I LOVE HARVARD :: Première Aventure :: Carte identité :: Fiches de présentation :: Présentations archivées
Mira J. Hudson ► Ginta Lapina Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
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Lien du postMer 5 Nov - 20:37
Fiche Étudiant
C'est le 3 juillet 1994 à Louisville, que les membres de la famille Hudson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommée Mira Jupiter. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Design de mode ( Majeur) et de théâtre (mineur) depuis 3 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse dans les bars (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy House ou les Mather House.
Pourquoi Quincy House ou Mather House ?
Quincy House.
Pourquoi devrai-je être une Quincy ? Parce que la vie ne m'a toujours souris, que je sais ce que c'est que d'en baver. Et que maintenant que je suis sortie de ce cauchemar, je souhaite aider les autres, comme je peux évidement, alors comme je n'ai pas beaucoup d'argent, les galas de charité etc., ce n'est pas pour moi ; De plus, je ne pense pas que l'argent y fasse grand chose, c'est écouter et conseiller ces personnes qu'il faut alors je suis toujours présente pour aider une quelconque personne qui voudrait tout simplement que l'on l'écoute.
Mather House
S'il y a quelque chose auquel je tiens, c'est bien à ma liberté. J'en ai été privé de nombreuses années, je ne souhaite plus la perdre. Les obligations et les interdictions...j'y prête rarement attention, si cela nuit à ma liberté.
Je suis studieuse, mais je suis une jeune comme les autres, j'aime sortir, boire et profiter de la vie.
Pourquoi devrai-je être une Quincy ? Parce que la vie ne m'a toujours souris, que je sais ce que c'est que d'en baver. Et que maintenant que je suis sortie de ce cauchemar, je souhaite aider les autres, comme je peux évidement, alors comme je n'ai pas beaucoup d'argent, les galas de charité etc., ce n'est pas pour moi ; De plus, je ne pense pas que l'argent y fasse grand chose, c'est écouter et conseiller ces personnes qu'il faut alors je suis toujours présente pour aider une quelconque personne qui voudrait tout simplement que l'on l'écoute.
Mather House
S'il y a quelque chose auquel je tiens, c'est bien à ma liberté. J'en ai été privé de nombreuses années, je ne souhaite plus la perdre. Les obligations et les interdictions...j'y prête rarement attention, si cela nuit à ma liberté.
Je suis studieuse, mais je suis une jeune comme les autres, j'aime sortir, boire et profiter de la vie.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
La bombe... je n'en ai qu'un très vague souvenir, mais un souvenir ancré dans ma mémoire. Je me rappelle les cris des étudiants dans les couloirs qui essayait de s'enfuir, alors que j'étais à la bibliothèque, avec une de mes amies. Nous nous étions mise près d'une fenêtre car je préférai la lumière naturelle du soleil pour lire la nouvelle pièce de théâtre que nous devions apprendre. Tous c'est passé très vite. Je ne me rappelle pas les détails, j'ai essayé mais c'est comme si mon cerveau avait souhaité effacer cet épisode de mes souvenirs. Je me souviens de m'être allongé au sol dès que j'ai entendu la première explosion, et puis...je me souviens d'elle, qui n'a pas bougé, que j'ai vu tomber à côté de moi, un éclat de verre coincé dans l'abdomen... Ensuite c'est le trou noir.
Elle n'a pas survécu, comme beaucoup d'autres étudiants, pour ma part, je n'ai reçu qu'un éclat de verre dans mon mollet, je n'en garde qu'une légère cicatrice. Mais suite à cela, je ne me suis plus jamais assise près d'une fenêtre.
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
La bombe... je n'en ai qu'un très vague souvenir, mais un souvenir ancré dans ma mémoire. Je me rappelle les cris des étudiants dans les couloirs qui essayait de s'enfuir, alors que j'étais à la bibliothèque, avec une de mes amies. Nous nous étions mise près d'une fenêtre car je préférai la lumière naturelle du soleil pour lire la nouvelle pièce de théâtre que nous devions apprendre. Tous c'est passé très vite. Je ne me rappelle pas les détails, j'ai essayé mais c'est comme si mon cerveau avait souhaité effacer cet épisode de mes souvenirs. Je me souviens de m'être allongé au sol dès que j'ai entendu la première explosion, et puis...je me souviens d'elle, qui n'a pas bougé, que j'ai vu tomber à côté de moi, un éclat de verre coincé dans l'abdomen... Ensuite c'est le trou noir.
Elle n'a pas survécu, comme beaucoup d'autres étudiants, pour ma part, je n'ai reçu qu'un éclat de verre dans mon mollet, je n'en garde qu'une légère cicatrice. Mais suite à cela, je ne me suis plus jamais assise près d'une fenêtre.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle tiite-cindy et j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Matys S-Kovalevski. le forum est fantastique alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Ginta Lapina comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ entre 300 et 1000 mots par RP et mon personnage est un /scénario crée par Feliks M. Lewinski.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
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Il était une fois...
