Après avoir reçus les sms de ma petite copine, j'enclenchais le géolocaliseur et je me mettais vite en route pour la retrouver. Merde, tout cette situation que je pensais me passer au dessus. Elle avais eu un accident pas plus tard que la semaine dernière et je n'avais eu aucunes cartes en main pour changer les choses. Je passait mon temps à ma petite gueguerre avec Noah, ce type... non je vais pas parler de lui sinon je vais perdre mon objectif de vus. Elle avais eu besoin de se vider la tête et sa nous avais valu un accident qui lui as fait perdre la mémoire, je pensais même que tout était de ma faute je m'était blâmer tout du long et ses proches ne m'avais pas fais me sentir mieux, non au contraire. À vrais dire je pensais même sur notre relation arrivais à son terme, quand Cole était arrivé à l'hôpital ce jour là, son regard. J'avais tout de suite comprit, il ne voyais pas d'un bon œil me relation avec sa cousine, alors quand elle avais eu interdiction de sortir et qu'on ne pouvais plus se voir, j'y croyais plus mais elle m'a envoyer des sms, me disant qu'elle se souvenais de moi.

Tout portait à croire qu'elle allais mieux, qu'elle retrouvais la mémoire. J'en était le premier content, surtout que pour le coup c'est moi qu'elle a appeler pour venir la chercher aujourd'hui et personne d'autre. Enfin j'espérait, il manquerais plus que l'autre soit-là... Je soufflais un bon en prenant conscience que je devrais accepté si c'était le cas. Je finissait par entré dans le parc en question, perdu dans mes pensées j'était arrivé plus vite que prévus. Je regardais autour de moi sans la voir pour le moment, j'avançais et je la cherchais, à droite ? Rien. À gauche ? Rien. Je continue ma route jusqu'à enfin reconnaître cette petite tête d'amour que je connaissait si bien. Je m'approche doucement pour ne pas lui faire en la surprenant.

« Athénaëlle ? »

Mais bordel de merde il n’allait pas me lâchais ce cygne à la con ! Je courais de partout dans le parc, mais bien heureusement pour moi, j’avais fini par me planquer et il avait lâché l’affaire, je soupire, mais pourquoi c’est aussi con et méchant que sa un cygne ? Je soupire une seconde fois avant de finalement me tenir debout face au petit lac. Il y avait des canards bien plus dociles que ce foutu cygne de merde ! Je les observe du coin de l’œil ne sait-on jamais si eux aussi m’attaques. Je sortais de chez Benji et Jona, leur fille avait eu sur moi un déclic, je m’étais souvenue d’elle et avec ce déclanchement de me souvenirs d’autre arrivés peu à peu, des joyeux tout comme des tristes. J’avais donc contacté Amaël pour qu’il vienne, je n’avais plus eu le droit de sortir depuis un bon moment et mon propre père avait annulé des rendez-vous pour rester avec moi, alors cette petite promenade me faisait vraiment du bien, et puis elle avait été plutôt bénéfique en fin de compte. Finalement j’entends mon prénom et je me retourne, je vois donc la silhouette qui désormais m’est enfin familière ! Je me retourne et je cours comme une gosse vers Amaël, je lui saute au cou et j’enfouis ma tête sur son torse. Voilà un moment câlin digne d’un film à l’eau de rose. « Je suis tellement contente que tu sois venue me chercher Amaël, vraiment contente. » Je plonge mon regard dans le sien, et d’un coup je lui montre le cygne au loin du doigt, je fais une moue boudeuse et j’ajoute « Regarde c’est lui le fautif, c’est lui qui l’as attaqué. » lui disais-je avec le ton d’une enfant que l’on aurait grondé pour rien, après quoi je fini par laisser un rire s’échapper de ma bouche. Je ne me souviens certes pas de tout encore, et voir de pas grand-chose en réalité, mais j’avais besoin de ce petite moment de détente, car depuis mon retour s’était interdit sur interdit et prise de tête sur prise de tête avec tout le monde, alors oui ce petit moment à rire comme une enfant me faisait du bien.

