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CARA SJÖBERG-LLOYD ► marloes horst.Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5 
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Lien du postMar 16 Déc - 9:51
Fiche Étudiant
C'est le quatre décembre mille neuf cent quatre-vingt dix à sydney en australie, que les membres de la famille sjöberg-lloyd m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée cara siloé lénaïs. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine en neurochirurgie en majeur et de design de mode en mineur depuis six ans et travaille en parallèle de mes études en tant que infirmière à temps partiel à l'hôpital. Et pour terminer, je voudrais intégrer les cabot ou les dunster.
Pourquoi MAISON 1 ou MAISON 2 ?
CABOT HOUSE.
Si au tout début, Cara avait décidé de ne choisir aucune confrérie, et être donc une Student pour éviter de se mêler aux autres, elle a finalement opté pour présenter deux choix de confrérie, dont le premier est la Cabot House. Tout comme les autres filles appartenant à cette maison, Cara fait très attention à son apparence. En grande passionnée de mode, et suivant par ailleurs un cursus de design de mode, elle prend soin de s'habiller de manière tendance, de se coiffer convenablement, et se maquiller à sa guise, tous les jours, sans exception. De plus, le fait que la Cabot soit une sororité, et donc simplement des filles, la rassure quelque peu, n'ayant pas réellement envie de se retrouver dans une maison mixte. Tout comme le veut la Cabot House, elle est très loyale envers les gens, et n'est vraiment pas du genre à faire des coups bas. Concentrée sur ses études, et ayant par ailleurs une carrière scolaire remarquable, elle prône extérieurement un certain modèle de perfection, et donc est une candidate adaptée pour la Cabot, où elle espère être retenu.
DUNSTER HOUSE.
Cara a, et ce, depuis sa plus jeune enfance, une scolarité presque parfaite. Jamais d'absences, ni de retards, excepté les quelques mois durant ses années de lycée. D'excellentes notes, d'excellentes appréciations par ses professeurs, elle a toujours été très focalisée sur ses études, et un peu aussi par la pression de ses parents. Entamant sa sixième année de médecine à Harvard cette année, elle a par ailleurs obtenu une bourse étant donné ses hauts résultats, et ce, après avoir également étudié à Oxford en Angleterre et à la Sorbonne, à Paris, l'année dernière. C'est donc pour cela qu'elle a présenté la Dunster House comme second choix. L'élite intellectuelle de l'université, à laquelle elle pense pouvoir appartenir également.
Si au tout début, Cara avait décidé de ne choisir aucune confrérie, et être donc une Student pour éviter de se mêler aux autres, elle a finalement opté pour présenter deux choix de confrérie, dont le premier est la Cabot House. Tout comme les autres filles appartenant à cette maison, Cara fait très attention à son apparence. En grande passionnée de mode, et suivant par ailleurs un cursus de design de mode, elle prend soin de s'habiller de manière tendance, de se coiffer convenablement, et se maquiller à sa guise, tous les jours, sans exception. De plus, le fait que la Cabot soit une sororité, et donc simplement des filles, la rassure quelque peu, n'ayant pas réellement envie de se retrouver dans une maison mixte. Tout comme le veut la Cabot House, elle est très loyale envers les gens, et n'est vraiment pas du genre à faire des coups bas. Concentrée sur ses études, et ayant par ailleurs une carrière scolaire remarquable, elle prône extérieurement un certain modèle de perfection, et donc est une candidate adaptée pour la Cabot, où elle espère être retenu.
DUNSTER HOUSE.
Cara a, et ce, depuis sa plus jeune enfance, une scolarité presque parfaite. Jamais d'absences, ni de retards, excepté les quelques mois durant ses années de lycée. D'excellentes notes, d'excellentes appréciations par ses professeurs, elle a toujours été très focalisée sur ses études, et un peu aussi par la pression de ses parents. Entamant sa sixième année de médecine à Harvard cette année, elle a par ailleurs obtenu une bourse étant donné ses hauts résultats, et ce, après avoir également étudié à Oxford en Angleterre et à la Sorbonne, à Paris, l'année dernière. C'est donc pour cela qu'elle a présenté la Dunster House comme second choix. L'élite intellectuelle de l'université, à laquelle elle pense pouvoir appartenir également.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
Cara n'était heureusement pas encore arrivée sur Harvard lorsque la bombe a explosé, étant donné que son inscription date de cette année. Cependant, comme beaucoup de personnes, elle en a entendu parler, et en a été horrifiée, surtout en apprenant qu'il y avait des morts et nombreux blessés, et en constatant qu'encore aujourd'hui, le traumatisme de cet événement restait présent. Bien évidemment, elle espère que cela n'arrivera plus jamais, surtout qu'elle y étudie maintenant.
