Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Markmyname/Markywhat/Marc et j'ai 21 ans. Je suis Canadien et j'ai connu le forum grâce à je sais plus.  Toujours aussi beau alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Channing Tatum (J’ai appris que Sasha demandait à être supprimé) comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Moi. Je fais environ 300-400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Je passai une main dans mes cheveux en attendant nerveusement mon tour. Ils étaient tout humide, je transpirais, j’avais chaud, je devais me calmer. Je me dirigeai rapidement vers les toilettes, j’ouvris le robinet et m’aspergeai le visage d’eau glacial. Je levai les yeux, je me reconnaissais à peine, je tremblais, j’étais pâle, voir presque vert. Pourtant ce n’était pas dans mon habitude de réagir si fortement au stress, et puis me connaissant je n’avais pas à être si nerveux, ce n’était qu’une entrevue après tout. Je pris une grande respiration tout en vérifiant que ma présentation était impeccable, je ne voudrais pas avoir l’air moins que parfait devant le doyen tout à l’heure. Je ressorti de la salle de bain et repris ma place dans la salle d’attente, mon tremblement semblait s’être calmé, c’était bientôt mon tour. J’attendais les yeux rivés sur mon portable lorsque la secrétaire appela mon nom, j’eu un serrement au cœur, mais je ne tardai pas à me lever et à entrer dans le bureau du doyen. J’avais les notes pour rentrer, j’avais l’argent, il ne me restait plus qu’à passer l’entrevue et le tour était joué j’allais enfin être étudiant de la Ivy League, un élève d’Harvard. Je pris place dans la chaise gauche. Le doyen m’adressa un faible sourire avant de se présenter, il m’expliqua qu’il s’agissait de la dernière étape avant l’admission officiel à Harvard et qu’il s’agissait désormais de comblé les vides de notre lettre d’admission. Je pris une grande respiration et je commençai à raconter mon histoire.

‘’Tout d’abord, Bonjour, Cameron Kennedy, enchanté de vous rencontrer monsieur. Avant que vous me posiez la question, oui je suis un vrai Kennedy, pas qu’il y ai des faux, mais oui JFK était mon grand oncle. Je suis né en banlieue d’Atlanta, je sais ce n’est pas la prestigieuse ville de New-York ou encore Washington D.C., mais c’est là où mes parents ont choisi de m’élever, enfin je dis mes parents… Je dis mes parents, mais en réalité je vivais là-bas avec ma nounou pendant que mon père et ma mère vivait en banlieue de Boston. Ma mère était une avocate réputé, spécialisé dans la défense de l’environnement et dans les cause qui a priori semblaient perdu, mon père et bien vous le connaissez sans doute, puisqu’il était professeur de droit à Harvard avant de créer son groupe d’investisseur avec ses associés. Je n’ai pas vraiment d’histoire triste ou touchante à raconter par rapport à mon enfance, je n’ai pas de petit frère atteint de leucémie, je n’ai pas donné de rein à ma grande sœur, j’ai eu des hauts et des bas, des joies et des peines, mais c’est comme tout le monde j’imagine. J’ai grandi avec une passion pour le soccer et la danse, au départ je faisais du balai, mais avec le temps je me suis dirigé plus vers le hip-hop. Le soccer et bien lui je le pratique toujours et j’espère pouvoir faire l’équipe d’Harvard, et s’il y a une chose que ces deux disciplines m’ont apprise c’est qu’il n’y a pas de raccourci vers l’excellence, tout dans la vie est une question de travail, peu importe à quel point nous sommes doué un jour ce ne sera plus suffisant et pour moi il ne suffit pas d’être bon, non je veux être le meilleur. Et c’est en fait ce qui m’a poussé à faire ma demande à Harvard, car je sais que bien d’autre université aurait pu convenir pour avoir un diplôme d’économie, mais je voulais, non j’avais besoin d’être chez les meilleurs, d’être le meilleur. Et aussi parce que pour moi les traditions sont très importantes, mon père étant issue d’Harvard, tout comme son père avant lui, il est très important pour moi de suivre leur trace.’’

Le doyen m’écoutait en hochant de la tête, puis finit par ouvrir la bouche.

‘’D’accord, c’est bien, donc tu as parlé de ton passé, de ta personne, maintenant j’aimerais en savoir un peu sur ton futur, dans dix ans tu te vois où?’’

J’étais pris par surprise, ce n’était pas la question la plus simple à répondre, le mieux que je pouvais faire c’est de répondre avec mon cœur.

‘’Très honnêtement dans dix ans je ne sais pas trop où je vais être géographiquement parlant, j’espère, même que j’ai la conviction, d’avoir trouvé un job que j’aime, où je suis à ma place, mais par-dessus tout je vais faire la différence ou du moins contribuer à la faire. Je veux redonner un peu de cette chance que j’ai eu en naissant si choyé et aider les gens. L’Amérique est le plus beau pays du monde, et je veux contribuer à sa grandeur.’’

Je terminai l’entrevue ainsi, je me levai, serrai la main du doyen et quittai la pièce. J’arborais un grand sourire, j’avais le cœur léger, j’avais l’impression de déjà faire partie d’Harvard, je m’y sentais déjà à ma place.