I LOVE HARVARD :: Première Aventure :: Carte identité :: Fiches de présentation :: Présentations archivées
LEONOR M-L NIGHTINGAL ► mischα bαrton.Page 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 17:55
Fiche Étudiant
C'est le née le dix juin, mille neuf cent quαtre vingt-dix à biαrritz,(frαnce), que les membres de la famille nightingαl m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) leonor mαrie-lou. Je suis célibαtαire, mαriée ά moi-même et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle jusqu'ά preuve du contrαire et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne, un crαn αu-dessus. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de communicαtion uniquement depuis sept ans et travaille en parallèle de mes études en tant que librαire ά mi-temps. Et pour terminer, je voudrais intégrer les students.
Pourquoi MAISON 1 ou MAISON 2 ?
STUDENTS.
parce que blondie ne correspond à proprement dit, à aucune confrérie. si pour certains l'appartenance à telle communauté est signe de suprématie, pour leonor il en est évidemment, plus synonyme d'une perte improbable d'identité. lou, elle se fond naturellement dans la masse et manifeste un désintérêt notoire envers toute confrérie telle quelle soit. profondément hérétique aux coutumes élaborées de toute pièce par leur maison respective, nightingal privilégie ouvertement l'émancipation et l'indifférence extrême au risque intégré que de passer pour une individualiste agrée. néanmoins, tolérante des autres et de leurs convictions, marie concède sans la moindre difficulté, aux préférences de chacun. et puis, mentionner l'inverse ne serait que calomnie, qui daignerait consciemment la présence d'une jeune femme, dite un brin désaxée, au sein de sa confrérie ?
parce que blondie ne correspond à proprement dit, à aucune confrérie. si pour certains l'appartenance à telle communauté est signe de suprématie, pour leonor il en est évidemment, plus synonyme d'une perte improbable d'identité. lou, elle se fond naturellement dans la masse et manifeste un désintérêt notoire envers toute confrérie telle quelle soit. profondément hérétique aux coutumes élaborées de toute pièce par leur maison respective, nightingal privilégie ouvertement l'émancipation et l'indifférence extrême au risque intégré que de passer pour une individualiste agrée. néanmoins, tolérante des autres et de leurs convictions, marie concède sans la moindre difficulté, aux préférences de chacun. et puis, mentionner l'inverse ne serait que calomnie, qui daignerait consciemment la présence d'une jeune femme, dite un brin désaxée, au sein de sa confrérie ?
Mon personnage c'est le plus beau
APRÈS LA BOMBE
par chance, si nous pouvions nommer les choses ainsi, je dois admettre combien le soulagement ne fut que plus intense lorsque j'assimilais l'aubaine considérable que de ne pas avoir été sur les lieux, lors cette tourmente. Véritablement, je prolongeais mon séjour -familial- en Espagne, d'une semaine, bien loin de toute catastrophe. Néanmoins, il ne m'était pas inconcevable les conséquences de ce bouleversement par l'intermédiaire des journaux télévisés, se plaisant à ressasser les mêmes divagations d'une chaine à l'autre. Certainement ne serait-ce qu'absurde et mal venu que de prétendre à l'inverse, mais je dois reconnaitre la totalité de mon appréhension, avant même mon retour sur les lieux. Sans omettre cette culpabilité improbable à l'égard des autres étudiants, victimes directes de cette tragédie.
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
SENSATION (S)- INTUITION (N)
| PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
|
APRÈS LA BOMBE
par chance, si nous pouvions nommer les choses ainsi, je dois admettre combien le soulagement ne fut que plus intense lorsque j'assimilais l'aubaine considérable que de ne pas avoir été sur les lieux, lors cette tourmente. Véritablement, je prolongeais mon séjour -familial- en Espagne, d'une semaine, bien loin de toute catastrophe. Néanmoins, il ne m'était pas inconcevable les conséquences de ce bouleversement par l'intermédiaire des journaux télévisés, se plaisant à ressasser les mêmes divagations d'une chaine à l'autre. Certainement ne serait-ce qu'absurde et mal venu que de prétendre à l'inverse, mais je dois reconnaitre la totalité de mon appréhension, avant même mon retour sur les lieux. Sans omettre cette culpabilité improbable à l'égard des autres étudiants, victimes directes de cette tragédie.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle treαsure, mαllαury et j'ai vingt-et-un αns. Je suis frαnçαise et j'ai connu le forum grâce à bαzzαrt, certαinement. il est toujours αussi mαgnifique/αctif, alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise mischα bαrton comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par stilinski@αvαtαrs/gifs@tumblr. Je fais environ çα dépend de l'αutre personne mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ :*7: .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ :*7: .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 17:56
Il était une fois...