La première chose que nous faisons lorsqu'on l'on vient au monde, c'est crier ! Crier, c'est pousser un cri sous l'effet d'un sentiment ou d'une sensation forte... Quand nous naissons, nous crions certainement face à la sensation de froid , au choc entre l'air glacé de la chambre d'hôpital et la température de notre corps . Mais pour une raison que j'ignore, je n'ai jamais cessé et d'entendre crier de toute ma vie.
Every tear is a torrent which reveals a tornado of feelings
Je m'appelle Mira, cela ne fait que quatre mois que je suis de ce monde.. que j'ai poussé mon premier cri. Ces d'ailleurs ce pourquoi ma mère crise : mes cris... je crie beaucoup a priori... beaucoup trop pour elle. Elle est jeune, elle ne pensait pas que c'était ça avoir un bébé. Malheureusement je n'y peux rien si j'ai faim en plein milieu de la nuit, et que mes fesses sont souvent mouillées. Je ne sais pas communiquer autrement qu'en pleurant, et je n'ai pas un très bon exemple pour apprendre, mes parents ne font que crier et hurler à travers toute la maison . Comme aujourd'hui par exemple, comme je pleure, ils m'ont mis dans mon parc qui se trouve au milieu du salon, ils n'ont pas compris que c'est parce que je suis fatiguée et que je veux mon lit et mes peluches, alors je continue de pleurer. Je ne les vois plus, je les entends juste crier quelque part dans la maison. Et puis je les vois revenir, d'abord maman, qui traîne derrière elle, une boite avec des roues, une valise d'après mon papa. Il se dispute avec maman, je n'aime pas les voir se disputer alors je me calme, espérant qu'ils se calment aussi, mais non. Je ne comprend pas ce qu'ils racontent, je vois simplement maman franchir la porte avec sa boite sur roulettes, et claquer la porte derrière elle. Mon père la suit, mais il refranchira seul le seuil de la porte, maman ne reviendra jamais.
I would reach inside Just to find my heart is beating
Les cris de mon père résonnent dans le salon, pourquoi à t-il fallu que la maîtresse m'oblige à faire signer cette note ? Pourquoi faut-il que tout le monde soit contre moi. Ce n'est qu'une note après tout, je n'ai pas fait exprès de faire autant de fautes à ma dictée. Ce n'est pas de ma faute si je ne suis pas parfaite comme l'aimerait mon père « Merde à la fin ! Qu'est- ce-que tu vas faire de ta vie, si t'es même pas fichu d'écrire 10 mots sans faire de faute!!!!! Tu crois que j'ai que ça qu'à foutre que de te faire apprendre tes mots ! Et à signer tes notes de merde!! C'est minable, t'es minable ! » je ne vois pas la gifle arriver, elle me brûle la joue, que je sens très rapidement rougir, sous la puissance de la main de mon papa , je sens mon oeil gauche verser une larme, que j'essuie rapidement avec la manche de mon maillot. Si je pleure ça l'énervera encore plus, comme il me l'a assez répété c'est à cause de ça que maman est parti... « T'as pas encore fait assez de dégâts en faisant partir ta mère ? Non Faut en plus que tu me pourrisses la vie en étant qu'une abrutie !!! » Je ne veux pas être une abrutie, je ne veux être un poids pour personne, je fais de mon mieux pour apprendre toute seule ! « J'ai pas fait expr.... » Cette fois je m'y attendais un peu à cette gifle, après tout il fallait bien équilibrer le rouge aux joues sinon on allait se poser des questions à mon école. « Je t'ai pas autorisé à parler !!! » J'ai mal, ça me pique, me brûle, mes larmes coulent toutes seule de mes joues, malgré moi mon corps commence à être secoué de sanglots, je ne dois pas pleurer, mais je n'arrive pas à m'arrêter, ça l'énerve, je le vois.Il lève de nouveau sa main qui s'abat sur moi, puis de nouveau une nouvelle fois... je ne compte plus les coups, je l'entends à peine me dire d'arrêter de pleurer, j'ai la vision brouiller avec les larmes. Je finis par tomber par-terre, et me recroqueville pour me faire la plus petite possible, ça ne l'empêche pas de continuer. Je sais pourquoi il fait ça, ce n'est pas simplement à cause de ma note, c'est un tout. Cela fait 6 ans que maman est parti ' à cause de moi' , il faut qu'il me fasse payer son départ. Le fait de pratiquement m'ignorer et de ne pas s'occuper de moi ne lui suffit plus... Je reste allongé au sol, jusqu'à ce qu'il reparte dans la cuisine se servir un verre de whisky. Mes propres larmes coulant sur mes joues me font mal. Je ne crois pas qu'il y est un seul endroit de mon corps sur lequel il n'est pas cogné. J'ai peur de bouger, d'avoir encore plus mal, j'ai peur de faire du bruit, d'attirer de nouveau son attention et qu'il revienne à la charge . Je reste comme ça de nombreuses minutes, peut-être même une heure ou deux...Je suis fatigué je n'ai plus la notion du temps. Mes joues me brûlent beaucoup moins lorsque je me décide à prendre le risque de me redresser. Je n'entends plus aucun bruit dans la maison, j'avance tout doucement dans la maison, pour voir mon père endormi la tête sur la table, une bouteille vide à côté de lui. Je ramasse ma copie tombée au sol et monte dans ma chambre. Au final il ne l'aura même pas signé !