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
Cara n'était heureusement pas encore arrivée sur Harvard lorsque la bombe a explosé, étant donné que son inscription date de cette année. Cependant, comme beaucoup de personnes, elle en a entendu parler, et en a été horrifiée, surtout en apprenant qu'il y avait des morts et nombreux blessés, et en constatant qu'encore aujourd'hui, le traumatisme de cet événement restait présent. Bien évidemment, elle espère que cela n'arrivera plus jamais, surtout qu'elle y étudie maintenant.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle joy full. et j'ai vingt-deux ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Le forum est magnifique alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise marloes horst comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ ça dépend de mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Rhys K. Mason.
Mot de la fin ? ▲
.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲
.Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
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Lien du postMar 16 Déc - 9:52
Il était une fois...
" t'es jalouse parce que papa m'aime plus que toi. " L'exclamation de la fillette résonna dans la boutique de jouets, produisant un effet de claque à la jeune femme posté devant elle, béate. La fillette, c'était toi Cara, cinq ans à cette époque, depuis ta naissance le quatre décembre mille neuf cent quatre-vingt dix. Blonde angélique mais aux yeux bleus furibonds, et qui, du haut de sa petite taille, savait se montrer mesquine avec sa propre mère, choisissant avec soin les mots qui blesseraient. Un énième caprice pour obtenir l'acquisition d'une luxueuse maison de poupées que te refusait Leanna. Et pour cause, elle t'en avait acheté une la semaine dernière, déjà. Pourtant, la situation financière de la famille Sjöberg le permettait très largement, mais ta mère, qui appartenait auparavant à une classe sociale moyenne, du moins avant de se marier avec ton père, détestait gaspiller de l'argent inutilement, et ne souhaitait pas te faire grandir comme une gamine pourrie gâtée. Et elle y serait très certainement parvenue si papa ne s'en mêlait pas. Ce dernier surgit du rayon d'à côté, puis lança d'une voix autoritaire : " Leanna, cesse de toujours te comporter de cette manière. Prends-la lui sa maison. " Puis, son visage se radoucit, et il s'accroupit à ton niveau, te prenant dans ses bras : " Mon amour a bien le droit à un cadeau, elle a été sage à l'école. " " Ce n'est pas toi William que la maîtresse a appelé pour avertir que ton amour avait violemment tiré les cheveux d'une fille. " " Oh, Leanna, je t'en prie, arrête un peu... elle a du le mériter. " Ce que tu tentas de confirmer d'un hochement de tête. " Allez, allons payer ! " Adressant un sourire victorieux à ta mère, tu t'empressas de te diriger vers la caisse, prenant soin de faire virevolter tes cheveux, et claquer tes minis-talons.
