Description des lieux


Situé dans le Massachusetts, le manoir fût construit en 1908, et était le plus grand pôle de la tuberlucose de la côte Est. En ce temps, 46 000 patients ont succombé à leur maladie en ces lieux. Finalement, en 1962, l'Eglise Catholique acheta l'institut, et le transforma en établissement psychiatrique. ll était dirigé par Monseigneur Timothy Howard, qui était secondé par Soeur Jude. Le personnel infligeait plusieurs expériences et tortures aux patients, et ceci fût dévoilé par Lana Winters, après que cette dernière ait pu s'échapper de l'établissement. En 1965, l’Église vend le manoir à l’État, avant que l'asile soit définitivement fermé en 1971. Actuellement, il n'en reste que des ruines.

Bloody Face est un tueur en série qui sévit depuis les années 60. Il est connu pour enlever la peau du visage de ses victimes et les porter en masque. Il hante les ruines de Briarcliff.



LE HALL D’ENTRÉE ▲ Après avoir franchi les lourdes portes du manoir Briarcliff, vous êtes bien loin d'être au bout de vos surprises. Extrêmement haut, le hall d'entrée a largement de quoi vous donner le vertige rien qu'à en regarder le plafond. En ouvrant les énormes battants de l'entrée, vous vous retrouvez face à deux escaliers sur les côtés de la pièce, chacun menant à l'étage, aux dortoirs, au tunnel et à certaines salles de torture. Face à vous, une immense statue de la vierge Marie dont la pierre s'est usée avec le temps, lui donnant un air morbide plus que chaleureux, et les creux dans la pierre qui s'effritent lui donnant un air agressif. En la contournant, vous traverserez un petit couloir qui vous mènera jusqu'à la salle commune dans laquelle étaient regroupés les patients durant le temps de pause. Ne parlez pas trop fort dans le hall d'entrée, la résonance y est importante et chaque son trop fort donne l'impression de déranger la tranquillité des lieux.

LA SALLE COMMUNE ▲ C'est une grande pièce, très peu éclairée malgré les grandes fenêtres qui ornent les murs, des vitraux représentant des scènes plutôt barbares de la bible empêchent la lumière de filtrer les lieux. Des vestiges de l'époque de Briarcliff sont encore présents. Un vieux Jukebox poussiéreux peut être encore en état de marche si ça se trouve dans un des angles. De nombreux fauteuils, pour la plupart éventrés remplissent la pièce donnant un peu de "chaleur" à ce lieu morbide. Des débris de tables sont éparpillés partout et en y regardant de plus près on peut voir des marques sur les murs, des marques de sang, des griffures tapissent également les fondations du manoir. Cependant le plus remarquable est surement cette énorme croix chrétienne qui a su rester en place durant toute cette année ...  croix ou l'on peu voir un jésus crucifié tacheté de sang qui semble "protéger" les lieux à sa manière.

LE TUNNEL ET LA FORÊT ▲ Une porte assez imposante se trouve dans l'un des corridors derrière l'escalier. Qui dit porte blindée dit secret. En effet derrière cette lourde porte se trouve un tunnel, un tunnel qui était resté secret dans le temps pour la plupart des patients de l'établissement, et qui mène à l'extérieur. Aucunes fenêtres, aucune lumière ne percent les lieux. L'humidité ambiante plus la crasse qui s'y est accumulée rendent le sol glissant et dangereux. Un rail et un charriot sont installés à l'intérieur, surement pour transporter des marchandises.. ou bien des corps humains au vu des os humains éparpillés au sol. Une fois la porte franchie, ce tunnel mène directement à cette forêt où il ne serait pas prudent de s'engager, où la pénombre règne à longueur de temps. C'est le genre de forêt ou il ne serait pas surprenant de voir débarquer un serial killeur fou ou bien d'atroces créatures dont nous n'aurions jamais soupçonné l'existence, tout droit sorties d'un des films fantastiques actuels, sortir de derrière l'un de ces arbres centenaires.

LES DORTOIRS ▲ Les dortoirs ne sont pas moins lugubres que le reste du manoir. Organisés en un long corridor, vous retrouverez des portes le long des murs carrelés : des portes qui vous feront davantage penser à une prison qu'à un hôpital psychiatrique. Recouvertes de matelas pour atténuer les bruits lorsque les patients tapaient sur les portes, une petite fenêtre à barreaux est l'unique moyen de voir à l'intérieur de la cellule, dans laquelle on ne trouve qu'un simple lit au matelas troué et déchiré, probablement rempli d'araignées. Dans certaines cellules, on trouve des traces de griffures, héritage de patients qui se démenaient contre les murs dans l'espoir de pouvoir s'échapper. Il n'y a aucune fenêtre aussi petite soit-elle, aucun échappatoire, la seule lumière est celle du couloir. Les cellules sont donc très sombres et souvent humides. Le plafond du corridor est extrêmement haut et en forme d'arche. Au bout des dortoirs, l'entrée du tunnel secret n'est plus très loin.