But I am hell bound ,Though this is all for you
De la fenêtre de ma chambre, j'observe mon père qui discute avec, a priori, nos voisins. On pourrait presque croire qu'il essaie de se socialiser, de commencer une nouvelle vie, en commençant tout d'abord à se faire des amis... Mais je le connais trop bien pour ça, mon père ne veut pas d'amis... ce qu'il veut, c'est ne pas avoir d'ennuis car il frappe sa fille. Il ne veut pas avoir à déménager encore une fois, à cause des cris de sa fille qui alertent les voisins, qui viennent frapper à sa porte pour savoir ce qui se passe, comme c'est arriver dans notre ancienne ville . Voilà pourquoi nous sommes ici aujourd'hui, mon père ne voulait pas éveiller plus les soupçons, il valait mieux changer de voisins et tout recommencer une nouvelle fois. Je suis quasi sûr qu'il leur raconte la même histoire que dans notre ancien quartier, que je suis très fortement perturbée et que je crie pour évacuer mes pulsations de violences, et que parfois... je me fais mal toute seule. On ne peut pas dire que j'avais beaucoup d'amis après ça, voir même pas du tout. Non en fait je n'en ai jamais eu, inutile que je me mente à moi-même, les gens ont toujours eu, je dirai, peur de moi, il avait peur que « la folle » que je suis leur saute dessus pour les dévorer tout cru peut-être. Un léger rire nerveux s'échappe de mes lèvres tellement je trouve ça con !
Dans tous les cas, je ne suis pas encore assez folle pour vouloir rester l'après-midi entière avec lui, même si j'ai un verrou sur ma porte maintenant. J'attrape donc mon sac à dos, et fourre deux trois trucs qui pourraient mettre utile en cours, avant de sortir de la maison. Dès que j'ai franchi le seuil, je sens leurs regards sur moi, mais je continue mon chemin en direction de ma voiture, pas la peine d'adresser la parole à des personnes qui sympathisent avec mon père,. « Tu vas où comme ça ? » J'ouvre la porte de ma voiture et balance mon sac à dos sur le siège passager, avant de lui répondre « Je vais au bahut. » Je m'installe au volant et ferme la portière sans lui adresser un regard. Encore une fois, j'ai dû me débrouiller seul pour les papiers administratifs, mais pour une fois je m'en plains pas, j'ai pu ainsi choisir le lycée le plus éloigné de chez moi, pour que toutes les sales rumeurs que mon père puisse dire pour cacher son petit secret, n'arrive pas aux oreilles des autres élèves. Il m'a gâché mon enfance comme ça, il ne me gâchera pas mon adolescence ni ma jeunesse.
I feel so alive
Je referme tout en douceur la fenêtre de ma chambre, la laissant entrouverte de quelques millimètres pour que je puisse rentrer plus tard dans la nuit. Je ramasse mon sac par terre et faite attention à ne pas m'accrocher aux buissons juste derrière moi. Je recule encore de quelques pas et inspecte ma maison du regard. Ma fenêtre semble fermée et aucune lumière n'est allumée : je n'ai pas réveillé mon père. Un sourire triomphant s'installe sur mes lèvres alors que je sors mon paquet de cigarettes, tout en marchant en direction de ma voiture, garé à l’autre bout de la rue. Je tire une première fois sur ma cigarette, laissant sortir de ma bouche des petits ronds de fumée que je m'amuse à dessiner. C'est tellement bon cette sensation de plaisir que l'on ressent quand la fumée ressort. Si mon père savait à quel point ça me fait du bien de fumer, il me l'interdirait certainement. Mais ses interdictions je m'en balance maintenant, que je les respecte ou que je ne les respecte pas, c'est la même chose. La vie me sourit enfin pour la première fois à ce que je m'en souvienne, je n'ai aucune envie de la laisser filer entre mes mains comme la fumée de ma cigarette qui se consume tout doucement entre mes doigts. J’atteins ma voiture et grimpe à l'intérieur. Je mets directement en route mon poste de radio et y insère un bon vieux CD de rock. Direction le lieu de rendez-vous.
