Tw : mention des évènements du td garden, brulure.
- Mardi 09 mai, au soir -
Les derniers événements en ville t'ont énormément secoué, tu ne diras pas le contraire. Si tu t'en ai sortie avec une grosse commotion, quelques douleurs à la tête et de sérieuse insomnies, tu as conscience que ce ne fut pas si simple pour tout le monde. T'aurai pu y laisser la vie, ou pire y perdre un êtres chers. La douleur de ton entourage, et des personnes en deuil t'es devenus insoutenable et tu as du retourner en consultation avec ton psy pour parvenir à gérer ce stress et tes troubles du sommeil. Chaque soir, lorsque tu fermes les yeux se sont les bruits, les images et même les odeurs de cette évènement traumatique qui te reviennent. Depuis, dormir seule est devenu plus que compliqué et c'est généralement auprès de Matian que tu parviens à retrouver un peu de calme. Perpétuellement dans cette volonté d'empathie et d'apporter ton aide aux gens, d'autant plus depuis ce tragique accident, tu participes activement à plusieurs opérations bénévoles depuis quelques semaines et c'est dans l'enceinte du restaurant italien que tu te retrouve aujourd'hui participant au service des repas pour le compte d'une associations de femmes battues. Sourire aux lèvres, dans ton élément à donner ce que tu peut - notamment de ton temps- pour aider les autres, tu enchaines les services et les mots bienveillant auprès des femmes et enfants qui viennent vers vous pour un diner chaud. Musique d'ambiance, plats traditionnels, soirée totalement consacré à leur bien-être à eux, tu ne voit pas le temps passé. ça fais désormais un moment, qu'un garçon avec qui tu n'as échangé rien de plus que vos prénoms, s'affaire à tes côtés pour servir la suite des repas et tu lui lances un petit sourire avant de retourner à tes propres plats. En charge de donner les barquettes brulantes aux gens qui les réclament, voilà qu'une femme dans un geste maladroit renverse le contenue de la sienne en pleins sur toi et ton bras encore tendus en sa direction. La douleur se fait vive et les larmes te montent aux yeux alors qu'une trace rouge se dessine à l'intérieur de ton poignet.  La brulure s'étend et tu laisse échapper un petit cris de douleur avant de machinalement attraper des serviettes pour nettoyer les résidus de sauce laisser par la maladresse de la femme.

Unusual encounter.
with @Jillyane Reuben and @Isaak Windsor
warning :brûlure.
06.05.2023 Isaak's restaurant, Along Charles River.Venir aider dans ce centre fait partie des engagements que Isaak a pris et dont il ne se dédouane jamais. Il lui arrive de devoir décaler son passage de quelques heures ou jours, au plus, du fait de ses obligations professionnelles mais depuis deux ans qu’il a trouvé cette association, il ne s’est pas passé un mois sans qu’il vienne, hormis les deux mois par an où il accompagne sa petite-amie en Nouvelle-Zélande. Ce soir, il lui semble qu’il y a pas de mal de nouvelles têtes, dans le foyer bien sûr comme régulièrement mais également dans le bénévole. Il n’y a qu’une personne qu’il connaît mais Isaak est ravi de voir que le cercle des bénévoles se renouvelle régulièrement, sans compter qu’il est aussi possible qu’il ne soit encore jamais tombé sur ces gens malgré un engagement de longue date.
Si Isaak prend généralement le temps de discuter avec quelqu’un, il n’a pas eu l’occasion d’échanger plus de trois mots avec son binôme du soir. Une personne a dû s'absenter pour problèmes familiaux, et cela se ressent immédiatement dans la gestion de la soirée. Il faut cependant bien servir à manger à tout le monde, surtout avec le retard qu’ils ont pris. Quand il entend un petit cri de surprise/douleur à côté de lui, il s’arrête et regarde immédiatement ce qu’il se passe. Il comprend rapidement que la jeune femme s’est brulée en la voyant essuyer la sauce et il fait signe au manager qu’il va aller l’aider quelques minutes. “Je reviens.” dit-il aux personnes en face de lui avant d’attraper doucement Jill par le bras et l’emmener dans l’arrière-cuisine. “Suis-moi, on va aller mettre un peu d’eau dessus.” Isaak lui parle avec douceur, ce n’est pas forcément un réflèxe chez lui d’être comme ça mais il est habitué à s’adresser avec plus de tendresse à ses femmes battues qu’il ne le fait au quotidien, sachant tout ce qu’elles ont traversé. Jill ne fait pas partie des femmes battues, du moins pas à la connaissance d’Isaak, mais puisqu’il se trouve dans ce lieu, c’est tout naturellement que cet air lui vient. Prenant doucement son poignet, il le glisse sous l’eau froide qu’il fait couler en petit filet. “Laisse-le quelques minutes, ça va permettre de limiter la brûlure, je vais regarder ce qu’on a dans la trousse de secours.” dit-il en s’éloignant pour attraper, quelques pas plus loin, ladite trousse, et vérifier s’il y a une crème apaisante ou un pincement.