Tu avais tout, oui. Une véritable chambre de princesse, des gouvernantes à ta disposition, une mère qui finissait toujours par accepter la moindre de tes envies. Mais le plus important encore, ton jumeau, Lenny, que tu adorais. Vous vous entendiez à merveille, en aviez fait voir de toutes les couleurs au personnel travaillant chez vous, à vos parents également. Le duo infernal. Impossible de se calmer pendant deux secondes. Vous étiez la plupart du temps en train de préparer une nouvelle connerie. Et pas seulement à la maison, à l'école aussi, récoltant punitions sur punitions, ce qui ne vous empêchait pas de continuer. La plupart de vos camarades y sont passé, et surtout un. Le petit Rhys. Ah avec lui, tu t'éclatais comme une folle. Lenny aussi. Alors, vous l'insultiez de tous les noms que vous connaissiez, sur son poids parce qu'il était rondouillard. Vous cassiez ses lunettes, les jettant à terre et sautant dessus jusqu'à ce que les verres explosent et qu'il se mette à pleurer. Et ça vous faisait rire, aux éclats. Vous le bousculiez dès que vous l'aperceviez dans un couloir, dans la cour de récréation. L'amusement de ton enfance. Parce que comme papa disait, toi tu avais le droit de faire ce que tu voulais. Alors, tu ne t'en privais pas, bien au contraire. Mais au collège, les choses commencèrent à changer. Parce que tu entrais dans la cour des grands, Lenny aussi. Les origines suédoises de papa, mélangées à celles anglaises de maman avaient fait de toi une vraie beauté. Même si on ne pouvait refuter le fait que tu l'étais déjà plus petite. Et ton comportement évolua, vers le mieux. Les cours de surf auxquels tu t'étais inscrite, car en Australie, c'était presque le sport national, te permettait de garder un équilibre dans ta vie, et de dépenser ton énergie justement. Tu te montrais polie, aussi bien envers tes professeurs que tes camarades. Et envers Rhys aussi. D'ailleurs, il semblait changer, lui aussi. Il devenait mignon, ouais. C'était ta meilleure amie Théa qui l'avait remarqué, et à y regarder de plus près, elle avait raison. Les kilos en trop avaient disparu comme par magie, offrant, peu à peu, un physique complètement différent. Alors, comme beaucoup d'autres filles, tu l'abordas. Mais, à ta plus grande surprise, il ne te prêta aucune attention. Cependant, cela ne t'empêcha pas d'insister, ta confiance en toi te le permettait. Si au début, il t'ignora, les choses finirent par bouger, au lycée.
L'entrée au lycée, la jeunesse. Assagie, tu l'étais devenue, bien plus que les précédentes années. La garce avait laissé place à un petit ange blond, aussi bien focalisée sur ses études que sur sa vie sociale. Tu excellais, partout. D'excellentes notes, d'excellents rapports amicaux, familiaux, d'excellents résultats au surf... Tout te souriait, faisant le bonheur de tes parents et de Lenny. Tu te prenais un peu pour la reine du lycée de Sydney. Et puis, il y avait Rhys. Rhys, ouais. Vous étiez dans la même école, heureusement. Rhys à la stature imposante, sportive, musclée. Des yeux d'acier qui te faisaient chavirer. Un air séduisant qui se repérait à des kilomètres à la ronde. Tu étais littéralement tombé sous son charme, oubliant par la même occasion les méchancetés que tu lui avais fait subir, les regrettant férocement, par ailleurs. Mais, c'était du passé, une époque révolue donc, et il ne t'en voulait pas, de toute évidence. Alors, sans crainte aucune, tu t'es laissé emporter vers lui, te rapprochant enfin, sans te poser de questions. Il était tellement irrésistible, te faisant rire comme personne. Puis, finalement, tu t'es cédé à lui, pour la première fois. Ta première fois. Un moment parfait. Rhys ayant su se montrer d'une compréhension et d'une gentillesse sans faille. Du bonheur, à l'état pur. Tu l'aimais, tout simplement.
NOUVEAU MESSAGE DE THEA.
' Euh ? https://www.youtube.com/hfozp48bc '
Le bip de ton portable t'informa que tu venais de recevoir un texto de ta meilleure amie, incluant un lien, pendant que tu étais assise sur ton lit, au milieu de livres scolaires, à rêvasser de Rhys. Sans vraiment y prêter grande attention, tu cliquas à l'aide de ton index droit sur le-dit lien, t'attendant à ce que jaillisse une musique. Au lieu de cela, une scène apparut, montrant deux personnes dans un lit, faisant l'amour. Un sourire apparaissant sur tes lèvres, tu as rapidement fermé la page et t'apprêtais à réprimander gentiment Théa. Quand soudain, tes sourcils se froncèrent impulsivement et ton sourire disparut. Cette chambre... Ce lit... Tes mains devinrent aussitôt moites, tandis que tu rouvris la page à une vitesse éclair. Puis, sous ton regard abasourdi, défila encore et encore, la scène de ta première fois avec Rhys. Tes yeux, perlés de larmes, allaient pratiquement s'extirper de leurs orbites, mouillant l'écran du téléphone. Putain... Non, non, non.... Non, c'était iréel, un cauchemar. Tu t'étais ensuite frotté les yeux, maintes fois, avait fermé puis rouvert la page une bonne vingtaine de fois. Mais la vidéo était bien présente. En ligne, sur internet. Elle t'exposait, telle une actrice pornographique. Et sans plus pouvoir te retenir, tu as couru vers la salle de bains, vomir toute la saleté dont tu venais d'être témoin.