Je me gare sur l'esplanade. Je sais qu'ils sont déjà là... quelque part. Je suis toujours la dernière à arriver, ce souci de ponctualité je l'ai depuis toujours, malgré mes efforts, je n'arrive pas à arriver à l'heure à un rendez-vous. Mais ils sont habitués à présent. Je les ai finalement repéré dans la petite foule de personnes qui se promène encore près de la plage à cette heure tardive. La lune est pleine ce soir et se reflète dans la mer, évidemment, Feliks a les yeux rivés sur cette dernière. C'est donc Jake qui me repère le premier, à voir sa tête, je suis sûr que Feliks était en train de lui raconter une de ses nombreuses histoires d'astronomie. Je ne comprends pas pourquoi Jake ne trouve pas ça intéressant, bon c'est vrai que ce n'est pas le sujet le plus passionnant de toute la Terre, mais Feliks me donne toujours envie d'en savoir plus sur l'univers et sur les planètes qui nous entourent. Ou alors c'est simplement parce que c'est lui qui m'explique toutes ses choses. Sa voix est si enivrante, captivante que je pourrai l'écouter parler pendant des heures sans m'en lasser. « Bah alors Blondie tu m'écoutes? » Je ne me suis pas rendu compte que j'étais arrivé à leur hauteur, que Jake me parlais et que Feliks était sortie de sa torpeur. Je détourne mon regard de lui pour regarder Jake à qui je souris « Ouais, t'es prêt à te ramasser la gueule par terre? » « Tu parles, j'suis le roi du roller moi ! C'est toi qui vas tomber » Il rigole, mais il n'a pas tort, c'est certainement moi qui tomberai le plus de nous trois, mais tomber et me faire mal de cette manière ne me dérange pas ; j'ai même du mal à croire que cela puisse arriver. Quand je suis avec ces deux-là, j'ai l'impression que rien ne peut m'arriver, que le monde alentour n'a aucune importance, c'est un sentiment de puissance que je ne connaissais pas auparavant. Et avec eux, je me sens vivante, beaucoup plus vivante que je ne l'ai jamais été en 16 ans d'existence.
Je regarde Jake qui roule plusieurs mètres devant nous, nous narguant volontairement avec ses minis figures, que je n'essaierai sûrement pas de réaliser, sauf si je veux m'écorcher le genou encore un peu plus. Je suis tombé plusieurs fois au début, mais je pense avoir capté la technique maintenant. Je me risque à accélérer pour rattraper Feliks, je ne sais pas freiner alors je m'accroche à sa taille pour réduire mon allure. Un frison m'envahit et parcoure tout mon corps à l'instant où ma main effleure sa peau à travers le tissu de son vêtement. Lorsqu'il tourne son regard vers moi, je sens le feu envahir immédiatement mes joues, comme si une bouffée de chaleur venait de s'emparer de moi. J'essaie de dissiper cette sensation en lui souriant avant d'approcher mes lèvres de son oreille et lui murmurer « fais- moi plaisir... essaie de faire tomber Jake ». J'inspire par la même occasion son parfum, si particulier que j'aime tant, une odeur que je ne serai qualifié, mais qui m'apaise, comme les huiles essentielles que l'on diffuse. Puis, c'est comme si mon cerveau se reconnecter au reste de mon corps, je me recule confuse. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça, il me suffisait de lui dire à voix haute, Jake étant loin il ne risquait pas de nous entendre. Je souffle un coup et me reprends, affichant mon sourire espiègle et le lâchant. « Aller, ça lui apprendra à nous lâcher, pour aller se la péter devant nous et draguer les minettes qu'il croise, tu crois pas ? » Je n'attends pas sa réponse et reprends mon chemin. Je baisse mon regard sur mes mains, devenues moites, depuis que j'ai touché Feliks... Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je ne veux pas que ça ruine notre amitié.