LITTLE GIRL - SCHOOL ⇢ moi, je suis sûr que tu es complètement folle. Et c'est ainsi, que je ne fus plus maître de mes agissements. J'eus foutrement supporté ces dénigrements tant de fois, que je ne pouvais contenir davantage cette colère toujours plus grandissante. mes mains si frêles habituellement, vinrent hâtivement s'emparer de leur interlocuteur que je secouais brutalement d'avant en arrière. Tant il tentait encore de se défaire de mon étreinte pour le moins, sauvage, que mes yeux s'emplirent de larmes à la lumière clairvoyante, précédés d'insultes d'un langage enfantin. je ne suis pas folle, tu entends ? Je ne suis pas folle. Hurlais-je, sous les regards horrifiés de mes petits camarades de classes. espèce de folle. Venait-il de renchérir, narquois, mais bel et bien embarrassé par cette contestation véritablement inattendue. Bien trop jeune, je ne pouvais daigner combien mes actes s'en suivraient de conséquences considérables, toutefois je n'avais fait que me préserver, car personne jusqu'à présent n'avait eu l'aplomb suffisant pour le faire à ma place.
leonor marie-lou nightingal. Ne pouvait-il s'interrompre, tout en ressassant mon nom dans sa totalité. Véritablement, je n'en menais pas large, toutefois j'eus bien des difficultés à dérober mon animosité non estompée. Le directeur de l'école primaire, ne manquait pas l'occasion inespérée de convoquer instantanément mes parents, qui quant à eux, n'eurent de cesse de rabâcher combien ils furent absolument navrés. Je ne l'étais pas, pas autant qu'eux aprioris. Je n'avais fait que me défendre. Je refusais d'admettre ouvertement que mon attitude effleurait éventuellement l'hystérie. J'étais pour ainsi dire à des années lumières d'une élève exécrable, toutefois, mon tempérament instable attisait fructueusement la curiosité de mes compagnons de classe pour lesquels je symbolisais dans leur conscience étroite, la démence et l'extravagance dans toute leur splendeur. En toute honnêteté, plus que tout au monde, je désirais omettre cette période atroce et psychologie étrange de l'enfant. Je n'étais assurément pas cette gamine méchante, celle pour laquelle nous avons des milliers des raisons de vouloir l'écorcher vive, malheureusement un comportement à peine plus éveillé, eut suscité l'avidité malsaine dont je fus fatalement victime. J'ai toutefois achevé ma scolarité comme je l'avais commencé, entièrement seule.
FAMILY AND FRIENDS ⇢ Étrangement, j'ai toujours supposé ne pas être la représentation idéale de l'attachement dans toute sa splendeur, et pour cause, une réplique familiale, pour le moins désastreuse. j'aspire fermement à combien je suis plausiblement responsable de ce fossé pharamineux creusé au fil des années. Je vous l'accorde, je n'en suis pas très fière, je n'ai rien fait pour. Parait-il que ma naissance a été le commencement de cette chute interminable, comme quoi, rien n'arrive jamais par hasard. Née un beau jour de printemps à biarritz, je devins hâtivement l'objet de toutes les convoitises. Filles unique, aucun d'eux n'eut envisagé qu'il en soit autrement. Hypothétiquement, si mon tempérament se devait celui d'une princesse orgueilleuse et exclusive, il n'en fut rien. Brusquement je me démarquais à l'exemple même, d'un véritable garçon manqué, et ma préférence pour mon paternel devint excessivement tape à l'œil. Avocat de profession, je regrettais amèrement que nous ne puissions pas partager autant que je l'avais souhaitais, au détriment d'une mère, plus névrosée que jamais. Tous deux ne furent pas encore mariés que leur couple ne se raccrochait guère qu'à plus d'un geste délicat en trois jours. Néanmoins, dans leur dernier retranchement ils daignèrent l'officialisation de leur relation, ou presque... Âgée seulement d'une dizaine d'années, je concevais rapidement les désastres d'une relation destructrice dès lors que l'obscurité maternelle se refusait l'engagement face à une assemblée totalement médusée. La voilà qui, confrontée à elle-même, rejetait tardivement l'entière responsabilité de son mariage. De ce fait, je n'omettrai certainement jamais cette mine décomposée que mon paternel s'était distinctement octroyé, intérieurement peu stupéfait qu'il en soit ainsi. Suite aux évènements, tout contact a été rompu et ma mère n'a représenté guère plus qu'un prénom. Certains prétendent à son départ imminent pour un autre continent, me concernant je faisais face, foutrement parce que je n'avais pas le choix. J'achevais seulement mes années difficiles de primaire, et mon attitude parfaitement détachée me permettait encore de garder la tête haute.
