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I LOVE HARVARD
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    WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 1:51
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    Warren Leoben Stark
    fiche; en cours - terminée

    C'est le huit janvier mille neuf cents quatre-vingt-huit à Londres, que la famille Stark m'a accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Warren Leoben. Je suis à la recherche d'une princesse et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis philogyne et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études en Mathématiques appliquées depuis cinq ans, bien que ce soit ma première année à Harvard. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Winthrop.

    Études
    J’ai obtenu ma licence en Angleterre avec mention. Mais honnêtement, personne ne me croit. J’ai même été accusé de triche, mais n’ayant pu le prouver, l’affaire n’a pas été poursuite. En réalité, je n’ai même pas fraudé, mais j'ai toujours eu des facilités dans ce domaine. Merci la synesthésie. Mais je n’ai pas la tête de l’intello typique, disons. Malgré ça, j’ai tout de même réussi à passer l’inscription à Harvard pour continuer un master. Pourquoi Harvard ? Ma réelle motivation restera sous silence. Mais j’ai bien envie de profiter de la vie américaine, des filles, de la dépravation, et de prouver que moi aussi, je peux être un maitre du beer pong.


    Caractère
    Warren, tiens-toi correctement à table, et mange tes légumes. Grandir aux côtés de princesses tous les jours, ça n’est pas toujours facile. J’ai beau venir d’une classe sociale moyenne, j’ai côtoyé la haute toute ma jeunesse. Alors jusqu’à mes seize ans, j’étais le garçon parfaitement bien élevé. Jusqu’à ce que, comme tous les adolescents, je ressente le besoin de tout foutre en l’air. Je ne suis peut-être pas devenu le garçon que ma mère rêvait, mais ça ne m’empêche pas de connaitre le savoir-vivre. Vous seriez étonnés par l’importance que j’attache à la bienséance malgré mes airs hargneux. J’ai toujours su me montrer respectueux, courtois, particulièrement devant les personnes âgées. Ouais ouais, je suis le chéri de ces mamies.
    Warren, t’as vraiment une tête de con. Il parait que mon visage ne revient pas à certaines personnes. Il parait aussi que je l’ai bien cherché. Ouais, il m'arrive de pousser les gens à bout, et je ne suis pas tout blanc dans l’histoire. Ces derniers mois, j’ai eu quelques problèmes avec les mauvaises personnes. Histoires d’argent ou histoires de drogue, tout revient au même : j’ai cette capacité innée de m’attirer des ennuis. J’suis du genre impatient, le mec un peu trop franc, et pourtant menteur, complètement lunatique. Et ça ne plait pas à tout le monde.
    Warren, fais tes devoirs. Justement. Parce que j’ai cette tête de con, personne ne s’imagine que je puisse m’intéresser à quoi que ce soit de culturel. Détrompez-vous. Depuis que je sais aligner trois mots, je maitrise les chiffres avec une aisance incroyable. Parce que je suis synesthésiste, j'étais prédestiné aux mathématiques dès ma naissance. J’ai compris que pour survivre, il fallait réussir. Alors, malgré les apparences, j’ai des notes excellentes, et je suis capable de me souvenir de PI dans son intégralité. Je sais cultiver mes qualités. Automne trop tôt, j’ai appris à me débrouiller par moi-même, sans jamais demander d’aide extérieur, trop fier pour l’accepter.
    Warren, tu devrais faire du sport. A la mort de ma génitrice, j’ai ressenti le besoin de me défouler. J’ai choisi la boxe, parce qu’à mon âge, je voyais ça comme le seul moyen de me défendre. Et je suis devenu plutôt bon. Je me suis investi pendant plusieurs années et j’ai atteint le titre de champion d’Angleterre dans ma catégorie. Alors forcément, ça a déteint sur mon caractère. Je suis toujours en compétition avec les autres, parfois trop brusque, j’ai tendance à réfléchir avec mes poings dès qu’on me cherche.
    Warren, sérieux, calme-toi. J’y peux rien, j’suis quelqu’un de fier. Pour moi, l’honneur c’est primordiale. Alors quand dans les jardins privés, les gosses de la haute me rappelaient mon statut de « fils de larbin », j’ai eu tendance à partir au quart de tour. Et ça n’a pas changé. Irascible et impulsif, je méprise ces gars qui ne peuvent s’empêcher de la ramener pour prouver leur supériorité. Et en plus de ça, j’ai tendance à être jaloux quand on touche à certaines personnes.
    Warren, bien caché tout au fond, t’es un chouette gars. Ouais. Parce que mon père est un homme respectable, au service de la Reine depuis deux décennies, j’ai hérité de son tempérament. Indécis malgré moi, je suis protecteur, droit et brave envers ces quelques personnes à qui je dois tout. Mais crois-moi, ce Warren-là n’est pas accessible à n’importe qui.