The path to heaven runs through miles of clouded hell right to the top
« Pourquoi t'es venue vivre chez nous en fait Mira ? » Je me mords l'intérieur de la joue en regardant Henry, assis dans son pouf, son doudou entre les mains les yeux fixés sur l'écran de télé ou Mike, joue à un jeu vidéo. « Bah parce que c'est notre sœur, imbécile. » Je retire mes écouteurs et me redresse pour m'asseoir sur le canapé, et pousse légèrement Mike en souriant. « Hé l'insulte pas, il est petit, il comprend pas! » J'sais qu'il' l'insulte pas méchamment, mais Henry est carrément susceptible et il risque de pleurer toute la soirée car il croira que son frère ne l'aime pas et le trouve idiot. « Bah oui, mais pourquoi t'es pas venue avant ? » Parce que j'avais toujours pensé que ce serait ma mère qui serait venue me rechercher, et que l'idée d'aller moi-même la retrouver ne m'était pas venu à l'esprit jusqu'à ce fameux soir, jusqu'à ce que mon père dépasse les bornes, et me menace avec une bouteille d'alcool brisé, jusqu'à ce que je comprenne qu'il n'était pas qu'un homme violent mais aussi un alcoolique qui un jour pourrait abuser de moi, ou même me tuer. Partir était la meilleure des solutions, retrouver ma mère et l'entendre me proposer de vivre avec elle et sa nouvelle famille me l'a prouvé, « parce que je vivais avec mon père avant, mais...ça allait plus avec lui, et puis je suis beaucoup avec toi et les autres ! »
Je lui souris avant de me rallonger sur le canapé. Oui c'était la meilleure chose à faire, mais malgré tout, j'ai encore un pincement au cœur lorsque je repense à mon départ précipité, sans aucune explication pour les garçons, sans même les prévenir... Je m'en veux de ce que j'ai fait, de les avoir abandonnés, d'avoir brisé notre trio, après tout ce qu'ils ont fait pour moi... Ils m'ont rendu la vie meilleure, ils m'ont appris à profiter de cette dernière, d'apprendre à me connaître également. Même ce fameux soir, Feliks a réussi à rendre cette soirée magnifique, magique, malgré ce qui s'était passé quelques heures auparavant avec mon père. On n'aurait peut-être pas dû faire ce que l'on a fait mais ça, je ne le regrette pas, j'ai passé une nuit merveilleuse à ses côtés, cette nuit valait le coup de briser notre amitié, pour que l'on soit plus que des amis l'espace de quelques heures. Ces heures, je ne les oublierai jamais, je te le promets Feliks, je ne regrette absolument pas ce que l'on a fait, tu m'as appris ce qu'était l'amour, tu m'as prouvé que cela existait, que j'avais moi aussi le droit au bonheur... je ne te remercierai jamais assez pour ça... Merci d'avoir fait de mon enfer un véritable paradis.
La première chose que nous faisons lorsqu'on l'on vient au monde, c'est crier ! Crier, c'est pousser un cri sous l'effet d'un sentiment ou d'une sensation forte... Quand nous naissons, nous crions certainement face à la sensation de froid , au choc entre l'air glacé de la chambre d'hôpital et la température de notre corps . Mais pour une raison que j'ignore, je n'ai jamais cessé et d'entendre crier de toute ma vie.
Every tear is a torrent which reveals a tornado of feelings
Je m'appelle Mira, cela ne fait que quatre mois que je suis de ce monde.. que j'ai poussé mon premier cri. Ces d'ailleurs ce pourquoi ma mère crise : mes cris... je crie beaucoup a priori... beaucoup trop pour elle. Elle est jeune, elle ne pensait pas que c'était ça avoir un bébé. Malheureusement je n'y peux rien si j'ai faim en plein milieu de la nuit, et que mes fesses sont souvent mouillées. Je ne sais pas communiquer autrement qu'en pleurant, et je n'ai pas un très bon exemple pour apprendre, mes parents ne font que crier et hurler à travers toute la maison . Comme aujourd'hui par exemple, comme je pleure, ils m'ont mis dans mon parc qui se trouve au milieu du salon, ils n'ont pas compris que c'est parce que je suis fatiguée et que je veux mon lit et mes peluches, alors je continue de pleurer. Je ne les vois plus, je les entends juste crier quelque part dans la maison. Et puis je les vois revenir, d'abord maman, qui traîne derrière elle, une boite avec des roues, une valise d'après mon papa. Il se dispute avec maman, je n'aime pas les voir se disputer alors je me calme, espérant qu'ils se calment aussi, mais non. Je ne comprend pas ce qu'ils racontent, je vois simplement maman franchir la porte avec sa boite sur roulettes, et claquer la porte derrière elle. Mon père la suit, mais il refranchira seul le seuil de la porte, maman ne reviendra jamais.
