fois cela se passerais beaucoup mieux. Je demander à mon chauffeur de contacter mon père et de lui demander de ma part de racheter le restaurant, je n’entre pas plus dans les détails, je dépose un baisé sur la joue de mon tendre amour.

    « Chéri, comment tu vas ? Je ne supporte pas qu’il est pus te faire du mal, vraiment. Je n’aime pas ça du tout ! Je t’aime Amaël McAlloy, et je veux dans un avenir devenir ta femme, alors s’il te plait, ne laisse personne te faire du mal, j’ai besoin de toi dans ma vie. »

    Mes yeux bleu azure se posais sur lui, j’avais peur qu’un jour quelqu’un lui donne un correction, j’avais peur de le perdre, rien que d’y penser j’en avais les larmes qui me montais au bord des yeux. Je ne pouvais pas m’imaginer vivre une vie dans la quel Amaël n’était pas. Si un jour il lui arrivais malheur, alors tel Roméo et Juliette, tel un drame shakespearien, je mettrais fin à mes jours pour le rejoindre dans la mort. Je vivrais pour lui, et je mourrais pour lui, il était la clé de mon avenir, le joyaux de mon bonheur, le seul homme à avoir réussi à faire de moi sa reine.
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    Lien du postJeu 31 Aoû - 22:24
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    Après avoir tabassé ce gars parce qu'il avais eu des gestes mal placé envers ma petite amie, je me sentais remonté contre le monde entier, puis en revenant prêt de ma douce ma colère diminua directement. Je la regardais et elle me faisait me calmé davantage de par ces gestes doux et tendre. Cependant elle n'en perdais pas une miette, puisque prêt du patron du restaurant elle lui faisait part du fait d'acheter ce restaurant et qu'elle voulais que tout les membre du dis restaurant soit remplacer. En moi un grande fierté envers la forte et confiante petite amie que j'avais. Je le guider alors dehors et tout alla vite, elle monta dans la voiture et je la suivais de prêt après avoir fait signe a son garde du corps que je commençais à connaître maintenant. Une fois a nouveau dans les bras l'un de l'autre je sentais la tension la quitté et ses larmes coulaient je levais alors son menton pour qu'elle me regarde et avec mon pouce j'essuyais ses larmes la rassurant comme je le pouvais.

    « Ma chérie n'ai plus peur d'accord, je suis là avec toi et il n'aurais rien pu m'arrivé de pire que de prendre un coup par ce salaud. Je ne laisserais personne me faire du mal mais je ne peut pas laisser passer le fait qu'on te touche, qu'on te blesse, ou même qu'on te regarde de travers. Chérie, je t'ai protéger parce qu'il avais dépassé les bornes et que c'était pas normal d'accord, il ne m'arrivera rien et tu deviendra ma femme, je te le jure. Tu sera la femme d'un homme fort qui saura te défendre en tout temps et en tout problème. »

    Je me savais dur en ces mots mais ce sont des mots que je pensais sincèrement et que j'avais envie qu'elle comprenne parce que si ce genre de choses venais à recommencer ailleurs je ne me gênerais certainement pas pour remettre la personne a sa place à nouveau et sa me semblais tout à fais normal en fait.

    « Mon cœur, je suis juste désolé, tout ça à gâché notre soirée alors que je voulais te faire une des plus belles déclaration que j'avais jamais faite a personne et que je voulais qu'on s'installe ensemble. Je t'aime Athénaëlle, je suis l'homme le plus heureux et le plus comblé qui soit sur cette terre entière, tu est la meilleures chose qu'il aurais pu m'arrivé surtout quand on sait d'où je sors. Je t'aime de tout mon cœur bébé et je sais que toi aussi, on est fais pour être ensemble, on est fais pour vivre ensemble et on sera fait pour être maris et femmes, et même si cette soirée est gâché sa ne change rien à ce que je ressent et cette nuit je te ferais vivre la plus belle nuit de toutes celle qu'on à déjà passer ensemble. »

    Après sa je m'empresse de venir poser mes lèvres sur les siennes pour un baiser des plus tendre mais qui tourne vers un baiser des plus enflammé.