SALLE D'EXPERIENCE ▲A l'époque grands nombres des médecin stentaient de trouver des solutions, des vaccins ... contre l'épidémie de la tuberculose, autant dire que ces médecins se prenaient pour dieu même, en modifiant les gênes de certains patients,en les  défigurant  en les mutilant ...  après leur avoir donner une solution miracle selon eux. A Briarcliff, le médecin résident n'échappait pas à la règle puisqu'il avait même une salle attitrée à ses expériences les plus morbides. Jouer avec l'ADN humain dans de telles conditions n'a jamais été de très bon conseil ...  Cette pièce vous glace le sang littéralement, une énorme table en métal est posé au centre , sur les étagères est disposé de nombreux bocaux contenant des organes humains pour certain en putréfaction, un conseil ne les ouvraient pas.  Des outils chirurgicaux sont accrochés au mur laissant présager les affreuses souffrances que certains patients ont dû subir, sans compter cette immense lampe  qui n'est certainement plus en état de marche aujourd'hui  au dessus de cette table d'opération qui laissait entrevoir la fameuse lumière à ceux qui sont passés par là ...


LES CUISINES ▲ L'établissement de Briarcliff était aussi connu pour sa boulangerie. En effet, Sister Jude a fait ouvrir celle-ci pour permettre à l'établissement d'engendrer des fonds mais aussi permettre aux résidents de se responsabiliser un tant soit peu avec ce genre d'activité. La cuisine est surplombés par d'immense fours à bois qui fonctionnaient à longueur de temps à l'époque.  De nombreuses tables en bois  aujourd'hui brisés trônent au sol tout comme les étagères en métal où reposaient les nombreux pains  fabriqués quotidiennement.  Une énorme réserves se trouve au fond de celle-ci à droite. A gauche se trouve une immense chambre froide. A l'intérieur de cette pièce la température est assez base encore aujourd'hui. La cuisine semble être la pièce la plus paisible du manoir  , mais quand on y regarde de plus près , de nombreux écris dans des langues étrangères sont inscris sur les murs, certainement liés à l'époque ou apparemment un patient possédés par le diable avait été interné dans l'établissement. Une chose est sur ce manoir regorge de secret, même dans les pièces les plus banales.


BUREAU DE SISTER JUDE ▲ Bien qu'elle n'était pas la directrice de l'établissement à proprement parler, Sister Jude en avait les fonctions. Tout passait par elle mais aussi par dieu.  Après avoir poussé la lourde porte en bois, la blancheur de l'endroit vous aveugle littéralement. De nombreuses croix sont accrochées aux murs du fait de la religions pratiquée dans l'établissement. L'immense bureau en chêne massif trône encore au milieu de la pièce, en piteux état certes  mais lui seul à su tenir le contre coup du temps.  En pivotant vers la droite, on peut apercevoir une grande armoire en bois elle aussi. A l'intérieur de nombreux fouets y sont disposés. En effet, lorsque les patients était désobéissant la sentence du fouet s'abattait sur leur corps, une pratique certes moyenâgeuse mais qui enlevait le gout à tout rebelles de réitérer leur action anti-réglementaires. Si vous restez assez longtemps dans cette pièce vous entendrez certainement encore les coups de fouets qui s'abattaient contre la chair et peut être bien les cris de certain...



SALLE D'ISOLEMENT ▲ La punition de l'isolement n'était pas rare à l'époque. De nombreux patient sont devenus fous entre ces quatre murs. Cette pièce ne filtre aucune lumière, l'humidité ambiante rend les murs et le sol glissant et verdâtre. Tout confort a été retiré de cet endroit, aucun lit, seul un petit rebord faisant parti intégrant du mur permettait aux patients de s'y asseoir avec certes, beaucoup de difficultés en vu de l'étroitesse de ce dernier. La porte de l'isoloir ne donne accès à rien, une seule petite grille permettait un échange avec les bourreaux de l'époque. Des traces de sang, liés aux tapements incessant des patient contre les murs résident sur ces dernier, tout comme les griffures laissaient par les ongles des détenus. Cet endroit rend fou, faites attention, la folie peut être contagieuse.

INFIRMERIE ▲ Au départ Briarcliff était aussi une résidence pour les patients atteint de la tuberculose. A l'époque cette maladie était considérée comme l'une des plus menaçantes et des plus graves c'est pourquoi à partir du 19ème siècle le concept de maintenir des patients de tuberculose en isolement a été développé, afin que la maladie ne se propage pas à l'ensemble de la population en vue de son caractère contagieux. C'est pourquoi , une infirmerie dans un tel lieux était nécessaire quand bien même, il arrivait souvent que les patients ne se blessent entre eux , eux même ou bien tentent de se tuer. La folie fait des ravages. L'infirmerie est certainement l'une des pièces avec le plus de lumière. Le soleil à de bonne propriété c'est pourquoi d'immenses fenêtres assez hautes pour ne laisser aucune chance d'évasion y sont installés. De nombreux lits y sont disposés en rangés, afin de permettre un accès plus facile et rapide aux médecins, infirmières et bonnes sœurs, aux patients. Aujourd'hui, il ne reste plus que les armatures des lits, les matelas sont tous éventré au sol, des plumes volent au grès du vent dans l'endroit, des seringues trainent au sol, certaines sont des vestiges de l'époque et d'autre celles de squatteurs, surement.