Probablement, et bien qu'il y ait de quoi en être décontenancé(e), je dois toutefois admettre combien le départ de cette névrosée un brin dépressive, fut une véritable libération. J'ai surpris mon paternel plus heureux encore en quelques mois, qu'il ne l'avait été durant d'interminables années. Son échec sentimental ne fut qu'un bref et mauvais souvenir et le voilà, qui s'égayait à nouveau en compagnie de sa nouvelle conquête. Je n'approuvais guère continuellement sa présence, néanmoins je n'eus jamais été capricieuse ni même acerbe et hostile de la connerie humaine. Je me devais bien la satisfaction à mon père, tout bonnement parce qu'il restait mon unique et réelle famille, consciente qu'à mon tour je me devrai de déserter le cocon, un jour... De mon côté, j'entamais ainsi une vie sociale à l'opposé d'autrefois. Mes camarades de classes assimilaient nettement mon comportement atypique à la limite de la folie, qui quant à eux, devinrent de sincères ami(e)s. Mes fréquentations se firent à mon image, un soupçon décalé et sans la moindre chance de prise de tête. J'omettais progressivement les difficultés du quotidien aux travers de délires pas toujours formels, durant lesquels nous expérimentions nos limites, comme tous adolescents de notre âge (14,15 ans)-. En apparence, je n'avais plus rien de ce garçon manqué, seul mon comportement instable et éveillé se fit plus traître encore que je ne l'avais espéré. Très franchement, j'estime avoir été le bout en train de la bande, tentant progressivement de communiquer cette folie pour palier partiellement les vides d'une famille parfaitement normale.
Et puis, voilà une première histoire "relation pseudo-amoureuse", qui fut en réalité plus synonyme de toute première désillusion. Plaquée pitoyablement sur le parvis d'un restaurant friqué lors d'une soirée pluvieuse, j'assimilais bien vite combien il restait préférable de ne pas m'enliser dans cette absurdité des sentiments, probablement consciente de n'être qu'une perdante. dix-sept ans seulement et, je me refusais avidement l'enchainement d'histoires à l'exemple même de mon entourage, ne songeant uniquement au couple trop souvent idéalisé, mais inexistant. Fondamentalement, je persistais dans l'idée qu'il en serait différemment avec les années, cependant je dois reconnaitre qu'il y eut une possibilité non envisagée, pour que les choses soient pires encore que l'image de tous ces petits crétins à l'attitude acerbe d'autrefois. Tant la romance de mon père et sa prétendante s'officialisait, que je me délectais de ce tout nouveau cocon familial en m'octroyant lentement ma propre autonomie. Je demeurais professionnellement en tant que serveuse à mi-temps, dans l'unique intention de démontrer à mon entourage, combien je restais pleinement enclin à la tâche, qu'importe le compte en banque de mon paternel. C'est ainsi, que je n'éprouvais guère de difficulté à concilier vie professionnelle et domaine scolaire. De ce fait, il faut bien reconnaitre combien la chance absolue n'est vraisemblablement pas une aubaine assignée au premier venu, et mon paternel eut au moins ce mérite de ne porter aucun jugement positif, comme négatif sur mes fréquentations. Friqués, classe moyenne, ou parents endettés, nous formions une joyeuse bande d'amis et nous n'avions guère besoin d'énormément pour nous distraire. En leur compagnie, qu'importe ma psychologie un semblant dérangée, j'étais parfaitement normale...
