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I LOVE HARVARD
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    if you can't be happy, at least you can be drunk. (BLUES)
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    Lien du postMer 4 Oct - 20:37
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    Blue a atterrie ici un peu par hasard. Les mains dans les poches, le visage marqué par la fatigue, elle arpentait les ruelles de la ville. Ombre silencieuse dans la nuit. C’est là qu’elle avait aperçu un groupe de jeunes (probablement son âge) rentrer dans un immeuble. Ils rigolaient, semblant déjà bien joyeux, s’époumonant que c’était la meilleure soirée de leur vie. Les yeux de la jeune Mitchell pétillèrent, alors que son visage se fend d'un large sourire malicieux. Elle se faufile dans le groupe. Passe presque inaperçue. Avec ses vêtements usés par le temps, elle ne semblait pas vraiment à sa place. Mais tout était dans la contenance, dans l’image qu’elle reflétait. Bien souvent, on pouvait se demander qui se cachait derrière les traits ingénus de cette ravissante jeune femme à la chevelure d’ébène. Ce regard pétillant qui ne cesse de vous taquiner intérieurement indique bien plus que la réserve que sa silhouette vous laisse présager. Ce sourire enjôleur qui vous inspire une confiance absolue tellement il respire l'innocence de la jeunesse. Sauf que Blue Mitchell était le fruit du diable. Tentant mais dangereux. La musique emplissait déjà ses oreilles. Elle ne savait pas chez qui elle était, mais elle n’en avait rien à foutre. Tel un caméléon, Blue s’adapta rapidement à ce nouvel environnement mouvant son corps au rythme du son. Il y avait foule. Mais Blue aimait bien ça. C’était le genre de soirée où elle pouvait tout oublier. Boire à s’en faire gerber, parler avec des inconnus pour ne plus jamais les revoir. Puis il y avait toujours cette petite arrière-pensée qui titillait sa tête. Dans ce genre d’atmosphère le vol était bien plus que tentant tellement c’était facile. ; entre celles qui abandonnaient leurs sacs à main dans un coin pour aller danser, ceux qui laissaient leur portable dans la poche arrière de leur jeans, elle était servie. Ses mains la démangeaient. Il faut dire qu’elle n’avait aucune compassion ni pitié à l’égard de ses compères. Ce n’était pas de sa faute s’ils étaient trop cons pour en prendre soin correctement. Et puis s’ils avaient tout cet argent, le portable dernier cri,… ils avaient sûrement assez d’argent également pour se remettre de ce délit. Mais puisque que les enjeux étaient encore trop gros pour le moment, elle décida d’aller se prendre un petit remontant. Passant devant un groupe de filles habillées de manière plutôt suggestive, à croire qu’elles n’arrivaient pas à foutre un mec dans leur lit autrement, elle se faufila vers la cuisine.  Trop de monde. Trop de bruit. Trop d’alcool. Elle attrapa un verre en plastique, et commença à y renverser divers liquides. Elle cherchait l’extase, le truc qui lui défoncerait la gorge. « Du con tu peux bouger, t’es d’vant la bière. » qu’elle s’exclama avec froideur, au mec qui se tenait juste devant elle. Elle haussa un sourcil inquisitrice. « T’es sourd ? » elle le poussa sans ménagement avec son bras. Sérieux que les gens étaient stupides. Tous des crevards.