La suite ? Tu t'en rappelles à peine. Un séisme a eu lieu dans ton cerveau. Des bribes, seulement. Quand tu as appris que la personne qui l'avait posté en ligne était Rhys, ce qui avait multiplié ta peine par des millions. Paraissait-il que sa douleur avait été bien grande, quand elle le malmenait lorsqu'ils étaient gamins. Et qu'il s'était donc vengé, depuis tout ce temps. Un succès, gigantesque. La voix de ton père aussi, qui avait tonné lorsque certains de tes amis malotrus lui avaient envoyé la vidéo, et qui disait qu'il ne souhaitait plus jamais te revoir. Qu'il ne voulait pas d'une fille qui désirait faire une carrière dans le porno. Et tu étais tellement atterrée et dans les vapes que tu n'avais même pas pu lui répondre, lui confirmer que ce n'était pas toi qui l'avais mise en ligne. Son regard empli de dégoût. Heureusement, Lenny avait été là, toujours là. Il s'était arrangé pour enlever la vidéo hors de Youtube, cependant le désastre était fait. Tes amis n'avaient plus donné de nouvelles. Tu restais cloîtré dans la chambre de l'appartement que ton jumeau avait loué, parce que papa ne voulait plus te garder chez lui. La peur de sortir dans la rue et que quelqu'un te remarque, si bien que tu ne bougeais plus. Sauf un soir, sans réfléchir, alors que Lenny dormait, tu t'étais dirigé vers la cuisine, avait attrapé tous les médicaments présents, puis sans perdre une seconde, les avait avalé d'une traite. Et c'est lorsque tu tombas à terre, produisant un bruit sourd, que ton frère s'était réveillé, alerté, puis t'avait emmené en urgence à l'hôpital.
Ce ne fut d'ailleurs pas la seule fois où tu ouvris les yeux dans la fameuse chambre blanche. Trois autres tentatives suivirent, toutes des échecs, sauvée chaque fois par Lenny, qui en devenait malade. Tu as essayé de te jeter du quatrième étage de l'appartement de ton frère, d'ingurgiter une nouvelle fois des comprimés de toutes sortes, te tailler les veines, mais en vain. Tout comme les excuses que tenait à te présenter Rhys. Vaines. Des excuses, elle était bien bonne celle-là. Il avait littéralement détruit ton monde, et il désirait s'excuser pour ça. Tu ne souhaitais même plus voir son visage, alors lui parler, certainement pas. Quel con, bordel. Puis, petit à petit, tu as décidé courageusement de te reconstruire, pour toi, pour Lenny surtout. Et grâce à l'aide de ton adorable jumeau, qui t'emmena consulter un psychologue réputé de la ville. Cette peur, -presque phobie- que quelqu'un te reconnaisse dehors, te faisant porter des bonnets jusqu'aux sourcils. De longues thérapies suivirent. En réalité, tu le savais, ça ne passerait jamais, mais tu pouvais aller mieux. Les progrès se montrèrent quand tu consentis à reprendre le chemin du lycée. Mais hors de question de retourner dans le même, tu fis ta dernière année dans une école de Melbourne où tu obtins ton diplôme avec une excellente mention, et ce, après avoir manqué plusieurs mois de cours. Le lycée -l'enfer- était terminé, enfin.