HARVARD UNIVERSITY ⇢ Si je crus bon, dans un premier temps de jeter ce courrier m'étant distinctement adressé, je m'octroyais toutefois un instant de réflexion. Pleinement lucide à l'idée qu'il en serait des années de dure labeur, il n'en restait pas moins l'occasion inévitable que de mener une vie d'étudiante parfaitement typique. Toutefois, je dois admettre très honnêtement que je ne sais plus franchement quelles sont les véritables raisons m'ayant poussé à daigner le grand saut. Je n'avais seulement que dix-huit ans lorsque je pris cette irrévocable décision que de tout quitter pour une université, dont je songeais à ma candidature pleinement ignorée, malgré des résultats, presque irréprochables. Je ne pouvais absolument pas m'éloigner de mon entourage, hypothétiquement ce ne fut même pas envisageable. Certes, j'aspirais uniquement à cette occupation de pseudo-journaliste, mais déserter si loin m'effrayait au plus haut point. Longuement incitée par les encouragements, je daignais sans grandes convictions, persuadée intérieurement de ne pas aller plus loin que ma première année. De ce fait, mon attitude finement détachée m'a continuellement assisté à mon arrivée, lorsque je restais encore intimement convaincue de ne rien avoir à faire parmi cette foule d'étudiants. De plus, harvard ne fut pas seulement une continuité typique, mais bien ce procédé indispensable que de me certifier combien mes capacités "intellectuelles", méritaient toute leur exploitation. Aujourd'hui, je reste totalement persuadée de valoir ma place. Malgré mon tempérament brièvement atypique, mes résultats ont toujours été à la limite de l'irréprochable. Néanmoins, soutenir le contraire ne serait qu'affabulation, et je dois reconnaitre combien il m'a été difficile de m'acclimater entièrement à ces lieux à des années lumières de mon pays natal. J'en suis pleinement consciente, il m'était indispensable de déceler une part de stabilité me permettant un rythme de vie parfaitement normal. Omettre partiellement ces périodes d'autrefois qui furent à l'origine de ce comportement atypique qui est le mien. Bien que spéciale en mon genre, je n'en reste pas moins pragmatique. Débarquer à cambridge reste possiblement la meilleure décision dont j'ai daigné de toute mon existence. Et lorsqu'il vous arrive de douter, certaines rencontres vous rappellent naïvement combien vous avez eu raison de tout plaquer, aussi précipitamment soit-il.
leonor marie-lou nightingal. Ne pouvait-il s'interrompre, tout en ressassant mon nom dans sa totalité. Véritablement, je n'en menais pas large, toutefois j'eus bien des difficultés à dérober mon animosité non estompée. Le directeur de l'école primaire, ne manquait pas l'occasion inespérée de convoquer instantanément mes parents, qui quant à eux, n'eurent de cesse de rabâcher combien ils furent absolument navrés. Je ne l'étais pas, pas autant qu'eux aprioris. Je n'avais fait que me défendre. Je refusais d'admettre ouvertement que mon attitude effleurait éventuellement l'hystérie. J'étais pour ainsi dire à des années lumières d'une élève exécrable, toutefois, mon tempérament instable attisait fructueusement la curiosité de mes compagnons de classe pour lesquels je symbolisais dans leur conscience étroite, la démence et l'extravagance dans toute leur splendeur. En toute honnêteté, plus que tout au monde, je désirais omettre cette période atroce et psychologie étrange de l'enfant. Je n'étais assurément pas cette gamine méchante, celle pour laquelle nous avons des milliers des raisons de vouloir l'écorcher vive, malheureusement un comportement à peine plus éveillé, eut suscité l'avidité malsaine dont je fus fatalement victime. J'ai toutefois achevé ma scolarité comme je l'avais commencé, entièrement seule.