    Everyone Has Their Own Story

    – Secrets On Our Lips.
    « You left me Perhapsless, stuck in your goddamned labyrinth. »

    Je suis sorti de cette boîte qui m’étouffait, et le ciel était aussi sombre que ses yeux. Je suffoque, comme si j’avais couru le marathon de ma vie. Je revois inlassablement cette scène, moi en train de vulgairement sauter cette blonde dans l’escalier, et India, ici, témoin de mon crime. Je suffoque et Doug s’approche. Il respire peu à peu l’espace vital qui me maintient débout dans cette ruelle privée de clarté et je commence à flipper. Effet secondaire non-désiré d’un mélange alcool-substance illicite. « Merde, elle ne DEVAIT pas voir ça. » J’essaye de trouver une solution. Effacer sa mémoire, un tour en DeLorean DMC-12 et tout reviendra en ordre. Dans ces moments, je regrette de ne pas être Hiro Nakamura. Vingt ans qu’elle me hante, et j’annihile toutes mes chances en une soirée. Je revois la scène, encore une fois, son expression blessée, elle était complètement froissée. Elle n’oubliera jamais. Et puis Doug, et son air d’ahuri continuellement figé sur sa face, se la ramène. « Putain, ta pote-là, la princesse, je m’la taperai bien ! » Je me retourne vers lui en un quart de seconde et mon visage se crispe. « OH, tu ne parles PAS d’elle comme ça ! » Mon poing est parti tout seul. Il recule, son nez se transforme peu à peu en rivière de sang et moi je continue de me creuser la tête pour résoudre mon problème. Tellement absorbé que j’en oublie Doug, qui fonce sur moi, enragé.
    J’entends ce bruit siffler dans le pavillon de mon oreille, comme celui des projectiles qui fusent dans un No Man’s Land. Ça fait mal. Ça fait mal comme une balle perdue, une sensation de picotement sur mon visage. Comme la violence d’un ouragan. Katrina. Je suis dévasté, je suis la Nouvelle Orléans. Mon crane contre l’asphalte. Je suis fatigué, éreinté, je me sens lourd, j’ai le poids du monde sur mes épaules. Un million de décharges électriques parcourent ma poitrine. L’image de cette fille qui s’efface est plus douloureuse que le coup assené. Je ne vois plus rien. Juste la lumière des néons qui me frappent l’iris au travers mes paupières fermées, d’une violence agressive. Je suis un missile Air-Sol AGM-65 Maverick amorcé. Je suis Little Boy à 580 mètres au-dessus d’Hiroshima. Je suis un horishimajin le 6 août 1945. Je ne sais plus qui je suis. Je les entends. Ils parlent, les voix s’agitent autour de moi. Elles cognent en masse contre mon tympan mais ce n’est un ramassis de son, comme une symphonie classique, un mouvement pour violon. Tchaïkovski, opus 35. Mon esprit est aspiré, absorbé. Dématérialisé. Lentement bercé par la mélodie, je suis tiré entre le sommeil qui m’enfonce au plus profonds des abimes et cette envie d’ouvrir les yeux. Je suis épuisé, dépassé par cette force cosmique qui m’aspire dans les songes.


    Samedi matin. J’ai sept ans, le réveil chante le générique de mon dessin animé favori, et je saute du lit. Préparation hyper-vitesse, j’ai dormi à moitié habillé pour être sûr de ne pas être en retard. La pluie a finalement décidé de prendre congé, par la fenêtre, je peux apercevoir l’absence de notre voiture, Maman doit être partie faire des courses. Tant pis, je n’ai pas eu le temps de lui dire au revoir. La journée s’annonce parfaite. Parfaite, parce qu’aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec India. En réalité, j’ai tous les jours rendez-vous avec India, mais cette fois-ci sera spéciale, parce que nous irons au zoo accompagnés de sa nourrice. India, je l’ai rencontrée dans le jardin. Parce que nous vivons dans la partie réservée aux quatre cents cinquante employés de la Reine, dans sa demeure –Papa dit qu’il ne faut pas se vanter mais il est chargé de la protection d’Elizabeth II. India, c’est la Princesse de Galles, et moi, j’ai décidé que je deviendrai son grade du corps personnel plus tard. Je lui ai même promis que je porterai une tenue comme Superman, parce que mon slip préféré, il est rouge. Mais elle a répondu que c’était nul, et que je n’avais pas le droit de révéler la couleur de mes sous-vêtements à une fille. J’ai quitté la maison pour la rejoindre, et j’ai vu des éléphants pour la première fois de ma vie.
    La journée s’est terminée, le soleil est peu à peu descendu dans l’horizon. J’ai ouvert la porte d’entrée et mon père était là. Je n’ai pas compris ce qu’il se passait, mais il avait l’air agité. Il tournait en rond, son visage sillonné par les larmes. Il y a cet homme en uniforme de policier debout dans notre cuisine qui le brise d’une voix hésitante. Mon père s’écroule sur une chaise, et moi je ne me souviens que de quelques mots. Qui l’aurait cru qu’un accident de voiture pouvait faucher la vie de votre mère instantanément. Sur le coup. Une mort instantanée. Le riz instantané prend cinq minutes, le gâteau instantané, une heure. Alors comment savoir combien de temps a duré cette seconde. Je n’ai jamais imaginé qu’il puisse exister un lendemain pire que ça.