Puis, l'Angleterre, l'université Oxford t'ouvrit les bras, t'offrant une bourse conséquente. Lenny vint avec toi, également, ne désirant pas te laisser seule. Cet amour qu'il était. Alors, tu as pu entamer tes études de médecine. Durant six années. Mais tu te sentais changer. Tu étais beaucoup moins ouverte aux autres, moins souriante, moins expansive. Le strict minimum au niveau social. Bonjour, merci, au revoir. Et il n'était pas question d'accepter les demandes de sortie des garçons. Tu manquais encore cruellement de confiance en toi, en eux. Beau désastre Rhys, merci. Il ne te sortait pas de la tête celui-là. Tu essayais de te concentrer seulement sur tes études, dans le but de devenir neurochirurgienne. Ce métier t'attirait énormément, de pouvoir sauver des vies, c'était magique. Et sans mettre de côté ta passion pour la mode, pour les vêtements, tu as également opté pour un double cursus design de mode, te permettant d'exposer tes talents de dessinatrice. A la fin de ta quatrième année, sur un coup de tête, et parce que tu avais toujours rêvé de t'installer momentanément à Paris, tu es parti étudier à la Sorbonne, sans Lenny cette fois, qui avait préféré rester à Oxford, te faisant confiance sur le fait que tu ne risquerais pas ta vie à nouveau. Une année parisienne. Puis, on t'offrit une bourse pour la prestigieuse université Harvard. Ce que tu acceptas, bien évidemment. Et voilà, tu atterris aux Etats-Unis pour cette nouvelle année scolaire, une année qui annonçait son lot Puis, l'Angleterre, l'université Oxford t'ouvrit les bras, t'offrant une bourse conséquente. Lenny vint avec toi, également, ne désirant pas te laisser seule. Cet amour qu'il était. Alors, tu as pu entamer tes études de médecine. Durant six années. Mais tu te sentais changer. Tu étais beaucoup moins ouverte aux autres, moins souriante, moins expansive. Le strict minimum au niveau social. Bonjour, merci, au revoir. Et il n'était pas question d'accepter les demandes de sortie des garçons. Tu manquais encore cruellement de confiance en toi, en eux. Beau désastre Rhys, merci. Il ne te sortait pas de la tête celui-là. Tu essayais de te concentrer seulement sur tes études, dans le but de devenir neurochirurgienne. Ce métier t'attirait énormément, de pouvoir sauver des vies, c'était magique. Et sans mettre de côté ta passion pour la mode, pour les vêtements, tu as également opté pour un double cursus design de mode, te permettant d'exposer tes talents de dessinatrice. A la fin de ta quatrième année, sur un coup de tête, et parce que tu avais toujours rêvé de t'installer momentanément à Paris, tu es parti étudier à la Sorbonne, sans Lenny cette fois, qui avait préféré rester à Oxford, te faisant confiance sur le fait que tu ne risquerais pas ta vie à nouveau. Une année parisienne. Puis, on t'offrit une bourse pour la prestigieuse université Harvard. Ce que tu acceptas, bien évidemment, leur cursus en médecine était reconnu pour être l'un des meilleurs. Et voilà, tu as atterri aux Etats-Unis pour cette nouvelle année scolaire, une année qui annonçait son lot d’événements, ayant pu, par chance, te dénicher également un boulot d'infirmière dans l'hôpital de la ville.
" t'es jalouse parce que papa m'aime plus que toi. " L'exclamation de la fillette résonna dans la boutique de jouets, produisant un effet de claque à la jeune femme posté devant elle, béate. La fillette, c'était toi Cara, cinq ans à cette époque, depuis ta naissance le quatre décembre mille neuf cent quatre-vingt dix. Blonde angélique mais aux yeux bleus furibonds, et qui, du haut de sa petite taille, savait se montrer mesquine avec sa propre mère, choisissant avec soin les mots qui blesseraient. Un énième caprice pour obtenir l'acquisition d'une luxueuse maison de poupées que te refusait Leanna. Et pour cause, elle t'en avait acheté une la semaine dernière, déjà. Pourtant, la situation financière de la famille Sjöberg le permettait très largement, mais ta mère, qui appartenait auparavant à une classe sociale moyenne, du moins avant de se marier avec ton père, détestait gaspiller de l'argent inutilement, et ne souhaitait pas te faire grandir comme une gamine pourrie gâtée. Et elle y serait très certainement parvenue si papa ne s'en mêlait pas. Ce dernier surgit du rayon d'à côté, puis lança d'une voix autoritaire : " Leanna, cesse de toujours te comporter de cette manière. Prends-la lui sa maison. " Puis, son visage se radoucit, et il s'accroupit à ton niveau, te prenant dans ses bras : " Mon amour a bien le droit à un cadeau, elle a été sage à l'école. " " Ce n'est pas toi William que la maîtresse a appelé pour avertir que ton amour avait violemment tiré les cheveux d'une fille. " " Oh, Leanna, je t'en prie, arrête un peu... elle a du le mériter. " Ce que tu tentas de confirmer d'un hochement de tête. " Allez, allons payer ! " Adressant un sourire victorieux à ta mère, tu t'empressas de te diriger vers la caisse, prenant soin de faire virevolter tes cheveux, et claquer tes minis-talons.
