Né le 30 avril 1992 à Paris en France, ma mère est décédée le lendemain de son accouchement. Je n’ai jamais eu de figure maternelle, car mon père avait découvert qu’il était homosexuel lorsque ma mère était enceinte de moi. – J’ai grandi dans une grande famille où est-ce que nous sommes 10 petits-enfants et 8 arrière-petit-enfants. Chez moi, nous sommes 3 enfants. Mes parents ont adopté mes frères Xavier et Vincent qui sont tous les deux originaires du Congo. – J’étais une jeune femme curieuse, mais je n’ai jamais demandé pourquoi j’avais 2 papas. J’avais cette sensation de savoir pourquoi que ma mère n’était pas là et évidement, lorsque j’étais en âge de comprendre, mon père m’avait expliqué pourquoi je n’avais pas de maman. Oui, j’avais beaucoup de peine de savoir ma mère était décédé le lendemain de ma naissance, mais j’étais aussi heureuse d’avoir des parents qui m’aimait et de savoir que ma mère ne souffrait plus. – À l’âge de 14 ans, j’ai été diagnostiqué d’une scoliose aiguë. Les médecins et les spécialistes avait expliqué à mes parents les risques de cette chirurgie. Il y avait 50% des chances que je perde l’usage de marcher, mais c’était ma décision, car j’étais victime d’intimidation au lycée, car j’étais différente des autres. – La chirurgie avait durée plus de 5 heures et après une réussite et beaucoup de patience, je suis sortie de l’hôpital après plusieurs semaines de réhabilitation et de physiothérapie. – Ce n’était pas facile le retour à la maison. Mes parents et mes frères m’aidait avec les choses que je n’étais pas capable de faire et on me donnait l’école à la maison pendant une année complète, car je ne pouvais pas m’assoir confortablement sur mon banc d’école. – Après 2 ans, j’ai pu enlever mon corset et de reprendre ma vie normale, mais j’étais devenu une femme complètement différente et beaucoup plus féminine. Moi qui ne se maquillait jamais auparavant, aujourd’hui, j’essaie d’avoir un look naturel et charmant. Lorsque YouTube et Instagram sont arrivé sur internet, je n’ai pas hésité à partager ma vie privée. Je voulais en faire une carrière et aujourd’hui, je suis devenu très populaire sur les réseaux sociaux. – J’ai été cette jeune fille chanceuse d’avoir été sélectionné pour un échange étudiant aux États-Unis. Ma tante m’avait accueilli chez elle et elle était heureuse de me voir pendant une année complète avec elle. Ma mère était sa sœur jumelle. Je me voyais en elle et il m’arrivait parfois de l’appeler maman. – Depuis ma chirurgie, il y avait des moments où est-ce que s’était difficile de m’exprimer mentalement et surtout de décrire la douleur que je ressentais. Mon père m’a toujours dit que s’était important d’exprimer tout ce que je ressentais et si je ne trouvais pas les bons mots, je pouvais m’exprimer en écrivant ou de peindre tout ce qui me passait par la tête. Il avait tout à fait raison et peindre est devenu un passe-temps important. – Au lycée, j’ai fait partie de plusieurs concours et la plupart de mes tableaux ont remporté la première place. Par contre, je n’aurai jamais pensé à avoir une offre de l’académie des arts de Brooklyn. Une offre que je n’ai pas refusée et aujourd’hui, la plupart de mes tableaux se retrouver dans des galeries d’arts de Brooklyn. – Je n’étais pas simplement doué en art, mais j’étais aussi doué à mettre sur pied des projets structurés et surtout qui détienne des informations pertinentes et beaucoup plus avancé que d’autre. Lors de ma dernière année au lycée, j’ai sur pied un dossier criminel pour notre cours de criminologie. J’ai eu la chance de tombé sur l’un des criminels qui me rendais très curieuse. Hannibal Lecter était un criminel très complexe et surtout très dangereux. Un homme au comportement dérangé et surtout un psychopathe difficile à classer. – Mon dossier a été classé comme étant le meilleur de la classe et pendant la création de mon dossier, j’avais un plaisir d’en parler sur ma chaine YouTube et de publier des pages de mon projet sur ma page Instagram. À ma grande surprise, plusieurs écrivains et criminologues ont entré en contact avec moi pour avoir une copie de mon projet pour écrire de nouveau bouquin et de produire de nouveau documentaire. Je ne pouvais pas refuser de grande demande comme ceux-ci. – Mes parents étaient très fier de moi lorsque j’ai reçu mon acceptation à l’université d’Harvard. J’étais cette jeune fille qui avait passé au travers de plusieurs défis et d’obstacles et je me suis toujours demandé comment j’ai fait pour me retrouver dans cette chance unique. Je suis maintenant en 3ème années d’université et beaucoup de chose se son passé pendant 3 ans. Une bombe, des agressions, un voyage détruit par une catastrophe naturelle et nous sommes toujours-là. Nous sommes des étudiants forts et déterminé. C’est ce qui fais que nous faisons partie d’une des meilleures universités au monde.