    Demain, c’est six mois plus tard, trente-et-un aout mille neuf cents quatre-vingt-dix-sept. India a 7 ans. Nous sommes à la fin de l’été, la rentrée scolaire arrive à grand pas. J’ai toujours détesté cette période parce qu’India et moi ne fréquentons pas le même établissement. Ces journées passées à l’école m’éloignent d’elle, et nous séparent quelques heures de trop comme une chose que je redoute. Ce jour-là, Papa était agité. Les employés de Buckingham Palace étaient tous agités mais je n’avais aucune idée de ce qui se tramait. Ils m’avaient interdit de rejoindre les Princesses sans me donner de raison et j’étais consigné dans ma chambre. La Terre entière courrait dans tous les sens, prête à s’effondrer, inquiète et moi ignorant.
    Alors voilà, je suis enfermé dans cette pièce et j’espère secrètement apercevoir au travers la fenêtre sur le monde extérieur, sa crinière blonde galoper autour de mon univers. Les minutes passent, le temps défile et je vague à mes occupations. Ce jour-là, j’ai eu le temps de ranger ma chambre, d’organiser chacun de mes livres par ordre de couleur, parce que pour moi c’était plus facile. Dans ma tête, les chiffres ont des couleurs, les mots ont des goûts et ça m’aide à les identifier. J’ai eu le temps de lire un magasine qui trainait sous mon lit, d’apprendre le nom d’une trentaine de races de dinosaures, et même de dessiner l’intégralité du Palace aux crayons rouge, vert et bleu parce que les autres étaient rangés dans le salon. J’ai même pris le temps d’y ajouter les Princesses en ma compagnie, parce que je n’imaginais pas ce lieu sans notre présence. Et puis, je suis allé me coucher parce qu’au fond de moi, j’avais compris que cette journée ne méritait pas d’être vécue. Le jour d’après, la pluie était toujours présente, le ciel grondait comme une punition infligée. J’ai allumé la télévision et sur l’écran s’affichait la tragique nouvelle de la veille. Lady Diana s’est éteinte à Paris, dans un accident de voiture. Il y a des secondes qui durent des heures.

    Et puis j’ai eu quinze ans, nous avons tous grandi sans mère. Parfois je crois que c’est cette tragédie qui a resserré nos liens, la mort comme le ciment de notre relation. Elle me comprenait, je la comprenais, et à deux nous étions plus forts. Seuls contre l’univers. J’étais ce qu’elle considérait comme un frère, et pour moi il n’y avait qu’elle. Parfois, elle me parlait de garçons, et moi je me taisais continuellement parce que dans ma tête, à cette époque il n’y avait qu’une seule fille. Nous avons rejoint deux lycées différents, parce que bien sûr, nous n’étions pas du même rang. J’avais beau faire partie de la famille, il y avait cette limite qui m’empêchait de l’atteindre. Et ces journées loin de ma vie m’ont couté cher. Je me souviens du jour de la rentrée, Douglas était là, assis à côté de moi et j’ai fait sa rencontre. Trois jours plus tard, il me proposait ma première cigarette, début d’une longue descente, et j’acceptais innocent. Rien qu’une seule, lui ai-je répété, et puis rien ne sera plus pareil.
    J’ai continué de grandir, loin de leurs regards. J’ai découvert qu’il y avait ces petits secrets qui me donnaient l’impression d’être vivant. L’opportunité de courir, droit devant, face au mur, sans que freiner ma course soit une option. Droit devant. Sans obstacle. J’ai revu Douglas, une fois, et puis une quinzaine d’autres fois, jusqu’à ce qu’il devienne mon occupation tous les vendredis soirs. Le vendredi, parce que son père quittait leur appartement miteux pour rejoindre les bras d’une amante et Doug en profitait chaque semaine pour organiser une soirée loin des adultes. En général, c’était un beau mélange d’alcool, de gerbe et d’autres substances. Alors, ce vendredi-là, je me suis rendu comme à mon habitude, dans sa piaule. Je n’ai pas pris le temps d’attendre le retour de mon père, pour lui dire au revoir, et j’ai continué de l’éviter. J’évite son regard, ses questions, parce que je n’appartiens plus à son environnement. Je suis une supernova dans sa course folle, je brûle de l’intérieur sans jamais m’arrêter, et mon père n’est qu’un obstacle sur mon trajet. J’ai atteint la majorité six mois plus tôt, comme une porte vers ma liberté, et derrière moi les désillusions.