Tu avais tout, oui. Une véritable chambre de princesse, des gouvernantes à ta disposition, une mère qui finissait toujours par accepter la moindre de tes envies. Mais le plus important encore, ton jumeau, Lenny, que tu adorais. Vous vous entendiez à merveille, en aviez fait voir de toutes les couleurs au personnel travaillant chez vous, à vos parents également. Le duo infernal. Impossible de se calmer pendant deux secondes. Vous étiez la plupart du temps en train de préparer une nouvelle connerie. Et pas seulement à la maison, à l'école aussi, récoltant punitions sur punitions, ce qui ne vous empêchait pas de continuer. La plupart de vos camarades y sont passé, et surtout un. Le petit Rhys. Ah avec lui, tu t'éclatais comme une folle. Lenny aussi. Alors, vous l'insultiez de tous les noms que vous connaissiez, sur son poids parce qu'il était rondouillard. Vous cassiez ses lunettes, les jettant à terre et sautant dessus jusqu'à ce que les verres explosent et qu'il se mette à pleurer. Et ça vous faisait rire, aux éclats. Vous le bousculiez dès que vous l'aperceviez dans un couloir, dans la cour de récréation. L'amusement de ton enfance. Parce que comme papa disait, toi tu avais le droit de faire ce que tu voulais. Alors, tu ne t'en privais pas, bien au contraire. Mais au collège, les choses commencèrent à changer. Parce que tu entrais dans la cour des grands, Lenny aussi. Les origines suédoises de papa, mélangées à celles anglaises de maman avaient fait de toi une vraie beauté. Même si on ne pouvait refuter le fait que tu l'étais déjà plus petite. Et ton comportement évolua, vers le mieux. Les cours de surf auxquels tu t'étais inscrite, car en Australie, c'était presque le sport national, te permettait de garder un équilibre dans ta vie, et de dépenser ton énergie justement. Tu te montrais polie, aussi bien envers tes professeurs que tes camarades. Et envers Rhys aussi. D'ailleurs, il semblait changer, lui aussi. Il devenait mignon, ouais. C'était ta meilleure amie Théa qui l'avait remarqué, et à y regarder de plus près, elle avait raison. Les kilos en trop avaient disparu comme par magie, offrant, peu à peu, un physique complètement différent. Alors, comme beaucoup d'autres filles, tu l'abordas. Mais, à ta plus grande surprise, il ne te prêta aucune attention. Cependant, cela ne t'empêcha pas d'insister, ta confiance en toi te le permettait. Si au début, il t'ignora, les choses finirent par bouger, au lycée.
L'entrée au lycée, la jeunesse. Assagie, tu l'étais devenue, bien plus que les précédentes années. La garce avait laissé place à un petit ange blond, aussi bien focalisée sur ses études que sur sa vie sociale. Tu excellais, partout. D'excellentes notes, d'excellents rapports amicaux, familiaux, d'excellents résultats au surf... Tout te souriait, faisant le bonheur de tes parents et de Lenny. Tu te prenais un peu pour la reine du lycée de Sydney. Et puis, il y avait Rhys. Rhys, ouais. Vous étiez dans la même école, heureusement. Rhys à la stature imposante, sportive, musclée. Des yeux d'acier qui te faisaient chavirer. Un air séduisant qui se repérait à des kilomètres à la ronde. Tu étais littéralement tombé sous son charme, oubliant par la même occasion les méchancetés que tu lui avais fait subir, les regrettant férocement, par ailleurs. Mais, c'était du passé, une époque révolue donc, et il ne t'en voulait pas, de toute évidence. Alors, sans crainte aucune, tu t'es laissé emporter vers lui, te rapprochant enfin, sans te poser de questions. Il était tellement irrésistible, te faisant rire comme personne. Puis, finalement, tu t'es cédé à lui, pour la première fois. Ta première fois. Un moment parfait. Rhys ayant su se montrer d'une compréhension et d'une gentillesse sans faille. Du bonheur, à l'état pur. Tu l'aimais, tout simplement.
NOUVEAU MESSAGE DE THEA.