I would reach inside Just to find my heart is beating
Les cris de mon père résonnent dans le salon, pourquoi à t-il fallu que la maîtresse m'oblige à faire signer cette note ? Pourquoi faut-il que tout le monde soit contre moi. Ce n'est qu'une note après tout, je n'ai pas fait exprès de faire autant de fautes à ma dictée. Ce n'est pas de ma faute si je ne suis pas parfaite comme l'aimerait mon père « Merde à la fin ! Qu'est- ce-que tu vas faire de ta vie, si t'es même pas fichu d'écrire 10 mots sans faire de faute!!!!! Tu crois que j'ai que ça qu'à foutre que de te faire apprendre tes mots ! Et à signer tes notes de merde!! C'est minable, t'es minable ! » je ne vois pas la gifle arriver, elle me brûle la joue, que je sens très rapidement rougir, sous la puissance de la main de mon papa , je sens mon oeil gauche verser une larme, que j'essuie rapidement avec la manche de mon maillot. Si je pleure ça l'énervera encore plus, comme il me l'a assez répété c'est à cause de ça que maman est parti... « T'as pas encore fait assez de dégâts en faisant partir ta mère ? Non Faut en plus que tu me pourrisses la vie en étant qu'une abrutie !!! » Je ne veux pas être une abrutie, je ne veux être un poids pour personne, je fais de mon mieux pour apprendre toute seule ! « J'ai pas fait expr.... » Cette fois je m'y attendais un peu à cette gifle, après tout il fallait bien équilibrer le rouge aux joues sinon on allait se poser des questions à mon école. « Je t'ai pas autorisé à parler !!! » J'ai mal, ça me pique, me brûle, mes larmes coulent toutes seule de mes joues, malgré moi mon corps commence à être secoué de sanglots, je ne dois pas pleurer, mais je n'arrive pas à m'arrêter, ça l'énerve, je le vois.Il lève de nouveau sa main qui s'abat sur moi, puis de nouveau une nouvelle fois... je ne compte plus les coups, je l'entends à peine me dire d'arrêter de pleurer, j'ai la vision brouiller avec les larmes. Je finis par tomber par-terre, et me recroqueville pour me faire la plus petite possible, ça ne l'empêche pas de continuer. Je sais pourquoi il fait ça, ce n'est pas simplement à cause de ma note, c'est un tout. Cela fait 6 ans que maman est parti ' à cause de moi' , il faut qu'il me fasse payer son départ. Le fait de pratiquement m'ignorer et de ne pas s'occuper de moi ne lui suffit plus... Je reste allongé au sol, jusqu'à ce qu'il reparte dans la cuisine se servir un verre de whisky. Mes propres larmes coulant sur mes joues me font mal. Je ne crois pas qu'il y est un seul endroit de mon corps sur lequel il n'est pas cogné. J'ai peur de bouger, d'avoir encore plus mal, j'ai peur de faire du bruit, d'attirer de nouveau son attention et qu'il revienne à la charge . Je reste comme ça de nombreuses minutes, peut-être même une heure ou deux...Je suis fatigué je n'ai plus la notion du temps. Mes joues me brûlent beaucoup moins lorsque je me décide à prendre le risque de me redresser. Je n'entends plus aucun bruit dans la maison, j'avance tout doucement dans la maison, pour voir mon père endormi la tête sur la table, une bouteille vide à côté de lui. Je ramasse ma copie tombée au sol et monte dans ma chambre. Au final il ne l'aura même pas signé !
But I am hell bound ,Though this is all for you
De la fenêtre de ma chambre, j'observe mon père qui discute avec, a priori, nos voisins. On pourrait presque croire qu'il essaie de se socialiser, de commencer une nouvelle vie, en commençant tout d'abord à se faire des amis... Mais je le connais trop bien pour ça, mon père ne veut pas d'amis... ce qu'il veut, c'est ne pas avoir d'ennuis car il frappe sa fille. Il ne veut pas avoir à déménager encore une fois, à cause des cris de sa fille qui alertent les voisins, qui viennent frapper à sa porte pour savoir ce qui se passe, comme c'est arriver dans notre ancienne ville . Voilà pourquoi nous sommes ici aujourd'hui, mon père ne voulait pas éveiller plus les soupçons, il valait mieux changer de voisins et tout recommencer une nouvelle fois. Je suis quasi sûr qu'il leur raconte la même histoire que dans notre ancien quartier, que je suis très fortement perturbée et que je crie pour évacuer mes pulsations de violences, et que parfois... je me fais mal toute seule. On ne peut pas dire que j'avais beaucoup d'amis après ça, voir même pas du tout. Non en fait je n'en ai jamais eu, inutile que je me mente à moi-même, les gens ont toujours eu, je dirai, peur de moi, il avait peur que « la folle » que je suis leur saute dessus pour les dévorer tout cru peut-être. Un léger rire nerveux s'échappe de mes lèvres tellement je trouve ça con !