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    Lien du postSam 7 Oct - 19:53
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    Tes mains courbaient tes cheveux trop souvent indisciplinés à l'aide de ce gel que t'avais pris le temps d'acheter. Parfois tu te demandais pourquoi tu faisais attention à prendre soin de toi, parce que finalement, tu n'en avais rien à faire. Puis apprêté ou pas, t'étais certain de terminer avec une fille dans ton lit. C'était terrible à dire, mais ta beauté naturelle, ton air de gamin sale, ça plaisait. Ça plaisait tellement qu'elles venaient toujours en redemander. Tu t'étais rendu dans ce bar, avec cette fille aux jambes interminables. Elle était belle, belle avec ses yeux qui étaient profondément bleus. Elle était belle, belle avec sa voix fluette qui faisait chanter les oiseaux. Elle était belle, belle lorsqu'elle souriait avec son air de princesse qui flirtait dans les rues. Elle te plaisait, elle était de ces filles que tu aimais pour une nuit. Vous rigoliez, tu l'effleurais, tu souriais. Une bière, une deuxième, une troisième. La note allait être salée, mais tu t'en fichais. Elle prenait ta main, vous venez de partir sans payer. Elle courrait, tu la suivais, elle rigolait, tu la désirais. Vous aviez commencés dans cette petite ruelle, la main s'était éparpillée dans sa culotte, les souffles se faisaient plus courts, désireux. Tu râlais, comme un animal, prêt à cueillir sa proie. Elle susurrait ton prénom, tu la voulais, elle, ce soir, contre toi, contre corps, contre coeur s'il y avait encore un. Elle habitait à côté, qu'elle te murmurait. Puis quelques marches escaladaient, et tu te retrouvais au sein d'une soirée dont tu n'avais rien demandé. Tu observais, à droite, à gauche. L'odeur de cigarette embaumait l'appartement, les rires se mêlaient à la musique dans une cacophonie disgracieuse. Tu voyais la brune s'échapper, elle s'était excusée, ses amis avec qui elle partageait l'appartement avaient pris la liberté d'organiser une soirée. Tu soupirais, prenant soin d'aller chercher un verre. Il faisait chaud, peut-être même trop pour toi, l'homme en pull au milieu des autres. Les autres, c'était les cravates, les chemises, les chaussures de ville, les robes en dentelles. Les autres n'étaient pas de ton monde, et toi et tes basket etnies trouées, tu ne faisais pas parti du leur. Tu cherchais ton tinder date des yeux, ayant encore l'espoir de jouir, de t'extasier au creux de ses reins, l'entendre gémir, toucher ses seins. Tu vagabondais comme un baroudeur, poussant les gens ici et là, cherchant une raison pour rester dans cet appartement trop grand, trop plein, trop différent. La princesse s'était barrée, tu finissais par la retrouver à quelques mètres de toi, verre à la main, le doigt accusateur vers un petit homme. Petit homme énervé. Tu levais les yeux au ciel, le rêve de cette nuit de merveille s'envolait à chaque seconde qui passait. Tu finissais par retourner vers la cuisine, il semblait faire bon vivre de ce côté. Tu t'adossais contre l'encadrement de porte, observant les femmes et les hommes, sirotant ce gin tonic. Les gens n'étaient pas très intéressants, tu te retournais lorsqu'une voix t'interpellait. Non, ce n'était pas pour toi, mais cette voix, tu t'en souvenais. Cette voix, tu l'avais déjà entendu lors d'une nuit de pleine lune, au milieu du brouhaha de ton bar. Tu te retournais, tu la voyais, sourcils froncés, la gueule qui faisait un doigt d'honneur à tous les connards qui barraient son chemin. Tu la voyais, elle, dans cet appartement. Son apparition ici, c'était mieux que de jouir après une nuit de désir. Gus, tu souriais comme un con sans la quitter des yeux.
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    Lien du postDim 8 Oct - 10:53
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    La jeune Mitchell observa l'homme avec dédain, alors que ce dernier laissa échapper un "sale conne" du  bout de ses lèvres. Peu impressionnée par cette vulgarité, Blue se contenta de lui lancer un regard meurtrier lui affublant un joli doigt d'honneur. Elle avait entendu bien pire dans sa vie: des mots haineux et blessants qui ne devraient jamais sortir de la bouche d'un parent.  Elle ne pouvait dépenser sa salive pour un pauvre type comme lui.  Remplissant son verre de bière, elle fit de son mieux pour l'ignorer. C'est que le pauvre bébé n'avait pas l'air d'avoir apprécié la façon dont Blue venait  de le traiter. C'était limite s'il chouinait. À croire que c'était la première fois qu'on lui avait dit un truc méchant dans sa vie. Elle avait touché une corde sensible. La jeune Mitchell sentait une soudaine envie de créer un peu d'écart entre lui et elle. Ils étaient bien trop proches à son goût, et l’homme semblait devenir de plus en plus imposant. Surtout lorsque ce dernier lui attrapa le bras. Bordel mais qu’est ce qu’il lui voulait à la fin. La langue de la jeune Mitchell claqua de mécontentement dans son palais. Putain qu'est-ce qu'ils avaient tous à la faire chier? Blue était un aimant à emmerde. « Ecoute du con, si t’as envie d’avoir encore une main pour te branler, j’te conseille de la retirer de mon bras. » qu’elle