' Euh ? https://www.youtube.com/hfozp48bc '
Le bip de ton portable t'informa que tu venais de recevoir un texto de ta meilleure amie, incluant un lien, pendant que tu étais assise sur ton lit, au milieu de livres scolaires, à rêvasser de Rhys. Sans vraiment y prêter grande attention, tu cliquas à l'aide de ton index droit sur le-dit lien, t'attendant à ce que jaillisse une musique. Au lieu de cela, une scène apparut, montrant deux personnes dans un lit, faisant l'amour. Un sourire apparaissant sur tes lèvres, tu as rapidement fermé la page et t'apprêtais à réprimander gentiment Théa. Quand soudain, tes sourcils se froncèrent impulsivement et ton sourire disparut. Cette chambre... Ce lit... Tes mains devinrent aussitôt moites, tandis que tu rouvris la page à une vitesse éclair. Puis, sous ton regard abasourdi, défila encore et encore, la scène de ta première fois avec Rhys. Tes yeux, perlés de larmes, allaient pratiquement s'extirper de leurs orbites, mouillant l'écran du téléphone. Putain... Non, non, non.... Non, c'était iréel, un cauchemar. Tu t'étais ensuite frotté les yeux, maintes fois, avait fermé puis rouvert la page une bonne vingtaine de fois. Mais la vidéo était bien présente. En ligne, sur internet. Elle t'exposait, telle une actrice pornographique. Et sans plus pouvoir te retenir, tu as couru vers la salle de bains, vomir toute la saleté dont tu venais d'être témoin.
La suite ? Tu t'en rappelles à peine. Un séisme a eu lieu dans ton cerveau. Des bribes, seulement. Quand tu as appris que la personne qui l'avait posté en ligne était Rhys, ce qui avait multiplié ta peine par des millions. Paraissait-il que sa douleur avait été bien grande, quand elle le malmenait lorsqu'ils étaient gamins. Et qu'il s'était donc vengé, depuis tout ce temps. Un succès, gigantesque. La voix de ton père aussi, qui avait tonné lorsque certains de tes amis malotrus lui avaient envoyé la vidéo, et qui disait qu'il ne souhaitait plus jamais te revoir. Qu'il ne voulait pas d'une fille qui désirait faire une carrière dans le porno. Et tu étais tellement atterrée et dans les vapes que tu n'avais même pas pu lui répondre, lui confirmer que ce n'était pas toi qui l'avais mise en ligne. Son regard empli de dégoût. Heureusement, Lenny avait été là, toujours là. Il s'était arrangé pour enlever la vidéo hors de Youtube, cependant le désastre était fait. Tes amis n'avaient plus donné de nouvelles. Tu restais cloîtré dans la chambre de l'appartement que ton jumeau avait loué, parce que papa ne voulait plus te garder chez lui. La peur de sortir dans la rue et que quelqu'un te remarque, si bien que tu ne bougeais plus. Sauf un soir, sans réfléchir, alors que Lenny dormait, tu t'étais dirigé vers la cuisine, avait attrapé tous les médicaments présents, puis sans perdre une seconde, les avait avalé d'une traite. Et c'est lorsque tu tombas à terre, produisant un bruit sourd, que ton frère s'était réveillé, alerté, puis t'avait emmené en urgence à l'hôpital.
Ce ne fut d'ailleurs pas la seule fois où tu ouvris les yeux dans la fameuse chambre blanche. Trois autres tentatives suivirent, toutes des échecs, sauvée chaque fois par Lenny, qui en devenait malade. Tu as essayé de te jeter du quatrième étage de l'appartement de ton frère, d'ingurgiter une nouvelle fois des comprimés de toutes sortes, te tailler les veines, mais en vain. Tout comme les excuses que tenait à te présenter Rhys. Vaines. Des excuses, elle était bien bonne celle-là. Il avait littéralement détruit ton monde, et il désirait s'excuser pour ça. Tu ne souhaitais même plus voir son visage, alors lui parler, certainement pas. Quel con, bordel. Puis, petit à petit, tu as décidé courageusement de te reconstruire, pour toi, pour Lenny surtout. Et grâce à l'aide de ton adorable jumeau, qui t'emmena consulter un psychologue réputé de la ville. Cette peur, -presque phobie- que quelqu'un te reconnaisse dehors, te faisant porter des bonnets jusqu'aux sourcils. De longues thérapies suivirent. En réalité, tu le savais, ça ne passerait jamais, mais tu pouvais aller mieux. Les progrès se montrèrent quand tu consentis à reprendre le chemin du lycée. Mais hors de question de retourner dans le même, tu fis ta dernière année dans une école de Melbourne où tu obtins ton diplôme avec une excellente mention, et ce, après avoir manqué plusieurs mois de cours. Le lycée -l'enfer- était terminé, enfin.