Quand enfin elle me remarque elle viens en courant vers moi et elle viens dans mes bras, j'en ai le souffle qui se coupe tant j'ai l'impression que sa fait des lustres qu'on s'est pas revus. je la regardant et elle me parle me raconte combien s'est dur et qu'elle est vraiment contente que je soit là avec elle aujourd'hui. Je souris petit à petit l'enlaçant à mon tour.

« Je suis content que tu m'aie appeler Athé, je serais venu m^me à l'autre bout du monde si tu m'avais appeler de Chine... Je suis content, tu semble aller beaucoup mieux que la dernière fois qu'on s'est vu. »

Je regarde ensuite le cygne qui as pu lui faire du mal et je pousse Athénaëlle sur le côté comme pour en découdre avec le dis cygne, quand je voit qu'il fonce droit sur nous, je prend la main de ma petite amie et je lui cri de courir que je le vaincrais pas sur ces terre, on se met alors à courir alors qu'on voient des gosse se moqué de nous. Je fais une moue, la honte. Plus loin quand enfin nous somme tranquille je m'arrête et je pose mes mains sur mes genoux pour reprendre ma respiration, je me prend d'un fou rire.

« Quel petit ami je fais hein, après tout j'ai pas su vaincre un cygne sur son territoire. Mais si tu veux mon avis il devais y avoir des bébés pas loin et donc il devais vouloir les protégé. »

Je me redresse et je la regarde, j'en reste estomaqué elle est quand même aussi belle que dans mes souvenirs les plus ressens.

Je le regarde avec une admiration qui scintille dans mes yeux. Je le vois qui me repousse très délicatement sur le côté et qui fait mine de vouloir me venger. Le problème avec la vengeance, c’est qu’elle repose sur l’anticipation. L’acte en lui-même est plus pénible que plaisant ; son objectif ultime reste la souffrance. Voilà ce que représente réellement la vengeance. Mais je dois l’avouer tout de même je suis admirative du courage du beau brun. Je l’observe, sauf que d’un seul coup le cygne fonce vers nous, et là c’est la débandade ! Il faut fuir et rapidement, courir aussi vite que possible. On passe devant des gamins qui se foutent de nous, et je rougis. Je commence tout juste à me souvenir de certaines choses, mais clairement j’aime ce moment que je passe avec mon petit ami, car oui je commence à me souvenir de lui comme mon petit ami. Je l’écoute et alors que j’essayais de reprendre mon souffle il me prend un fou rire. Non mais il était un petit ami formidable ! Je m’avance vers lui et je dépose un baiser chaste et tendre sur ses lèvres, le baiser ne dure pas bien longtemps puisque je veux lui parler. « Quel petit ami tu fais ? Tu es le petit ami qui n’a jamais baissé les bras face à tous ce qui lui est tombé dessus, et sa tu vois c’est bien plus courageux que d’essayer de battre une maman ou un papa cygne sur son territoire. Amaël, je … je voulais te dire que … Je … Je t’aime ! » Tel une petite vierge qui avoue pour la première fois ses sentiments je rougis. Je me trouve bête d’avoir bégayé pour le lui dire comme une pauvre enfant timide. Je me lance dans ses bras, espérant qu’il ne me laisse pas tomber, car oui j’avais littéralement et réellement sauté dans ses bras. Je l’aime voilà sa je le sais, je sais enfin qui il est. Et alors que je suis dans ses bras et je sens son odeur, son parfum, j’ai comme une sorte de flash-back qui me reviens, je nous vois dans un restaurant, face à face sur une terrasse privatisée. Je souris, et mon cœur ce met à battre la chamade. Ce flash-back m’as définitivement lever le voile sur ma relation avec le beau jeune homme, et c’est avec fierté que je comprends que je suis vraiment sa petite amie.

