Voici quelques jours maintenant que j’ai rencontré @Redd Geddes en soirée. Une fois complètement bourrée, on avait finit par coucher ensembles, dans l’une des dix milles chambres peuplants la maison dans laquelle la soirée se déroulait. Comme chien et chat, j’ai cette douce impression que ce mec m’apportera tôt ou tard des problèmes. Ce soir je suis chez moi quand je reçois un message de lui, après une discussion houleuse, me prévenant de sa venue immédiate. Je vais rapidement dans ma chambre pour ranger les affaires que j’ai déposé sur mon bureau. Je mets rapidement un short sous mon pull oversize avant d’entendre la sonnette de la porte d’entrée. Je me dirige, vers l’entrée, avant d’ouvrir la porte à moitié accoudée contre l’encadrement. Tu fais vite quand tu veux venir baiser Redd, tu me surprends moi qui pensais que tu serai venue en traînant des pieds. Je le regarde de haut en bas en souriant, un sourire plus que provocateur. Tu comptes rentrer ou continuer à me mater, derrière cette porte ? Je me décale sur la droite, lui pointant l’intérieur. N’oublies pas, t’es chez une princesse, j’attends ma révérence bébé. Je continues à lui parler en avançant, vers le salon. J’enlève mon pull, terminant en short court et brassière poursuivant ainsi mon chemin, morte de rire.

@Redd Geddes

le pas qui se presse. casque sur les oreilles. jambes qui tiennent le rythme de la techno qui résonne dans les pensées. trace le chemin jusqu'à l'adresse donnée. sa porte trouvée avant de sonner. créature divine qui ouvre la porte. sourire qui déforme tes lippes quand les yeux parcourent les courbes sans se cacher. t'es pas déjà à poil ? que tu craches déjà trop taquin. sirène qui s'échappe en prenant l'avance. pull au sol. sa peau qui se découvre, trop peu à ton goût. les ébènes insatisfaites. l'allure qui s'accélère derrière elle, ses jambes que t'attrapes, corps que tu bascule sur l'épaule. mon cul la révérence. t'avances dans le couloir, première porte trouvée. un lit, parfait. destination trouvée. corps délesté sur le matelas. quoique je peux toujours me mettre à genou là finalement. les billes qui lorgnent sur ses cuisses qui dépassent encore du lit. toi, debout face à elle.

these violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder which as they kiss consume.