FAMILY AND FRIENDS ⇢ Étrangement, j'ai toujours supposé ne pas être la représentation idéale de l'attachement dans toute sa splendeur, et pour cause, une réplique familiale, pour le moins désastreuse. j'aspire fermement à combien je suis plausiblement responsable de ce fossé pharamineux creusé au fil des années. Je vous l'accorde, je n'en suis pas très fière, je n'ai rien fait pour. Parait-il que ma naissance a été le commencement de cette chute interminable, comme quoi, rien n'arrive jamais par hasard. Née un beau jour de printemps à biarritz, je devins hâtivement l'objet de toutes les convoitises. Filles unique, aucun d'eux n'eut envisagé qu'il en soit autrement. Hypothétiquement, si mon tempérament se devait celui d'une princesse orgueilleuse et exclusive, il n'en fut rien. Brusquement je me démarquais à l'exemple même, d'un véritable garçon manqué, et ma préférence pour mon paternel devint excessivement tape à l'œil. Avocat de profession, je regrettais amèrement que nous ne puissions pas partager autant que je l'avais souhaitais, au détriment d'une mère, plus névrosée que jamais. Tous deux ne furent pas encore mariés que leur couple ne se raccrochait guère qu'à plus d'un geste délicat en trois jours. Néanmoins, dans leur dernier retranchement ils daignèrent l'officialisation de leur relation, ou presque... Âgée seulement d'une dizaine d'années, je concevais rapidement les désastres d'une relation destructrice dès lors que l'obscurité maternelle se refusait l'engagement face à une assemblée totalement médusée. La voilà qui, confrontée à elle-même, rejetait tardivement l'entière responsabilité de son mariage. De ce fait, je n'omettrai certainement jamais cette mine décomposée que mon paternel s'était distinctement octroyé, intérieurement peu stupéfait qu'il en soit ainsi. Suite aux évènements, tout contact a été rompu et ma mère n'a représenté guère plus qu'un prénom. Certains prétendent à son départ imminent pour un autre continent, me concernant je faisais face, foutrement parce que je n'avais pas le choix. J'achevais seulement mes années difficiles de primaire, et mon attitude parfaitement détachée me permettait encore de garder la tête haute.
Probablement, et bien qu'il y ait de quoi en être décontenancé(e), je dois toutefois admettre combien le départ de cette névrosée un brin dépressive, fut une véritable libération. J'ai surpris mon paternel plus heureux encore en quelques mois, qu'il ne l'avait été durant d'interminables années. Son échec sentimental ne fut qu'un bref et mauvais souvenir et le voilà, qui s'égayait à nouveau en compagnie de sa nouvelle conquête. Je n'approuvais guère continuellement sa présence, néanmoins je n'eus jamais été capricieuse ni même acerbe et hostile de la connerie humaine. Je me devais bien la satisfaction à mon père, tout bonnement parce qu'il restait mon unique et réelle famille, consciente qu'à mon tour je me devrai de déserter le cocon, un jour... De mon côté, j'entamais ainsi une vie sociale à l'opposé d'autrefois. Mes camarades de classes assimilaient nettement mon comportement atypique à la limite de la folie, qui quant à eux, devinrent de sincères ami(e)s. Mes fréquentations se firent à mon image, un soupçon décalé et sans la moindre chance de prise de tête. J'omettais progressivement les difficultés du quotidien aux travers de délires pas toujours formels, durant lesquels nous expérimentions nos limites, comme tous adolescents de notre âge (14,15 ans)-. En apparence, je n'avais plus rien de ce garçon manqué, seul mon comportement instable et éveillé se fit plus traître encore que je ne l'avais espéré. Très franchement, j'estime avoir été le bout en train de la bande, tentant progressivement de communiquer cette folie pour palier partiellement les vides d'une famille parfaitement normale.
Et puis, voilà une première histoire "relation pseudo-amoureuse", qui fut en réalité plus synonyme de toute première désillusion. Plaquée pitoyablement sur le parvis d'un restaurant friqué lors d'une soirée pluvieuse, j'assimilais bien vite combien il restait préférable de ne pas m'enliser dans cette absurdité des sentiments, probablement consciente de n'être qu'une perdante. dix-sept ans seulement et, je me refusais avidement l'enchainement d'histoires à l'exemple même de mon entourage, ne songeant uniquement au couple trop souvent idéalisé, mais inexistant. Fondamentalement, je persistais dans l'idée qu'il en serait différemment avec les années, cependant je dois reconnaitre qu'il y eut une possibilité non envisagée, pour que les choses soient pires encore que l'image de tous ces petits crétins à l'attitude acerbe d'autrefois. Tant la romance de mon père et sa prétendante s'officialisait, que je me délectais de ce tout nouveau cocon familial en m'octroyant lentement ma propre autonomie. Je demeurais professionnellement en tant que serveuse à mi-temps, dans l'unique intention de démontrer à mon entourage, combien je restais pleinement enclin à la tâche, qu'importe le compte en banque de mon paternel. C'est ainsi, que je n'éprouvais guère de difficulté à concilier vie professionnelle et domaine scolaire. De ce fait, il faut bien reconnaitre combien la chance absolue n'est vraisemblablement pas une aubaine assignée au premier venu, et mon paternel eut au moins ce mérite de ne porter aucun jugement positif, comme négatif sur mes fréquentations. Friqués, classe moyenne, ou parents endettés, nous formions une joyeuse bande d'amis et nous n'avions guère besoin d'énormément pour nous distraire. En leur compagnie, qu'importe ma psychologie un semblant dérangée, j'étais parfaitement normale...
