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I LOVE HARVARD
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    salut, encore moi ~
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    Lien du postMer 6 Sep - 4:24
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    salut, encore moi ~
    salomé anne delioncourt & alaska hamilton


    J’avais un nouveau rendez-vous aujourd’hui pour finaliser la publication de mon nouveau livre qui va probablement devenir une série de trois. Lorsque j’ai des idées pour commencer de nouvelle rédaction, c’est comme si je dois absolument écrire 24 heures sur 24, car mon cerveau ne lâche pas. Il m’arrive de ne pas bien dormir, car je veux tout simplement écrire et de tout mettre mes idées en place. Il y a quelques semaines, j’avais commencé à écrire mon nouveau roman. Un roman policier style science-fiction et laisser-moi vous dire que c’est à ce point-là que j’écoute beaucoup trop de film et de série télé. Je suis du genre à m’inspirer des célébrités pour écrire, car ceci me donne une image concrète de mon personnage dans l’histoire. J’ai tellement d’imagination que j’imprime des photos directement d’Instagram pour en faire un profile sur papier. Je terminais de publier mon article sur ma page Instagram et de publier ma vidéo sur ma chaine YouTube, car depuis quelques semaines, je fais beaucoup de publication et les gens sont excités de voir que j’ai un nouveau projet qui était pour être publier le mois projet. Je terminais de me préparer d’une charmante robe pourpre avec un veston en satin noir et des talon haut noir en cuire. J’avais tressé mes cheveux sur le côté et je me suis maquiller d’une façon naturelle. Je sortie de ma chambre en verrouillant ma porte derrière moi et je saluais les filles dans le hall d’entrer de notre maison. Je m’entendais bien avec tout le monde et même s’il y en avait quelques-unes qui aimait se penser comme une autre personne, ceci ne m’a jamais empêché de garder mon sourire et d’être polie. Il faut bien avoir des bonnes manières quand même.

    Il y avait un peu de trafic lorsque j’étais en chemin vers le centre-ville. On ne sait jamais ce qui peut arriver sur l’autoroute. J’ai réalisé que les gens conduisent en débile lorsqu’il pleut à boire debout ou lorsqu’il y a du verglas et une tempête de neige. Faut croire que ça ne change pas de ceux qui conduise en France. J’aurai peur moi-même de tournée à l’entour de l’arc de triomphe, mais je suis arrivé en un morceau devant l’édifice. La pluie avait diminué et je sortie de ma voiture sans me faire du souci, car mon projet, s’était eux qui l’avait gardé pour étudier le contenue, mais je ne suis pas inquiète. Je payais le parcomètre avant d’entrer pour aller à mon rendez-vous. Je passais les grandes portes en verre et je souris en voyant Alaska. Une jeune fille qui travaille ici comme étant assistante et surtout une personne très intelligente et très gentille.

    « Salut toi ! » dis-je avec un grand sourire.



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    Lien du postSam 9 Sep - 20:49
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    J'avais du travail par-dessus la tête ces derniers temps et franchement, ce n'était pas plus mal. Ainsi, ça me permettait de ne penser à rien d'autre. Pas la peine de me demander où allait m’amener ma crise de couple. Pas la peine de me demander s'il y avait réellement une crise dans mon couple ou si cela venait juste de moi. Pas la peine de me torturer en me demandant quand j'allais retrouver mon homme. Ouais, pas la peine de penser à tout cela. Au moins, je pouvais juste souffler et penser aux projets de la maison d'édition, projets des autres, mais qui me passionnaient comme s'ils m'appartenaient. Aujourd'hui, nous recevions Anne DeLioncourt, étudiante d'Harvard et membre de la très féminine Cabot House. Nous avions une réunion avec mes directeurs et elle, afin de parler de son dernier projet et qu'elle puisse nous en dévoiler davantage. Anne venait souvent dans la maison d'édition, surtout depuis son premier contrat qui avait été un succès. J'étais toujours époustouflée de voir les écrivains et la facilité avec laquelle ils travaillaient bien souvent. D'apparence bien sûr, car je savais qu'en réalité, c'était un véritable cauchemar pour eux. Ce n'était pas facile de passer autant de temps sur un projet pour ne mettre entre les mains de personnes qui vont le juger ensuite. En tout cas, son projet n'était pas entre mes propres mains, mais j'allais être présente lors de la réunion pour prendre note et restituer ensuite. J'étais assistante quoi. D'ailleurs, c'est quand mon téléphone sonna que je me réveillais et je me précipitais dans le hall d'entrée où se trouvait déjà la réceptionniste. « Salut toi ! » - « Salut Anne » que je m'exclamais en retour avant de lui faire la bise. Ouais, à la française avec un française, ça m'amusait beaucoup. « Toujours très classe » Bien plus que moi. « Tu vas bien ? Pas trop stressée ? » lui demandais-je en l'accompagnant vers la salle de réunion.

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