Dans tous les cas, je ne suis pas encore assez folle pour vouloir rester l'après-midi entière avec lui, même si j'ai un verrou sur ma porte maintenant. J'attrape donc mon sac à dos, et fourre deux trois trucs qui pourraient mettre utile en cours, avant de sortir de la maison. Dès que j'ai franchi le seuil, je sens leurs regards sur moi, mais je continue mon chemin en direction de ma voiture, pas la peine d'adresser la parole à des personnes qui sympathisent avec mon père,. « Tu vas où comme ça ? » J'ouvre la porte de ma voiture et balance mon sac à dos sur le siège passager, avant de lui répondre « Je vais au bahut. » Je m'installe au volant et ferme la portière sans lui adresser un regard. Encore une fois, j'ai dû me débrouiller seul pour les papiers administratifs, mais pour une fois je m'en plains pas, j'ai pu ainsi choisir le lycée le plus éloigné de chez moi, pour que toutes les sales rumeurs que mon père puisse dire pour cacher son petit secret, n'arrive pas aux oreilles des autres élèves. Il m'a gâché mon enfance comme ça, il ne me gâchera pas mon adolescence ni ma jeunesse.
I feel so alive
Je referme tout en douceur la fenêtre de ma chambre, la laissant entrouverte de quelques millimètres pour que je puisse rentrer plus tard dans la nuit. Je ramasse mon sac par terre et faite attention à ne pas m'accrocher aux buissons juste derrière moi. Je recule encore de quelques pas et inspecte ma maison du regard. Ma fenêtre semble fermée et aucune lumière n'est allumée : je n'ai pas réveillé mon père. Un sourire triomphant s'installe sur mes lèvres alors que je sors mon paquet de cigarettes, tout en marchant en direction de ma voiture, garé à l’autre bout de la rue. Je tire une première fois sur ma cigarette, laissant sortir de ma bouche des petits ronds de fumée que je m'amuse à dessiner. C'est tellement bon cette sensation de plaisir que l'on ressent quand la fumée ressort. Si mon père savait à quel point ça me fait du bien de fumer, il me l'interdirait certainement. Mais ses interdictions je m'en balance maintenant, que je les respecte ou que je ne les respecte pas, c'est la même chose. La vie me sourit enfin pour la première fois à ce que je m'en souvienne, je n'ai aucune envie de la laisser filer entre mes mains comme la fumée de ma cigarette qui se consume tout doucement entre mes doigts. J’atteins ma voiture et grimpe à l'intérieur. Je mets directement en route mon poste de radio et y insère un bon vieux CD de rock. Direction le lieu de rendez-vous.
Je me gare sur l'esplanade. Je sais qu'ils sont déjà là... quelque part. Je suis toujours la dernière à arriver, ce souci de ponctualité je l'ai depuis toujours, malgré mes efforts, je n'arrive pas à arriver à l'heure à un rendez-vous. Mais ils sont habitués à présent. Je les ai finalement repéré dans la petite foule de personnes qui se promène encore près de la plage à cette heure tardive. La lune est pleine ce soir et se reflète dans la mer, évidemment, Feliks a les yeux rivés sur cette dernière. C'est donc Jake qui me repère le premier, à voir sa tête, je suis sûr que Feliks était en train de lui raconter une de ses nombreuses histoires d'astronomie. Je ne comprends pas pourquoi Jake ne trouve pas ça intéressant, bon c'est vrai que ce n'est pas le sujet le plus passionnant de toute la Terre, mais Feliks me donne toujours envie d'en savoir plus sur l'univers et sur les planètes qui nous entourent. Ou alors c'est simplement parce que c'est lui qui m'explique toutes ses choses. Sa voix est si enivrante, captivante que je pourrai l'écouter parler pendant des heures sans m'en lasser. « Bah alors Blondie tu m'écoutes? » Je ne me suis pas rendu compte que j'étais arrivé à leur hauteur, que Jake me parlais et que Feliks était sortie de sa torpeur. Je détourne mon regard de lui pour regarder Jake à qui je souris « Ouais, t'es prêt à te ramasser la gueule par terre? » « Tu parles, j'suis le roi du roller moi ! C'est toi qui vas tomber » Il rigole, mais il n'a pas tort, c'est certainement moi qui tomberai le plus de nous trois, mais tomber et me faire mal de cette manière ne me dérange pas ; j'ai même du mal à croire que cela puisse arriver. Quand je suis avec ces deux-là, j'ai l'impression que rien ne peut m'arriver, que le monde alentour n'a aucune importance, c'est un sentiment de puissance que je ne connaissais pas auparavant. Et avec eux, je me sens vivante, beaucoup plus vivante que je ne l'ai jamais été en 16 ans d'existence.