On a couru quelques mètres histoire de montré à ce cygne qu'on ne lui voulais finalement aucun mal. concentré dans la reprise de mon souffle une fois plus loin je l'entend rire, c'est même mieux elle se prend totalement d'un fou rire. Mais alors que je la regarde rire elle s'approche et me vole un baiser, je répond a celui-ci posant par instinct mes mains sur ses hanches ravie de cet élan d'amour. Mais une fois encore elle me surprends encore plus, elle me dis que je suis un petit ami digne de ce nom, que je n'ai pas baisser les bras et je me demande si elle ne se rappelle pas de tout ce qu'il s'est passer. Elle continue en me disant totalement qu'elle m'aime, je rougis. Merde alors, j'avais perdu ce truc de rougir quand elle me disait ça mais là, je l'ai tellement attendu j'était tellement pressé que je ne me serais pas du tout douter qu'elle me le dise de cette manière spontané, je souris grandement et je la regarde. Moi aussi je l'aime, plus que tout au monde, elle est mon rayon de soleil et je suis vraiment content de la retrouver. Elle se lance dans mes bras et je la rattrape rapidement pour ne pas la laisser tomber, hors je perd rapidement l'équilibre sur le coup et je tombe en arrière sur l'herbe fraiche et je la protège d'instinct de la chute, avant de rire doucement une fois celle-ci passer. Nous sommes allongé sur le sol frais de l'herbe fraiche du parc et je la regarde doucement dans les yeux. «Je t'aime moi aussi Athénaëlle, vraiment de tout mon coeur, mon amour, tu n'imagine pas à quel point sa me fais plaisir que tu retrouve t'es souvenirs. Tu m'avais tellement manqué ! » Je souris grandement et je glisse ma main dans ses cheveux pour les remettre derrière son oreille pendant qu'elle est penché au dessus de moi.

Le temps des souvenirs avait enfin pointé le bout de son nez, et dieu merci ce n’étais pas trop tôt. Je ne saurais vous dire à quand remonte mon dernier tête à tête avec Amaël si ce n’est le jour de mon réveil à l’hôpital de Porto Rico, mais je suis tellement heureuse de pouvoir être dans ses bras ce soir. Et alors je lui saute dessus, nous tombons à la renverse, je ne tarde pas à remarquer le reflexe que le jeune homme à de me protéger. Je trouve cela tellement mignon de sa part que je ne peux pas me retenir de coller mes lèvres une nouvelle fois contre les sienne, comme si l’embrasser était devenue vitale pour moi, comme si le temps perdue était une souffrance atroce que je voulais gommer par de joyeux souvenir maintenant que je me souvenais de notre couple, de notre amour si puissant fut-il, le restera pour toujours. Je l’observe, les yeux dans les yeux lorsqu’il remet une mèche de mes cheveux en place derrière mon oreille. Je lui offre le plus angélique des sourire. Je lui ai manqué, et ça me rend si mal à l’aise de l’avoir fait souffrir même involontairement. « Amaël, j’ai crus comprendre qu’il y a eu des petits soucis entre toi et d’autre personne. » Je fais allusion à Noah, cet ami dont je me souviens aussi. Je fronce les sourcils. « Jamais personne ne prendra ta place, jamais. Tu es l’unique amour de ma vie. Et si les autres ne sont pas contents je les emmerdes bien profondément. » Je lui souris tendrement. « Sa a toujours était toi et moi depuis le début et sa sera toujours toi et moi. Amaël, je peux le dire sans en douter, tu es l’homme de ma vie. » Marrions nous ! Non ? Bon d’accord c’est peut-être un peu tôt, mais je l’aime ! Je plonge mon regard dans le sien, je me pousse et pose mes fesses sur l’herbe humide et froide, j’en rigole car c’est franchement pas très agréable, mais me retrouver le cul mouillé, c’est plutôt drôle. L’ancienne Athénaëlle n’aurais pas rigolait, elle aurais pestait pour sa tenue, mais pas la nouvelle, non moi je suis la nouvelle Athénaelle, c’elle qui à la joie de vivre, car je sais que la vie peut nous échapper à tout moment alors je croque la vie à pleine dent désormais.