articula chaque mot d’une voix cinglante. Les traits de son visage s’étaient durcis, montrant à quel point la menace de la demoiselle était sérieuse. Le jour où elle s’était barrée de ce taudis qu’elle avait appelé maison, elle s’était juré que plus jamais un homme lèverait une main sur elle. Que plus jamais elle ne se laisserait faire. Blue était une femme forte, indépendante, pleine de ressources. Il était judicieux de ne pas la sous-estimer, elle et ses cinquante kilos. Les secondes défilèrent. Rien. Affichant sa répugnance, elle dégagea son bras de son étreinte. Elle grogna, frustrée qu’on lui fasse perdre son temps de manière si puérile alors qu’elle devrait déjà être en train de se bourrer la gueule. De s’évader de cette vie de merde. D’attendre qu’un miracle se produise. Bien décidée à s’éloigner de cet homme de Cro-Magnon elle fit le tour de la cuisine. Toujours aussi imperturbable, elle trempa ses lèvres dans son verre se délectant de ce remède. De cette potion magique inventée par l’Homme appelée alcool. Le seul moyen qu’elle avait d’oublier tous ses problèmes. Attrapant un bol de chips, elle se fraya à nouveau un chemin dans la foule. Encore plus bruyante. Encore plus importante. Elle se faufila jusqu'à une pièce qui semblait être la salle de bain. Il y avait pas grand monde. En même temps trainer à coté d'une douche c'est le rêve de tout le monde dans une soirée. Elle posa ses fesses sur le bord du lavabo. Piètre repas, mais suffisant pour remplir son estomac. Alors c’était ça sa vie ? Squatter des fêtes pourries pour avoir des chips gratuites et ne pas crever de faim ? Elle en ressentait du dégout, mais c'est toujours mieux que ce qu'elle avait connu jusqu'à présent.
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    Lien du postDim 8 Oct - 11:22
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    T'en avais connu des femmes, oui, sans aucun doute. Certaines étaient blondes comme le blé, d'autres abordaient des yeux qui feraient pâlir la mer méditerranéenne. Ouais, des femmes aux visages d'or, des femmes à la peau chocolat. Toutes ces femmes qui avaient pris le temps de jouir sous tes baisers, de s'enflammer, de se sentir brûler comme un feu meurtrier. Des femmes, il y en avait eu, un certain nombre, et celui-ci ne ferait que d'accroître. Tu souriais, tu souriais parce qu'elle, tu n'avais pas eu le plaisir de la goûter. Tu souriais parce qu'elle et ses cheveux ébènes entourant son visage porcelaine, c'était plus beau que voir un tableau de Picasso. Tu la regardais, sagement adossé contre l'encadrement de porte. Tu ne savais pas ce que tu voulais d'elle, en réalité, tu savais pertinemment pourquoi tu la voulais elle. Parce que lorsque tu avais croisé son regard, t'avais eu le sensation de rencontrer cette femme, l'ultime. Tu ne croyais pas au coup de foudre, encore moins à l'amour, tu ne connaissais que le désir charnel. Et cette inconnue, elle t'aspirait la vie, elle t'aspirait la mort, elle t'aspirait l'envie ultime. Tu te délectais d'une gorgée, l'observant elle et cet homme, le regard froid. Sans grande surprise, tu la voyais se dégager de l'emprise mal venue de l'autre, et ça ne faisait que conforter ton idée. Elle devait être tienne, il fallait que tu tatoues son corps de tes baisers, lors d'une nuit entre deux solitaires. Tu la cherchais du regard, tu voulais son attention, comme lors de cette soirée au bar. Cette soirée où tu l'avais laissé partir, comme une voleuse. Ce jeu t'avais rendu fou, et ta déception avait été trop grande lorsque tu l'avais vu s'effacer derrière la porte d'entrée. Tu la fixais toujours attentivement lorsqu'une main venait glisser vers ton entre-jambe, un corps chaud venant s'attacher au tien. Tu te retournais et tu trouvais, sans grand étonnement, cette nana au corps de mannequin. Tu l'avais presque oublié, cette nana-là. Tu lui disais que tu n'avais pas le temps, que tu devais faire quelque chose avant. Ses draps ne t'appelaient plus, maintenant, Gus était obsédé par sa belle inconnue. Tu détachais son corps du tien, cherchant de tes yeux un peu plus loin, la femme de ta nuit. Seulement, elle était encore partie. Tu soupirais, tu te passais une main dans les cheveux, ruinant un peu plus ton semblant de coiffure. Tu finissais par lâcher ton rendez-vous de ce voir, aspirant seulement à la revoir, l'inconnue. Tu regardais partout dans cet appartement, parce que ce soir, tu ne la laisserais pas s'échapper. A droite, à gauche, derrière le canapé, adossé dans un coin de cet appartement trop grand, trop petit, trop plein, trop ennuyeux. Tu soupirais, jusqu'à passer devant la salle de bain. Et elle était là, là face à toi. Elle était là, assise en solitaire, verre et chips en main. Tu t'arrêtais, tu lâchais un rire. Gus, t'avais pris peur. Cette fille-là, elle était à toi. C'était comme un joyau, il avait trop de valeur, ll scintillait trop. Tu te mettais encore une fois dans l'encadrement de la porte. Ce soir, tu étais l'homme qui observe. Et puis finalement... "Alors toi, t'es du genre à casser des bras et à manger des chips, seule, dans une salle de bain ?". Tu la regardais, elle et sa bouche trop pulpeuse. Toi, sourire aux lèvres.