    Allongé dans la baignoire vide à la recherche de fraicheur contre le rebord en email. J’allume une cigarette en même temps qu’un inconnu rentre pour pisser dans l’évier à côté de moi. C’est complétement dégueulasse et je repense à toutes ces bonnes manières qui m’ont bercé. Tout au fond de moi, à cette seconde, je regrette le confort que j’ai laissé derrière moi ce soir. Les soirées en compagnie des princesses, à écouter leurs histoires, les cachecaches au beau milieu de la nuit, jusqu’à ce qu’un employé nous attrape et me passe un savon pour les avoir réveillées. J’y repense au rythme que la fumée envahi la pièce comme un aquarium étouffant, et j’entends les souvenirs de nos rires. Jusqu’à ce que Doug s’écroule contre le bord de sa baignoire dans un fracas de bouteilles. Il se penche vers moi, je peux sentir son odeur repoussante. Quelque chose entre la transpiration et la bière renversée sur son t-shirt. Il me fixe, le regard livide. « Mec, à quoi tu penses ? ». A rien. Je soupire longuement et le pousse de son appui. Il est tellement imbibé qu’il s’écrase contre le sol sans broncher. Mon espace vital. Ce que je déteste le plus, c’est quand il se l’approprie. Alors voilà, Douglas est allongé sur le sol poisseux de sa salle de bain, il regarde le plafond, perdu dans l’obscurité. Mais il ne veut toujours pas la boucler. « Mec, c’est une princesse, pour elle, t’es qu’un roturier. Vise des filles de ton niveau. » Je n’ai pas voulu écouter la suite, alors je me suis levé en trombe. J’ai quitté la pièce, un arrière-goût amer dans la bouche et l’estomac totalement remué. Je suis allé m’assoir sur le balcon le reste de la soirée. Il y avait cette musique atrocement répétitive qui assommait mes tympans, la brise matinale propre à Londres qui saisissait mon visage, et le soleil qui pointait le bout de son nez pour annoncer une nouvelle journée. Les mots de Douglas ont continué leur chemin dans ma tête, et j’ai réalisé la vérité de ses paroles. Et c’est ce que j’ai fait. J’ai suivi les conseils d’un abruti complétement bourré.


    Demain, c’était aujourd’hui et ma Terre s’est effondrée. S’arrêter n’était pas dans le plan. J’ai vingt ans, complètement torché à sauter une pauvre blonde dans les escaliers d’une boite plutôt craignos, sans savoir que trente minutes plus tard, Douglas m’assommerait d’un coup de poing. Je me retourne, la vue trouble sous l’influence de l’alcool, parce que j’ai reconnu une voix familière appeler mon nom. Et puis, elle est là, face à moi. Je suis un con.



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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 1:53
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    Bienvenue sur ILH :rvmp:
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 5:58
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    Re-Bienvenue sur ILH hanwii
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 8:09
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    Re bienvenue parmi nous WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen 3400909363
    Bonne chance pour ta fiche and have fun :luv2:
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 9:08
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    hanwii hanwii hanwii hanwii hanwii hanwii hanwii hanwii
    Bon tu sais déjà tout, si t'as une question mp moi. WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen 2109348208
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    Owi owi owi notre Warren WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen 3850463188
    Enfin surtout celui de ma petite soeur adorée hanwii Excellent choix ! Bon courage pour ta fiche ! ♥️.♥️
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 9:46
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    Re Bienvenue sur ILH hanwii WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen 2109348208
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 10:43
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    Bienvenue et bon courage pour ta fiche WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen 3850463188
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 11:39
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    Tobias. hanwii bienvenue, bonne continuation pour ta fiche. WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen 2109348208 WARREN LEOBEN STARK ► Tobias Sorensen 3850463188
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    Lien du postMer 1 Aoû 2012 - 12:35
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    Merci merci les petits guys !

    @India > Je n'y manquerai pas :loukas:

    @Andrea > Wiiiwiii votre Warren hanwii J'attends de vous de me chérir et m'aduler jusqu'à la fin des temps !
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