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    Lien du postJeu 31 Aoû - 23:07
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    Les mots de mon chéri me venaient droit au cœur, comme une pommade qu’on applique sur une blessure. Je l’aimais bien plus que qui que ce soit. Il était vrai que j’avais eu peur pour lui, mais je ne pouvais pas l’empêcher d’être comme il est. Et c’est cette façon d’être dont j’été tombé folle amoureuse. Lorsque son pouce sèche mes larmes je me sens comme une petite fille chagrinée, mais finalement, il avait raison, bien évidemment que c’était normal qu’il me défende, et j’avais trouvé sa très héroïque de sa part d’ailleurs, mais je ne m’attendais pas à ce que le serveur lui donne un coup, et encore moins à voir son sang couler. Mais tout était rentré dans l’ordre, et bien qu’il pensée que cette soirée été gâchée, je me disais moi qu’elle n’était surtout pas encore terminée. Je souris à ses paroles, et mon cœur ce met à battre la chamade alors que je m’apprête à lui répondre.

    « Amaël, mon amour, la soirée n’ai pas terminée, elle peut très bien finir. Et tu sais mon cœur, je n’ai pas besoin de beau discourt pour savoir que tu m’aime, ta simple présence à mes côté est une déclaration éternel d’amour. Je suis la femme la plus comblée au monde d’avoir un petit ami aussi aimant que toi. Tu es mon Roi, et qu’importe les épreuves de la vie, tu seras toujours celui en qui je croirais, celui que j’aimerais, car je t’appartiens chéri. Je ne trouverais jamais de mots suffisamment fort pour te décrire la puissance de mon amour envers toi, mais chéri, crois moi je deviendrais ta femme. Habiter avec toi est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire pour la rentrée. Tu es parfait mon amour. »

    Nous en étions au beau discours, à la déclaration d’amour éternel l’un envers l’autre. Jamais je ne pourrais laisser tomber mon petit ami, jamais ! Et alors que nous nous regardions droit dans les yeux, laissant les émotions se lire dans nos regard, Amaël viens m’embrasser tendrement, ce qui me redonne le moral instantanément ! Et alors que le baisé deviens un peu plus sensuelle, Berlioz racle la gorge et ferme la vitre teintée qui sépare l’arrière de la limousine à la ‘cabine’ du chauffeur, et je l’entends mettre de la musique à l’avant en prenant tout de même soins de désactiver les haut-parleurs de l’arrière. Je profite de cette intimité pour me mettre à califourchon sur mon petit ami. Nous n’avions encore jamais essayé dans la limousine. Je lui rendais alors un baiser de plus en plus sensuel, alors que je rompais le baiser pour reprendre mon souffle, je venais déposer quelques nombreux baisers dans sa nuque et son cou, histoire de le faire frissonner.

    « La nuit ne fait que commencer mon chéri, et crois mois je te réserve une nuit dont tu te souviendras toute ta vie. Je t’aime Amaël. »

    Lui avais-je murmurais à l’oreille histoire de ne pas rompre de trop le silence qui se mélanger à la symphonie préliminaire de nos baisers. Je n’avais qu’une envie, l’envie de lui de son corps, de lui faire vivre une nuit des plus torride, de lui faire connaitre que mon âme toute entière, mon corps, mon cœur lui appartenais sans aucune limite. Je voulais que nous couchions ensemble pour la première fois dans la limousine, qui disons-le ne manquais pas de confort. Cette nuit, Berlioz avait compris qu’il allait devoir rouler pendant quelques heures. Les vitre teintées nous protéger des regards extérieur. Après avoir couvert le cou de mon chéri de bisous, je revenais à ses lèvres, lui offrant un baiser fougueux, langoureux et enflammé. Mon corps réclamais ses caresse, son toucher, ses mains se posant sur moi, oui j’avais envie de lui.
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    Lien du postJeu 31 Aoû - 23:28
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    Nous en étions au promesse d'amour et tout ces compliment de plaisir partagé et ressentit quand j'entends le chauffeurs de ma chérie, se raclé la gorge et nous enfermé dans notre futur cocon d'amour. Je souris contre les lèvres de ma belle heureux de se changement de situation comme nous seules pouvions en faire de telle, et alors qu'elle embrassais mon cou, je fermais les yeux et je profitait des lèvres de ma belle contre mon cou. Je glisse à mon tour mes mains sur son corps en venant réclamer ses lèvres qu'elle me donne ensuite et je caresse son dos nu faisant tomber ma veste encore présente sur ses épaules. Des frisson de son corps se font sentir sous mes doigt et j'en souris davantage contre ses lèvres. Je m'accroche à elle pour lui offrir un baiser des plus enflammé avant de finalement le rompre à bout de souffle.

    « Une limousine ? On a jamais essayer ça, j'adore l'idée, ma chérie mais laisse moi le temps de voir si j'ai de quoi nous protéger. »

    Je ne rigolais pas avec ça, même si j'aimais ma chérie de tout mon cœur il était clair qu'on était beaucoup trop jeune pour être des parents. J'avais déjà pensé à cette idée parce que je savais déjà qu'elle allais en avoir envie plus tard et je la voyais très bien être une mère d'enfer et que moi je ferais tout pour être un père de tonnerre mais tout de même. Je glisser la main dans ma poche et je l'ouvrais pour regardais mais malheureusement, j'en avais pas. Je remonte mon regard sur ma belle.

