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I LOVE HARVARD
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    cold enough to chill my bones (zanessy)
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    Lien du postMer 9 Aoû - 17:20
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    Pas qui se faisaient entendre alors que tu parcourais les rues de la ville pour rejoindre ton appartement, regrettant à chacun des pas que tu faisais d'avoir mis des chaussures bruyantes. Portable que tu parcourais tout en continuant ton chemin. Réseaux sociaux que tu consultais pour la énième fois de la journée, complètement accro à ces applications, sans réellement savoir pour quelles raisons, distraction que tu trouvais sûrement plus intéressante qu'autre chose. Téléphone que tu rangeais instinctivement dans ton sac aux vues de la petite foule qui se trouvait non loin. Moteurs de voiture que tu entendais vrombir bruyamment. Foule qui n'était apparemment pas là par pur hasard. Pas que tu pressais pour t'éloigner le plus rapidement de ce rassemblement sûrement clandestin, ne prenant même pas la peine de regarder autour de toi, n'ayant qu'une envie rejoindre ton chez toi surtout après la soirée que tu venais de passer. Bruit de moteur que tu entendais chaque secondes un peu mieux, comme si le véhicule se rapprochait de toi. Regard que tu gardais droit devant toi, continuer de te frayer un chemin le plus sereinement possible. Sereine jusqu'à ce que le son se fasse de plus en plus fort, de plus en plus proche, proche au point de sentir le véhicule à ton niveau. Véhicule qui venait de manquer de te toucher, te frôlant sans même prendre la peine de s'arrêter.  « Mais quel taré ! » Mots que tu lâchais sur le ton de la colère mais surtout de la peur, complètement pétrifiée par ce qui avait bien pu se passer.

    @" Zane Al-Zahar" cold enough to chill my bones (zanessy) 3997999705
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    Lien du postJeu 10 Aoû - 17:02
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    cold enough to chill my bones
    feat zane & tessy
    Comme si t’en avais quelque chose à foutre de ce qu’elle peut te raconter, cette conne. Ses jambes gonflées aux varices et ses cheveux cendrés par le temps. Comme si ça pouvait t’intéresser d’apprendre les petits malheurs de sa fille, sa vie aussi médiocre que le goût amer d’un café sans lait. Tu t’en fou, putain. Ses histoires de cœurs, de cul et cette concierge qui joue avec tes nerfs plus d’une fois dans une seule journée, si ce n’est pas heures Confondre ton nom avec celui de ton voisin, oublié de te donner ton courrier pour finalement le jeter sans savoir ce qu’était ce papier qui traînait sur sa vieille table de bois sûrement la depuis la guerre de Sécession. Tu t’ne fous de ce qu’elle peut bien cracher entre ses lèvres gercées. Tu veux te barrer, prendre l’air, sortir caresser de tes semelles le bitume sali par le temps, la pollution. Marcher, t’évader, là où tu sais, là où tu ne devrais pas aller. Illégalité. Rien à péter, toi. Tu sors, victorieux d’avoir esquivé le dragon gardien de sa tour. Mains dans les poches, à ton habitude, les clés de ta voiture qui remuent au fond du tissu contre ta cuisse. Petit cliquetis répétitif, comme pour t’apaiser, relaxer. Tes fesses posées sur ton siège derrière ton volant, les doigts serrés autour de celui ci. Paysage qui défile le long de tes vitres sans une seule trace. Tu roules, sans musique, bercé par le son du moteur, douces vibrations qui s’arrêtent quand tu te gares, quelques places de parking libres à cette heure-ci en face du lieu de délits. Ces courses illégales auquel tu participes, auquel tu passes des soirées à simplement regarder. Qu’est-ce t’en as foutre du reste, t’es tout seul, sans aucun compte à rendre à personne quand tu rentres entre tes quatre murs. Personne qui t’attends sur le sofa en petite culotte pour te gueuler dessus, en retard, comme d’habitude. L’âme seule, le cœur solitaire. C’est ce qui te plaît, t’occupes. Appuyé contre le capot de ta voiture, spectateur de ce bordel monstre. Tu regardes, d’un œil. Attentif, à moitié. C’est elle. Silhouette féminine qui déboule de nulle part, qui se fait difficilement un chemin parmi ses abrutis tous aussi drogués les uns que les autres. Elle attire ton regard, sourcils qui se froncent, comme si pouvais mieux y voir. Ne rien à foutre ici, ses talons que tu arrives presque entendre d’ici. Bruit régulier qui se stop dans un mouvement de foule, dans un gueulement, énervé. Ses lèvres qui bougent pour laisser sortir, cette voix. Pas n’importe laquelle non, elle. Celle qui résonne dans ta tête comme un tambour, que tu arrives encore à entendre dans tes rêves. Qui te fait serrer les poings. Rapidement tu te pousses de ta carrosserie de voiture, avancée vers elle, ELLE.  Ces mecs avec leurs regards malsains, ceux qui la toisent de haut en bas avec des arrières pensés qui se laissent voir au niveau de leur entre-jambes.  La blonde, ta blonde, ton ancienne blonde au milieu de cette marais de chien et de sexes durcis. Crevards. Ce mec-là, métisse, le baraqué, stéréotype américain. Sa voix rauque. Alors mademoiselle s'est perdue.. ? Ses mains qui se rapprochent bien trop près de ses courbes féminines. Celles que tu t’es refusé quelques années avant de toucher. Tu passes devant lui, faisant dos à Tessy.  D’un geste brusque, tu repousses le bras entreprenant du renoi et son regard de mâle rottweiler. Sans rien dire, regard dur. Tes prunelles ébène devenues glaciales menaçantes. Tu ne devrais pas, pas pour elle, en tout cas. L’armoire à glace sans aucune envie de bouger de devant ton nez. Dégage. Tu le sais, ça pourrait mal tourné, pour toi. Seul contre une bande entière, ton cadavre serait probablement jeté dans une carcasse de voiture puis jeté dans l’océan, quelque part. C’est, ELLE. Merde.

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