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    Lien du postDim 8 Oct - 13:48
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    Toute seule dans une salle de bain dans un appartement qu’elle ne connait pas, voilà où Blue va probablement finir sa soirée. Un paquet de chips et un verre à moitié vide comme maigre consolation. Elle fuit les autres, elle fuit les âmes. Cette solitude l’effraie et la rassure. Elle ne sait plus trop. Un soupire. Son corps est vide d’émotion. Il n’y a plus rien. Plus rien, pas même la nicotine qui a encrassé ses poumons, ni l'alcool qui empoisonne son sang, ni les corps de ses hommes qui se couchent sur le sien à la recherche d'un peu de chaleur. Plus rien.  Elle n’a plus d’attentes, elle est déjà descendue trop bas. Elle est déjà blasée par le passé, par le présent, par le futur qui l’attend. Et pourtant. Une pointe de rage semble brûler dans les prunelles de ses yeux.  La jeune Mitchell se bat, car dans ce monde si dangereux c’est la seule chose qu’elle est capable de faire. C’est la seule chose qu’elle a toujours connu. Elle se mordille la lèvre inférieure. Ses mains se soulèvent, ses doigts se crispent sur sa chevelure brune. Elle laisse son regard se promener ici et là. Elle entend la musique raisonner entre les murs. Elle chante en elle, bouge ses doigts au rythme du son. Elle se laisse porter par sa seule source d'évasion. Blue, elle se pense seule, libre, elle ne pensait pas avoir attiré l'attention. Elle se risque un regard. Une ombre se dessine sur le mur. Puis elle le voit. Tout d’abord surprise par sa voix, puis par son physique. "Alors toi, t'es du genre à casser des bras et à manger des chips, seule, dans une salle de bain ?" ses lèvres se retroussent, alors que ses yeux se remplissent de malice. Lui, elle le connait. Elle l’a déjà vu. Elle lui a déjà parlé. Cette fois, dans ce bar. Un vague souvenir fait son apparition. C’est bizarre de le retrouver là, ici, au même endroit. La jeune Mitchell penche légèrement la tête sur le côté, comme pour évaluer la situation, mais ses lèvres sont scellées. Elle se contente de l’observer, presque pour le mettre mal à l’aise. Dans cette soirée huppée, il semble lui aussi faire la différence avec ses cheveux indisciplinés. «  C’est ma version d’faire la fête. Seule dans une salle de bain à éviter les cons. »  Sa voix est pleine de sarcasme, mais elle continue froidement « Puis j’suis une fille violente tu l’savais pas ? »  Elle veut aussi lui faire comprendre qu’elle n’est pas forcément d’humeur à ce qu’on la fasse chier. Elle en a juste marre, elle veut décompresser. Elle veut se sentir vivante. Rire à gorge déployée.   C’est surement la phrase la plus longue qu’elle ne lui ait jamais dite, elle qui est si habituée à répondre par des monosyllabes. À aimer le silence. À ignorer les autres. « Et toi tu fous quoi ici ? » qu’elle demande fronçant légèrement les sourcils.  « T'as pas un job où aller? Des gens à baiser? D'autres à emmerder, mais genre être partout sauf ici?  » C'est qu'il devait se sentir super bienvenue ce mec. Il s'appelait Adam, Adrien, Ans ou un truc du genre. Son prénom était coincé  sur le bout de sa langue ce qui l'irritait. Pourtant un visage pareil, elle ne pouvait l'oublier. Un visage plein d'assurance, de force, et de sensualité. Un visage qui vous cri je vous emmerde.
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