    « bébé, j'ai pas de capote, tu en a dans ton sac toi ? Je croit qu'il faut que je retourne en acheter, les derniers on les a utilisé a Paris dans la piscine. »

    Je fais une première petite moue avant de finalement sourire en venant embrasser son cou, perdu dans mes pensées je me demande si on va pouvoir enfin se réunir et faire que notre nuit soit magique. Je lèche la peau de son cou en fermant les yeux lentement.

    « Souviens toi mes caresses avant qu'on entre dans cette piscine parce que la chaleur était étouffante, rappelle toi de mes mains sur ton corps presque nu de ce superbe maillot qui disons le mettais t'es seins magnifiquement en valeur. Rappelle toi quand tu gémissait mon prénom parce que je te rendais folle de désir... Oh chérie, je te veux ici et maintenant dis moi que tu as une capote... »

    Tout en continuant en tenir ses hanches entres mes doigts je me recule et je la laisse libre de ses gestes, qui sait elle sauvera peut-être notre baise fougueuse dans la limousine.


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    Lien du postJeu 31 Aoû - 23:28
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    Always you and me ♠ Amaël - Page 2 1442679900-fail2
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    Lien du postJeu 31 Aoû - 23:55
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    Amaël faisait bruler mon corps de désire, je le voulais la et maintenant, et alors que les baiser s’échanger, il fouinait dans sa poche, oups pas de capote de son côté, je savais que mon chéri était très pointilleux avec la protection après tous nous étions dès bien jeune pour nous installer ensemble, mais alors si en plus nous dévons avoir un enfant … non pas tout de suite ! Je n’étais qu’en troisième année à Havard et j’avais neuf années d’étude à faire, autrement dit il m’en rester sept ! Alors avoir un enfant tout de suite ne serais pas un choix très judicieux pour notre avenir, d’autant plus que pour le coup ma famille se mêlerais rapidement de la situation. Je souriais contre ses lèvres à mon tour lorsqu’il me demandait si j’avais ce qu’il fallait dans mon sac à main. J’attrapais ce dernier qui avait fini par tomber sur le sol de la limousine. Et en quelque seconde le verdict tombe.

    « Chéri j’ai bien peur de ne pas avoir ce qu’il faut, il va falloir en effet en racheté et en planquer un peu partout dans notre future maison, nous connaissant. Hum chéri n’évoque pas ses souvenir, je crains de ne pas pouvoir résister si tu le fais encore. Rappel toi à ton tour tous ces geste de tendresse juste avant que nous n’entrions dans cette eau pure, souviens toi de mes hanches qui danser contre toi, et de ce plaisir intense que nous avions eu. »

    Alors qu’il apposer dans mon cou des baiser et qu’il venait caresser mon dos, mon corps frissonna. Comment pouvais résister à cette envie qui me prenait aux tripes ? Je ne pouvais pas, je n’avais pas la volonté de lui dire non, je n’avais pas la force de lutter contre ces pulsions charnels qui nous appeler l’un à l’autre. Et je profiter d’un petit arrête que nous offrais mon garde du corps pour me mettre sur le siège face à lui, entament alors un petit strip-tease rien que pour le plaisir de ses yeux. La limousine était une limousine Hummer autrement dit, je pouvais me tenir debout sans soucis tant elle été haute. Je commençais petit à petit par retirer lentement et toute en sensualité ma robe. J’avais sélectionné sur le post musique de l’habitacle arrière une musique douce et sensuelle qui s’accordais parfaitement avec le moment. Ma robe tomba le long de mon corps, et je me retrouvais en sous vêtement, plus précisément juste avec le bas, et oui je ne portais pas de soutien-gorge avec cette robe, et mes seins était suffisamment ferme pour tenir droit même dans sous vêtement. Je rougissais, me retrouvant à danser sensuellement, après un cours moment, je sentais que l’envie monter en nous. Au diable les capote ?

    « Mon amour j’ai envie de toi, de ton corps. Fais-moi découvrir ce que c’est que de prendre du plaisir dans une limousine, après nous ne l’avons encore jamais fais dans ce véhicule. »

    Je venais danser tout près de lui de façon à ce qu’il puisse m’attraper et me tirer contre lui, désirant que se soit il mène la jeu, qu’il me métrise, me domine, qu’il soit à moi et que je soit à lui.
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