Je passais mon temps à jouer et a être un petit con de première avant de la rencontré et maintenant que j'ai failli la perdre je me rend compte que je peut clairement me poser sans qu'on vienne me faire chier, en tout cas rien de gênant si ce n'est cet ami qu'elle à. Je fronce les sourcil quand elle fais allusion a ce mec qui a vraiment tenté de nous séparé. Je ferme les yeux un instant, je ne veux pas crée d'histoires en fait. J'en ai eu assez quand elle était à l'hôpital. Je soupire un bon coup et je la regarde. «Écoute, je veux pas crée d'ennuie avec t'es amis, je comprends que tu veuille en avoir de ton côté tout comme j'en ai du miens, Athé. Mais il se trouve qu'un de t'es amis prend un peu trop la confiance et même si tu me dis que tu sais que c'est moi et moi seul pour toi, il ne veux pas lâcher l'affaire, il insiste en disant qu'un gars comme moi ne te mérite pas , en fait sur ce point je l'y rejoint un peu parce qu'il est vrais que tu est trop bien pour moi mais je pensais avoir fais mes preuves pour mérité ton amour. Quand tu as eu ton accident, il a vraiment tenté par tout les moyens de me viré de ta vie, qui sait que j'avais pas tenu tête qui se promènerais à ton bras aujourd'hui. Il aurais pu te faire croire qu'il était ton petit copain. Je voudrais vraiment te dire que j'accepterais si tu devais rester amis avec lui mais alors j'utilise mon joker et te demande de ne plus le revoir parce que qu'en plus de m'enfoncé vers le bas il voulais simplement couché avec toi, il ne t'aime pas comme moi je suis raide dingue de toi. » Il fallait que j'ouvre mon cœur maintenant pour qu'elle sache que même si elle se rappelle de nous, elle a encore le choix de me quitter pour un autre. Je ne le souhaite pas, mais je ne la forcerais en rien à rester en couple avec un homme qu'elle n'aime pas. je l'aime tellement que je mourais sans doute sans elle mais une choses est sûre j'accepterais ce qu'elle me demandera.

Je plante mon regard dans le sien, je me souvenais de ce passage à l’hôpital, celui où Amaël avait eu l’intelligence de sortir de la chambre plutôt que de rester et de ce ‘battre’ en quelque sorte avec les autres. J’avais trouvé qu’il avait eu la réaction d’un homme amoureux, un vrai amoureux. Je l’observe un long moment, et après son discours, je reste silencieux, mon regard se porte finalement sur les étoiles, je les observe, je les adore, leur existence est si simple, elle brille jusqu’à mourir. Je veux que ma vie soit comme une étoile, qu’elle brille de mille feux et que le jour où ma fin sera venue elle explose dans un dernier rayonnement de lumière. Je souris tendrement et reporte mon attention sur le jeune homme. Le joker ? Je ce mots à bien attiré mon attention. Je fini par poser mes lèvres contre les siennes, lui volant alors un chaste baiser. Je l’aime plus que quiconque ne pourrais l’imaginer. Je fini par décoller mes lèvres des sienne et je plonge mon regard azure dans le sien. « Amaël, j’ai envie de refaire totalement ma vie, fini les amis, les emmerdes et j’en passe. Ma vie c’est toi, tu es mon unique amour, mes amis, c’est que Jonathan et Benji. Tout le reste, tous les autres je vais les oublié, je ne les connais pas ou plus, je me souviens de personne sauf vous trois, alors c’est cruelle mais je tourne le dos à tout le monde, à ma famille aussi car je ne leur fais pas confiance, pas encore. Tu es ma famille, tu es ma vie Amaël en ce jour et pour toujours. » Et bien quoi ça ressemble à une déclaration d’amour digne d’un mariage ? Bah ouais mais en attendant c’est la vérité pure et dure. Alors je m’en balance des autres, mais royalement, moi je veux faire ma vie avec l’homme face à moi et avec personne d’autre. Je me lève et fouille dans mon sac. Je sors un paquet de cigarette et en prend une, puis je temps le paquet vers Amaël « Tu en veux une ? » Oui je me suis mise à fumer et alors ? On ne va pas non plus me blâmer pour ça. Si ?