HARVARD UNIVERSITY ⇢ Si je crus bon, dans un premier temps de jeter ce courrier m'étant distinctement adressé, je m'octroyais toutefois un instant de réflexion. Pleinement lucide à l'idée qu'il en serait des années de dure labeur, il n'en restait pas moins l'occasion inévitable que de mener une vie d'étudiante parfaitement typique. Toutefois, je dois admettre très honnêtement que je ne sais plus franchement quelles sont les véritables raisons m'ayant poussé à daigner le grand saut. Je n'avais seulement que dix-huit ans lorsque je pris cette irrévocable décision que de tout quitter pour une université, dont je songeais à ma candidature pleinement ignorée, malgré des résultats, presque irréprochables. Je ne pouvais absolument pas m'éloigner de mon entourage, hypothétiquement ce ne fut même pas envisageable. Certes, j'aspirais uniquement à cette occupation de pseudo-journaliste, mais déserter si loin m'effrayait au plus haut point. Longuement incitée par les encouragements, je daignais sans grandes convictions, persuadée intérieurement de ne pas aller plus loin que ma première année. De ce fait, mon attitude finement détachée m'a continuellement assisté à mon arrivée, lorsque je restais encore intimement convaincue de ne rien avoir à faire parmi cette foule d'étudiants. De plus, harvard ne fut pas seulement une continuité typique, mais bien ce procédé indispensable que de me certifier combien mes capacités "intellectuelles", méritaient toute leur exploitation. Aujourd'hui, je reste totalement persuadée de valoir ma place. Malgré mon tempérament brièvement atypique, mes résultats ont toujours été à la limite de l'irréprochable. Néanmoins, soutenir le contraire ne serait qu'affabulation, et je dois reconnaitre combien il m'a été difficile de m'acclimater entièrement à ces lieux à des années lumières de mon pays natal. J'en suis pleinement consciente, il m'était indispensable de déceler une part de stabilité me permettant un rythme de vie parfaitement normal. Omettre partiellement ces périodes d'autrefois qui furent à l'origine de ce comportement atypique qui est le mien. Bien que spéciale en mon genre, je n'en reste pas moins pragmatique. Débarquer à cambridge reste possiblement la meilleure décision dont j'ai daigné de toute mon existence. Et lorsqu'il vous arrive de douter, certaines rencontres vous rappellent naïvement combien vous avez eu raison de tout plaquer, aussi précipitamment soit-il.
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 17:56
bienvenuuuuue.
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 17:58
Bienvenuuuue
Viens chez les roseuuuuuuh (L)
Viens chez les roseuuuuuuh (L)
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 17:59
Bienvenue sur ILH ma belle
Je connais pas ton vava mais j'aime beaucoup la blondinette :sifle:
Rejoins les roses chérie, ne réfléchis plus! :sifle:
Je connais pas ton vava mais j'aime beaucoup la blondinette :sifle:
Rejoins les roses chérie, ne réfléchis plus! :sifle:
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 18:06
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 18:07
Bienvenuueeee iciii !
Bon courage pour la fiche et si t'as des questions, n'hésite pas à me contacter
Bon courage pour la fiche et si t'as des questions, n'hésite pas à me contacter
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 18:10
BARTON
bienvenue sur ILH
bon courage pour ta fiche
bienvenue sur ILH
bon courage pour ta fiche
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 18:11
bienvenue parmi nous.
InvitéInvité
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postVen 10 Oct - 18:29
mischaaaaa
bienvenuuue
bienvenuuue
Contenu sponsorisé
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
Discord
Pseudo & pronom IRL
Informations
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Page 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
I LOVE HARVARD :: Première Aventure :: Carte identité :: Fiches de présentation :: Présentations archivées
|
|