Je regarde Jake qui roule plusieurs mètres devant nous, nous narguant volontairement avec ses minis figures, que je n'essaierai sûrement pas de réaliser, sauf si je veux m'écorcher le genou encore un peu plus. Je suis tombé plusieurs fois au début, mais je pense avoir capté la technique maintenant. Je me risque à accélérer pour rattraper Feliks, je ne sais pas freiner alors je m'accroche à sa taille pour réduire mon allure. Un frison m'envahit et parcoure tout mon corps à l'instant où ma main effleure sa peau à travers le tissu de son vêtement. Lorsqu'il tourne son regard vers moi, je sens le feu envahir immédiatement mes joues, comme si une bouffée de chaleur venait de s'emparer de moi. J'essaie de dissiper cette sensation en lui souriant avant d'approcher mes lèvres de son oreille et lui murmurer « fais- moi plaisir... essaie de faire tomber Jake ». J'inspire par la même occasion son parfum, si particulier que j'aime tant, une odeur que je ne serai qualifié, mais qui m'apaise, comme les huiles essentielles que l'on diffuse. Puis, c'est comme si mon cerveau se reconnecter au reste de mon corps, je me recule confuse. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça, il me suffisait de lui dire à voix haute, Jake étant loin il ne risquait pas de nous entendre. Je souffle un coup et me reprends, affichant mon sourire espiègle et le lâchant. « Aller, ça lui apprendra à nous lâcher, pour aller se la péter devant nous et draguer les minettes qu'il croise, tu crois pas ? » Je n'attends pas sa réponse et reprends mon chemin. Je baisse mon regard sur mes mains, devenues moites, depuis que j'ai touché Feliks... Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je ne veux pas que ça ruine notre amitié.
The path to heaven runs through miles of clouded hell right to the top
« Pourquoi t'es venue vivre chez nous en fait Mira ? » Je me mords l'intérieur de la joue en regardant Henry, assis dans son pouf, son doudou entre les mains les yeux fixés sur l'écran de télé ou Mike, joue à un jeu vidéo. « Bah parce que c'est notre sœur, imbécile. » Je retire mes écouteurs et me redresse pour m'asseoir sur le canapé, et pousse légèrement Mike en souriant. « Hé l'insulte pas, il est petit, il comprend pas! » J'sais qu'il' l'insulte pas méchamment, mais Henry est carrément susceptible et il risque de pleurer toute la soirée car il croira que son frère ne l'aime pas et le trouve idiot. « Bah oui, mais pourquoi t'es pas venue avant ? » Parce que j'avais toujours pensé que ce serait ma mère qui serait venue me rechercher, et que l'idée d'aller moi-même la retrouver ne m'était pas venu à l'esprit jusqu'à ce fameux soir, jusqu'à ce que mon père dépasse les bornes, et me menace avec une bouteille d'alcool brisé, jusqu'à ce que je comprenne qu'il n'était pas qu'un homme violent mais aussi un alcoolique qui un jour pourrait abuser de moi, ou même me tuer. Partir était la meilleure des solutions, retrouver ma mère et l'entendre me proposer de vivre avec elle et sa nouvelle famille me l'a prouvé, « parce que je vivais avec mon père avant, mais...ça allait plus avec lui, et puis je suis beaucoup avec toi et les autres ! »
Je lui souris avant de me rallonger sur le canapé. Oui c'était la meilleure chose à faire, mais malgré tout, j'ai encore un pincement au cœur lorsque je repense à mon départ précipité, sans aucune explication pour les garçons, sans même les prévenir... Je m'en veux de ce que j'ai fait, de les avoir abandonnés, d'avoir brisé notre trio, après tout ce qu'ils ont fait pour moi... Ils m'ont rendu la vie meilleure, ils m'ont appris à profiter de cette dernière, d'apprendre à me connaître également. Même ce fameux soir, Feliks a réussi à rendre cette soirée magnifique, magique, malgré ce qui s'était passé quelques heures auparavant avec mon père. On n'aurait peut-être pas dû faire ce que l'on a fait mais ça, je ne le regrette pas, j'ai passé une nuit merveilleuse à ses côtés, cette nuit valait le coup de briser notre amitié, pour que l'on soit plus que des amis l'espace de quelques heures. Ces heures, je ne les oublierai jamais, je te le promets Feliks, je ne regrette absolument pas ce que l'on a fait, tu m'as appris ce qu'était l'amour, tu m'as prouvé que cela existait, que j'avais moi aussi le droit au bonheur... je ne te remercierai jamais assez pour ça... Merci d'avoir fait de mon enfer un véritable paradis.
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Bienvenue sur ILH avec la belle Ginta
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●
Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●
Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.
- TRUE LOVE:
Warning : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
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- deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor. dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa -
sing for the wind
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bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue sur ilh
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Lien du postMer 5 Nov - 20:49
bienvenuuuuuuue
ginta est un très bon choix :sifle:
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Lien du postMer 5 Nov - 20:51
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Lien du postMer 5 Nov - 21:27
Bienvenuuue.
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Veritas
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