Puis, l'Angleterre, l'université Oxford t'ouvrit les bras, t'offrant une bourse conséquente. Lenny vint avec toi, également, ne désirant pas te laisser seule. Cet amour qu'il était. Alors, tu as pu entamer tes études de médecine. Durant six années. Mais tu te sentais changer. Tu étais beaucoup moins ouverte aux autres, moins souriante, moins expansive. Le strict minimum au niveau social. Bonjour, merci, au revoir. Et il n'était pas question d'accepter les demandes de sortie des garçons. Tu manquais encore cruellement de confiance en toi, en eux. Beau désastre Rhys, merci. Il ne te sortait pas de la tête celui-là. Tu essayais de te concentrer seulement sur tes études, dans le but de devenir neurochirurgienne. Ce métier t'attirait énormément, de pouvoir sauver des vies, c'était magique. Et sans mettre de côté ta passion pour la mode, pour les vêtements, tu as également opté pour un double cursus design de mode, te permettant d'exposer tes talents de dessinatrice. A la fin de ta quatrième année, sur un coup de tête, et parce que tu avais toujours rêvé de t'installer momentanément à Paris, tu es parti étudier à la Sorbonne, sans Lenny cette fois, qui avait préféré rester à Oxford, te faisant confiance sur le fait que tu ne risquerais pas ta vie à nouveau. Une année parisienne. Puis, on t'offrit une bourse pour la prestigieuse université Harvard. Ce que tu acceptas, bien évidemment. Et voilà, tu atterris aux Etats-Unis pour cette nouvelle année scolaire, une année qui annonçait son lot Puis, l'Angleterre, l'université Oxford t'ouvrit les bras, t'offrant une bourse conséquente. Lenny vint avec toi, également, ne désirant pas te laisser seule. Cet amour qu'il était. Alors, tu as pu entamer tes études de médecine. Durant six années. Mais tu te sentais changer. Tu étais beaucoup moins ouverte aux autres, moins souriante, moins expansive. Le strict minimum au niveau social. Bonjour, merci, au revoir. Et il n'était pas question d'accepter les demandes de sortie des garçons. Tu manquais encore cruellement de confiance en toi, en eux. Beau désastre Rhys, merci. Il ne te sortait pas de la tête celui-là. Tu essayais de te concentrer seulement sur tes études, dans le but de devenir neurochirurgienne. Ce métier t'attirait énormément, de pouvoir sauver des vies, c'était magique. Et sans mettre de côté ta passion pour la mode, pour les vêtements, tu as également opté pour un double cursus design de mode, te permettant d'exposer tes talents de dessinatrice. A la fin de ta quatrième année, sur un coup de tête, et parce que tu avais toujours rêvé de t'installer momentanément à Paris, tu es parti étudier à la Sorbonne, sans Lenny cette fois, qui avait préféré rester à Oxford, te faisant confiance sur le fait que tu ne risquerais pas ta vie à nouveau. Une année parisienne. Puis, on t'offrit une bourse pour la prestigieuse université Harvard. Ce que tu acceptas, bien évidemment, leur cursus en médecine était reconnu pour être l'un des meilleurs. Et voilà, tu as atterri aux Etats-Unis pour cette nouvelle année scolaire, une année qui annonçait son lot d’événements, ayant pu, par chance, te dénicher également un boulot d'infirmière dans l'hôpital de la ville.
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Lien du postMar 16 Déc - 9:56
Bienvenuuuue. 
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Lien du postMar 16 Déc - 10:33
Bienvenue 
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Lien du postMar 16 Déc - 10:52
Bienvenue sur ILH ma belle 
Faut pas être student, c'pas drôle... Viens chez les roses!
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Lien du postMar 16 Déc - 10:53
bienvenuuuuuue
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Lien du postMar 16 Déc - 10:59
merci beaucoup les filles de votre accueil.
maëlys + j'y ai pensé aussi à la cabot, je vais peut-être changer du coup.
maëlys + j'y ai pensé aussi à la cabot, je vais peut-être changer du coup.
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Lien du postMar 16 Déc - 11:02
bienvenuuuuue.
oui, viens chez nous.
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Lien du postMar 16 Déc - 11:10
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Lien du postMar 16 Déc - 11:13
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